Quand Robert Rivadale eut franchi la limite du domaine, il décida de continuer de la même façon, et de gagner la maisonette d?un ami en prênant par la rivière pour plus s?agrèment. Il marchait depuis quelques minutes quand lui parvinrent les rumeurs d?une fête et des acords de musique.
— Un cirque ? Murmure-t-il pour lui-même en epercevant ao loin le sommet du chapiteau. Ce serait amusant d?aller y faire un tour.
Depuis quand m?était-il allé au cirque ou à la fête foraine ? Quand il était enfant, son père l?emmenait au célebre cirque de Moscow, le plus grand de tout monde. Et ces souvenirs comptaient parmi les plus merveilleux du jeune homme. Robert hâta le pas, attiré par la musique des Rolings Stone et les cris d?alegresse de la foule. Un instant plus tard, il se mêlait aux badauds. à en juger par la taille su chapiteau, c?était un trop assez important. Il y avait aussi un grand ’Toboggan Tournant’ dressé parmi les baraques foraines, autour duquel se pressaient des jeunes gens, des couples surtout.
Il s?arrêta ai pied de la pista et regarda les gens s?amuser en jetant de temps en temps des coups d?oeil alentour, et en observant le chapiteau. Ce n?était pas un circle d?amateur, ce toboggan, en particulier était construit avec beaucoup de soin, et fort bien entretenu Robert se souvint alors d?avoir lu dans les journaux. Les jeunes gens en train de s?amuser sur la glissage du toboggan, les filles, après s?êtres aventurées au bord avec prudence, s?élançaient en poussant des cris où la peur le disputait a l?excitation. Robert , il était grand, beau, des cheveux noirs parcourus de fil blanc, des yeux vert émeraude et un teint bronzé, d’un beau doré cuivré.
Il s?apprêtait à continuer sa promenade quand lui parvint une voix inconnue et charmant :
— S?il vous plait, monsieur ! Auriez-vous la gentilesse de m?emmener sur le toboggan ? Je suis sortie sans mon porte-monnaie, et j?en ai tellement……….tellement envie !
Robert montra une telle surprise que Selene s?empressa d?ajouter en balbutiant :
— Ce sera volontier, l?interrompit le jeune homme.
— Allons-y ! Il suffit de faire le tour, de prendre la queue et de monter.
Tout en parlant, il l?entraînait auprès de l?homme qui vendait les billets.
Alors qu?il payait les places et attendait sa monnaie. Robert Rivadale jeta un coup d?oeil à la jeune fille et la trouva encore plus jolie qu?un instant plus tôt, lorsqu?elle s?était adressé à lui sans cérémonie. En réalité pensa-t-il, elle est absolument adorable. Ce superbe regarde sombre et encore juvénile….manifestement c?est une aristocrate,bien qu?il soit assez étrange de rencontrer une jeune femme distinguée à l?entrée d?un cirque, seule et sans argent……..
— Qu?est-elle donc venue faire ici ? Robert était intrigué.
Et tout en s?efforçant de refréner son imagination, il rmpocha les billets et l?a conduisit à l?interieur, où ils marcherent en direction de l?escalier qui permettait d?accéder au sommet de la piste. Quand ils furent tout en haut, un employé leur remit un tapis sur lequel on devait s?asseoir pour entreprendre la glissade, et leur montra comment ils devaient se tenir.
— Mous monsieur, dit-il à Robert, il faut que vous mattiez les bras autour des épaules de la miss. Voilà, Oui, commeça autrement elle risquerait de tomber, la descente, ça les enerve beaucoup, vous allez voir……….
IL les poussa soudainement et ils furent emporté à toute allure sur la piste rournante. Selene ne put s?empecher de se serrer contre son compagnon, à cinq reprise, ils remontèrent sur le TOBOGGAN, la descent ne durait que quelques secondes, d?intense émotion. Aussitôt ils retournaient acheter des billets, pressés de s?élancer dans le vide à nouveau. Selene ne criait pas pendant la descente, mais un réflexe lui commandait de se cramponner solidement au vêtement de Robert, ce qui ne manquait pas d?ajouter encore du palisir à leur expérience. Quand ils arrivaient en bas, il y avait cependant comme un choc, et la jeune fille ne pouvait retenir un petit cri, mais ce cri, on l?entendait à peine, car il allait se perdre dans les bruits de la fête. Après leur cinquième glissage, comme ils se relevaient Selene dit à Robert :
— Merci, Merci………c?était très agreable. Je ne l?oblierais jamais !
— Tant mieux si vous avez aimé, répondit le jeune homme.
Et il ajouta presque tout de suite :
— Et maintenant, qu?allons-nous faire ? Quelqu?un vous attend ?
— Personne ne m?attend, répondit Selene
Le jeune homme la regardait, un peu intrigué de cette réponse.
— J?aimerais bien aller voir les autres attractions. Reprit – elle. C?est la première fois, vous comprenez. Elle avait eu, en disant cela, un air de petite fille émerveillée.
— Eh bien ! Enchaîna Robert, si c?est la première fois, pas question d?en perdre une miette.
Allons voir ce que l?on nous propose par ici. Sur quoi il lui donna le bras, et tous deux se mirent à marcher dans allée qui separait les baraques foraines, les yeux de Selene brilèrent avec plus d?intensité encore. Celui-ci demanda d?une voix prudente :
— Puis-je au moins savoir votre prènom ?
— Je m?appelle Selene
La journée passe dans un rêve ensoleillé. Il fait chaud. Il comprit qu?elle n?avait pas l?intention d?en dire plus.
— Moi dit-il, c?est Robert. Laisse-moi vous proposer de venir soper avec moi dans la maison.
— Vous êtes très gentil ! Merci.
Il était heureux de voir qu?elle était prête à acepter l?invictation, et il brûlait de curiosité. Elle lui a parlé d?une voix chaleureuse. Son pouls s?accélere que peut-il lui dire encore mantenir son intérêt. Alors le deux quittent le cirque por se diriger vers la rue toute proche. Il est heureux de cheminer à ses c?tês, voir cette nymphe marcher sur le trottoir le met encore plus sous tensions sexuelles, agréable sensation renforcée par la sexuelle beauté de ses chevilles….
Quelques minutes plus tard, chez lui, dans la salle de bain dont la porte est restée ouverte, elle se défait complètement de ses vêtements. Selene sait qu?il peut l?apercevoir du salon, mais cela ne l?intimide guère……Robert étonné est ravi en même temps por son impudeur, ne peu s?empecheur de la regarder. Il remarque qu?elle ne portait pas de culotte sous sa jupe, cette constatation ne fait que l?exciter d?avantage. Selene se retrouve enfin entièrement nue devant lui. Offerte à ses yeux, Il la dévore du regard. Qu’elle femme somptueuse à l’aspect à la fois craintif et sauvage. Elle doit camoufler mille et un mystère au plus profond d’elle. Je peut enfin découvrir à son aise l` intimité delle offerte.
Pour la première fois, il peut contempler cette vénus dans toute sa beauté intégrale. Ses magnifiques seins semblent bondir d’un coup en sa direction, son cour palpite a un rythme endiablé. Il se mit à fantasmer sur elle.
C’était très sexuel et il aimait y penser. Penser qu?elle lui prenait dans ses bras, qu’elle l’embrassait, puis elle lui faisait l’amour comme jamais personne ne l’avait fait. Ses pensées interdites ne le dérangeaient pas. Il les prenait comme son jardin secret que personne ne connaîtrait.
Selene s?enroule ensuite la serviette autour de sa taille, puis elle retourne de la salle de bains, s?y démêler les cheveux. Elle ressort du bout de quelques minutes. Selene fouille dans son sac à dos. Elle en retire un petit sac en cuir de fabrication artesanale, elle ouvre et tire un livret de papier à cigarettes et une sorte de tabac de couleur verdâtre, lui-même contenu dans un petit sac en plastique, avec gestes habitués, elle se roule un joint et l?allure aussitôt dans la pièce. Il comprend que n?est pas du tabac ordinaire qu?elle lui offre. La cigarette de canabis s?échange. A ce moment il commença à découvrir les réels motifs de la fuite de la maison des ses parents.
Au diable les problèmes, il attrapa le joit et tira une longue bouffée bienfaisante. Il émerge tout doucement. Les bruits ne sont pas les mêmes qu’à la maison. Chez lui, il sait avant même d’ouvrir les yeux s’il fait beau ou s’il pleut, rien qu’à l’atmosphère de la pièce, aux bruits qui proviennent de la rue, à la qualité de l’éclairage. Mais là, rien de tel. Il est trop bien pour le moment ; pas envie d’en savoir plus, pas envie de me connecter avec le monde réel.
Tous les deux le savent, pour jouer le jeu, comme pour respecter les precédures ils parlent de tout de rien. Robert posséde une radiocassette.
— Tu peux mettre de la musique si tu le veux. L?invita-t-il.
Elle se mit à dansé, il se lança dans sa demonstration de la musique. Il aurait pu donner des leçons à Travolta……….Selene se mit à danser calquant ses mouvement sur ceux de lui. Elle était bonne, elle aussi. Il commençait à s?amuser. Il avait un bail qu?il n?avait pas dansé. Et avec une partenaire qui était complètement avec vous, c?était vraiment éclatant. Ils s?arrêtèrent quand ils eurent leur content. La sueur coulait en petit ruisseaux sur les bras et la poitrine de Selene.
— Hummm…..commenta-t-elle. Tu es bon !
— Toi aussi !
— Je peux, dit-elle tandis qu?ils regagnaient la table, je suis professionnelle.
— Professionnelle de quoi ?
Selene le considéra froidement.
— De la danse !
Il plissa le front, la musique criarde devait lui taper sur le crâne. Les yeux fuyants de l?interessée étaient toujours en train de le détailler. Il déambulait mal à l?aise, dans le petit maison mal tenu. Maintenant elle prisa un peu de poudre blanche étalée dans un billet plié en deux…
— Moi aussi, j?en tâtais, dit-il. Mais à la longue, c?est devenu un véritable boulet.
— Un boulet ? Repeta Selene en souriant .
Dis plutôt que tu t?es retrouvé dans la dèche et que tu n?as pas pu continuer……Il ouvrit un dossier de photos et les feuilleta, l?ai absent.
Selene aspira avidement une dose de cocaïne.
— Tu sais que tu es complètement folle ! Selene s?étira paresseusement sur le tapis……
Son cour bat la chamade, Il veut à tout prix l’honorer et la gratifier d’une expérience de passion pour la remercier des premières attentions qu’elle l’a déjà apportée…
— J’ai envie de toi ! Dit Robert .
Il parlait d?une voix tranquille et sûre, mais elle voyait bien que Selene le regardait de son étrange regard sombre et inquiet, les doigts noués les uns aux autres comme pour se retenir de crier les pensées qui s?agitaient dans son esprit. Elle refléchit un moment, puis laissa un sourire éclairer son visage……
Tout son corps se liquéfia, en deux secondes elle succombait et ses deux bouches se cherchèrent, se trouvèrent et elle sentit sa langue l’envahir. La sienne se fit d’abord accueillante puis s’enhardit, lui léchant les lèvres et l’abandonnant à ses assauts.Hummm ! Quel délicieux bruit que ces langues qui s’enchevêtrent l’une avec l’autre. Il n’aurait jamais cru qu’un simple baiser pouvait avoir autant d’effet. La belle rousse l’enlace tendrement tout en continuant à avaler goulûment sa salive. Rouvrant ses yeux il se met à contempler son corps.
Elle lui rend vraiment dingue. Ses doigts plongent dans sa chevelure afin de poursuivre ce baiser sulfureux plus en profondeur. Selene sentait déjà une franche sensation d’excitation provenant de son entre-jambe. C’était délicieux. Elle était subjuguée par son corps, son odeur, le contact de sa peau. D’ailleurs il s’allongea à ses côtés, se colla contre elle et l’embrassa de nouveau à pleine bouche tout en le caressant les seins. Ils étaient durs et sensibles. Il joua avec ses tétons dressés, les pinçant très doucement puis il les avala avec sa bouche. Selene gémit de plaisir et se cambrai. Il le malaxait. Puis ses mains descendirent vers ses hanches. Elle était enfin nue et Robert n’avait qu’une intention, lui donner corps et âme à Selene. Il en mourait d’envie. Robert veut absolument tout découvrir d’elle. Les moindres recoins de son corps.
Entraîné par ses souffles rapide il continue son exploration au plus profond de son intimité. Il la plaisait à la caresser longuement, surtout les seins. De même, sa langue s’attardait lentement sur sa chatte ruisselante. Sa langue cherche désespérément à atteindre le fond de cette grotte d’amour. Laissant entrouvrir davantage ses parois vaginales à chacun de ses coups de langue. Elle commence à onduler du bassin pour manifester le bien qu?il lui procure, et glisse un main dans ses cheveux pour l’inciter à augmenter la cadence. Il ne se fait pas prier, sa langue s’insère de plus en plus vite entre ses parois, Robert lèche avec avidité toute la saveur qu’elle l’envoi dans la bouche. En manque de respiration, il se dirige astucieusement vers son clitoris afin de ne pas provoquer de temps mort. Il le trouve facilement et le sort de sa cachette. Il est gonflé par l’excitation, et il ne l’est pas difficile de le suçoter entre ses lèvres.
Il l’aspire avec envie et le mordille de temps en temps. Ses coups de langues le balancent d’un coté et d’un autre et ses soupirs se transforment en petit gémissements. Elle commence à mouiller abondamment. L’ondulation de son bassin l’indique qu’elle est en manque de consistance. Il insère alors un doigt dans son intimité qui n’a pas de peine à glisser de toute sa longueur. Le quatrième suit le troisième et je commence un mouvement d’aller retour. Sa main revient vers elle accompagné de sa liqueur si savoureuse qu?il goûte encore de temps à autre par de petites lèches.
Robert la dévore littéralement des yeux. Elle est sublime. Son regard et son sourire ont tout pour l’envoûter. Ils ont face à face, installés chacun sur le coté de leur corps. Il l’attire encore contre lui. Ses corps ne semblent former plus qu’un seul élément. Ses mains contournent le corps delle pour glisser le long de son dos. Elle fait de même en se griffant légèrement. Ses deux sexes se retrouvent accolés l’un contre l’autre et ils commençent tous deux un mouvement du bassin. L’excitation revient au galop sous cet échauffement. Tout semble normal à cet instant précis. Son corps doit être en contact avec le sien :
— C’est le destin qui nous a mis ensemble. Je sens votre désir, je vais le combler.
Murmure Robert
— Je n’en peux plus, je vais te prendre. Pousse lorsque tu sens mon sexe rentrer, n’hésite pas !
Après quelques minutes d’échauffements de la sorte, son sexe plonge sans effort dans le sien. Il n’a rien fait pour provoquer cela. Il s’insère naturellement. Il est en elle, dans son corps si gracieux et si velouté.
— Oh que c’est bon…
Son odeur se confine davantage dans une ambiance de sexe et de désir.
L’idée folle de vouloir être uni pour la vie avec cette déesse lui vient subitement à l’esprit. Pendant ce temps son sexe cherche à aller au plus loin de Selene. Ses halètements se transforment maintenant en soupirs saccadés de mots d’encouragements. Robert sent maintenant le contact de son vagin sur l’entièreté de son membre. Il peut l’enfoncer plus loin en elle.
Elle l’aide en poussant son bassin vers lui. Elle peut maintenant le chevaucher avec plus de facilité et maîtriser complètement ses allées et venues. Elle s’empale sur son membre gonflé de plaisir. Ses seins ballottent au rythme de sa chevauchée. Ses ongles rentrent dans son torse imberbe. Ses cheveux noirs voltigent dans tous les sens et s’entremêlent avec poésie. Ses yeux le fixent amoureusement et un sourire se dessine sur sa figure. Robert l’enfonce avec vigueur dans ce corps sculpté de la main des dieux, ses seins qui dansent sur le rythme qu?il compose pour elle, Robert agrippe ses deux seins en contournant son corps, il va jouir. Non il veut se retenir. La jeune fille, elle, s’affaire toujours. Elle continue son va-et-vient, lentement puis plus rapidement ensuite, s’arrête parfois pour pieux accélérer. De l’autre main, elle me caresse le torse. Rapidement, il éjacule. Diable ! Que de réalisme ! On s’y croirait. Jamais un rêve ne pourrait être aussi. réel ! Elle crie. Elle a jouit. Une abondante quantité de mouille se déverse sur sa verge. Il ne peut plus lutter et il éjacule longuement et puissamment au fond d’elle. Elle retombe remplit sur le sol.
Elle se relève le visage et l’embrasse amoureusement en le remerciant…..
Robert ne rêve plus, il est en compagnie de Selene. La déesse du sexe.
Fin
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Ici, S?o Paulo – Brésil
Ivan Ribeiro Lagos