Ma vengeance
Jean a dû subir les effets de sa combine ; en effet le jour même, son père lui a démontré sa maitrise de la situation ; alors qu’il venait de me prendre, sur le lit conjugal, devant mon ami, subissant le revers de médaille à sa fourberie. Après m’avoir embrassé fougueusement, il m’a pris par la main et nous avons pris le chemin de sa chambre. Avant de franchir la porte, il s’est retourné vers son fils et tout en me pelotant allégrement, il lui a dit « tu as compris qu’elle s’est donnée à moi sans réserve et soit tranquille, ce n’est pas fini ; tant pis pour toi, tu as joué et tu as perdu. Rassure-toi, tu pourras la prendre, mais seulement si elle en a envie, et toujours en ma présence » puis m’embrassant à nouveau, il m’a pris par la taille et nous nous sommes rendus dans son antre, sans fermer complètement la porte. Il voulait que son fils puisse nous entendre et même nous voir
Pour nous entendre, il nous a entendus ; en effet, très excité, sans doute par la situation et aussi par l’envie de me saillir, à peine entré, il m’a couchée sur le bord du lit et se mettant à genoux entre mes cuisses, il a commencé à me sucer la chatte, lapant non seulement ma cyprine, mais aussi les restes de son éjaculation ; un doigt s’est infiltré dans mon sillon et doucement m’a perforé l’anneau, encore sensible de la précédente sodomie. Sous cette double caresse, je n’ai pas tardé à sentir mon plaisir, me caressant les seins, me triturant les tétons, eux aussi sensibles. Ce n’était plus mon beau père qui me fouillait la chatte, mais un merveilleux amant, sachant trouver tous mes points, me faisant monter à son grès vers une jouissance de plus en plus bruyante ; le fait de savoir que mes cris devaient s’entendre en dehors de la chambre, augmentait encore mon envie de lui appartenir, et quand me retournant sur le lit, sa queue s’est engouffrée dans ma chatte béante, un cri de bonheur a jailli de ma bouche, alors que mon corps se cabrait pour mieux recevoir le chibre toujours aussi bandé.
Variant les positions, il m’a possédé longtemps, s’arrêtant pour ne pas jouir, reprenant ensuite à grand coup de butoir ; jouissant en continu, mes cris résonnaient dans la chambre ; j’avais envie qu’il me féconde, mais il n’était pas pressé ; seule son envie de me faire jouir, sans doute aussi la présence pas très loin de jean, le stimulait. Ma chatte débordait de cyprine, coulait le long de mes cuisses quand il se retirait. Je n’étais que jouissance, le corps offert à son jeu, mes pensées pour cet amant infatigable. Quand enfin il s’est vidé en moi, en de longs jets de sperme, un véritable orage de plaisir m’a dévasté, me faisant hurler avant de perdre connaissance.
Alors que je récupérais, seule, je repensais au « mauvais tour » de jean, l’envie de me venger me tenaillait ; mais comment ? Peut-être avec l’aide de son père, mais encore fallait-il trouver la situation. A sa demande, je suis restée en petite tenue, toute la journée, n’ayant aucune sortie de prévue ; à savoir une nuisette, ouverte sur un soutien sein, laissant mes tétons bien visibles et un string des plus minimalistes. Constamment offerte aux regards des deux hommes, dont l’un ne se privait pas de me tripoter et l’autre contraint à seulement mater. Il devait bouillir car son père ne manquait pas une occasion de commenter ses saillies, mon plaisir qui je dois le reconnaitre me transperçait.
Le soir, j’ai eu un peu pitié de jean et je l’ai convié à passer la nuit avec nous et je me suis offerte à mes deux hommes. Pour la première fois, j’ai pu apprécier leurs sexes, très différents et leurs façons de me faire l’amour. Jean, excité par la frustration de ces dernières heures, rapide, fébrile, jouissant rapidement, et Paul, un plus gros sexe me remplissant complètement, sûr de lui, infatigable, se contenant pour faire durer le plaisir, pour mon plus grand bonheur. Pour moi, si je n’avais qu’un seul amour, jean, j’avais décidé de profiter au maximum des plaisirs que Paul mapportait.
Jean a alors voulu me sodomiser ; je lui ai fait comprendre que seul Paul avait cette permission, c’était le prix de sa traitrise et que par contre, s’il le voulait, il pouvait assister ; le regard noir, il s’est réfugié au pied du lit, tout penaud. Me tournant les fesses face à lui, Paul a commencé à me caresser le sillon, puis prenant un peu de semence dans ma chatte, ses doigts m’ont doucement dilaté le sillon, provoquant les premières ondes de chaleur. Puis c’est son gland qui est venu me percuter l’anneau, me perforant d’une seule traite ; je n’ai pu retenir un cri de douleur, mais possessif devant son fils, il n’en a pas tenu compte et ses couilles sont venues battre contre mon fessier, avant de commencer à me pilonner ; sous les coups de butoir, mon cul s’est ouvert, m’amenant très vite à la jouissance. Je savais que Jean voyait le plaisir que je prenais et cela me stimulait.
— Oh oui, vas-y défonces moi le cul, montre-lui que tu sais me faire jouir ainsi ; putain, c’est bon, remplis-moi de ton jus…….. Humm c’est chaud, il jouit dans mon ventre, oh jean comme c’est bon… Je jouis……
C’est alors que Paul se retirait de mon antre que j’ai eu l’idée pour ma vengeance. M’adressant ferment à Jean, je lui ai dit de venir lécher nos deux sexes, celui de son père enduit de notre plaisir et le mien d’où s’écoulait le trop-plein de la semence de son père. Devant son refus, je me suis tournée vers lui « tu as voulu jouer à mon détriment, j’y prends beaucoup de plaisir, mais c’est à toi de céder, car dans le cas contraire, tout le temps que ton père sera là, tu ne pourras pas me toucher, à toi de voir, tu nous nettoies tous les deux, ou tu vas dans ta chambre te branler pendant encore quatre jours ; à toi de voir »
Soufflé par ma sortie, je l’ai vu blanchir, se renfermer, avant de céder. C’est d’abord entre mes fesses que sa langue s’est posée, léchant nos sécrétions, me nettoyant l’anneau encore béant, puis gobant la queue, encore bandée de son père, consciencieusement, il l’a nettoyée, avant de s’étendre, vaincu, sur le lit.
C’est alors que j’ai constaté qu’il bandait fort, et sans un mot, je me suis placé au-dessus de lui, frottant mon sillon sur sa tige, avant de la prendre entre mes doigts et de la placer sur mon anneau ; d’une seule poussée, je me suis empalée, sa queue s’enfonçant complètement. D’abord surpris, il a vite compris que je m’offrais à lui, pour une sodomie de pardon et il en a profité, s’agrippant à mes hanches pour me perforer. Mais je voulais les deux.
Me retirant rapidement, à son grand désespoir, j’ai fait mettre Paul sur le dos, et guidant sa queue dans mon conduit, je me suis à nouveau empalée, avant d’offrir à jean la possibilité de me prendre lui aussi , lui dévoilant ainsi mon cul ; il a vite compris et son gland s’est appuyé sur l’entrée de la grotte et doucement, il s’est encastré, provoquant une intense douleur ; dilatée par cette double pénétration sodomique, je n’ai pu retenir mes cris, de douleur, puis petit à petit il s’est dilaté, acceptant ces deux tiges bandées, pour mon plaisir, et le leur ;dans cette double pénétration, c’est Jean qui avait l’avantage et il en a profité, me baisant, se retirant pour mieux s’introduire ensuite ; il pouvait me sodomiser et il en jouissait, d’autant plus que leurs eux queues se frottaient à l’intérieur de mon conduit ; entre deux jouissances de ma part, je les ai sentis éjaculer, presque en même temps.
Repus nous nous sommes allongés tous les trois sur le lit, et sans doute en signe d’apaisement ou de soumission, Jean est venu une nouvelle fois nous nettoyer, sa langue lapant mon anus dilaté.
Si le reste du séjour, Paul a pu profiter de mon corps, ce fut toujours avec la présence de mon homme ; par contre, je n’ai plus jamais refait l’amour avec mon beau père ensuite. Cette aventure avait forgé une nouvelle complicité entre nous et ouvert à de nouveaux jeux.