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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 8

SIMPSONNERIES DEFENDUES - Chapitre 8



Lorsque la sonnerie de dix-huit heures se fit entendre, Bart se précipita vers la porte, se rua hors du collège de Springfield, son skate-board sous le bras… et se retrouva nez à nez avec Jimbo Jones, Dolph et Kearney. Il leur arrivait souvent de se croiser, au hasard, dans les couloirs ou aux abords immédiats de l’établissement scolaire. Le garçon n’avait rien oublié de l’éducation sexuelle et perverse qu’il avait reçue, quelques années plus tôt, de la part des trois ados qui s’avançaient vers lui.

Salut Bart ! lui lança Jimbo.

Salut les mecs ! répondit Bart avec aplomb, tout de même sur la défensive.

On se demandait si la petite chose avait forci depuis la dernière fois ?

Allez vous faire shampouiner les mecs ! Faut que je rentre chez moi ! rétorqua Bart sans montrer son trouble.

Il enfourcha son skate, mais fut tiré en arrière par le bras vigoureux de Kearney.

On n’a pas fini de te parler, Barty ! vociféra-t-il d’une voix méchante.

Tu nous montres ta bite, et on te laisse partir, annonça calmement Jimbo Jones.

Dans l’il gauche de Dolph, l’autre étant continuellement couvert par une mèche de cheveux, dansait une lueur lubrique. Le cur de Bart s’emballa dans sa poitrine.

Sinon… ? osa-t-il demander à voix basse.

Jimbo se pencha vers lui et le fixa avec un intensité malsaine et morbide.

Sinon, on t’éclate les couilles, on te coupe la bite avec les dents et on te la fourre dans la bouche !

Kearney et Dolph se sourirent en échangeant un regard complice. Bart se dit qu’il ne pourrait pas y couper. Il commença à baisser fébrilement la braguette de son jean.

Mais pas ici, andouille ! fit Jimbo en posant sa main sur le bras du môme, arrêtant son geste.

Ecoutez les mecs ! J’ai pas qu’ça à faire ! Alors, j’vous la montre vite fait ici, maintenant, et après j’me casse !

Mauvaise réponse, Barty !

La gifle de Kearney atterrit sur sa joue. Bart reçut une pluie de claques plus ou moins violentes sur les bras, dans le dos. Ni le haut de son crâne ni ses fesses ne furent épargnés. Reculant pour tenter d’échapper aux coups, le garçon se retrouva acculé dans un coin du garage à vélo. Les trois ados l’entouraient, lui bloquant le passage, et le box était, bien entendu, désert. Bart ne pleurait pas, mais il n’en était pas loin. Des douleurs et des chaleurs lui élançaient les parties du corps qui avaient essuyés les coups les plus violents. Simplement pour voir la petite misère d’un gamin à peine pubère, ces grands gaillards en âge de baiser des filles, n’y avaient pas été de main morte.

Bart farfouilla dans son slip par sa braguette baissée et s’apprêtait à sortir son zob lorsque la voix caverneuse de Dolph, qui n’avait pas encore prononcé un mot jusqu’ici, le fit sursauter.

Pas comme ça ! Baisse ton froc et ton slip !

Et comme Bart ne réagissait pas assez vite à son goût.

Allez ! Insista-t-il en trépignant.

Bart déboutonna son jean et baissa ses culottes sur ses genoux. Il laissa Jimbo retrousser le bas de son tee-shirt qui masquait l’organe. Le garçon avait bandé plusieurs fois dans la journée et son pénis était plutôt en forme, noueux et arrondi, se dandinant au-dessus d’une petite paire de couilles à peine velues.

Bart baissait la tête, contrit et humilié. Il entendit les sifflements et les commentaires laconiques et moqueurs des trois ados jusqu’à ce qu’une main paresseuse frôlât la peau tumescente de sa queue. Le gamin tressaillit.

Ça doit se branler sec ! constata Kearney. Hein, Barty ? demanda-t-il inutilement, en lui pinçant la joue.

Bart tourna la tête pour échapper à sa paluche rugueuse et sale.

Bon ! Je peux y aller, maintenant ? s’impatienta-t-il.

Tu t’ennuies avec nous ? s’enquit faussement Jimbo.

Bart ouvrit la bouche pour répondre mollement quand un ricanement sarcastique, reconnaissable entre tous, résonna dans le silence du box.

Wah, wah !

Nelson se tenait à l’entrée du local, le doigt pointé en direction du pauvre Bart, déculotté devant les trois autres garçons.

Viens, Nelson ! lui lança Jimbo. Puisque t’es là, autant en profiter !

Le garçon ne se fit pas prier et s’avança d’un pas plein d’assurance vers ce garçon qu’il connaissait bien. Mais c’était la première fois qu’il violait son intimité du regard.

Bon Dieu d’bon Dieu ! Mais qu’est-ce qui se passe ici ?

Tous les regards se tournèrent vers Willy, le jardinier et gardien du collège. Il se tenait à l’entrée du garage, les poings sur les hanches et les sourcils froncés.

Laissez le p’tit Bart tranquille ! dit-il avec son accent écossais et en s’avançant vers le garçon en question.

Allez, on s’casse ! décida Jimbo.

Aussi vite qu’ils étaient entrés, les quatre garçons partirent comme des voleurs, laissant le pré-ado déculotté, et maintenant en pleurs. Il remonta son slip, rangeant comme il put son sexe tendu, bandant malgré lui, puis son jean. Bart resta adossé au mur et reprit calmement son souffle. il renifla longuement en ravalant ses larmes, essuyant ses joues barbouillées du revers de la main.

Pourquoi tu te laisses marcher sur les pieds par ces mômes-là ? demanda Willy à Bart.

Bah… Ils sont plus forts que moi.

Garde la tête haute, Bon Dieu d’Bon Dieu ! le tança gentiment l’adulte. Aie un peu d’estime. Si tu laisses les gens te marcher sur les pieds maintenant, ils te marcheront sur les pieds toute ta vie ! Moi, par exemple, tu crois que je vais faire la jardinier, toute ma vie, ici, à Springfield ?

Vaguement intéressé, Bart posa ses yeux tristes sur le visage de Willy.

Quand j’aurais assez d’économies, je me casse d’ici, j’achète un château dans les Highlands de ma chère Ecosse et je prends une retraite bien méritée !

Le jardinier saisit prestement la main du garçon et l’entraîna à l’extérieur du garage à vélo.

Allez ! Rentre chez toi, lui conseilla-t-il gentiment, en accompagnant sa recommandation d’une petite tape sur les fesses juvéniles.

C’est en enfourchant son skate-board et en prenant la direction d’Evergreen Terrace que Bart fut soulagé que la chose n’avait pas été plus loin. Peut-être, la prochaine fois, aurait-il droit à un viol en règle, avec branlettes et sodomies.

Ce soir, il attendrait sa sur dans sa chambre, avide de se livrer aux caresses de la main fraternelle.

(à suivre…)

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