Résumé: Dans mon immense naïveté, je suis allée déclarer ma flamme à un garçon, un soir de fête. Je n’aurais pas dû!
Toute l’assemblée m’a sauté durant la moitié de la nuit.
Depuis ce jour, Cindy me considère comme sa chose.
Et j’en suis heureuse!
Elle me force à porter un collier de chienne (très joli, au demeurant) avec une courte laisse.
Sur le campus, une nouvelle règle est apparue:
Tout le monde, garçon ou fille, à n’importe quel moment, est autorisé à saisir ma laisse et m’entraîner dans un coin tranquille (ou pas) pour se soulager avec mon corps.
Je sers de défouloir à tout le campus, et ils ne se privent pas d’expérimenter sur moi leurs pires fantasmes.
J’ai été farcie d’objets les plus incongrus.
On a bu et mangé dans mes orifices.
On m’a utilisée comme narguilé.
J’ai été suspendue et fouettée, mes petits seins fortement liés.
On m’a fait copuler avec différents animaux.
Des boutonneux, suants et tremblants, m’ont examinée sous toutes les coutures, loupe en main.
Un étudiant japonais a chié une énorme crotte bien dure, directement dans mon vagin. Ça faisait plusieurs jours qu’il se préparait.
Un couple de filles s’est marié en moi, se faisant leur promesse les mains jointes dans mon vagin.
Un "artiste", après m’avoir forcée à boire de la bière et à manger un repas beaucoup trop copieux, me suspendit dans une position improbable, au centre de son uvre. Puis il m’administra un puissant laxatif et me laissa chier, vomir et pisser durant tout son "happening". Des caméras m’exposant en gros plans sur les murs et le plafond de la salle, devant une centaine de spectateurs.
On m’a fait prendre des drogues. Certaines ont décuplé la puissance et la durée de mes orgasmes. Avec d’autres, je n’ai aucun souvenir de ce qu’on a bien pu faire de moi, reprenant conscience sous un buisson ou un pissoir.
Une fille me guettait et me suivait sans cesse. Chaque fois qu’on me relâchait, elle se précipitait à genoux entre mes jambes pour téter ma chatte et mon anus, aspirant tout le foutre qu’elle pouvait y trouver, avide et tremblante.
Un étudiant m’a sortie du campus pour me vendre aux passants. Pour vingt dollars, il les laissaient me baiser sur le capot d’une voiture rouillée, derrière une palissade.
Cindy l’apprit.
Je vis le pauvre garçon, attaché dans les douches se faire remplir le cul avec le jet, jusqu’à ce qu’il hurle de douleur.
Puis Cindy lui pistonna violemment le fondement de son poing serré.
Lorsqu’elle la retira, sa main portait des traces de sang.
Elle lui donna encore un coup de pied dans les couilles et, attrapant ma laisse, m’emmena en claquant des talons vers notre chambre.
Chaque soir, à peine rentrée, je dois raconter à Cindy tout ce qu’on m’a fait subir pendant la journée, avec tous les détails.
Elle boit mes paroles en se masturbant, vient goûter dans mes orifices le mélange que je porte en moi. Enfin, ce qu’a oublié ma nettoyeuse.
Puis je dois la baiser. Dans l’un ou l’autre de ses trous, à l’aide d’un immense gode attaché à une ceinture ou de ma main, suivant son humeur.
Si elle trouve que je n’ai pas assez été utilisée ou si elle est fâchée, elle me force à porter toute la nuit de gros objets en moi, qu’elle maintient au fond de mes orifices à l’aide de bande adhésive, formant une sorte de culotte qui me fait pleurer de douleur quand enfin elle me la retire, arrachant les rares poils qui me restent.
Le soir de ma performance avec "l’artiste", après lui avoir décrit ma peine et mon humiliation, Cindy prit un air pincé que je ne lui connaissais pas.
Elle se mit en colère, me reprochant injustement de ne pas l’avoir invitée à ce spectacle.
Elle fouilla avec brusquerie dans le tiroir de son bureau et partit dans la salle de bain.
Elle revint un moment plus tard, me lança une toile cirée et m’ordonnant sèchement de me mettre à quatre pattes dessus.
Elle tenait dans main une sorte de tuyau de plomberie en plastique d’environ trente centimètres de long et cinq de diamètre. Elle me l’introduisit dans le cul jusqu’à la moitié, assez brusquement.
Se mettant à son tour à quatre pattes, elle engloutit l’autre bout, sans plus de ménagements.
Elle nous entoure d’une cordelette, tout en haut des jambes et avec force, nous lie solidement, cul contre cul.
-" Je viens de prendre une triple dose de laxatif!
Tu es complètement vide, d’après ce que tu m’as raconté. Eh bien, je vais te remplir maintenant!"
Nous sommes restées comme ça de longues minutes, nos ventres reliés par un pipe-line.
Mes genoux sur le sol dur me font mal.
Ce gros tuyau dans mon cul me fait souffrir aussi, remué à contre temps par la respiration de Cindy.
Elle se crispe, gémit et se tortille. Elle respire fort.
Je sens déferler en moi un torrent de merde chaude, me gonflant le ventre, se forçant un passage au plus profond de mes tripes. Elle me remplit en une longue contraction. Elle a à peine le temps de reprendre son souffle, qu’une deuxième colique, encore plus longue et plus forte, lui arrache un soupir rauque.
Je vais éclater!
Un petit répit. Nous respirons rapidement, par saccades.
Mon ventre gargouille, peinant à accepter cette intrusion.
Cindy se tord à nouveau et, avec des gémissements qui tentent de couvrir les miens, m’injecte violemment une nouvelle dose de sa diarrhée brûlante. Je sens que sous la pression, la purée nauséabonde remonte encore plus loin dans mes intestins.
Nous respirons très fort toutes les deux.
C’est à mon tour d’avoir une colique. Je lui renvoie violemment sa chiasse au fond du ventre.
Elle n’apprécie pas et se contracte à son tour. La pression est trop forte, et la merde déborde de nos culs palpitants.
Cindy nous détache, retire le tuyau, et sans changer de position enfile sa main directement au fond de mon cul. Sans hésiter, j’enfonce la mienne dans son intestin gargouillant.
Une nouvelle colique nous prend simultanément. Je sens se presser autour de ma main le liquide chaud qui distend encore plus son rectum.
La pression est trop forte, je vais lâcher!
J’éjecte brutalement la main de Cindy hors de mon ventre, dans un torrent immonde. Son cul faisant de même avec ma main dans le dixième de seconde qui suit.
Elle est de bien meilleure humeur lorsque nous prenons notre douche.
Tous les matins, avant d’aller aux toilettes, je dois prouver mon allégeance à Cindy.
Elle s’assoit au sol, contre mon lit, son coude posé au bord du matelas, tendant son poing graissé à la verticale. Je dois m’empaler sur elle, jusqu’à toucher la chaînette qu’elle porte au poignet.
Et gare à moi si je fais pipi! Car alors, je dois tout nettoyer avec ma langue et recommencer, mais dans mon cul cette fois.
Cindy a envie de s’acheter une voiture.
Lors des prochains matches, elle me vendra sous les gradins, suspendue et écartelée dans la structure. Chacun pourra faire ce qu’il veut de moi pour cinq dollars la minute.
J’ai honte de me réjouir!