Après la Sophie qui m’a fait découvrir le sexe, voici l’histoire de la seconde Sophie de ma vie.
Fin des années 70, je m’installe dans une grande ville dans le sud de la France. Comme d’habitude, nous invitons ma femme et moi les deux couples de voisins vivant sur le même palier. Il y a Michel et Michelle avec leur deux enfants Marie 10 ans et Thomas 6 ans et Hugues et Jeanine avec leurs deux filles, Sophie 5 ans et Virginie 3 ans. Le contact se passe très bien et au fil des jours, mois, années nous devenons très amis, malgré le déménagement d’Hugues et de sa famille.
Marie et Thomas sont deux enfants très réservés. Sophie est une petite fille douce et câline alors que Virginie est plutôt du style bulldozer avec une petite jalousie vis à vis de sa soeur. Le contact avec Sophie passe très vite entre nous. Elle m’adore et est toujours avec moi quand je suis chez ses parents. Les années passent, nous nous voyons pratiquement tous les week end. Pendant 15 ans nous passons ma femme et moi toutes nos vacances avec Hugues et Laurence et les enfants. Les enfants grandissent, les filles deviennent femmes. Marie est maintenant avocate, Thomas est ingénieur aéronautique, Sophie est chef de groupe dans une société de marketing et Virginie est DRH dans une société de transport. Hugues et Jeanine ont divorcés assez vite. J’ai été le témoin de remariage d’Hugues avec Laurence. Entre temps, j’ai eu une fille Cécile qui a maintenant 23 ans. Sophie adore Cécile, elle la considère un peu comme sa petite soeur. Je divorce en 1998. En 1999, Sophie doit quitter la région pour son travail.
En 2006, je suis invité avec Cécile au mariage de Virginie. Sophie a maintenant 32 ans, c’est devenu une femme d’une beauté à couper le souffle. Elle est très jolie avec ses cheveux blonds bouclés sur ses épaules, grande, très bien faite, une poitrine toujours haute, un ventre toujours plat, des fesses à damner un saint, des jambes interminable et bien galbées. A 32 ans c’est un canon, une femme, une vrai.
La cérémonie au temple protestant se passe très bien et tout le monde se retrouve sur la place devant le temple pour discuter un peu et prendre des photos. Je suis le photographe officieux du mariage. Mon rôle consiste à photographier tout le monde pendant tout le mariage jusque tard dans la nuit. Le photographe officiel, lui, est resté que 1 heure pour les photos des mariés. Je prend mes photos avec un gros télé pour être assez éloigné et ne pas interférer dans les discutions. Je ne trouve pas Sophie dans mon objectif. Je fini par la voir dans sa voiture entrain de pleurer. J’entre dans la voiture côté passager. Elle se penche sur moi et pose sa tête sur mon épaule. Je lui caresse les cheveux.
— Que se passe t il Phiphi?
— Je n’aime pas qu’on continu à m’appeler Phiphi, tu le sais bien Jean.
— Je sais mais c’est plus fort que moi, je ne peux mempêcher de t’appeler Phiphi, tu es ma Phiphi, pour ton père aussi d’ailleurs. Ceci dit, que se passe t il? Pourquoi tu pleures comme ça?
— Je suis triste parce que je n’arrive pas à trouver quelqu’un qui reste avec moi. Virginie se marie, comme elle j’aimerais fonder une famille mais tous les hommes que je rencontre ne sont intéressés que par mon cul. Ils ne cherchent qu’à me baiser pour se faire un canon sur leur tableau de chasse.
Nous discutons 10 minutes dans la voiture, j’arrive à la dérider un peu et tout le monde se dirige vers le lieu de la réception.
Je photographie toute la soirée, avec un petit faible pour Sophie et Cécile. Vers 2 heures du matin je vais me coucher dans ma chambre. Je suis à poil sous le drap. Je suis sur le point de m’endormir quand on frappe à la porte. Cécile étant passée me faire une bise, je suis un peu étonné.
— Entrez, c’est ouvert.
Sophie entre avec les yeux rougis. Elle vient s’asseoir sur le bord du lit, s’allonge sur le côté et pose sa tête sut mon torse.
— J’ai mal Jean.
— Que c’est il passé?
— Tu as vu le mec qui me draguait? Quand il a compris que c’était foutu pour la baise, il m’a traité d’allumeuse. Je ne comprend pas ce qui se passe.
— Tu es très belle ma chérie, tu attire tous les mâles de la terre, Tu verras il y en a un qui s’arrêtera et qui te comprendra.
Nous discutons ainsi pendant un petit moment. Sophie s’est un peu plus tourné vers moi et je sent sa poitrine libre de toute contrainte contre mon torse. Ces seins fermes contre moi me donne envie de les caresser. La main de Sophie remonte sur mon épaule, elle tire et Sophie remonte vers mon visage. Elle me fait une bise sur la joie, ce geste a crispé sa poitrine qui vibre sur ma peau au travers du drap. Sophie sent mon trouble.
— Tu devrais te coucher Phiphi.
Elle me regarde droit dans les yeux.
— Ou ça?
— Dans ton lit bien sûre.
— Comment se fait il que tu ais une chambre tout seul alors que moi je dois partager me chambre avec Cécile?
— Je suis le meilleur ami de ton père, tu n’es que sa fille.
— Jean, je peux rester ici.
— Tu plaisante j’espère?
— Non pas du tout, j’ai envie de rester avec toi. Pousse toi.
Elle se lève, passe une main derrière son dos, descend le zip et sa robe tombe à terre. Elle est là devant moi en string. Ses deux main le prennent de chaque côté et il descend rejoindre la robe. Son pubis rebondi est lisse et bien bronzé.
— Tu es folle Sophie.
— Pourquoi tu dis ça, je ne suis pas belle?
— Arrête.
Elle saisie le drap, le tire brusquement et je me retrouve à poil devant elle. Je bande!!
— Tu vois que tu as envie de moi.
— Sophie, je t’en prie arrête, je ne veux pas faire l’irréparable.
— Faire l’amour avec une femme, c’est faire l’irréparable?
— Faire l’amour avec sa fille oui. Et je te considère comme ma fille.
— Pour moi tu n’es pas mon père, juste un ami.
Elle se couche à côté de moi et se tourne sur le côté. Elle passe son bras autour de mon cou, me tourne la tête vers elle et me pose ses lèvres sur les miennes. Là je craque, sentir sa peau contre mon corps, sa langue dans ma bouche entrain de tournoyer autour de la mienne me fait perdre toute notion. Je ne suis plus avec Phiphi, je suis avec une splendide femme qui me veut, et qui fait tout pour que je la veuille. Ma main va à la rencontre de sa peau, elle se pose sur sa chute de rein. Je suis électrisé. Ma main descend sur ses fesses, remonte le long de son dos. Je n’ose pas aller plus loin, c’est tout de même la fille de mon meilleur ami. Elle, au contraire, me caresse partout, et sa main arrive sur mon sexe. Elle m’embrasse sur tout le corps en descendant vers la taille. Elle me titille le nombril et descend encore. Sa bouche entre en contact avec ma bite et la gobe d’un seul coup. J’ai un électrochoc dans tout le corps. Elle me pompe deux ou trois fois, me libère et monte sur moi. Ses sein appuient sur mon torse, son corps épouse le mien et tout naturellement ma queue trouve le chemin de sa vulve. La pénétration est lente. Sophie se redresse un peu sur ses bras et commence un mouvement de va et vient avec le bas de son dos. Elle me regarde droit dans les yeux, c’est de l’amour que je vois dans ses yeux, et ça me fait peur. Elle ferme les yeux, continue son mouvement de hanche, renverse la tête en arrière.
— Oui Jean, je viens, vient avec moi mon amour.
Son corps se tend, ses muscles vaginaux me pressent la bite et je joui en même temps qu’elle. Elle joui en silence, les yeux fermés, je vois ses narines battre, son souffle s’accélérer. Elle retombe doucement sur moi et m’embrasse. Je lui rend son baiser mais dans ma tête rien n’est en place. Qu’est ce que je fais?, j’ai toujours considéré cette fille comme ma propre fille et je suis entrain de faire l’amour avec elle. Je suis devenu complètement fou.
— Je peux rester encore Jean.
— Au point ou nous en sommes.
Elle se couche sur le ventre à côté de moi, pose un bras sur mon ventre et ferme les yeux. Je vois son dos, ses fesses offertes. ma main descend le long de son dos et caresse ses fesses. Elle ondule de la taille. Je continue mon exploration mais cette fois ci avec ma bouche. Je lui embrasse les épaules, le dos, la taille, les fesses, les jambes et les pieds. Une fois aux pieds, je remonte entre les jambes en les embrassant une fois à droite, une fois à gauche. Je remonte lentement et Sophie écarte petit à petit ses jambes. Arrivé aux cuisses, elle est entièrement ouverte et je peux voir son sexe mouillé et luisant. Je continue mon exploration pour arrive sur ses lèvres. Ma langue entre dans son puits, titille les lèvres et remonte vers l’anus. Elle se cambre pour me faciliter la tâche. Je titille son auréole et enfonce un peu ma langue dans son cul.
— Oui Jean, c’est bon j’aime, je n’ai jamais été sodomisée. Tu veut bien m’initier?
— Sophie ce n’est pas évidant, il faut une préparation.
— On peut le faire ici?
— Bien sûre, mais ça peut être long.
— J’ai le temps.
Elle se retourne, me prend la tête entre ses mains et me projette sur son sexe.
— D’abord, fait moi jouir avec ta langue.
Je suis à moitié étouffé mais je m’occupe de mon minou avec application. Au bout de quelques minutes, elle joui toujours silencieusement en fermant les yeux. Elle savoure un peu et me dit.
— Que dois je faire comme préparation.
— Te faire un lavement.
— Ok.
Elle se lève et vas vers la salle de bain. Je la vois marcher nue devant moi et encore une fois je me dis que se doit être une des plus belle femme du monde. Elle revient au bout de quelques minutes, j’ai toujours le mêmes pensées en la voyant de face, marcher vers moi en souriant. Elle s’allonge sur le ventre, soulève légèrement ses fesses.
— Je suis prête.
J’ai préparé un gel que j’ai toujours avec moi.
Je m’approche de son fion et commence à passer ma langue sur sa pastille. Elle ondule des fesses, je lui rentre ma langue dans le fion, elle ondule toujours. Je pose un doigt luisant de gel sur son fion et je l’enfonce doucement. Elle ondule encore.
— Vas y doucement Jean mais continue j’aime bien.
J’ajoute un deuxième doigt, fait des va et vient. Je met un peu de gel et j’ajoute un troisième doigt. Je sent que son sphincter se dilate petit à petit. Quand mes trois doigts vont et viennent librement je présente ma queue sur son cul. Je n’ai pas besoin de me branler, je bande comme un fou.
— Attention, j’arrive.
Je pousse doucement. Sophie se contracte un peu puis se détend. Je pousse un peu plus et doucement mes couilles touchent ses fesses. Je m’immobilise pour la laisser s’habituer.
— Ca va? Tu n’a pas mal?
— Un tout petit peu, tout va très bien, tu peux bouger.
Je commence doucement mes va et vient en ajoutant du lubrifiant. Ma bite est de plus en plus à l’aise et mes mouvements de plus en plus rapides.
— Jean je découvre ça à 32 ans, que de temps perdu. Continu je vais jouir.
Je vois qu’elle se caresse le clitoris. Soudain, elle se crispe, son cul se resserre sur ma bite et elle joui mais cette fois ci, elle émet des grondements sourds, à peine audibles. Elle se calme et retombe sur le lit. Je suis toujours en elle, je n’ai pas joui.
— Et toi?
— Ca va ne t’en fait pas.
— Pas question que tu reste sur ta faim.
Elle m’allonge sur le dos et se jette sur ma bite. Son sexe n’est pas très loin de ma bouche et je la prend par les hanches et la positionne au dessus de moi. Je la fait baisser sur ma bouche et je m’occupe de son clitoris. Son odeur menivre, son liquide coule lentement dans ma bouche. Son clitoris, se dégage de ses lèvres et je peux le sucer à loisir. Elle continue sa fellation en augmentant le rythme, ce qui fait que je ne tarde pas à jouir.
— Je viens.
Elle m’agrippe les fesses et reçoit tout dans la bouche. Je la sent se raidir à nouveau. Elle joui une nouvelle fois. Nous redescendons sur terre petit à petit. Je me met dans son sens et elle se blotti contre moi.
— J’ai rarement pris autant de plaisir avec un homme.
— C’est peut être l’expérience qui fait la différence.
— Ou peut être l’amour.
— Sophie, tu ne m’aimes pas d’amour, tu aime Jean, presque ton père. Cet amour n’a rien d’un amour homme femme normal. Ce qui n’est pas normal, c’est ce que nous venons de faire.
— Ce que nous avons fait est fait et je ne regrette rien, bien au contraire. J’ai passé une des plus belle nuit de ma vie et c’est grâce à toi. Ca, ça restera toujours entre nous.
Elle pose sa tête sur mon épaule et s’endort en quelques secondes. Je ne sais que faire, il est 6 heures du matin, je n’ai pas dormi et demain je vais me retrouver devant Hugues. Que vais je faire?
Je réveille Sophie vers 7 heures 30.
— Il faut que tu rejoigne ta chambre Phiphi.
— Pas tout de suite.
Elle tend sa main vers ma bite et commence à la masturber. Evidemment elle réagit tout de suite. Je bande de nouveau. Elle m’enfourche, se soulève légèrement et présente ma bite sur son fion.
— J’ai encore envie par là.
Elle descend sur ma bite et s’enfonce doucement d’un seul coup. J’attrape le lubrifiant et lui tend. Elle se dégage, lubrifie ma queue et s’enfonce violemment ma bite dans le cul. Elle fait des aller retour à toute vitesse et commence à gronder la tête renversée en arrière. J’attrape ses seins qui se balancent devant moi lorsqu’elle joui en émettant toujours ses grondements de plaisir. Elle se couche sur moi et m’embrasse tendrement.
— Jean, je ne sais ce qui va arriver maintenant, mais je n’oublierai jamais la mariage de ma soeur.
Elle se lève, se dirige vers la salle de bain.
— Une petite douche?
Je la suis, elle a déjà réglé l’eau et me fait une place sous le jet. Je la savonne en passant sur tout son corps, j’insiste sur ses seins, ses fesses, et son sexe. Elle aussi me savonne et quand ses mains arrivent sur mon sexe elle constate que je bande encore. Je ne me reconnais pas. Elle se plaque contre moi, se met sur la pointe des pieds, attrape ma bite, l’oriente vers son sexe et redescend dessus. Elle relève une jambe et je la pistonne à toute vitesse. Elle jouit une nouvelle fois, et comme je n’ai pas joui, me fini avec sa bouche.
Nous sortons de la douche, je lessuie, elle m’essuit. je constate qu’elle mouille encore.
— Nettoies moi avec ta langue s’il te plait.
Je me baisse et lui lèche la vulve. Elle plaque ma bouche contre son sexe, se raidi et joui une nouvelle fois en silence.
— Je ne savais pas que je pouvais jouir autant en si peu de temps.
— Tu est faite pour l’amour Phiphi
— Que dieu t’entende.
— Ne melons pas dieu à nos turpitudes.
— Pour moi ce ne sont pas des turpitudes, mais de l’amour.
— Oui ma chérie, mais maintenant il faut retourner dans ta chambre.
— Ok.
Elle se rhabille, m’embrasse fougueusement une dernière fois et sort de la chambre.
Je descend déjeuner vers 11 heures, les chambres sont réservées jusqu’à 12 heures. Dans la salle à manger je vois Cécile et Sophie, rayonnantes, les yeux clairs comme des personnes heureuses.
— Et bien, je vois que tout le monde à la pêche.
— Tu sais que ta fille est rentrée après moi dans la chambre.
— A bon, et tu es rentrée à quelle heure toi?
— A 8 heures et quart.
— Cécile?
— Ca n’a pas d’importance me répond t elle en souriant.
— Un jeune homme apparaît, se dirige vers nous et en arrivant à la table se penche sur Cécile et l’embrasse sur la bouche.
— Papa je te présente Paul.
— Enchanté, je présume qu’il n’est pas étranger à ton retour tardif dans ta chambre.
— Exactement.
Paul est tout rouge et s’assoie à côté de Cécile.
Au bout d’un moment tout le monde se sépare. Sophie vient vers moi, m’embrasse comme une fille embrasse son père avec un sourire radieux.
— Merci Jean, je n’oublierai jamais.
Tout le monde rentre chez soi.
Sophie est maintenant mariée, avec 2 enfants. Elle est revenue dans la région, Cécile est la marraine de son aîné. Nous nous revoyons régulièrement mais, bien que nos embrassades soient plus longues que normal, nous n’avons jamais recommencé.
Paul est mon gendre depuis 1 an.
Ceci conclue mes aventures avec des "Sophie", du moins pour l’instant, on ne sait jamais.