Une journée de printemps ensoleillée, je me baladais dans une foret proche de chez moi
Je marchais avec un ami, (amant à loccasion ) Nous avancions vers un coin ou la végétation était plus dense dans le but de s’amuser un peu à labri des regards
Soudain nous entendions des gémissements Surpris et curieux nous nous approchons doucement. Là, j’aperçois une femme penchée sur un gros tronc d’arbre posé à l’horizontal. Sa petite jupe grise soulevée et son string baissé. Son visage était très expressif, la bouche entre-ouverte elle paraissait jouir pleinement de l’homme, qui, derrière elle la pénétrait avec vigueur.
Lui n’avait eu le temps, dans le feu de l’excitation, de ne baisser son pantalon de quelque centimètres. Elle répétait sans cesse " baises-moi, baises-moi" ! On les regarda quelques secondes, le temps de savourer la vue de ces allées et venues du large pénis de cet homme dont on ne voyait presque pas le visage. Très vite je me senti à mon tour toute excitée et surtout très mouillée. Je sentais d’un coup la main de mon ami, qui se trouvait derrière moi, se poser sur mes hanches puis rapidement dans ma culotte. Il me caressait assez doucement et je sentais contre moi son sexe dur.
Je me tournais contre lui et baissa son pantalon. Je le caressais et je sentais son excitation monter. Très vite j’ai eu envie qu’il me prenne aussi. Je devenais jalouse de la jeune femme et voulais à mon tour jouir. Il me retourna et enfourna son pénis en moi.
Pendant quil me pénétrait je pouvais voir cette autre femme se cambrer pour accueillir le gros sexe de son partenaire, qui lui donnait des petites fessées ce qui m’excitait davantage Le temps ne fut pas long pour que le couple se rende compte qu’on était là
Tout d’un coup, alors que je ne pensais à rien d’autre qu’au pénis de mon ami qui rentrait et sortait de ma chatte, je vis l’homme se retourner et nous regarder. Le temps d’une seconde tout le monde s’arrêta de bouger. Mais tout de suite, le couple se remit à baiser de plus belle. L’homme accéléra la cadence. L’homme ne me lâchait pas du regard, pendant qu’il enfournait la jeune femme, il me fixait dans les yeux. J’étais excitée. Un homme qui me baise et un autre qui baise une autre en me regardant.
Cela à duré comme ça peu être deux minutes quand l’homme arrêta et nous fit signe de nous joindre à eux. Je m’empressais de m’approcher d’eux. Sans une parole, je me retrouvais à califourchon sur l’homme, le pénis de mon ami dans la bouche. Ces deux hommes étaient pour moi seule. Je sentais ces deux gros pénis qui me pénétraient. La cadence saccéléra. Nous voyons bien que la jeune femme, qui se masturbait en nous regardant, nétait parvenue à la jouissance, du coup mon ami se chargea de son cas. Ses gémissement étaient forts et excitants mais d’autant plus que l’on risquait de nous entendre !
L’homme prit les choses en main, il accéléra la cadence et écartait mes cuisses à leur maximum jusqu’à ce que les bruits de claquage de son bas ventre soit quasiment aussi forts que nos gémissements.
Le bruit avait attiré plusieurs personnes, des voyeurs sans aucun doute, ils se tenaient en cercle autour de nous, le pantalon aux chevilles, se masturbant .Il jouit en moi au moment ou il m a donné l’orgasme que je naurais pas pu retenir plus longtemps. Mon ami et la femme jouissait au même moment.
Un voyeur s approcha le sexe a lair, avec un large sourire, il me fit signe tenant mon crane d une main, il engouffra son sexe dans la bouche, après quelques aller-retour, il éjacula au fond de ma gorge. Aussitôt un autre voyeur prenait sa place .Au total, nous avions fait jouir vingt trois queues, dans la bouche et sur le visage. Pour finir les uns après les autres, les voyeurs quittaient ce lieu de dépravation.
Nous ne les avons jamais revu mais je ne peux m’empêcher de me caresser de temps en temps en pensant à cette après midi de sexe en pleine nature avec des inconnus