Occupée à sucer avec enthousiasme le zizi vigoureux de Todd, qui ne demandait pas mieux que de durcir et de grossir encore, Lisa ne parut pas se rendre compte de ce qui se passait au niveau de ses fesses. Elle sentit de vagues caresses et c’est seulement en sentant les mains du garçon lui écarter les miches qu’elle lâcha son sucre d’orge.
Non, Rod ! Je t’en prie !
T’arrêtes pas de sucer ! gémit Todd, au comble de la jouissance.
Soumise, sachant qu’elle n’y échapperait pas, l’adolescente engloutit à nouveau la quéquette limitée, mais raide et droite comme un petit paratonnerre. L’aîné des Flanders guida, d’une main, son braquemart en direction de l’anus de Lisa. Elle le sentit forcer pour entrer et, tout en décalottant le gland de l’organe de Todd du bout de la langue, elle poussa à fond, comme si elle avait dû chier, pour détendre son sphincter. Un pet détonant et sonore se fit alors entendre, ce qui fit éclater de rire le cadet des Flanders.
Eh ! clama Rod dans un souffle.
Il recula d’un pas, horrifié comme une pucelle.
T’es une vraie dégueulasse !
Lisa ne répondit rien, gardant en bouche la petite bite, se disant que comme ça, Rod allait la laisserait tranquille et renoncerait à son envie de la sodomiser. Cause toujours ! Elle le sentit se saisir à nouveau du fessier, d’ouvrir le plus qu’il put la raie culière et de glisser un doigt entre les deux globes jumeaux.
Oh là là, ça pue ! se plaignit-il en faisant une grimace de dégoût.
Son doigt disparut et l’instant d’après, la tête de la queue du garçon l’avait remplacée. Lisa s’acharna sur le zizi de Rodd, avec l’énergie du désespoir, voulant le finir le plus vite possible. A cet instant précis, prête à recevoir quinze ou seize centimètres de chair tumescente dans ses entrailles, la gamine fut prise de panique. Que se passerait-il si ses parents ou Bart, avaient la mauvaise idée de venir voir ce qui se passait dans cette chambre, parcourue de murmures, de chuchotements et de souffles saccadés.
Todd se mit à gigoter du popotin, à rejeter sa tête en arrière, retenant un cri de jouissance. Lisa vit ses yeux se révulser, sans lâcher le petit bâton de chair, en sentant celui plus conséquent de Rod lui perforer le cul. Les joues du cadet des Flanders se marbrèrent de rouge, sa bouche s’entrouvrit pour faire passer le bout de sa langue et le gamin éructa un étrange feulement de jouissance. Ne sachant pas trop si Todd avait atteint l’orgasme, Lisa hésita à abandonner son organe qui, pourtant, se ratatinait et rétrécissait à vue d’il. Elle recracha le pénis et le vit se recroqueviller sur la peau fripée des petites bourses. Qu’est-ce qu’il était ridicule, à ce moment-là. Trois ou quatre centimètres au bas mot.
Quelles pouvaient être les mensurations de la bestiole de Rod, qu’elle sentait allait et venir dans son rectum, enserrée comme dans un fourreau. Prenant conscience de ce qui se passait, elle commença à transpirer et à secréter sa liqueur vaginale. Elle sentit les premières gouttes s’échapper de son sexe, tout doucement, puis de manière plus drue. Elle s’en inonda le haut des cuisses et se sentait honteuse et humiliée. Elle avait sucé le frère et se faisait enculer par l’autre. Les mains de Rod s’était agrippées à ses hanches et il donnait de vigoureux coups de reins pour enserrer sa bite jusqu’au fond. Lisa avait les larmes aux yeux et elle renifla bruyamment pour les refouler. Le garçon était-il mieux gaulé que Bart ? La petite fille souffrait quand même. L’anus lui brûlait et il lui sembla que l’organe était un peu trop imposant pour son petit cul.
Je t’en prie Rod ! supplia-t-elle. J’ai trop mal !
C’est le dépucelage, ça fait toujours ça !
Lisa n’eut pas le temps de se demander comment il savait ça. Il s’enfonça d’un puissant coup de reins et atteint l’orgasme en serrant les dents et fermant les yeux. Il lui inonda les entrailles et attendit que son éjaculation se tarisse avant de sortir de l’orifice anal de la gamine.
Tu verras, lui dit-il dans un souffle. La prochaine fois, ça entrera comme dans du beurre.
Lisa se mit à pleurer doucement. Touché par cette marque de chagrin, Todd lui caressa les cheveux.
Je vais aller tout raconter à mes parents ! les menaça-t-elle, levant vers eux un visage barbouillé de larmes.
Qui crois-tu que tes parents croiront, quand on leur dira que c’est toi, qui est venue nous réveiller et que tu nous as montré ton minou !
Lisa fut foudroyée sur place. Une telle mauvaise foi chez un garçon si jeune. Même son père n’avait jamais été aussi loin. Elle ne savait plus quoi penser, ni quoi faire, se tortillant d’un pied sur l’autre. En baissant les yeux de façon déconfite, elle avisa la quéquette de l’aîné des Flanders. Par la force des choses, elle pendouillait en haut de ses cuisses, ronde et ferme, toute limitée.
D’accord, je dirais rien, finit-elle par lâcher. Mais vous non plus ! les prévint-elle en agitant un doigt moralisateur.
Les deux frères firent signe de cracher par terre pour signifier qu’ils seraient muets comme une tombe.
Mais tu reviendras t’amuser avec nous, décida Rod. Sinon…
Lisa était prise au piège. Elle se dit qu’elle chercherait le moyen de se débarrasser d’eux et de leur emprise sur elle après une bonne nuit de sommeil. Si elle racontait toute l’histoire à Bart, il la défendrait peut-être. Ou il aurait envie de participer.
Faut que j’aille faire pipi, se justifia Lisa en plaquant la main sur son pubis, à travers sa chemise de nuit.
Oh, fais pipi devant nous ! intervint soudainement Todd.
Il était toujours assis sur le bord du lit, les jambes pendantes et il tripotait son zizi d’une main. mais la petite chose avait eu son compte d’érections pour la soirée.
S’il te plaît !
Le jeune garçon avait le don de faire fondre tout ceux à qui il suppliait de cette façon. Même son père et son frère ne résistait pas. Mais à la mine renfrognée de Lisa, Rod comprit qu’elle ne se laisserait pas attendrir aussi facilement.
Il ne faut pas en vouloir à mon frère, expliqua-t-il. Tu sais, il n’avait encore jamais vu de fille toute nue et…
Vous m’avez sucé et…
C’est toi qui nous l’a demandé, Lisa. Nous, on avait rien décidé.
Mais où voulez-vous que je fasse ? demanda-t-elle, cherchant du regard un récipient adéquat.
Rod désigna le saxophone de l’adolecente avec un sourire narquois.
Je vais faire dans la théière de ma dinette, c’est assez grand ! répondit Lisa d’un air catégorique.
Elle alla chercher le récipient dans un des tiroirs de la commode. Elle le posa à la verticale du plafonnier allumé et elle releva très lentement sa chemise de nuit. La fente apparut et s’offrit, duveteuse et rebondie. Les grandes lèvres lisses était à peine apparentes.
La gorge sèche, les deux frères trouvèrent Lisa très aguichantes. Elle les regarda, jouissant visiblement de leur trouble apparent. Lisa fléchit les genoux, abaissant son sexe au-dessus de la théière et écarta les cuisses. Sa fente s’écarquilla, révélant des chaires roses finement découpées. L’adolescente poussa et un jet ambré jaillit de la blessure intime. Elle se positionna de façon à ce que la pisse atterrisse pile dans le récipient, et surtout pas sur la moquette.
Lisa regarda sa pisse jaillir, puis leva les yeux vers les deux frères. Ils était immobiles, le regard fixe, la bouche bée et suait à grosses gouttes. Il avait eut des relations sexuelles avec cette fille, mais le fait de la voir pisser était beaucoup plus excitant.
La tête penchée entre ses cuisses, elle observa ses dernières gouttes. Elle se releva et fit tomber le bas de sa chemise de nuit pour cacher sa nudité.
Bon, je vais me coucher, dit-elle en sortant de la chambre, emportant la théière avec elle.
Elle vida le récipient dans les toilettes et vint se coucher silencieusement à côté de son frère.
Bart, tu dors ? demanda-t-elle dans un murmure.
Comme il ne répondit pas, Lisa se pelotonna contre lui et s’endormit ainsi, quelque peu rassurée. Désormais, l’adleescente se ferait sucer le sexe et se livrer à des fellations et à des sodomies avec les deux frères. Todd apprit les techniques de l’enculage et y prit goût. Lisa préférait sa petite bite, à la bonne taille, plutôt que celle de son grand frère, plus glorieuse et déjà noueuse.
Ce genre de retrouvailles avaient lieu les mardis, les vendredis et les samedis, parce que les enfants n’avaient pas école le lendemain. Ils leur arrivaient d’avoir les lèvres gonflées, les joues creuses et les yeux cernés, au petit-déjeuner, mais le repos et les bons petits plats de Marge avaient vite fait de les requinquer.
(à suivre…)