Je retourne dans la salle à manger, je suis content que mon père le prenne comme ça. Mes parents sont très ouverts, mais cette situation est quand même délicate. Je suis dautant plus content car ma chambre du haut a un lit à deux places, nous allons pouvoir dormir ensemble plus confortablement. Je rejoins Sonia, elle est entourée de quatre résidents, tous les autres résidents ont fini de manger et ont quittés la salle. Ils sont fous autour delle, tous excités, je mapproche rapidement, jai peur de sa réaction entourée de quatre hommes. Quand ils me voient ils se lèvent et disent au revoir à Sonia qui se détend en me voyant.
-Ils tont fait chier ?
-Non, non, ils ont été très sympa, ils me draguaient cest tout, mais je tavoue que jétais un peu tendue.
-Je comprends, mais ils ne peuvent pas savoir.
-Cest vrai. Qui était ce ?
Je lui explique la situation, elle semble très gênée.
-Tu ne crois pas que cest un peu tôt pour être présentée à tes parents.
-Mon père a fait sa demande de mariage à mon grand-père quarante-deux jours après avoir connu ma mère. Ils sont mariés moins de six mois après leur rencontre et cela depuis vingt-deux ans, et ça a lair dêtre parti pour longtemps, voire toujours.
-Daccord, tu sais que je viens dune famille un peu rétro, très pratiquante, jai eu une éducation très stricte, daprès ce que tu men a dit, tes parents sont à lopposé des miens, ouverts sur le monde, te laissant quelques libertés tout de même, je nai rien eu de tout ça. Je ne saurais pas quoi faire.
-Tu doute de ton intelligence ?
-Non, mais nous nous connaissons que depuis à peine plus dun mois.
-Tu penses quil est trop tôt pour nous ? Tu ne maime pas assez ?
-Non, bien sûr que je taime assez, je ne peux plus me passer de toi, tu le vois bien.
-De toute manière, ceci na rien dofficiel, tu nas quà te dire que ce nest simplement quun week-end ailleurs, dans une grande maison. Et puis tu verras, mes parents sont assez sympas et ouverts. Viens sil te plait, je suis obligé dy aller, Michelle est comme une sur pour moi, je dois être à son anniversaire, je ne peux pas lui faire faux bond et je ne veux pas être séparé de toi deux jours.
Elle me regarde de son regard perçant, ses yeux sadoucissent.
-Ok, je taccompagne, moi aussi je ne supporterais pas cette séparation. Chéri, quest-ce quon va faire dans un mois, cest les grandes vacances.
-On va les prendre ensemble.
-Je ne sais pas si mes parents seront aussi compréhensifs que les tiens, surtout mon père. Ils naccepteront jamais me laisser avec une personne quil ne connait pas.
-A ce point, on a quà y aller par étapes. Tu sais, je travaille tous les ans un mois en juillet pour me faire un peu dargent de poche. Et si tu travaillais au même endroit, le patron est un ami de mes parents et il te trouvera certainement un boulot pour la même période.
-Il nest pas un peu tard pour trouver un travail dété ?
-Non, je ne pense pas, cest le patron, il a quelques libertés, il la déjà fait pour moi il y a deux ans. Qui ne tente rien na rien.
-Ok, mais si ça marche, où je couche moi ?
-Et bien chez moi.
-Comment jexplique à mes parents que je dors chez mon amoureux dont ils ignorent encore lexistence ? Ils ne vont jamais accepter.
-Tu les appelleras dimanche de chez Christian, tu pourras amorcer la pompe en leur disant que tu as peut être un travail pour juillet.
-Oui, mais jai peur de sa réaction, il est très protecteur avec moi, surtout depuis mon agression.
-Ne ten fais pas chéri, on a encore un mois devant nous, sil le faut je ferais intervenir ma mère, elle est très persuasive.
Je fini vite fait mon repas devenu froid et nous montons dans ma chambre. Sonia se déshabille en même temps que moi. Nous nous allongeons sur le lit, elle sur le dos, moi sur le côté. Je pose mes lèvres sur son sein gauche.
-Oui, continu.
Ma bouche explore ses seins, son ventre pour finir sur son mont de vénus. Son bassin ondule lentement, sa respiration saccélère doucement, je sens son excitation monter. Ma langue se pose sur son clitoris, elle est secouée par un frison.
-Oui, continu.
Je me déplace pour me mettre entre ses jambes que jécarte un peu, ma bouche enveloppe son mont de vénus, ma langue sactive sur son clitoris. Elle commence à onduler plus vite et plus nerveusement.
-Oui, continu, jaime.
Je me déchaine sur son clitoris, je laspire, le mordille, le lèche, le titille avec la langue. Elle se crispe, pose ses mains sur ma tête.
-OOOOHHHH oui, oui, que cest bon.
Son corps se raidi, elle se cambre les jambes ouvertes, le sexe offert à ma langue. Elle est secouée, elle vibre, elle tremble. Cest son deuxième orgasme.
-Je taime chéri, je taime. Tu me rends folle de bonheur.
-Je pense que je suis sur terre pour ça.
-Je lespère, que pour moi.
-Oui, que pour toi.
Je viens mallonger à côté delle, je bande mais je sais que cest trop tôt pour elle, alors je prends sur moi. Cest dur dêtre au contact de la femme quon aime, peau contre peau, sans pouvoir le lui prouver physiquement. Nous sommes assez fatigués et après deux ou trois caresses nous nous endormons enlacés dans les bras lun de lautre.
Le lendemain, nous passons la matinée en cours, cest jeudi et nous avons laprès-midi. Sonia sest changée, elle a quitté sa tenue IUT pour une tenue plus sexy composée dun corsage blanc sur un soutien-gorge lui aussi blanc et un petit short très moulant. Nous avons peu de temps, car je dois amener ma voiture à la révision et ça ne se passe pas comme convenu, il faut faire plus de travaux que prévus. Au lieu dune heure, les travaux prennent trois heures et comme nous ne sommes pas à St Etienne même, nous sommes obligés de rester dans le coin à nous promener.
Nous finissons par nous arrêter dans un bar et avons beaucoup discuté. Je comprends un peu mieux ses parents, très stricte sur les règles de vie, catholiques pratiquants, son père a eu une jeunesse très tourmentée au Sénégal, sans aucuns repères ni orientations et il ne veut pas que ses enfants subissent la même chose. Sonia craint la réaction de son père à lannonce de notre liaison. Elle préfère en parler dabord à sa mère, plus souple. Nous préparons une stratégie pour son père et laprès-midi passe très vite. Le soir, nous dinons chez mon pote le restaurateur qui nous fait une fois de plus un cadeau au dessert. Arrivés à la chambre, Sonia se tourne vers moi.
-Déshabille-moi.
Je lui enlève son corsage, son soutien-gorge, son short et sa petite culotte en embrassant toutes les parties de son corps que je dénude. Une fois nue, elle me fait redresser. Elle menlève ma chemise, ma ceinture, défait le bouton de mon jean, mais celui-là na pas de fermeture rapide, ce sont des boutons. Elle hésite une seconde mais défait tous les boutons un à un. Ce faisant, ses doigts effleurent de temps en temps ma bite qui gonfle de plus en plus dans mon slip. Elle baisse mon jean, menlève les chaussettes et se redresse. Il ne reste plus que mon slip gonflé par ma bite. Elle se saisi de la ceinture, lécarte un peu et fait glisser le bout de tissu jusquà mes pieds. Mon sexe se dresse droit comme un I au-dessus de sa tête.
Elle se redresse de nouveau et me pousse sur le lit. Elle me tombe dessus. Elle est sur moi, les jambes légèrement écartées, ma bite sous son nombril, raide comme un bout de bois. Elle monte un peu sur moi jusquà ce que ma bite soit au niveau de sa vulve. Je sens ses lèvres sur ma bite. Elles sont inondées de cyprine, Sonia est excitée comme jamais, je ne bouge pas, je veux que ce soit elle qui prenne linitiative. Elle fait bouger son sexe sur ma bite qui est prête à exploser. Je sens ses lèvres humides et chaudes prête à lavaler. Elle me serre, sa respiration saccélère, mais tout à coup, elle glisse sur le côté.
Je comprends quelle ne peut pas, je sors du lit, la met sur le dos et me positionne entre ses jambes en les écartant. Elle se laisse faire en fermant les yeux. Sa respiration devient saccadée, je plonge sur ce sexe mouillé, ma bouche se déchaine sur ses lèvres, son clitoris, descend jusquau périnée, remonte sur le mont de venus pour finir par un coup de langue sur lanus. Sonia cri en faisant un arc avec son corps. Elle me présente son sexe grand ouvert. Je reste le plus possible dessus, elle est secouée de violents spasmes, elle tremble de tout son corps. Je me colle à elle pour la boire jusquà la dernière goutte. Elle ne se calme que très lentement, et finit par se reposer sur le lit. Elle est là, immobile, sa respiration reprend petit à petit un rythme normal.
-Chéri.
-Chut, je ne veux rien entendre, surtout pas dexcuses.
-Oui, mais je suis dégueulasse, je te chauffe et te laisse tomber au dernier moment.
-Un jour, et je sais que ce sera très bientôt, tu iras jusquau bout, et je serais le plus heureux des hommes.
-Oui, mais encore une fois tu nas pas jouit. Ça ne te gêne pas ?
-Oui, cest dur, mais il faut faire avec.
-Met toi sur le dos.
Je mexécute. Elle me prend la main et la pose sur mon sexe raide.
-Je veux que tu jouisses, si ce nest moi, ce sera toi, mais tu dois te libérer, tu vas devenir fou.
Elle me prend le bras et me fait faire des mouvements de va et viens. Au bout dun moment, elle me lâche et je continu tout seul, jai trop envie de jouir, mon corps est sous tension depuis trop longtemps, je dois le libérer de cette pression. Ma main sactive sur mon vit, je sens la jouissance monter. Me masturber devant Sonia est très bizarre, jai la sensation de me donner à elle. Je la regarde, elle me regarde avec tendresse, son regard est dune étrange douceur, plein damour, jai limpression quelle partage ce moment avec moi. Je ny tiens plus et jouis en aspergeant mon ventre et mon torse de puissants jets de sperme. Elle me regarde fascinée.
-Oh mon chéri.
Elle se penche et membrasse en se couchant sur moi. Quand elle se redresse, son ventre et ses seins sont maculés de sperme.
-Ma manière à moi de partager avec toi.
-Oui, mais il faut aller se doucher maintenant.
Comme ma chambre est lavant dernière avant les douches, nous regardons dehors et comme il ny a personne, nous allons à la douche, nus comme des vers, les serviettes à la main. Au retour dans la chambre, nous navons que le courage de nous coucher. Nous nous endormons enlacés dans les bras lun de lautre.
Le lendemain matin, nous nous rendons à lIUT, arrivés sur place, nous apprenons que les profs sont en grève surprise et que les cours sont annulés jusquau lundi. (Noublions pas que nous sommes tout juste un an après mai 68, les grèves étaient fréquentes). Nous décidons daller tout de suite chez mes parents. Après être passé à ma chambre, Sonia va prendre ce qui lui faut chez elle, et nous partons. Elle sest changée et entre dans la voiture avec un haut assez moulant sur un soutien-gorge sans armatures et une jupe droite à mi cuisses. Elle est craquante, je me penche pour déposer un baiser sur chacune de ses cuisses.
A suivre