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Sexe et religion – Chapitre 3

Sexe et religion - Chapitre 3



Je ne lai plus revu et je nai plus eu de nouvelles pendant deux longues semaines, et entre temps javais passé lanniversaire de mes dix-neuf ans en la charmante compagnie de Vincent…

Puis un soir il mappela pour me proposer de le revoir le soir même ce que jacceptais immédiatement. Il vint me chercher en voiture et nous partîmes pour la plage aux alentours de minuit. Nous avons pris quelques verres dans un bar avant de nous installer sur le sable non loin de leau face à la mer et sous le ciel étoilé je me détendis presque instantanément. Je mallongeais sur le sable froid, allumais une cigarette et laissais mon regard se perdre dans limmensité de la voûte céleste et il mobservait tout en fumant lui aussi. Après un long moment de silence je commençais à frissonner et nous avons marché. Je sentais lalcool faire son effet à mesure que je perdais mon sérieux et me faisait presque enfant en courant, dansant et le provocant. Il se mit à courir après moi tentant de mattraper mais jétais plus agile que lui et plus rapide, je tournais, changeais de direction et modifier ma vitesse en fonction de ses mouvements et de la distance qui nous séparait. Je mamusais comme une folle et me moquais de lui parce quil ne parvenait pas à se saisir de moi.

Cette course folle nous laissa quelque peu essoufflés ; il me saisit par la taille, me ceinturant de ses bras puissants et me plaqua au sol. Ainsi immobilisée il me dévora le cou, le visage et la poitrine de ses baisers carnassiers, me faisant rire et frissonner à la fois. Lorsque sa langue commença ses caresses sur ma peau, le fin duvet qui la recouvrait se hérissait de plus belle. Jabandonnais la lutte pour tenter déchapper à son emprise et laissais mon corps subir ses assauts pleins dardeur et de désir.

Emprisonnée sous son corps à la carrure imposante jondulais des hanches, frottant mon corps au sien, passant mes doigts dans ses cheveux dun noir dencre et pour une fois dépourvus de gel coiffant. Ses mains étaient avides, parcourant sans cesse mon corps, se faufilant par instants sous mon long t-shirt blanc agrémenté dun dessin sur le devant, passant sur mon short orange foncé, serrant mes fesses au passage avant de glisser sur mes jambes nues. Je caressais sa peau en faisant passer mes mains avides de la chaleur sous ses vêtements et parfois lune dentre elle retrouvait la fraîcheur de la nuit pour venir malaxer la proéminence, parfaitement palpable, par-dessus son jean.

Fébrilement il déboutonna mon short, après sêtre redressé, avant de le faire glisser le long de mes jambes, entraînant dans son sillage mon string et je me retrouvais donc à moitié nue sur le sable froid, frissonnante à cause de la température malgré la présence de son corps qui semblait irradier littéralement de chaleur. Je cherchais par tous les moyens à le faire venir en moi pour avoir un peu de chaleur mais il me résistait, restant à genoux en me regardant me frotter les membres. Enfin il se coucha sur moi et je sentis quelque chose de presque brûlant contre ma vulve glabre… Il avait baissé son pantalon jusquaux genoux et recouvert son petit membre épais dun préservatif, il caressait maintenant mon entre-jambe avec son gland protégé par ce film de latex. Progressivement mes cuisses cédaient le passage à sa virilité à mesure que je me mettais à mouiller, signe que ce doux frottement ne me laissait pas indifférente. Quand des filets se mirent à déborder de mon vagin il entra en moi, caressant vigoureusement du pouce mon clitoris dressé de plaisir comme un minuscule pénis, tandis quil sappuyait sur son bras libre en mécrasant un peu sous son poids.

Nous bougions lentement mais lexcitation se faisait de plus en plus forte, nos bassins se jetaient lun contre lautre dans un claquement de peau des plus obscène, mon dos sarquait autant quil lui était possible pour nos bassins puissent se coller au maximum. Mes ongles griffaient son épiderme, mes dents mordaient son cou et ses épaules, des gémissements rauques séchappaient de nos bouches à demi ouvertes, ses mains serraient durement ma poitrine… Lexcitation, qui montait inexorablement et à une allure folle, due au plaisir de me faire prendre par cet homme sur une plage à la vue de tous et bien quil ny ait personne le risque était bien présent, mais elle était trop forte aussi je le poussais avec mes mains posées sur son torse et il se souleva en se retirant de moi. Je me suis alors retournée et mise à quatre pattes, cambrant mon postérieur avec les jambes écartées une fois que je fus bien campée sur mes avant-bras et mes genoux. Il se positionna derrière moi et sinséra profondément dans mon intimité et resta ainsi quelques secondes, immobile, avant dentamer un lent va et vient, titillant mon point G comme une zone érogène de ma peau caressée avec une plume légère. Il sappuyait sur mon dos, me faisant me coucher à moitié sur le sable et sactiva avec vigueur, agrippant mes hanches pour faire claquer son bassin contre mon séant. Je me trouvais quasiment nue, la tête creusant un trou dans le sable pendant quil me besognait et cela mexcitait énormément. Jimaginais ce que penseraient les gens sils venaient à nous surprendre ; ils se diraient sans aucun doute que jétais une dépravée, une traînée… Penser à cela ne faisait quaccroître le plaisir que je prenais à me faire pénétrer de la sorte, tant et si bien que je finis par jouir en poussant un puissant cri de jouissance sans nul doute très audible dans la nuit désertique, suivie de près par mon partenaire.

Une fois quelque peu calmés et réajustés, nous avons rejoint la voiture pour quil me ramène chez moi avant de rejoindre son lit. Tandis que nous roulions sur la voie rapide nos mains saventurèrent occasionnellement sur le corps de lautre ; elles se faisaient de plus en plus insistantes, ce qui montrait bien que notre désir nétait pas totalement assouvis, jusquà aboutir à une masturbation mutuelle assez maladroite du fait de nos positions et de nos ceintures de sécurité. Cest alors que nous parvînmes à la fin des virages et je savais que nous avions un assez long moment avant de reprendre des attitudes plus correctes.

Je pris donc la décision de me détacher pour aller titiller son cou de ma langue pendant que ma main droite sassurait une meilleure prise sur son sexe et reprenait une masturbation un peu plus appuyée… Je devenais très excitée par mon audace alors je me suis penchée vers ses cuisses et jai entamé une lente fellation. Si lente quil bougeait le bassin et mappuyait sur la tête la faire plus rapide. Ne me faisant pas prier davantage jaccélérais, ne la laissant sortir de ma bouche que pour le regarder rapidement avant de retourner à mon ouvrage. Il sétait détendu de façon très nette au fil de ma besogne, allant même parfois jusquà quasiment fermer les yeux ce qui, étrangement, mindifférait. Je mappliquais à ma tâche de mon mieux, tant et si bien que je le fis se rependre dans ma bouche. Il était temps car nayant pu regarder dehors je navais pas remarqué que nous étions pratiquement parvenus à la fin de la voie rapide. Prestement je me redressais et me réajustais tandis quil rangeait son trois pièce cuisine.

Malgré nos galipettes exhibitionnistes je nétais toujours pas rassasiée et lui non plus, alors nous nous arrêtâmes sur le minuscule parking dun hôtel plongé dans lobscurité. Je reculais alors mon siège au maximum, retirais mon short et mon string puis je me retournais et me plaçais à genoux sur le siège. Ainsi placée je lui demandais de venir derrière moi pour venir me pénétrer… Une fois quil eut réussi à se faufiler derrière moi et à se couvrir, je tendis mon postérieur vers sa verge et le laissait prendre les commandes. Il posa ses mains sur mes hanches et mattira légèrement à lui tout en avançant son bassin contre mes fesses, accélérant le rythme jusquà faire claquer nos chairs… Cétait si sauvage, bestial même que lorsque son pénis sortit de ma matrice je lui demandais dessayer de me prendre par derrière. Mais ces tentatives restèrent vaines, le contraignant à se contenter de mon con ; il semblait frustré de ne pas avoir réussi et il se déchaîna sur le seul orifice disponible, ce qui me plaisait au plus au point et je jouis rapidement suivie de près par Nathan… Notre affaire finie il me raccompagna pour de bon chez moi.

Notre histoire sacheva là bien que je le revis plusieurs fois au petit matin, alors quil sortait du travail, pour une séance de jambes en lair… Jusquà ce que je craque et que je lui demande de me donner plus ou alors je ne voudrais plus continuer ainsi… Mais cette requête sonna le glas de notre « relation ».

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