On dit souvent qu’une fois assouvi, un fantasme disparaît. Je dirais qu’à mon avis, il s’agit plutôt du contraire. Vous n’avez pas idée à quel point celui-ci m’obsédait depuis que je l’ai réalisé. C’était comme si j’étais devenue une nympho sans pour autant pouvoir assouvir mes envies.
Je ne vous cache pas qu’être devenue femme lors d’une partie de jambes en l’air m’a aussi amené à me conduire comme telle. J’étais devenue une accro de la mode et du shopping et ce à tel point que je m’étais offert une nouvelle garde-robe, du maquillage, des perruques ainsi que quelques bijoux.
En surfant sur le web, j’avais aussi découvert un forum où se regroupaient pour discuter des personnes partageant ma particularité mais aussi des hommes et des femmes sy intéressant. Je dialoguais régulièrement avec eux. Les tchats s’orientaient sur la mode, nos tenues préférées, nos petites astuces pour paraître plus femme ou encore nos histoires torrides pour celles qui avaient osé.
De temps en temps, l’une d’entre nous envoyait sur le forum des photos d’elle pour que nous puissions voir le rendu final sans pour autant être dans le jugement.
Un jour, une de mes nouvelles amies me demanda si moi aussi j’avais des photos à leur montrer. Je répondis que je n’en n’avais jamais faites et que je ne savais pas si cela était une bonne idée car celles affichées sur le forum montraient des femmes plutôt « réussies » et que je ne savais pas si j’étais à la hauteur. Elle me rétorqua que si j’avais déjà été dépucelé, c’était que l’illusion devait être grande et que depuis j’avais en plus bénéficié de leurs conseils.
Après quelques jours de réflexion, je fis pendant un après-midi entier une séance photo avec plusieurs tenues, maquillages et perruques différents. Je publiai le soir même mes clichés sur le net et je peux vous dire que les commentaires ont peut-être été les plus beaux compliments que personne ne m’ait jamais fait :
« Tu es adorable », « Wahou, quel cul d’enfer !» , « L’illusion est parfaite. Cela ne m’étonne pas que ton étalon ait couché avec toi. Tu es superbe ».
Étonnamment, ma meilleure amie sur le forum était une femme de 26 ans dont le pseudo était « Amie » et qui avait découvert le travestissement et ce forum en effectuant sa thèse de sociologie sur les comportements transgenres. Depuis, elle était restée connectée à ce site pour nous poser des questions sur nous et nos choix.
Par le biais d’un tchat privée j’appris qu’elle s’appelait en réalité Laura et habitait pas très loin de chez moi. Elle recherchait d’ailleurs pour son mémoire une personne pour un entretien plus approfondi et ce fut tout naturellement qu’elle me proposa de passer chez elle pour que l’entretien soit plus facile. Elle me demanda également si c’était possible de rencontrer mon double féminin. J’acceptai son invitation pour la semaine suivante.
Une semaine s’étant passé, je me présentai donc au rendez-vous fixé par mon intervieweuse. Suivant ses conseils, j’avais amené dans ma valise tout ce dont j’avais besoin pour lui présenter ma deuxième facette. Il était 14h, je sonnai à son interphone. Elle me dit de monter, je frappai à sa porte et elle ouvrit.
Pour dire la vérité, je crus que j’allais m’effondrer tellement elle était belle. Elle était de ma taille environ 1m65 avec de beaux yeux verts et une chevelure châtain clair qu’elle avait attachée. De plus, connaissant mon attirance pour les vêtements en satin, elle avait mis un top moulant rouge vif et un short noir tout aussi moulant de cette matière.
Elle dut me sortir de ma torpeur en me disant une deuxième fois bonjour. Je m’excusai et lui fis la bise. Elle m’indiqua alors le salon et me dit de m’asseoir sur le canapé. Après deux ou trois banalités pour briser la glace, nous commençâmes l’interview.
Je lui racontai mon histoire, la naissance de mon fantasme ainsi que mon dépucelage. Elle souriait lorsque je lui évoquais ce que je ressentais lorsque je devenais une femme. Elle semblait me comprendre. Parfois, elle m’interrompait pour me dire que c’était assez drôle car elle ressentait les mêmes choses. Elle pensait qu’elle ne verrait jamais un homme concevoir l’érotisme comme elle. Avec dépit, elle me confia que ses ex ne la comprenaient jamais et que son penchant pour le sexe diversifié les faisait toujours fuir. Cela me fit rire car je lui exposai le fait que pour moi, cela était aussi dur de trouver une femme qui accepte mes penchants. Avec un petit sourire, elle me répondit qu’elle avait remarqué que je la regardais. Je l’informai alors que sa tenue particulièrement sexy avait fait son effet et elle sourit en devenant toute rouge.
Après avoir parlé et répondu à ses questions pendant 1h30, elle me proposa de m’observer pendant ma transformation. Elle me présenta la salle de bain et, m’étant déjà épilé pour gagner du temps, je commençai par prendre une douche. J’enfilai un string et la fit entrer. Je lui montrai ma guêpière satinée avec laquelle le rembourrage était déjà effectué. Je lui demandai alors de m’aider à l’attacher. Elle me demanda si l’illusion des seins marchait. Je me parfumai et mis mon chemisier blanc en satin avec un petit foulard de tissu identique à celui-ci et lui fit toucher ma poitrine. Elle me sourit et remarqua que sans être aussi bien que des vrais, visuellement, c’était crédible.
J’enfilai un pantalon de satin moulant mes fesses d’un beau rouge et des talons aiguilles d’une blancheur immaculée rappelant mon chemisier. Je continuai en me mettant un peu de maquillage avec les conseils de Laura qui s’était prise au jeu.
Pour finir, je mis ma dernière acquisition, une perruque brune avec de petites mèches roses violacées et me présentai face à Laura. Elle était ébahie. Elle me dit qu’en naviguant sur le web pour ses recherches, elle avait déjà vu des travesties être très belles et que moi, j’en faisais sûrement partie.
Ayant bon cur, Laura m’invita à passer la soirée chez elle entre filles afin que je ne perde pas ma journée en me déshabillant tout de suite. J’acceptai et lui indiquai que je la rejoindrais au salon après avoir ramassé mes affaires. Arrivées au salon, on parla longuement de sexe. Elle me confia son goût pour le sexe à plusieurs mais qu’aucune de ses copines ne le partageait, trop coincées selon elle. Elle me demanda si j’avais déjà choisi un prénom pour la bombe que j’étais devenue. Comme je lui répondis que non, nous nous amusâmes à m’en trouver un. Après diverses tentatives, Laura me dit avoir le nom qui me correspondait. Elle me prit la main et me mit devant la glace et clama à haute voix :
Je te présente Sofia .
Quelques minutes plus tard, quelqu’un vint frapper à la porte. Je dus changer de visage car Laura m’indiqua de rester calme et qu’elle allait voir. Elle revint avec deux copains à elle et me présenta sous le nom de Sofia. Je dus, pour ne pas éveiller de soupçon, leur faire la bise. Ce faisant, l’un des deux me palpa les fesses. Je m’extirpai et jetai un regard noir à Laura. Elle me dit alors de venir avec elle dans la chambre. Une fois arrivées, elle me dit qu’après m’avoir vu en vrai et au vu de mes recherches infructueuses de partenaires, elle avait pensé me faire une petite surprise en m’invitant à partager ses ébats.
C’est vrai qu’elle avait raison. Depuis ma première expérience, mes recherches de partenaires n’avaient pas été couronnées de succès. Je lui souris et lui posai une condition. Je lui dis que c’était d’accord à condition qu’elle promette d’avoir un tête à tête toutes les deux. Elle accepta et me prit par mon petit foulard pour me faire suivre.
Arrivées dans le salon, chacun de ses copains était assis sur un canapé. Je m’approchai d’un, lui sourit et m’assis sur ses genoux. Il me regarda dans les yeux et commença à me plotter les fesses ainsi que les seins. Il m’embrassa dans le cou pendant quelques secondes puis, tout en me léchant, remonta jusqu’à ma bouche pour m’embrasser. J’entendis alors une voix nous dire
Alors les lambins, on joue à se peloter ? Il est temps de passer la seconde.
Je me retournai et je vis Laura déjà le short baissé à mi-cuisse se faire masturber par son mec tout en le suçant comme une lionne. J’entrepris alors de défaire le pantalon de mon soupirant et j’en sortis tel un trophée une belle queue d’une vingtaine de centimètres déjà bien dure. Je la pris à pleine main et commençai à le branler, puis je vis que celle-ci ne grandissait plus. J’approchai ma bouche afin de la gober. Elle était très chaude et sentait pleinement l’excitation. Je me mis alors à le pomper en allant de plus en plus profond. Parfois je me retirais. Je ne voulais pas qu’il éjacule tout de suite et je lui léchais le gland comme une belle salope.
Mais à vouloir trop bien faire, arriva ce qu’il arriva : je dus faire une trop grande et longue succion, si bien que, sans prévenir, il explosa dans ma bouche. C’était la première fois que je goûtais à du sperme et, là j’en avais attrapé trois bonnes lampées directement en bouche. Je dois dire avec un peu de honte que, depuis ce jour, ce nectar est passé dans le top 3 de mes boissons favorites.
Mon partenaire se tourna vers Laura et lui lança :
Ta copine, c’est vraiment une chaudasse. Regarde : elle m’a déjà fait jouir.
Ne voulant pas que ça s’arrête là, je lui repris sa queue et me remit à la pomper pour le faire bander à nouveau. Au bout de quelques minutes de labeur, mission accomplie, il me mit à quatre pattes, me tira mon pantalon jusqu’à mi-cuisse, écarta mon string et, en forçant un peu, me pénétra d’un coup sec. Je sentais sa queue chaude dans mon cul et commençai à me trémousser pour qu’il comprenne que j’étais prête à me faire baiser. Il se mit alors à me défoncer par de légers et lents mouvements de va-et-vient, puis il accéléra vivement comme un fou comme s’il s’était transformé en marteau-piqueur.
Je sentais monter en moi un terrible geyser et, en un éclair, l’orgasme était là. Je dus même lâcher quelques cris car il ralentit le rythme en me donnant plus que des énormes coups de boutoir tout en mettant sa main sur ma bouche pour que je la ferme. Il se désengagea et s’assit sur le canapé. Je compris qu’il voulait que je m’asseye sur lui en m’empalant sur son pieu. Je dirigeai sa bite vers mon petit trou et me posai sur lui de dos. Il mit ses deux mains sur mes hanches et me fit sauter sur lui. Cette position agréable me permettait de voir Laura en pleine action. Elle était allongée, les jambes collées sur les épaules de son partenaire et se faisait défourailler comme jamais.
Voyant que je la regardais, elle m’envoya un baiser des airs et mit un de ses doigts dans sa bouche pour le sucer langoureusement.
Après quelques minutes de gymnastique et quelques nouveaux cris de jouissance, je m’effondrai sur le canapé. Mon bienfaiteur approcha sa bite de moi et éjacula en plein sur mon visage. Tout en regardant Laura en pleine explosion, je me délectais de cette semence qui coulait sur mon visage. Alors que j’étais sur le canapé, exténuée de fatigue, je vis Laura se placer à genou en-dessous de son homme et me faire signe de la rejoindre au centre de la pièce. Elle me prit alors la main et me fit mettre à genoux à ses côtés. Je vis l’amant de Laura arriver près de nous, la queue en main. Il se branla au-dessus de nos têtes et éjacula sur nos deux visages.
Il est vrai que Laura m’avait prévenue qu’elle avait des pratiques très coquines, mais je ne pensais pas qu’elle était aussi libre d’esprit. Elle me tourna alors vers elle et prit ma bouche dans un long et langoureux baiser mêlant un peu plus notre salive au sperme qui était près de nos bouches.
Cette fois, tout était terminé. Ses deux potes se rhabillèrent et quittèrent l’appartement. Je dis à Laura que c’était vraiment une expérience assez émoustillante que de se faire gicler dessus. Elle me demanda alors ce que j’avais ressenti. Je lui répondis que ce n’était pas désagréable mais que je m’étais sentie dégradée par ce geste. Elle me fixa et me demanda :
Oui mais tu as aimé cela, te sentir soumise comme
Comme la salope que j’aime être ?
Ne dis pas ça péjorativement. Nous sommes deux coquines. Pourquoi ne pas assumer ?
J’allais vers la chambre pour récupérer mes affaires quand elle me prit le bras et m’embrassa. Elle me demanda si j’avais oublié notre pacte, que si je jouais avec elle, elle jouerait avec moi. Étant trop crevée pour tenir sa promesse ce soir-là, elle me demanda si je voulais dormir là et que le lendemain, elle me ferait vivre d’autres péripéties avec elle.