Tout a commencé, lors d’un jour ensoleillé d’été. À l’époque, je vivais encore chez mes parents « accompagné » de ma sur. Nous vivions dans une petite maison non loin de la ville : mais tout de même un peu isolée. D’ailleurs, je ne vous ai toujours pas présenté ma sur : Manon de son prénom est une jeune fille qui avait alors à peine 18 ans. Brune aux yeux bruns, aussi charmante qu’intelligente, Manon était une petite fille modèle. Moi ? Je m’appelle Thomas, à l’époque j’avais alors 20 ans. Brun aux yeux bleus, plutôt sportif mais sans plus. Manon et moi sommes pas mal complices et ça depuis notre plus tendre enfance. Nous avons eu la chance de grandir avec nos deux parents, même si quelque peu en difficultés financièrement parlant par moment, mais ça c’est une autre histoire. Ils ont toujours fait de leur mieux pour que nous ne manquions de rien. Bref, ce jour-là, ma sur et moi-même étions en vacances, seuls à la maison : car nos parents travaillaient tous les deux toute la journée et ça quasiment chaque jour.
Il faisait plutôt beau ce jour-là, Manon et moi décidâmes donc d’aller tranquillement dans le jardin, plus précisément : dans la piscine. Nous sommes donc chacun partis chercher notre maillot de bain. Moi, je trouvai le mien sans problème, je me suis donc déshabillé puis l’ai enfilé. Une fois prêt, je décidai de toquer à la porte de la chambre de ma sur pour voir si ça se passait bien.
— Manon ? Tu es prête ? Lui demandai-je calmement.
Quelques instants plus tard, toujours pas de réponse de sa part. Je trouvais ça un peu bizarre mais je restais rationnel et me disais qu’elle devait déjà être dehors en train de m’attendre. Je descendis donc les escaliers et me dirigea vers la salle de bain : car j’y avais oublié mon téléphone portable. J’entrai donc dans celle-ci sans toqué. En ouvrant je fus très surpris de voir ma sur nue en train de se changer. Elle était également très surprise de me voir et tentait tant bien que mal de cacher ses seins ainsi que sa chatte (désolé du terme utilisé).
— Oups, je suis désolé, répliquai-je tout en fermant la porte.
Elle ne me répondit pas, sûrement un peu trop gênée pour le faire. Je restai donc dans l’entrée de la maison à l’attendre calmement, tout en repensant à ce que je venais de voir très brièvement. Ma sur Manon, nue, seule, au milieu de la salle de bain. J’ai toujours un peu fantasmé sur elle mais sans plus, je pense que je ne suis pas le seul à qui ça arrive. Mais, étrangement, c’est vrai que, la voir nue comme ça m’a un peu excité tout de même. Quelques minutes plus tard, la voilà qui sort de la salle de bain, toujours un peu gênée par ce qui venait de se passer.
— Encore désolé… répliquai-je en la regardant.
— C’est pas grave… me répondit-elle en me lâchant un petit sourire.
— Il te va super bien ce maillot, lui dis-je tout en me dirigeant à ses côtés.
— Ah ouai ? Merci c’est gentil, me répondit-elle.
En effet, elle portait un très joli maillot deux-pièces noir : il lui allait à merveille, et épousait parfaitement ses courbes (poitrine/fesses). Je la laissai passer en première, puis une fois que nous sommes tous les deux sorties, je refermai la porte derrière moi. Pendant que nous marchions tout droit vers la piscine, elle devant et moi derrière, je ne pouvais m’empêcher de contemplé son si jolie fessier bien rebondit : qui « se dandinait » d’une façon plutôt « sexy ». Une fois arrivé devant la piscine, je me suis assis tranquillement sur l’un des deux transats de notre jardin : à côté de cette même piscine.
— Mince… dit Manon : sans même prendre le temps de m’expliquer ce qu’elle allait faire, elle retourna dans la maison pour chercher quelque chose.
Quelques instants plus tard, je la vis revenir calmement tenant dans sa main un tube de crème solaire. Elle s’approcha de moi, puis s’est assise sur le transat d’à côté.
— Est-ce que tu pourrais m’en étaler sur mon dos s’il te plaît ? Me demanda-t-elle en me tendant d’une main le fameux tube de crème solaire.
— Oui pas de soucis, lui répondis-je en me levant.
J’attrapai donc le tube, puis Manon s’est allongée sur le ventre. Je mis un peu de crème sur ma main puis l’ai étalé avec l’autre, tout en me les frottant. Une fois la crème bien étalée, je m’approchai de son dos et me plaça derrière elle : une jambe de chaque côté de son transat. Puis, je commençai à lui faire un espèce de massage pour lui étaler de la crème sur tout le dos.
— C’est bon là ? Lui demandai-je après avoir bien étalé la crème solaire sur tout son dos.
— Oui, oui, merci, je vais me débrouiller pour le reste, me répondit-elle spontanément.
— D’accord, pas de problème, lui ai-je répondu.
— Par contre je veux bien la crème s’il te plaît ? Me demanda-t-elle en me souriant.
— Tien, lui répondis-je en lui donnant cedit tube de crème.
Elle l’ouvrit, s’en déposa dans sa main, puis referma celui-ci tout en me le rendant. Je fis de même, puis le posa à côté. Nous étions donc tous les deux en train de nous étaler de la crème solaire sur le corps. Une fois ça fait, ma sur et moi nous sommes levés tranquillement puis nous nous sommes dirigés vers la piscine. Ce jour-là, ma sur me proposa de faire un concours de plongeons, que j’acceptai bien évidemment. Je décidai de sauter en premier, je pris de l’élan, puis sauta tout en faisant un petit « frontflip » (salto avant) car je maîtrise assez bien cette figure. J’atterris « bien évidemment » sans problème. Puis vint au tour de Manon, qui pris donc également un peu d’élan. Elle courut, sauta, puis atterrit comme un flèche.
— Alors ? Qui a gagné ? Me demanda-t-elle tout en reprenant sa respiration.
— Je sais pas… disons… qu’on est quitte ! Lui répondis-je gentiment.
— Cool ! J’avoue que ton salto était vachement bien fait ! S’exclama-t-elle.
— Merci, merci, lui répondis-je modestement.
À un moment, après que Manon ait fait plusieurs autres plongeons successifs, je remarquai quelque chose : à force de plongée, le haut du maillot de Manon c’était un peu affaissé d’un côté : laissant apparaître un petit bout de son téton droit. Elle, ne l’avait pas remarquée, jusqu’à qu’elle remarque justement que « je la regardais » et qu’elle s’en est rendu compte un peu trop tard.
— Tu sais ? T’aurais pu me le dire directement au lieu de rester là à me regarder… me dit-elle d’un air un peu énervé.
— Oui je sais, j’en suis désolé… lui répondis-je.
— C’est pas grave, mais bon voilà quoi, me répondit-elle un peu gênée.
Après avoir passé une bonne partie de l’après-midi dans la piscine, nous décidâmes de sortir nous sécher : pour pouvoir rentré dans la maison. Une fois tout secs, nous sommes donc rentrés dans la maison, puis nous nous sommes rhabillés calmement. Après ça, nous nous sommes rejoints dans le salon : plus précisément sur le canapé pour regarder la télé. Il n’y avait pas grand-chose d’intéressant, seul un documentaire animalier sut « nous captiver ». Cela fut de courte durée, car en effet, exténuée : Manon s’endormit sans bruits la tête sur mon épaule. Quelques minutes plus tard, je reçois un SMS :
— Bonsoir mon chéri, j’espère que toi et ta sur vous avez passé une bonne journée. D’ailleurs en parlant de ça, ce soir, ton père et moi ne serons pas là, mais ne t’inquiète pas j’ai demandé à Juliette si elle voulait bien venir vous « garder » ce soir, ce qu’elle accepta bien évidemment, donc sache qu’elle m’a expliqué qu’elle ne pourra pas venir vers l’heure du dîner mais qu’elle devrait être là pour 21h/21h30 environ. Allez, bisous mon chéri, passe une bonne fin de journée. M’envoya ma mère.
— Bonsoir maman, Manon et moi allons bien, nous nous sommes même baignés dans la piscine une bonne partie de l’après-midi et puis là nous étions en train de regarder un documentaire. Bisous. Lui répondis-je direct après.
Au fait, vous devez être en train de vous demander : « Mais c’est qui Juliette ? », j’y viens ne vous inquiétez pas ! Juliette, c’est ma, fin, notre grande sur. Juliette est une jeune fille de 23 ans (lors de l’histoire), brune aux yeux bleus, plutôt charmante mais surtout très cocasse : Manon et moi l’aimons beaucoup. Lorsque je sus qu’elle allait venir, j’étais très content car ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vue. Je ne voulus pas réveiller Manon, même si elle serait également super contente d’apprendre ça : elle dormait comme un bébé, je ne voulais pas la déranger. Le fait est que, je devais donc me lever pour préparer le repas, sauf que Manon, dormait toujours la tête tranquillement posée sur mon épaule. Je soulevai donc doucement celle-ci, puis une fois debout, la posa délicatement sur le canapé. Je me dirigeai vers la cuisine, puis me demanda ce qu’y ferait plaisir à ma sur. Après de longues réflexions, je décidai de faire des bonnes crêpes maison. Une vingtaine de minutes plus tard, Manon se leva : réveillée par une odeur qu’elle connaît si bien.
— Mmm… des crêpes ? Me demanda-t-elle toute contente.
— Non, des épinards… lui répondis-je d’un air blagueur.
— Très drôle… me répondit-elle d’un air exaspéré tout en me souriant.
— Bas oui, bien sûr que ce sont des crêpes ! Lui ai-je répondu en lui souriant également.
— C’est super sympa, merci Thomas ! Me répondit-elle tout en s’approchant de moi pour me faire un bisou.
— Mais de rien, lui répondis-je.
— Bon ! C’est pas tout mais je pense que je vais aller un peu dans ma chambre en attendent que tu nous prépares ces magnifiques crêpes, me dit-elle en me souriant.
— D’accord à tout à l’heure.
Après avoir finis de préparer celles-ci, je mis tranquillement la table pour que tout soit nickel lorsque Manon viendra. Après ça, je décidai donc d’aller la chercher. Je montai les escaliers, me dirigea vers la porte de sa chambre et, cette fois-ci, toqua à celle-ci :
— Manon ?
— Euh… oui ! J’arrive ! Me répondit-elle « surprise ».
Après ça, la voilà qui ouvre sa porte tout excitée à l’idée de manger des crêpes. « Je l’accompagnai » jusqu’à la salle à manger, puis elle s’est assise calmement à table. J’apportai donc lesdites crêpes qu’elle aimait tant.
— Miam… répliqua Manon.
— Bon appétit ! Lui dis-je en lui souriant.
— Merci, à toi aussi, me répondit-elle spontanément.
Après ce bon repas, Manon et moi n’en pouvions plus : c’est le ventre plein que nous achevâmes celui-ci.
— Alors ? Ça t’a plu ? Lui demandais-je rassasié.
— Oh que oui ! Me répondit-elle toute souriante.
— Au fait ! Tu ne sais pas la meilleure ?
— Non vas-y ? Me répondit-elle intriguée
— Ce soir Juliette va venir nous garder car papa et maman ne seront pas là ! Lui dis-je tout content.
— C’est vrai ? Trop cool ! Me répondit-elle toute excitée.
— Je savais que tu serais super contente d’apprendre ça ! Comme moi je l’ai été quand je l’ai appris, lui répondis-je.
Après ça, Manon et moi débarrassâmes tranquillement la table. Une fois ça fait, Manon me proposa quelque chose :
— Ça te dirait de faire un jeu en attendant que Juliette arrive ?
— Non… désolé mais… là je nai pas trop envie, je vais plutôt lire dans ma chambre, lui répondis-je.
— Comme tu veux… Me répondit-elle d’un air déçu.
Après cette courte discussion, nous sommes tous les deux montés chacun dans notre chambre respective. Une fois dans ma chambre, je ressentis d’un coup : une envie de plaisir. Je me suis donc installé calmement sur la chaise en face de mon bureau, puis déboutonna mon pantalon. Une fois ça fait, je le descendis à hauteur de cheville, puis sortis ma bite (désolé du terme utilisé) déjà un peu à l’étroite dans mon caleçon. J’entamai donc une courte séance de masturbation, tout en repensant à ce que j’avais vu lors de ce début d’après-midi. Je savais très bien que c’était « interdit », du moins : sur le plan physique, mais je ressentais bizarrement le besoin de le faire. Cette brève vision de ma sur Manon, nue au milieu de la salle de bain m’avais troublé, alors, en bien ou en mal ? Je ne sais pas, mais je ressentais bizarrement du désir envers elle. Une dizaine de minutes plus tard, toujours troublé par ce que j’avais vu (donc toujours en train de me masturber également), voilà que j’aperçois d’un coup : du coin de l’il, la porte de ma chambre s’ouvrir.
Surprise ! Je me retournai tentant bien que mal de cacher mon érection.
— Qu’est-ce que tu fais ! Lui demandais-je d’un air énervé.
— Non, toi : Qu’est-ce que tu fais ? Me répondit-elle d’un air intrigué.
— Euh…
— Laisse tomber… j’ai compris… peu importe, je voulais juste savoir si tu n’avais vraiment pas envie de jouer ? Me demanda-t-elle tout en se penchant contre l’embrasure de la porte.
— Tout compte fait, je veux bien, lui répondis-je en lui souriant, gêné toutefois par ce qui vient de ce passé.
— D’accord je t’attends dans ma chambre, me répondit-elle en se dirigeant vers sa celle-ci.
« bon, ça devait arriver… » : me répétais-je sans cesse dans ma tête. Je fis mine de rien et, après avoir reboutonné mon jean, je suis parti la rejoindre dans sa chambre. À peine arrivés devant celle-ci, une odeur vanillée embaumait la pièce. Ma sur était là, assise, m’attendant sur son grand lit.
— Ça te dirait de jouer aux cartes avec moi ?
— Oui si tu veux, lui répondis-je en lui souriant.
À peine avait-elle trouvé son jeu de cartes, que la sonnette retentit en bas de la maison. Nous descendîmes donc les escaliers tout excités à l’idée de revoir Juliette : notre grande sur.
En ouvrant la porte, nous fûmes surpris car en effet : elle n’était pas seule. Juliette était accompagnée d’un garçon, on apprendra plus tard que c’est son petit copain. Juliette et son copain rentrèrent donc calmement tout en nous faisant la bise à Manon et moi. Nous étions très contents de la revoir après toutes ces années d’absences, et elle aussi d’ailleurs. Nous nous installâmes donc tous bien calmement sur le canapé du salon puis commençâmes rapidement à discuter de tout et de rien. Après avoir parlé pendant déjà à peu près une bonne heure et demie, Marion et moi étions plutôt fatigués :
— Bon, je vais me coucher, dis-je à Juliette tout en me levant.
— Moi de même, dit Manon en se levant à son tour.
— D’accord pas de problème, par contre juste une chose : est-ce que l’un de vous deux pourrait nous prêter sa chambre pour cette nuit ? Car maman m’a dit que fallait que je voie avec vous pour ça et que nous ne pouvions pas dormir dans leur chambre (la chambre parentale). Nous expliqua calmement Juliette.
— Moi si vous voulez je peux vois la prêter, répondis-je par gentillesse.
— Super, Merci Thomas, répondit-elle tout en se levant pour nous dire « bonne nuit ».
Une fois ça fait, Manon et moi sommes donc montés à l’étage :
— Du coup tu dors avec moi dans ma chambre ? Demanda Manon en me souriant.
— Normalement oui du coup, lui répondis-je e la suivant vers celle-ci.
Nous sommes donc rentrés tous les deux dans sa chambre qui embaumait toujours une délicieuse odeur vanillée :
— Je vais te le cacher, moi en vrai je ne suis pas trop fatiguée, mais bon, m’avoua Manon.
— Moi non plus t’inquiète, lui répondis-je en rigolant.
Nous nous installâmes tranquillement sur son lit : un peu petit pour deux mais qui fait l’affaire tout de même.
— Moi je pense que je vais me mettre en pyjama quand même, me dit Manon tout en se levant du lit.
— Moi aussi tant que j’y pense.
Manon se dirigea vers sa buanderie pour y prendre son pyjama.
— Par contre, tu pourras éviter de me regarder s’il te plaît ? Je te fais confiance, me demanda-t-elle avant de commencer à se déshabiller.
— Oui ne tinquiète pas, lui répondis-je.
Manon commença donc à se déshabiller calmement, du coin de l’il : je la voyais enlever son joli jean moulant, je sais que je ne devrais pas le faire étant donné que je lui ai dit que je ne la regarderais pas mais c’était plus fort que moi. Puis, toujours du coin de l’il : elle enlevait cette fois-ci son joli haut, je la voyais même regarder certains moments vers moi pour s’assurer « que je ne la regardais pas ». Elle était désormais en sous-vêtements, je pensais alors que mettrait son pyjama et puis voilà, mais non, étonnement : Manon se mit totalement nue avant de mettre son pyjama. Elle est vraiment sexy, pour son âge, Manon est déjà plutôt bien gaulée : entre une belle paire de seins bien ronds et un joli fessier bien rebondit, même si je ne devrais pas penser ça de ma sur, je me demande vraiment comment ne pas fantasmer ?
— C’est bon ? Lui dis-je pour ne pas qu’elle se doute que je l’observe.
— Euh… non attends, me répondit-elle en rigolant un peu.
Après ça, elle se dépêcha d’enfiler son pyjama : un joli mini short de nuit assez ample ; ainsi qu’un petit débardeur blanc. Maintenant en pyjama, Manon retourna sur son lit à mes côtés.
— Et toi ? Tu ne te mets pas en pyjama ? Me demanda Manon.
— Si si, je finis juste ça d’abord, lui répondis-je tout en finissant de lire la page d’un livre que j’avais trouvé peu avant sur sa commode.
Après avoir lu la page, je m’exécutai donc : je me levai de son lit tout en reposant le livre là où je l’avais trouvé.
— Je me retourne ? Me demanda Manon allongée sur le lit.
— Non… c’est bon t’inquiète, lui répondis-je en souriant.
Puis, comme je n’avais pas réellement de pyjama : j’enlevai simplement mon jean. J’étais donc en caleçon ainsi qu’en t-shirt.
— Voilà, lui dis-je en retournant sur son lit à ses côtés.
— Bon… on fait quoi du coup ? Me demanda-t-elle en me regardant.
— Je ne sais pas ? On pourrait faire cette fameuse partie de cartes par exemple, lui répondis-je en lui souriant.
— Allez ! Je vais chercher les cartes, me répondit Manon en se levant.
Une fois les cartes trouvées, nous entamâmes tranquillement une petite partie de « 7 familles ». Ma sur me battait à plate couture :
— Mais, t’es super forte ! Lui dis-je en voyant ses nombreux tas de cartes : qui correspond chacun à une famille complète.
— Apparemment oui, me répondit-elle d’un air gentiment moqueur tout en voyant mon seul et unique tas de cartes.
Après cette partie : évidemment gagnée par Manon, j’eus soudainement l’envie d’aller aux toilettes.
— Je reviens, lui dis-je tout en sortant de sa chambre.
Une fois arrivé en bas, je me dirigeai vers la salle de bain car nous n’avions pas de toilette en tant que telle, mais il y en avait tout de même une dans celle-ci. Après avoir fait ce que j’avais à faire, je ressortis de la salle de bain tranquillement. En me dirigeant vers les escaliers, je fus interpelé par un bruit « assez suspect » venant de salon. Sur le coup je me suis juste dit que c’était très certainement Juliette et son copain qui étaient en train de se parler calmement, mais curieux comme je suis, je ne pouvais m’empêcher d’aller voir ce qui se passait. Je m’approchai doucement, sans bruits, de la porte qui menait à cedit salon. À ce moment-là, je fus vraiment très étonné de voir ma grande sur Juliette, à moitié nue : elle ne portait plus que son haut, sur son mec qui lui était totalement nu. Ils étaient en « Amazone », Juliette avait vraiment l’air de beaucoup aimer ça… je restai figé là à contempler leurs ébats sexuels en cachette, assez longtemps pour que ma sur Manon descende pour me demander si j’avais un problème.
— Ça va ? Tu regardes quoi ?
— Chut… ils vont nous entendre ! Lui répondis-je.
— Hein ?! De quoi tu parles ? Me demanda-t-elle en chuchotant. Attends, c’était quoi ce bruit ? Me demanda-t-elle tout en restant dans l’escalier.
— Viens si tu veux, mais, tu n’es vraiment pas obligée, lui répondis-je de peur de « l’offenser ».
Elle s’approcha donc discrètement à mes côtés.
— Oh ! Fit-elle par surprise. Je ne m’attendais pas à ça… me dit-elle en rigolant un peu : discrètement.
— Moi non plus je ne mis attendais pas… mais il faut avouer qu’elle a l’air d’appréciée, lui dis-je en rigolant.
— Je sais pas, ça doit faire super mal… me répondit-elle timide comme à son habitude.
Nous sommes donc restés les regarder discrètement encore quelques minutes puis nous sommes remontés sans bruits dans la chambre de peur qu’ils nous surprennent en train de les regarder. Une fois seuls dans la chambre, nous étions gênés, gênés par ce que l’on venait de voir : surtout Manon. Manon et moi étions fatigués désormais, donc nous fîmes comme si de rien nétait, puis nous sommes partis nous coucher dans ce petit lit.
— À demain Thomas…
— À demain Manon…
Et c’est ainsi que s’achève ce chapitre 1, long, je sais très bien, mais j’aime bien écrire de longs textes donc voilà, après si ça ne vous a pas plu je ne vous force bien sûr pas à aimer cette histoire, pour moi le principal est vraiment de vous partager les miennes. Donc voilà, je vous souhaite une bonne continuation et sachez que le chapitre 2 devrait sortir dans quelques jours normalement. À très bientôt !