Jour 11
Le lendemain et le surlendemain je partis en déplacement professionnel. Je profitai dêtre dans une ville où personne ne me connaissait pour réaliser quelques emplettes et coucher quelques idées sur le clavier de mon ordinateur. Cétait bien également pour Gaëlle de faire une pause, de ne pas trop brusquer les événements, afin quelle shabitue peu à peu, sans sen rendre compte, au mélange de plaisir et de souffrance que je lui infligeais depuis le début de notre relation.
Le jeudi, je métonnai de labsence de Gaëlle. Puis je me souvins que cétait son jour de RTT. La journée se passa donc normalement, réunion, gestion de dossiers complexes, je fis un tour du plateau pour quon ne me soupçonne pas de moccuper dune personne plutôt quune autre, je pris même à part quelques conseillers et conseillères dans mon bureau pour traiter des cas particuliers, et par là-même ne pas éveiller les soupçons.
Le vendredi, Gaëlle se présenta au travail avec un tailleur chocolat et un chemisier rose pâle (lassociation était osée), ses cheveux blonds impeccablement coiffés et retenus sur le côté par une barrette, une jupe assortie tombant jusquau genou, ses escarpins « classiques » mettant ses mollets en valeur, rehaussés par des bas noir à fine couture. Son visage était poudré discrètement, faisant ressortir davantage sa bouche ornée dun rouge à lèvre rouge vif et ses yeux bleus qui navaient besoin de rien pour être remarqués tant ils étaient beaux.
Je la salue comme les autres, elle me répond par un de ses plus beaux sourires, un de ceux qui mavaient fait craquer. En passant à son bureau, je lui laisse discrètement un papier sur son plan de travail avec un lieu et une heure, sans autre indication ni signature. Elle regarde le papier sans rien dire et acquiesce discrètement de la tête.
Deux heure plus tard, je mabsente de mon bureau comme pour me rendre aux toilettes. Après avoir jeté un regard à droite puis à gauche, jouvre à la place une petite porte avec le passe que je métais procuré et je my engouffre discrètement. Je suis accueilli par une température nettement en-dessous de celle de mon bureau ainsi que par un ronronnement omniprésent. Je me trouve dans la salle des serveurs informatiques. A part les racks de serveurs et les câbles électriques et informatiques, la pièce ne comporte quune petite table, et une chaise. Des gros crochets au mur face à létagère des serveurs permettent de fixer des tableaux dont je ne voyais pas trop la signification. Néanmoins je note mentalement leur présence pour une utilisation future. La pièce était aveugle, et avait été renforcée au niveau de lisolation, en plus dêtre climatisée par une machine spéciale, pour préserver une température de moins de 18°C.
Jattends quelques minutes, le temps pour moi de dissimuler au mieux mon appareil photo et de vérifier que la télécommande fonctionne toujours, puis deux coups discrets frappés à la porte me signalent larrivée de Gaëlle. Je lui ouvre et elle entre à mon invitation, étonnée de se trouver dans cette pièce dont manifestement elle ne connaissait pas lexistence. Pas plus que la plupart des membres de limmeuble, dailleurs, à part le personnel informatique. Je prends soin de refermer à clef la serrure et de laisser la clef à lintérieur. Ainsi, même si par malchance quelquun venait, il ne pourrait débloquer la serrure et nous aurions le temps de ressortir, pendant quil irait chercher de laide.
« Cest bien, tu as suivi mes instructions et tu es à lheure » lui dis-je avec un demi sourire.
Elle répond par un sourire timide, yeux baissés, jambes légèrement écartées et mains derrière le dos. Son éducation commence à porter ses fruits.
« En début de semaine, nous avons commencé à entraîner ton corps afin que tu puisse le maîtriser. En effet, cest important que tu en connaisses ses réactions. Quas tu retenu de notre dernière session ? »
Elle relève un peu la tête et cherche mon regard, comme pour vérifier si je plaisantais ou si je lui posais une question sérieuse. « Je je ne sais pas trop, Maître. »
« Ca ne ta donc rien appris sur toi et ton corps ? »
« Si, Maître ! Mais, heu.., cétait plutôt bizarre. »
« Cest-à-dire ? Poursuis, je técoute »
« En fait, cétait très difficile de me maîtriser car je navais jamais rien ressenti de tel ». Silence de ma part. Elle continue « le frottement des boules en moi devenait de plus en plus intense au fur et à mesure que je marchais, et à la fin . ».
« Oui ? »
« Hé bien, cest comme si mon esprit se détachait de mon corps et quil était entièrement focalisé dans mon bas-ventre. Je narrivais plus à me concentrer sur autre chose, mon corps avançait mécaniquement mais mon esprit était tout entier sur ce que faisaient ces choses. »
« Te souviens-tu de ce que tu as ressentie à la fin lorsque je les ai retirée ? »
« Oh oui ! » Sexclama-t-elle un peu malgré elle ? Puis, se rendant compte quelle était un peu trop enthousiaste, elle rosit un peu quest-ce quelle était belle lorsque cela lui arrivait !- et se reprit « Enfin, heuje ne my attendais pas du tout : cest comme si un feu dartifice avait explosé à lintérieur de mon corps et dans ma tête. Je ne savais plus où jétais. »
« Bref, tu ne contrôlais plus rien ? »
Silence puis finalement elle lâche « Non, Maître »
« Cest bien, japprécie ta franchise. Rassure-toi, cétait normal, et cet exercice avait pour but de te faire prendre conscience de cela » Elle a lair soulagée lorsquelle entend mes parolesqui nont pour autre but que de la préparer à ce qui sensuit. « Aujourdhui, nous allons continuer dans cette voie. Mais après avoir exploré le plaisir, nous allons explorer la douleur »
Un voile dinquiétude passe sur son visage. Elle ne sourit plus du tout à présent.
« Rassure-toi, ce nest quune première approche, comme pour les boules de geisha. Mais elle est indispensable à ta formation »
Elle en doute probablement, à voir son visage, mais elle nose pas broncher.
« Lève la tête et regarde-moi » Je tiens devant son visage deux petites pinces dont les mâchoires sont plates et gainées de caoutchouc transparent. « Déboutonne ton chemisier »
Elle a lair un peu choquée de ma demande abrupte et ne sexécute pas immédiatement
« Allez, dépêche-toi ! » je la relance de manière abrupte
Elle défait lentement le premier bouton, puis plus rapidement le deuxième et le troisième, arrivant ainsi à la hauteur de son nombril.
« Stop ! Ca suffira. Maintenant, retire ton soutien-gorge »
Elle ne comprend décidément pas où je veux en venir et cela linquiète de plus en plus. Elle pense peut-être que je veux abuser delle, mais dans ce cas pourquoi ne pas la faire se déshabiller complètement. Ma voix la tire brusquement de sa rêverie « Bon, on ne va pas y passer la journée ! Tu te dépêches un peu, oui ?! »
Elle sexécute alors, non sans réticence, et en réussissant lexploit de ne me montrer que le minimum de sa poitrine. Dès quelle a retiré son soutien-gorge, elle le tient dans sa main gauche, ne sachant pas trop quoi en faire, et de sa main droite tient son chemisier fermé du mieux quelle le peut.
« Donne-le moi, tu nen auras plus besoin pour linstant » Elle tend lentement son bras gauche et je lui prend rapidement le morceau de dentelle noire. Je le replie et le pose sur la table, hors de sa portée.
« Reprends la posede suite ! » Elle comprend quelle doit lâcher son chemisier, quitte à le laisser sentrebâiller, et le fait, non sans réticence, et après avoir pris une légère tape sur sa main droite. Je la sens nerveuse.
Sans bouger, car je suis assez près delle, je prends les deux pans de son chemisier et les écarte pour dévoiler sa poitrine « Tu ne dois pas avoir honte de ton corps, qui est par ailleurs très beau. Tu dois plutôt savoir ten servir pour quil te permette datteindre tes objectifs, et quil aide ta réussite professionnelle. Je nai pour but que de ty aider. Pour cela, tu dois me faire confiance, et suivre mes instructions à la lettre. Nous avons passé un accord : si tu respectes ta part, jhonorerai la mienne et tu seras cadre avant la fin de lannée » Tout en parlant, jadmirais ses deux seins en forme de poires, légèrement tombant (après deux grossesses, le contraire meut étonné) mais qui avaient gardé un caractère juvénil, un peu adolescents. Sa peau était rose comme son visage, et la fraîcheur de la pièce le trouble quelle éprouvait ?- lui donnait une légère chair de poule. Ses auréoles étaient assez petites et ses tétons semblaient durcis pour les mêmes raisons. « Tant mieux, ça me facilitera le travail » pensès-je . Jen profite pour activer la télécommande dans ma poche de pantalon et prendre quelques clichés en prenant soin de ne pas me trouver dans le cadre de la prise de vues.
Elle ne peut sempêcher de reculer lorsque je prends son sein gauche dans ma main gauche. « Ne bouge pas ! Regarde-moi dans les yeux ! » Jemploie le ton le plus assuré et le plus professionnel que je peux, mais je sais que je suis à un tournant et mon cur saccélère. « Comme je te lai dit, tu dois mieux maîtriser ton corps, et cela passe par la gestion de la douleur. Cest pourquoi tu vas porter ces petits outils qui ty aideront jusquà ce que je te donne dautres instructions. Laisse tes mains là où elles sont ! » Tout en lui parlant, jai appliqué une des pinces sur le téton érigé de son sein gauche, et elle a eu le réflexe dy porter sa main droite pour la retirer, avant que je ne lécarte vivement. Assez rapidement, je referme les mâchoires de la deuxième pince sur son téton droit puis je me recule dun pas, après avoir vérifié quelle nait pas de nouvelle velléité de rébellion. Ses mains semblent crispées et je sens quelle hésite encore à supporter cette douleur volontairement. A nouveau jactive la télécommande, afin dimmortaliser la scène. Jespère que jai bien cadré !
« Referme les boutons de ton chemisier » lui dis-je à présent, presque à regret car je ne vais plus pouvoir profiter du spectacle de sa poitrine offerte et torturée, pour occuper son esprit et ses mains de manière utile à mon dessein. « Débrouille-toi pour quon ne voit pas les pinces, je les ai choisies afin quelle puissent être portées verticalement et assez petites. Avec ta veste de tailleur elles seront invisibles. Non, ne boutonne pas ceux du haut, on doit toujours bien voir ton décolleté »
« Mais, Maître, on risque de voir que je nai pas de soutien-gorge ! » Ose-t-elle me répondre
« Ca, cest ton problème ! » je lui réponds dun air amusé. « Ca te fait mal ? »
« Oui, Maître, ça pince le bout de mes seins et cest très désagréable »
« Tant mieux ! Tu dois apprendre à maîtriser cette douleur et à faire comme si de rien nétait. Tu vas dailleurs reprendre ton poste dans une minute mais auparavant je vais te faire un cadeau ». Je lui tends un téléphone portable, tout petit et arrondi comme un galet. « Cela nous permettra dêtre en contact direct. Tu ne dois lutiliser que pour mappeler si besoin est, et cela me permettra de te contacter lorsque je le désirerai. Bien entendu, tu devras suivre à la lettre et instantanément tout message que tu recevras, oral ou écrit. Cest bien clair ? »
« Oui, Maître » répond-elle en grimaçant légèrement et en portant une main à sa poitrine.
« Pas de ça ! » je prends son poignet et le rabaisse de force « Tu dois nourrir ta volonté, et pour cela, tu dois dabord accepter la douleur. Tu ne touche donc pas à ta poitrine, tu fais comme si tout était normal. Sinon tout sera à refaire. Daccord ? Daccord ?? »
« Oui, Maître » souffle-t-elle
« Bien, remets ta veste, prends ton téléphone et reprend ton poste, après avoir vérifié en entrebâillant la porte que personne ne passe par là. Ah, jallais oublier ! Tiens, une clef de la pièce, comme ça tu pourras my attendre la prochaine fois » Elle sexécute et disparaît.
Jattends deux minutes puis je me rends dans le bureau dun de mes collègues pour lui poser une question professionnelle et débattre avec lui du sujet un quart dheure. Puis je reviens à mon bureau. Gaëlle est à son poste, elle est en conversation téléphonique avec un client. Son nouveau téléphone est posé devant elle, à côté de son écran. Je me mets à travailler sur un dossier que je devais boucler cette semaine sans davantage me préoccuper de son sort durant une bonne heure. Au bout de ce laps de temps, je ne peux mempêcher de relever la tête et constater quelle esquisse une grimace de temps en temps. Jimagine que les mâchoires font leur effet et que le bout de ses seins doit la lancer. Il est temps de renforcer un peu les désagréments. Je pianote un SMS sur mon propre téléphone et appuie sur la touche « Envoyer ». Quelques secondes plus tard je la vois prendre le téléphone en main puis appuyer sur un touche pour lire mes instructions. Elle jette un coup dil furtif vers mon bureau puis se lève quelques instants plus tard pour se diriger vers les toilettes. Je relis le message sur mon téléphone dans le dossier « envoyés » avant de le supprimer « Va dans les toilettes avec ton téléphone. Prends la petite boite noire dans le meuble sous le lavabo et enferme-toi dans une cabine. Attends mon appel. »
Une minute plus tard, je lappelle sur son téléphone toujours réglé en mode vibreur
« Ne parle pas et écoute : ouvre la boite noire.oui, ce sont des plombs, comme ceux quon utilise pour la pêchesauf que ceux-là sont conçus pour sadapter sur les pinces que tu as sur les tétons. Tu vas donc lâcher le téléphone et en mettre un sur chaque pince et me dire doucement « oui, Maître » lorsque ce sera fait ».
Jentends le bruit du téléphone posé sur un tablette de la cabine des toilettes, puis un bruit de vêtements et plus rien pendant une bonne minute. Puis la voix de Gaëlle résonne doucement à mon oreille « Oui, Maître »
« Bien ! Tu peux raccrocher et reprendre ton travail »
Je la vois revenir et sinstaller sur sa chaise, et jaimerais bien savoir ce quelle ressent et ce quelle pense à cet instant. Le poids accroché à chaque pince, elle-même mordant dans chacun de ses tétons, doit commencer à être désagréable, lui tirer le sein tout entier vers le bas, dautant quen labsence de soutien-gorge la gravité doit faire son uvre.
A lheure du déjeuner , je laisse Gaëlle partir puis lui envoie un message une demi-heure après (un temps que jestimais suffisant pour se restaurer) afin quelle me rejoigne à nouveau dans la salle informatique. Cette fois, je la laisse entrer la première et la fais patienter plusieurs minutes avant de my introduire à mon tour. Elle mattend, assise sur la table. Dès quelle me voit entrer, elle se remet sur ses pieds rapidement, et prend la pose attendue.
« Alors, ça ne tire pas trop ? »
« Si, Maître. Ca fait assez mal, je ne sens plus le bout de mes seins »
« Très bien. Le but est que tu explores les réactions de ton corps en situation de souffrance. Ainsi tu pourras davantage te maîtriser et ne pas te laisser perturber »
« Puis-je poser une question, Maître ? »
« Oui, vas-y » je suis assez surpris et je me demande ce quelle souhaite connaître
« En quoi cela pourrait-il maider, Maître ? » Dit-elle sur un ton un peu de défiance ; peut-être la douleur sourde lui donne-t-elle le courage doser remettre en question mes ordres
« Cest simple : imagine que tu sois en période pré-menstruelle et que tu aies à conduire une négociation délicate, interne ou externe. Si tu es habituée à la douleur et aux réactions de ton corps, tu ne seras pas gênée et tu auras un avantage sur les autres personnes avec toi. »
Elle réfléchit à mes paroles et ne trouve rien à redire, peut-être parce que son esprit est concentré en partie sur les tiraillements que subit sa poitrine.
« Je vais te confier un secret de management : la confiance nexclue pas le contrôle. Ca signifie que même si tu as confiance dans lun de tes collaborateurs, tu dois le contrôler de temps à autre. Cest pourquoije te demande douvrir ta veste et ton chemisier, afin que je puisse vérifier que tu nas pas enlevé les pinces »
« Mais, Maître . »
« Quoi ? » Lui réponds-je un peu brutalement. « Quest-ce que je viens de texpliquer ? Je mévertue à mettre en pratique ce que je texplique, afin que tu le retiennes mieux. Allez, montre-moi que tu as compris et que je ne perds pas mon temps avec toi. Noublie pas une chose : cest que jévalue également ton comportement durant ton entraînement, et que cest moi qui déterminerai lorsque tu seras prête. Jusquà présent tu te comportes assez bien, mais tu as un défaut : tu te laisses facilement décontenancer par des situations jusqualors inconnues. Cest un défaut quil faudra corriger. Bon, jattends toujours.et je te signale que jai déjà eu un large aperçu de ta poitrine tout à lheure, alors pour la pudeur, cest un peu tard ! »
Plus convaincue que persuadée, elle déboutonne la veste de son tailleur puis lôte pour la poser sur la table. On voit nettement les pinces sous son chemisier rose dont le tissu est assez fin, mais je ne vais pas lui dire. Je la laisse donc déboutonner cette fois son chemisier, puis lécarter assez largement pour que je puisse admirer leffet de mon imagination. Mon sexe gonfle dans mon pantalon et je me délecte du spectacle de ces deux seins distendus , de leur bout violet car engorgé de sang par les pinces auxquelles sont accrochées les poids. Je mapproche delle et me baisse à hauteur de sa poitrine pour mieux lexaminer.
« Ca fait mal ? »
« Oh oui, Maître ! »
« Désolé mais ce nest quun début. Alors il va falloir thabituer » Ce disant, je prends deux plombs dans mes poches identiques à ceux déjà accrochés et les fixe à leur tour aux pinces. Elle ne peut sempêcher de gémir sous la tension supplémentaire infligée à ses mamelles mais nose rien dire.
Je me recule un peu pour admirer leffet produit. La forme de poire de ses seins est maintenant accentuée par la tension qui leur est imposée, et ils semblent un peu aplatis. Ca me donne une idée pour une autre séance..mais je ne vais pas brûler les étapes. Je prends une nouvelle fois plusieurs clichés delle avec ses nouvelles parures sans quelle sen rende compte.
« Tu peux refermer ton chemisier et remettre ta veste. Tu es très élégante, permets-moi de ten faire le compliment »
« Merci, Maître » grimace-t-elle en se rhabillant.
« Il va falloir que tu fasses un effort pour masquer ta souffrance sinon tes collègues vont se demander ce quil tarrive. Et il serait un peu gênant quils connaissent la raison véritable de ton état, nest-ce pas ? »
« Oui, Maître, je vais essayer »
« Non ! Tu vas y parvenir ! Répète après-moi : je vais surmonter ma gêne et me comporter normalement »
« Je je vais surmonter ma gêne et me comporter normalement » répète-t-elle dune voix un peu rauque.
« Cest bien. Attends ici. Je vais sortir le premier, tu compteras jusquà cent et tu sortiras à ton tour, en prenant soin de bien refermer derrière toi. A tout à lheure et bon après-midi ! »
Une fois sorti je décide daller déjeuner à mon tour. Je nai pas très faim car je suis excité par ce que doit subir dans le même moment Gaëlle, et jai hâte de la revoir. Je repasse après mon repas frugal dans la salle informatique pour récupérer la carte mémoire de lappareil photo et la remplacer par une autre. De retour dans mon bureau, je nai pas le temps de minvestir dans une nouvelle tâche que jentends toquer à la porte. Jai la surprise de voir entrer Gaëlle qui referme la porte derrière elle et se tient devant moi.
« Je vous prie de mexcuser, Maître, mais jai un problème » dit-elle timidement la tête baissée
« Oui, je técoute ? » réponds-je avec curiosité
« Hé bien, lorsque je me déplace, les poids que vous avez fixé sentrechoquent avec les autres et ils font du bruit ! Cest très gênant car les gens que je croise se demandent doù cela peut bien venir » Elle rougit en prononçant ces dernières paroles, et je me doute donc que ça a déjà du lui arriver en chemin. Javoue que je navais pas pensé à ça et ça me fait plus sourire que cela me pose un problème.
Je décide de mamuser un peu avec elle « Fais-moi donc entendre cela » lui dis-je
Elle ne comprend pas ma demande et relève la tête pour me fixer dun regard interrogateur
« Bouge un peu, marche davant en arrière par exemple, afin que je me rende compte du volume sonore ! »
Cette fois elle comprend ou crois comprendre- la raison de ma demande, et fais quelques pas en avant puis quelques pas en arrière. Effectivement on entend un petit cliquetis, comme des clés qui sentrechoqueraient dans une poche assez largesauf que le bruit est dédoublé et que son tailleur ne comporte pas de poche ! Elle me regarde avec lespoir que je mette fin à sa gêne et sa souffrance par la même occasion. Cest mal me connaître !
« Effectivement, on entend un cliquetis.Hé bien, ça sera pour toi un apprentissage supplémentaire : apprendre à marcher de manière assez fluide pour ne pas faire sentrechoquer tes passagers mammaires ! A moins que tu en décides autrement et que tu fasses comme si de rien nétait, dans ce cas tu apprendras à accepter un inconvénient réel et à ty adapter. Bref, rien que du positif »
Elle me regarde en se demandant si je me moque delle ou si je suis sérieux (en fait cest les deux !) et, comprenant que je ne lui apporterai pas de soulagement, elle baisse la tête, vaincue, en laissant pousser un petit soupir.
« Tu peux tentraîner un peu ici, si tu veux ! »
Je joins le geste à la parole en faisant tournoyer ma main pour lui indiquer de faire le tour de mon bureau. Elle hésite un peu puis commence à marcher doucement, comme si elle se déplaçait sur des ufs. Le cliquetis est moins audible à présent, ou en tous cas les poids sentrechoquent moins souvent, mais sa démarche est comique car pas vraiment naturelle. Elle sen rend compte et essaie de glisser sur la moquette, mais là aussi cest plus visible que le cliquetis était audible. Après plusieurs essais, elle trouve un compromis entre le bruit et la gestuelle.
« Bon, si tu es satisfaite, va donc reprendre ton poste, je pense que tu as du travail, non ? »
« Oui, Maître. Jy vais de suite » Cest bien, tu es une bonne petite employée modèle, pensè-je alors. Tu vas surtout devenir une bonne petite chienne ! Mais tu ne le sais pas encore . Je la regarde sortir en me léchant les lèvres par anticipation, puis le téléphone se met à sonner et je maffaire à tout autre chose de plus professionnel durant deux bonnes heures.
Deux bonnes heures durant lesquelles Gaëlle a continué de souffrir en silence, en essayant doublier la pression exercée par les pinces, et les poids qui tirent ses seins vers le bas. En faisant attention lors de ses mouvements de buste, pour ne pas provoquer trop de bruit. En essayant en vain de se soulager en voulant soulever les poids avec deux doigts à travers son chemisier mais en se rendant compte que ses collègues la regardaient en coin dun air bizarre. En tentant de se concentrer sur les conversations avec ses clients, mais en ratant quelques informations qui lui valurent des agacements au bout du fil de personnes obligées de se répéter.
Je décide de moctroyer une petite pause et jen profite pour visualiser les cliché pris précédemment ; certains sont moyennement cadrés mais dautres sont parfaits : on distingue bien Gaëlle, le poitrail dénudé, tête baissée ou droite, les mains derrière le dos ou le long de son corps, puis ses tétons pris en tenaille par les pinces, enfin ses seins pendants sous le poids des plombs. Il y a au moins une excellente photo de chaque sujet. Je réalise un petit diaporama express et prépare lobjet qui va me servir pour la suite, puis jexpédie un nouveau SMS sur le portable de mon employée. Elle sursaute lorsque le sien se met à vibrer sur le bureau, puis semble soulagée à la lecture de son écran. Elle se lève quelques instants plus tard, et commence à quitter le plateau. Tout à coup je la vois sarrêter car elle vient dêtre interpellée par Karine,
sa responsable déquipe. Cette dernière sapproche de Gaëlle et semble la réprimander, probablement à cause des ses « pauses » un peu trop fréquentes car Karine lui montre lheure à son poignet. Gaëlle baisse la tête et répond doucement. Mais Karine insiste et Gaëlle doit finalement retourner à son poste de travail. Je navais pas prévu ça. Il faudra que je trouve une solutionou alors que jexploite la situation, à termeune nouvelle idée germe dans mon esprit perversoui, plus tard.mais pour linstant Gaëlle est immobilisée pour une durée indéterminée , aussi je dois reporter mes projets pour elle. Dun autre côté, ce nest pas forcément négatif puisque cela la fait souffrir plus longtemps que je ne lavais prévu. Je vais simplement devoir modifier quelque peu mes plans pour tout à lheure.
Je lui envoie un nouveau message au bout dun quart dheure, et au moment de le faire partir, je massure que Karine ne la regarde pas pour quelle ne soit pas tentée dêtre trop curieuse. Jordonne à Gaëlle de rester à son poste jusquà la fin des heures douverture et de se rendre dans mon bureau une fois que tout le monde sera parti. Soit un long moment de souffrance supplémentaire pour la pauvre Gaëlle, désespérée de ne pouvoir quitter son bureau. Au moment de la fermeture, les employés partent les uns après les autres. Je vois Karine qui, au moment de partir, semble sinquiéter du fait que Gaëlle est encore là, et échange quelques mots avec elle. Je vois Gaëlle secouer la tête pour répondre par la négative, le visage fermé. Finalement, Karine hausse les épaules et décide de partir à son tour. Elle passe par mon bureau pour me souhaiter une bonne soirée
« Jai du réprimander Gaëlle cet après-midi car elle a tendance à sabsenter un peu trop souvent du plateau » me confie-t-elle
« Ah bon ? » Je fais mine de navoir rien remarqué « Et que donne son travail en ce moment ?» je lui demande de manière neutre
« Hé bien, le plus étonnant est quelle est plus productive malgré tout. Cest probablement parce quelle arrive tôt et quelle reste tard le soir. Elle compense comme ça. Néanmoins, je ne sais pas ce quelle a cet après-midi : elle paraît absente. Jai comme limpression quelle ne se sent pas bien, cest pourquoi je me suis inquiétée pour elle ce soir ; mais elle na rien voulu me dire » elle hausse à nouveau les épaules
« Bah, cest peut-être, enfin tu sais.une affaire de femmes ! » Lui dis-je en souriant
« Oui, tu dois avoir raison, ça doit être ça » répond-elle également avec un sourire. « Mais il ne faudrait pas quelle prenne un peu trop ses aises sous prétexte quelle travaille en extra-horaires. Il faudra la mater un peu ! » Poursuit-elle en me faisant un clin dil
Un peu surpris, je prends sa réplique comme une demi-plaisanterie et lui répond « Tu as raison, il va falloir sen occuper dun peu plus près. Ne tinquiète pas je vais men charger et la convoquer un de ces jours dans mon bureau ! »
« Bonne idée. Ca lui remettra les idées en place. Une bonne fessée, ça lui fera du bien » Elle sesclaffe sur cette image, sans penser une seule seconde que ce soit déjà fait !
« Bon, allez, bonne soirée ! » sur cette dernière parole elle quitte mon bureau, me laissant songeur. Karine était une jolie jeune femme, bien quun peu maigre et avec une trop petite poitrine à mon goût. De toute manière, je connaissais assez son penchant pour la gent féminine pour savoir que je navais aucune chance avec elle. Du coup je la traitais comme un mec et nous étions assez complices, même si jétais son supérieur hiérarchique. Il mest même arrivé de lui faciliter la tâche avec une jolie intérimaire qui semblait lui plaire particulièrement. Elle se sentait redevable envers moi et appréciait le fait que je ne faisais jamais de remarque déplacée sur ses penchants sexuels. Il nous arrivait même de plaisanter sur telle ou telle employée, dans des termes un peu plus osés que la déontologie professionnelle ne ly autorise.
Jattends que le dernier employé ait quitté le plateau, me laissant seul avec ma proie. Sans avoir besoin de me lever, je dis à voix haute « Gaëlle, dans mon bureau de suite ! ». Au moment de passer la porte, je rajoute « ferme la porte derrière toi ». Elle ne semble pas rassurée par ce dernier ordre mais sexécute, une légère grimace déformant son beau visage.
« Alors, comme ça tu te fais réprimander par ta responsable déquipe ? »
« Mais, Maître, cest vous qui . »
« Tais-toi ! Et tu cherches des excuses en plus ?! »
Elle semble désorientée par mes propos « Mais » Je frappe du plat de ma main mon bureau en me penchant vers elle, dun air menaçant. « Tu vas apprendre à te taire, oui ! » Cette fois elle ravale ses paroles et ses yeux se mettent à briller devant la fureur de mon ton de voix et linjustice quelle subit.
« Est-ce que ça te fait mal ? » je désigne sa poitrine
« Oh, oui, Maître ! »
« Tu veux quon mette fin à cela ? »
« Oui, Maître ! »
« Mauvaise réponse ! » Elle me regarde à nouveau sans comprendre. « La bonne réponse aurait été : si vous le désirez, Maître ! Répète ! »
« Sisi vous le désirez, Maître ! » A son ton je perçois de la désapprobation dans sa voix, et un début de révolte. Poussons un peu plus loin.
« Jai décidé de mettre fin à cette épreuve, mais en te faisant découvrir autre chose. » Je me penche vers un objet dissimulé sous mon bureau, branché au secteur par un fil électrique, et je le pose sur mon bureau. « Sais-tu ce que cest ? »
Son étonnement est total : visiblement elle na jamais vu ce genre dinstrument « Non, Maître »
Lobjet est un demi-cylindre en plastique mou dont la base est élargie, ce qui permet une meilleure stabilité, denviron 40-50 centimètres de longueur sur 20-25 centimètres de largeur et 10 centimètres de hauteur. Au milieu de la longueur un trou permet de fixer un autre objet. Lorsquelle découvre quel est lobjet que je compte fixer, elle se relève et a un mouvement de recul : je viens de sortir dun tiroir un phallus en caoutchouc dur denviron 25 centimètres et de 3-4 centimètres de diamètre, et je lai vissé sur le trou prévu à cet effet.
« Que que .comptez-vous faire avec ça ? » Elle en a oublié le « Maître » tellement elle est horrifiée à la vue de linstrument monté et prêt à fonctionner.
« Pour te récompenser davoir enduré la souffrance sur le haut de ton corps, jai décidé que le bas de ton corps connaîtrait un peu de plaisir. » Je me lève et prend le mini cheval darçon avec moi pour le poser sur la chaise quelle vient de quitter « Tu vas enlever ta culotte et tasseoir sur ce gode vibrant, et ça te fera oublier toutes tes peines de la journée »
« NON ! » Elle est elle-même surprise de la violence de sa réaction. Pourtant elle recule encore dun pas en continuant « Il nen est pas question ! Ca suffit ! Cest nimporte quoi ! Ca na rien à voir avec un quelconque entraînement professionnel ! Vous essayez seulement de . »
Je la coupe en haussant la voix à sa hauteur « Stop ! Arrête ça de suite et calme-toi »
« Non, je vais sortir dici et je ne veux plus que . »
« Que quoi ? Avant de prendre une décision qui modifiera certainement le cours de ta vie, je voudrais que tu regarde ça » Ce faisant je tourne mon ordinateur portable que javais préparé dans cette éventualité et je lui montre les images qui défilent en plein écran
Elle stoppe net son débit oral et semble choquée par ce quelle voit. Cest à dire elle le chemisier largement ouvert, la poitrine nue, puis ses seins ornés des pinces, puis avec les poids ajoutés, les mamelles pendantes sous la force de la pesanteur. Sur un cliché ou deux on voit largement son visage, et on constate que ses mains sont le long de son corps, non restreintes. Elle comprend vite où je veux en venir.
« Tu vois un peu ces photos tomber en de mauvaises mains, passer sur le Net et atterrir sur les ordinateurs de tes collègues de travail ou pire, de ton mari ? Peut-être même de tes enfants ou de ta famille. Comment te percevrait-on alors ? Comme quelquun dambitieux qui veut réussir à tout prix ou comme .je ne préfère pas nommer ce quils penseraient. Ils ne comprendraient pas que ça fait partie dun entraînement, nest-ce pas ? »
« Je leur dirai que vous mavez forcé ! Je porterai plainte contre vous ! » Elle laisse éclater sa rage
« Contre moi ? Tss Tss ! Et où suis-je sur les photos ? On nest même pas dans mon bureau ! Je dirai que tu étais très ambitieuse et prête à tout pour grimper dans la hiérarchie, que tu mas fait des avances que jai refusées et que cest pour cela que tu me dénonces de manière calomnieuse. Et avec ces images, qui croira-t-on daprès toi ? Mmhhh ? »
Elle se tait durant de longues secondes, le temps pour elle dassimiler la situation. Je retiens mon souffle car nous venons de passer un premier tournant important et la suite va se jouer maintenant.
« Je ne te veux pas de mal, au contraire » jadopte un ton doucereux maintenant, pour la rassurer et lui faire prendre le bon choix « cest normal que tu ne comprennes pas tout, mais dis-toi que je fais ça pour toi, pour que tu puisses tassurer une meilleure carrière. Et donc un meilleur salaire. Que tu emploieras pour faire plaisir à ton mari et à tes enfants, et leur permettre un bon avenir. » Le dernier argument semble avoir fait mouche, car je la vois revenir lentement, la tête baissée.
« Vous massurez que vous nallez pas profiter de la situation ? » Demande-t-elle dune voix mal assurée
« Bien sûr que non ! Cest uniquement pour te faire comprendre une notion importante »
« Laquelle ? » Renchérit-elle
« Je ne peux pas te le dire maintenant. Bon, avons-nous un accord et vas-tu faire ce que je te demande maintenant, ou . ? »
« Oui.Maître » reprend-elle, vaincue.
Si je pouvais sauter en lair de joie à cet instant, je le ferais. Mais il faut que je continue de rester impassible et que je me maîtrise. « Vas-y, enlève le bas » Elle hésite encore quelques secondes puis, toujours tête baissée, elle relève un peu sa jupe et passe ses mains par-dessous, pour enlever sa culotte en ne laissant voir que le minimum. Je souris intérieurement devant cette pudeur mal placée mais ne réagit pas. Ne la brusquons pas.
« Bien. Tu vois, ce nest pas compliqué » dis-je pour la rassurer, tout en la prenant par les épaules et la dirigeant lentement vers la chaise. « Attends un instant, jai oublié quelque chose » Elle me regarde étonnée retourner à mon bureau et prendre un petit flacon dans mon bureau. Puis je reviens vers la chaise et lobjet qui est posé dessus.
« Je ne voudrais pas que tu tirrites les muqueuses en tintroduisant ce gode, cest pourquoi il faut quil soit bien lubrifié » elle rougit très fort en imaginant la suite des événements mais ne dit rien, pendant que je verse de lhuile damande douce sur lensemble du phallus en caoutchouc.
« Tu peux tinstaller maintenant, cest prêt ! » je me suis essuyé les mains avec un mouchoir en papier et je la positionne devant la chaise. Problème pour elle : elle va devoir écarter les jambes suffisamment pour chevaucher lengin et la chaise, et sa jupe est trop serrée. Elle sen rend bien compte, et moi aussi. « Peut-être faudrait-il enlever ta jupe, sinon tu vas devoir la relever très haut et elle risque de se salir avec le lubrifiant. ? »
Elle comprend que sa pudeur de tout à lheure était inutile et quelle va devoir se dénuder devant moi malgré tout. Elle hésite encore. « Allons, si tu veux je me tourne pendant que tu la défais. Tu peux la poser sur la table, elle ne sera pas abîmée » Je lui tourne alors le dos, en souriant largement. Jentends le bruit dune fermeture éclair qui souvre, puis le froissement de létoffe sur le nylon de ses bas. Deux pas feutrés, elle doit poser la jupe sur la table, puis je lentends revenir et probablement se demander comment enjamber lengin. « Assied-toi dessus, tout simplement. Quant au gode, hé bien.tu sais où il faut lintroduire. Si tu as besoin de thumecter, nhésite pas ! » Je souris encore largement en disant cela, et prenant bien soin de rester de dos à la fois pour ne pas leffaroucher mais aussi pour quelle ne me voit pas sourire trop largement. Néanmoins je surveille sa forme en regardant une partie de son reflet dans la vitre latérale de mon bureau, au cas où elle reculerait au dernier moment. Je la vois soulever sa jambe droite pour se caler au-dessus du cheval darçon, puis attraper le phallus de sa main droite pendant que sa main gauche se faufile entre ses cuisses. Elle doit certainement être en train décarter ses grandes lèvres, mais je ne le distingue pas bien. Puis, peu à peu, elle sassied et sengouffre le sexe en caoutchouc, centimètre par centimètre. Malgré la lubrification abondante que jai déposé, je lentends gémir un peu, elle devait être sèche. A un moment elle semble faire une pause, le temps de reprendre son souffle. « Pour que ce soit efficace, il faut que tu sois complètement assise dessus » Traduction : que le braquemart soit bien au fond de ton vagin. Elle ne répond pas mais continue sa lente progression. A un moment, jentends un « Aahh ! » et je me dis que cest le signal mindiquant quelle est prête. Je me retourne alors et je la vois, assise les jambes écartées mais seulement à un angle de 60°, probablement pour me montrer le moins possible son sexe. Effectivement je ne vois que le triangle de vénus mais jarrive quand même à savourer sa position, empalée sur un sexe factice, devant moi, dans mon bureau.
Je nattends pas pour appuyer sur linterrupteur et mettre en route lappareil. Un « brrrrrrrr » se fait entendre et en même temps Gaëlle ne peut sempêcher de pousser un « Aaahhh ! » détonnement. Le centre du cheval darçon sétait mis à vibrer en même temps que le phallus dans son ventre, qui sanimait dune vie propre. Gaëlle nétait visiblement pas une adepte de ce genre de gadget, et découvrait des sensations nouvelles. Ses yeux étaient écarquillés et elle se penche sur son bas-ventre pour se rendre compte exactement de ce qui lui arrivait. Elle reprend ses esprits et commence à se lever pour se dégager. Je my attendais et javance rapidement pour appuyer sur ses épaules et la maintenir en place « Oh non, pas de ça ! Tu y es, tu y restes ! Tu ne vas quand même pas abandonner maintenant, alors que tu commences à peine à en profiter ? ». Elle tente de résister et de se soulever en sappuyant sur ses mains posées à lavant de la chaise, et réussit à dégager son sexe. Je décide alors de passer au plan « B ». Je lâche ses épaules et le plus rapidement possible sort les menottes que javais cachées dans ma poche droite. Avant quelle ne réalise, je crochète son poignet droit puis ramène violemment son bras dans son dos. Elle est obligée de se pencher en avant et du même coup se retrouve assise à nouveau sur lengin vibrant, sans pour autant sempaler à nouveau, mais mettant ainsi lentrée de son vagin en contact avec le phallus. Ca la déconcentre suffisamment pour que je passe derrière elle et ramène son bras gauche à son tour dans son dos et réussisse, en employant toute ma force car elle résiste et tente de se dégager, à lui passer la deuxième menotte au poignet. Ouf ! Jai réussi ! Je nai plus quà continuer dappuyer sur ses épaules pour quelle profite pleinement des vibrations du godemiché qui vient à présent directement masser son clitoris au travers de ses lèvres bien ouvertes et commençant à suinter. Je le vois précisément maintenant car, sans sen rendre compte, elle a plus largement ouvert ses cuisses et jai remonté plus haut sa jupe avec mon genou. « Lâchez moi, Mhhh, oohh, lâchez-moi tout de suite » elle essaie encore de résister mais un peu plus mollement à présent. Néanmoins elle crie presque à présent et il va falloir que je massure que cela nattire pas un membre du personnel de nettoyage, même si mon bureau est fermé. Cest pourquoi je sors le baillon-boule que javais mis dans ma poche gauche et profite quelle ait la bouche ouverte pour le placer entre ses lèvres et laccrocher rapidement derrière son crâne. Elle me regarde et fronce les sourcils pour montrer sa désapprobation, et tente de se relever à nouveau « mmmmhhh nnnnnn mppffffff ! ». « Oui, je sais, ce nest pas agréable, mais cest toi qui ma forcé à le faire ! Tu allais attirer les vigiles de nuit à ce rythme là ! Maintenant je vais pouvoir entièrement me consacrer à ta leçon. » Ce faisant je continue de la maintenir assise de force.
Au bout de quelques minutes de ce régime, je sens sa résistance faiblir, puis peu à peu son bassin onduler légèrement et sa tête se pencher en arrière. Je soulève sa jupe complètement pour vérifier ce que je devine déjà : son sexe est largement ouvert et ses grandes lèvres gonflées de plaisir. Il enveloppe la hampe du godemiché et fait de petits aller et retour. Son clitoris doit être bien écrasé et malaxé par ces allées et venues. Elle est en train de se branler comme une chienne, la petite salope ! Et je peux constater que les produits de son plaisir se déposent peu à peu sur le manche de caoutchouc, qui se recouvre peu à peu dune mouille luisante qui le lubrifient encore davantage. Je crois quil est possible à présent de revenir à la leçon initiale. Je lâche ses épaules, et vérifie quelle nessaie plus de se dégager. Elle semble trop occupée à chercher à atteindre son plaisir, et malgré ses mains menottées dans son dos et ses mâchoires écartelées et bâillonnées, elle se frotte maintenant sans retenue.
Je profite de son inattention pour ouvrir largement son tailleur, puis déboutonner entièrement son chemisier et écarter les deux pans pour découvrir complètement sa poitrine. Au bout des pinces, les deux poids sentrechoquent et cliquètent furieusement, ses seins douloureusement attirés vers le bas. Mais elle ne sen rend pas compte, tout occupée à chercher son plaisir. Je mécarte un peu et appuie sur la télécommande du caméscope que jai caché sur létagère de mon bureau pour enclencher un film qui sera un must dans mes archives. Je reviens vers elle en prenant soin de ne pas cacher la prise de vue. Je magenouille à côté de son bassin, qui ondule en petits mouvements réguliers et constate que son sexe ressemble à présent à un fruit mûr exotique qui dégage une odeur caractéristique de plaisir. Le phallus est penché en avant et ses lèvres lentourent comme une ventouse. Elle est entièrement accaparée par ce qui se passe dans son bas-ventre, et ne se rend même pas compte que je la regarde de si près que je peux constater tous les détails de son sexe, ses fins poils pubiens aussi blonds quon les dirait presque transparents, ses grandes lèvres et ses petites lèvres finement dessinées et vibrant à la cadence du godemiché, ses cuisses tendues, ses jambes largement écartées pour lui permettre un meilleur accès. Je me relève à moitié, toujours sur son côté, et passe mon bras droit autour de sa taille pour la soulever un peu. Maintenant elle résiste dans lautre sens, grognant à travers son bâillon de quitter le contact qui lui procure ces sensations. Avec ma main gauche je prends le phallus factice en main et le guide vers lentrée de son vagin, puis je la fais se rasseoir. Un grand « Mmmmmmpppppffffhhhhh » me signale que le gode a bien pénétré sa proie. Je lâches mes prises et la maintiens encore un peu par les épaules pour massurer quelle ne cherchera pas à se relever mais cette fois je nai pas de résistance dans ce sens. Gaëlle roule des yeux et de la tête, empalée quelle est sur son phallus vibrant, et semble découvrir des plaisirs insoupçonnés.
Je me place derrière elle et garde mes mains sur ses épaules, et approche mon visage de son oreille et lui susurre « Alors, je navais pas raison dinsister ? Tu nas jamais connu ça, nest-ce pas ? »
Elle ondule du bassin pour frotter son clitoris pendant que son vagin est empli du sexe et que ses parois intimes vibrent à lunisson de la machine.
« Prends conscience de ton corps, ressent pleinement le plaisir dans ton ventre pendant que la douleur continue de se diffuser dans ta poitrine » pour souligner mes propos, je prends en main ses seins lun après lautre pour les soulever et les malaxer puis les laisse retomber. La douleur se ravive dautant et elle laisse échapper un cri masqué par le bâillon.
« Tu sens bien à présent le mélange de plaisir et de douleur. Tu vas bient&o