Voilà enfin venu le moment où Joëlle sera la reine de la soirée privée. Nous sommes quinze participants, douze mecs (onze queutards, plus Guillaume soumis) et trois filles (ma jeune et belle petite blonde, une vieille pute de soixante ans, et la patronne plantureuse de quarante ans). Les règles du jeu ont été fixées à chacun par les patrons organisateurs.
Tout le sperme déversé au cours de la nuit, à part le mien, finira dans la bouche de la petite nouvelle, son bizutage en quelque sorte. La vieille et Guillaume feront diète pour une fois.
Ils devront toutefois accepter toutes les pénétrations, y compris celles de deux mecs, un nord africain et un grand noir, montés comme des ânes.
Joëlle acceptera tous les assauts à l’exception des deux mecs précédents.
La patronne n’est pas soumise. Elle suce, baise par tous les trous, mais choisit ses partenaires, différents à chaque soirée. Je suis nouveau, et je devrais la satisfaire. Elle veut aussi s’amuser avec ma petite copine.
Il fait un peu sombre, on se déshabille tous et on pose nos affaires sur les fauteuils.
Un film a commencé sur le grand écran: de superbes bombes offertes sans interdits.
Les lumières s’allument, on y voit comme en plein jour. On est tous à poil, à part la patronne qui a des bas jarretelles, sans culotte, et un bustier qui soutient ses superbes mamelles.
Joëlle contemple bouche bée toutes ces belles bites pendantes pour certaines, déjà en érection pour d’autres. Le black et le beur sont au repos, et leur engin est déjà impressionnant.
La fête va pouvoir commencer.
A tout seigneur tout honneur, et c’est le patron du sex-shop qui s’attribue Joëlle. Elle est à genoux devant lui et le suce. Quelques mecs la regardent faire en se caressant la queue, d’autres se font sucer par la vieille et Guillaume.
La patronne s’approche de moi et me saisit par les valseuses:
— Elle a l’air douée ta femelle, mais je suis experte moi aussi, tu vas voir. Tu as une belle bite, et de grosses couilles comme je les aime. J’espère qu’elles sont bien pleines, j’ai soif.
Elle n’attend pas de réponse et s’accroupit pour me prendre en bouche.
Le patron a changé de position, il est maintenant derrière sa partenaire et la baise en levrette avant de l’enculer. Il se retire, met un préservatif pour conclure. Il revient dans son anus qu’il défonce à grands coups de reins avant d’exploser en elle. Tout cela n’a duré que quelques minutes, afin de laisser chacun en faire autant, jusqu’à deux ou trois fois pour les plus vaillants.
Il se retire et sans perdre une seconde, un autre prend sa place dans les entrecuisses accueillants de miss pute. Le patron est face à elle. Il retire sa protection, la tient pendante entre ses doigts, et se fait nettoyer le manche. Elle s’applique, s’éclate à sucer tout en se faisant prendre sauvagement sans savoir par qui. Il a la queue propre, s’empare de ciseaux, et lui fait relever la tête, bouche ouverte. Son préservatif se balance au ras des lèvres, avec le réservoir bien rempli, et il le taille juste au dessus du liquide. Elle reçoit tout son sperme encore chaud, avale tout et ressort le petit bout de caoutchouc purifié de toute trace.
Je n’ai pas encore déchargé et la patronne n’en peut plus, surtout qu’elle n’a rien manqué du final de son mari. Elle relâche ma trique:
— Jouis salaud, offre moi ton foutre. J’en veux autant que ta petite pute.
Elle s’active de plus belle et je me laisse aller. Elle bouffe tout et me suce encore pour ne rien perdre. Elle se relève:
— Salaud, tu dois te sentir plus léger. Qu’est ce que tu m’as mis, il y a longtemps qu’on ne m’avait aussi bien servi. Tu es un bon coup je pense, tu m’as faite mouiller comme une fontaine.
Je lui propose de lui bouffer la chatte, elle est ravie de cette demande et m’entraîne dans la petite pièce avec le lit, bien éclairée elle aussi. Elle s’allonge, jambes ouvertes, pour m’offrir son huître appétissante. Elle a une vulve bien charnue, bien fendue, toute rasée et luisante de désir. Je plonge ma gueule dans son délicieux entre cuisses, et la lèche avec autant de plaisir qu’elle m’a sucé. Elle ne retient pas ses orgasmes et m’abreuve de sa liqueur.
Le deuxième amant de ma chienne a joui à son tour après s’être couvert lui aussi. Comme le patron il se fait nettoyer et coupe le bout du préservatif qui tombe sur la langue de Joëlle qui n’en fait qu’une bouchée avant de recracher le réservoir entièrement vidé. Un troisième s’active entre ses fesses.
Elle a compris le principe, et espère les soubresauts de son sexe dans son fion, et la récompense pour avoir offert sa moule et son fion. Elle dévore tous les fonds de préservatif avec d’autant plus d’appétit qu’ils sont bien remplis.
La vieille et Guillaume ont aussi leur dose de doubles pénétrations, buccales et anales. Tous les participants se les farcissent, changent de partenaire ou d’orifice, en attendant leur tour pour conclure avec Joëlle dans toujours le même scénario. Il reste quatre mecs à passer sur ma pute, dont les deux phénomènes qui se sont reposés jusqu’à maintenant en regardant le film.
Ils se lèvent pour participer.
Après que je lui ai bien brouté le minou, la patronne est chauffée à blanc et m’ordonne de la baiser. Je viens sur elle et plante mon pieu dans sa fente torride et liquide. Je la défonce selon ses désirs, me retire avant de jouir, et on se finit dans un 69 goulu. On rejoint toute l’équipe au moment où les deux très bien montés entrent en jeu.
Ils offrent leurs grosses triques à sucer à la vieille et Guillaume qui se font mettre par les deux derniers à devoir enculer ma putain. Tandis qu’elle suce son sixième mec, le baiseur de Guillaume se retire et vient la prendre. Le beur qu’il suçait l’enquille sans attendre, le faisant hurler de sa pénétration brutale. Il le lime sans ménagement et notre petit chéri a surmonté sa douleur pour apprécier le braquemart de sa monture, et le délice de ses va et vient dans son trou de pute à mecs.
Les participants ne doivent pas s’attarder entre les reins de Joëlle, et son septième visiteur jouis à son tour et se retire, remplacé aussitôt par le monteur de la vieille. Comme les autres il se fait nettoyer et taille son préservatif empli de sa semence, pour l’offrir à ma buveuse de sperme. Le beur quitte Guillaume pour la vieille, et le noir vient enfouir son énorme engin dans le cul bien préparé de notre petite pédale ravie de cette intrusion.
Joëlle en a fini avec son huitième amant. Son joli et accueillant petit cul va pouvoir se reposer un peu, mais pas sa bouche. Le noir relève sa pute et le plaque contre lui, le maintenant par les seins, pour le prendre debout et le soulever à chaque insertion profonde. Cette baise impossible fait bander notre jeune enculé. On invite Joëlle à s’agenouiller devant lui, et le pomper à fonds.
Elle est ravie de pouvoir enfin sucer une queue bien raide et la faire jouir dans sa bouche, plutôt que de nettoyer des manches ramollis. Plus il se fait mettre, plus il bande, et elle se régale de cette jeune et jolie bite aux mensurations parfaitement adaptée à sa bouche pour pouvoir l’engloutir entièrement sans difficulté. Le black se retire pour mettre une capote, et reprend son partenaire. Ses coups de reins accélèrent, il râle, rugît, et décharge de toutes ses forces. C’est un plaisir en chaîne, et Guillaume qui monte aux cieux jouit à son tour de se faire si bien matraquer. Joëlle jouis aussi à la réception des longues giclées tant espérées, qu’elle déguste avec malice.
Le black se retire, enlève sa protection, et lui offre son gros boudin noir à nettoyer. Joëlle n’a jamais vu une pareille matraque et ses yeux s’écarquillent de stupéfaction et d’envie. Elle se saisit à deux mains de ce gros chibre qui bande mou, le caresse tendrement avant de gober l’énorme gland. Elle le suce avec gourmandise, le ressort, presse les couilles comme des citrons, serre le manche et le remonte pour faire ressortir des grosses goutes qu’elle lèche.
Elle le nettoie puis déguste le bout de caoutchouc rempli bien au delà du réservoir. Elle a à peine fini de déglutir que le beur se plante devant elle. Il vient de jouir avec protection dans le fion de la vieille, elle nettoie sa grosse trique en béton et avale le contenu du préservatif.
Sous prétexte de lui accorder une pause, la patronne l’entraine avec elle sur le lit. Elles ne baisent pas mais discutent tout en se caressant, s’embrassant, se roulant des pelles. En attendant son retour certains regardent le film en se faisant reluire le manche, les autres se farcissent la vieille pute et le jeune pédé.
Je fais partie de ces derniers et mon manche se délecte de leurs trous à bite. Je sais Guillaume très doué et très accueillant pour me l’être déjà fait, mais c’est la vielle qui m’étonne. Elle a des heures au compteur et des kilomètres de queues qui l’ont pénétrée, mais elle baise avec la même envie qu’une débutante, l’expérience en plus. Elle me taille une de mes meilleures pipes, et son conduit anal est des plus délicieux à ramoner.
Les filles nous rejoignent.
Le patron est devant Joëlle, et glisse son sexe dans sa chatte pour la baiser de face, debout. Il lui roule des pelles auxquelles elle participe sans retenue. Si les putes n’embrassent pas elle est une exception et, tout comme moi, adore çà. Il appelle un des mecs pour la sodomiser. Ils sont tous les deux en elle, la prennent en sandwich, la font crier à chaque fois qu’ils la soulèvent.
Le patron se retire sans avoir joui, et un autre le remplace. Ils se relaient rapidement, et passent tous, à l’exception des deux phénomènes, dans sa chatte, dans son cul, lui roulent des pelles. Les changements se font de façon à ce qu’elle ait en permanence un pieu en elle, et que l’autre orifice ne reste que deux secondes inoccupé. Ca va très vite et chacun passe plusieurs fois, et se maintient en forme avec Guillaume et la vieille entre deux coups.
La patronne ne tient pas à faire tapisserie. Je la prends recto-verso, et elle décide de ceux qui combleront son deuxième orifice, chatte ou cul suivant ma position, pour elle aussi une baise en sandwich.
Il se fait tard, certains n’en peuvent plus, et il est temps de conclure cette deuxième séance.
Joëlle est à genoux. Le patron et trois autres mecs sont agglutinés devant elle pour se faire sucer. Elle les pompe et les branle à tour de rôle, sa bouche papillonne de gland en gland. Elle cesse les fellations et masturbations, et attend bouche ouverte. Le patron s’astique énergiquement. Il a le créateur au bord des larmes et verse ses gros sanglots dans son vide couille. Elle n’avale pas et reçoit les trois autres, et leurs généreuses décharges. Elle se gargarise de ce plein de sperme, engloutit tout et expose sa bouche vide.
Les quatre mecs suivants procèdent de la même façon, la remplisse de leurs liqueurs qu’elle dévore. Il reste Guillaume et ses deux étalons qui l’ont rejoint. Ils se font branler et sucer, puis se soulagent à leur tour. Ils l’ont bien remplie et elle s’y reprend à plusieurs fois pour tout boire et se lécher les babines.
La vielle, ses deux souteneurs, et quelques mecs se rhabillent et s’en vont. On reste sept, et on se sépare en deux groupes. Joëlle, les patrons et moi allons dans la pièce avec le lit, tandis que Guillaume et ses deux impressionnantes montures restent dans la salle de projection.
Les filles entament un 69 torride, et on se couche derrière elles. Le patron encule ma chérie, et j’encule la sienne. Je bande autant du plaisir de la ramoner que de celui de voir ma petite se faire brouter le minou et se faire casser le cul.
Des cris viennent de temps en temps de l’autre pièce. C’est Guillaume qui se fait défoncer sans ménagement par les deux méga bites. Après une bonne séance bien physique à honorer nos femelles, on stoppe et rejoint les autres.
La patronne me prend en bouche, et Joëlle pour la troisième et dernière fois de la nuit va purger les quatre mecs. Cette fois ci ils vont se laisser turluter à fonds, et jouir directement du producteur au consommateur. Ils se vident les valseuses jusqu’à la dernière goutte et la félicite de ses prestations. Je me vidange moi aussi dans ma partenaire ravie de sa soirée.
On s’habille et on s’en va, non sans avoir promis de revenir.