Mon téléphone se mit à sonner juste quand je viens de réaliser un beau plateau-repas, numéro inconnu, je pense que c’est Poppy.
— Allô ?
— Hello miss j’ai laissé mon employé fermer et je suis partie dès que Max a été fini je suis trop impatiente, dis-moi je viens d’entrer dans la rue ta maison est où ?
— Roule, tu vas arriver dans un long virage à droite et en plein milieu il y a un portail gris, tu verras ma voiture, gare-toi à côté et referme le portail ensuite montes l’entrée est sur la droite.
Ding dong, j’ouvre la porte, Poppy est éblouissante dans une petite robe noire légère très courte dévoilant haut ses longues cuisses fuselées et un peu plus que la naissance de ses jolis seins emprisonnés dans de la belle dentelle noire, j’imagine un string coordonné, perchée sur des talons moyennement haut elle m’embrasse comme après six mois de séparation.
Max tout beau me fait la fête.
— Ah je te préfère en robe. Tu me ferais presque craquer sur toi hi hi hi, dis donc tu bosses super bien il est beau comme tout !
— Merci jeune fille. Et ne fais pas la meuf, tu as déjà craqué sur moi !
Elle avait apporté deux bouteilles de rosé que je mis tout de suite au frais puis je lui fais visiter la maison vite fait, elle s’attarde un peu dans ma chambre et nous allons nous installer près de la piscine.
— Oh superbe endroit et pas de vis-à-vis en plus dis donc ! Tes parents ont du blé.
— Non pas vraiment mais ça va, mon père sait tout faire et il a une bonne bande de potes, tu vois le style tous pour un.
— Merci pour l’invite Laurence.
— De rien belle dame, ici on peut se baigner tranquille encore qu’un voisin guette des fois par le trou dans les lauriers au fond.
— Alors il ne faut pas qu’il regrette, il a quel âge ton mec ?
— Bof la cinquantaine.
Je prends Poppy dans mes bras et tendrement nous commençons à nous embrasser gagnées par le plaisir d’être enfin seules. Nos mains découvrant doucement les reliefs de nos corps respectifs et ça devient chaud, bien chaud.
Je m’écarte lentement de ce corps délicieux.
— Doucement ma belle, je vais chercher deux mojitos et des maillots de bain, tu préfères quoi une ou deux pièces ?
— Double dose pour les boissons et plutôt zéro pour les maillots.
— Oh coquine la dame !
Je reviens avec deux grands verres bien pleins et retrouve mon invitée avec uniquement son string et son soutif en dentelle noire assise au bord du lit d’été.
Elle prend les verres et les pose sur une table basse, prend mes mains et m’attire vers elle, je résiste et au contraire c’est moi qui la fais se lever.
— Permettez que je vous admire madame, vous êtes si jolie.
Je la fais tourner sur elle-même admirant ses fesses parfaites en goutte d’eau lui conférant une magnifique chute de reins, puis debout face à moi je reçois en pleine figure le choc de son corps splendide que je débarrasse doucement de ses derniers remparts en dentelle.
Des seins fiers aux aréoles effectivement comme les miennes, le ventre plat au nombril joliment orné d’un piercing au petit diamant, un abricot lisse fendu très haut et surmonté d’une abondante touffe rousse bien entretenue en parfaite harmonie avec sa chevelure de feu qui encadre joliment son visage à l’ovale parfait.
— Stop, tu m’as assez regardée, tu vas voir tous mes défauts et le ravage des années, dit-elle en me souriant et en posant ses mains sur mes épaules.
— Arrête de te vieillir, tu es super jeune, bon, pas comme moi, tu n’as plus tes dix-huit ans mais pas des mille non plus.
— Tu penses que j’ai combien ? me dit-elle tout en défaisant la cordelette qui entourait ma taille et qu’elle laisse tomber à mes chevilles.
— Hum je dirai trente ou plutôt trente-deux, oui c’est ça tu as trente-deux ans Poppy.
— Exactement tu as bien deviné mais maintenant laisse-moi admirer ce corps que j’ai un peu caressé tout à l’heure.
Elle déboutonne lentement ma robe tout en effleurant mes seins qui commencent à pointer au rythme de cet effeuillage. Doucement, le tissu se mit à glisser sur mes épaules et tomba jusqu’à mes pieds en un petit tas chiffonné.
Elle s’attarde pour me regarder puis prend par-dessous mes seins dans ses mains en coupes et me pousse doucement à m’assoir sur le lit. Elle prend nos verres tout en savourant chaque instant avec la lenteur d’une femme expérimentée si loin de l’impatience de la gamine que je suis encore.
Tandis que nous buvons doucement une longue gorgée d’alcool, elle plonge ses doigts dans son verre et en ressort un glaçon qu’elle me passe sur les tétons. L’effet ne se fit point attendre et mes aréoles prirent vite un magnifique volume, toutes gonflées et surmontées de pointes dures et tendues.
Après avoir fait cul sec elle repose nos verres non sans que je garde un glaçon en bouche pour un baiser plein de fraîcheur, nos langues s’enroulent, nos lèvres se frottent et glissent mouillées par le glaçon qui se meurt complice de notre délicieux plaisir buccal.
Tandis que de ses doigts elle triture mes tétons, les roule, les pince, comprime puis relâche mes aréoles au Maximum de leur splendeur sous cette douce torture, elle exerce une légère poussée afin de m’allonger sur le dos.
Je m’installe confortablement vers le centre du lit, offerte, cuisses écartées, sous Poppy qui sans lâcher ni ma bouche ni mes seins s’étend sur moi.
Le contact de nos corps nus nous libère enfin de la frustration qui nous avait envahies après nos premiers attouchements plus tôt dans l’après-midi.
Je la découvre au travers de douces caresses qui m’envoient des sensations plus qu’agréables au fil du cheminement de mes mains curieuses et de plus en plus coquines.
Ses fesses sont douces et fermes, je les touche, les malaxe puis les écarte et enfin passe mes doigts sur son petit trou tout doux, elle ronronne comme une petite chatte.
Tout en quittant ma bouche, elle glisse doucement, embrassant mon cou, mes seins et enfin embouche mes tétons gonflés de désir. Elle aspire, mordille, enroule sa langue puis mordille à nouveau un peu plus fort, ayant les mêmes bouts que moi c’est en experte qu’elle me les fait bander à l’extrême me faisant monter un peu trop vite.
Afin de calmer un peu mes sens je serre mes cuisses autour de sa taille et la retourne sur le dos reprenant la situation en main, à genoux sur elle je me penche pour que ma bouche gourmande de ses seins gonflés lui rende la pareille.
Je compris instantanément ce que voulait dire Sophie quand elle ne tarissait pas d’éloges sur le bonheur de dévorer mes seins maintenant que je déguste leurs jumeaux, oui Poppy a exactement les mêmes tétons que moi, je me redresse, prends ses deux globes magnifiques en mains.
— Jen connais une qui va être au paradis déjà qu’elle est folle avec deux, la avec quatre elle va craquer ! J’adore tes nichons !
— Moi pareil, c’est vrai à part la couleur ils sont identiques mais tu le dis à personne j’adore aussi ta petite chatte.
— Et moi ta belle touffe de rouquine je vais te la bouffer comme jamais !
— Seulement si tu es gentille mais en attendant mon petit renard va baiser ta jolie chatte.
Pendant les éclats de rire complices qui suivirent ces promesses de plaisir, Poppy renversa à nouveau les positions, je noue mes cuisses autour de ses hanches offrant ma chatte ouverte et mouillée aux ondulations du bassin de ma cavalière qui très habilement vint coller sa touffe sur mes lèvres et mon clito.
Nos mains pelotent tout ce qu’elles trouvent, seins, dos, cul, trou du cul, nos visages se frottent l’un à l’autre, nos bouches se dévorent.
J’ondule de plus en plus sous les coups démoniaques de ma rousse en folie qui a passé sa jambe au-dessus de la mienne collant ainsi nos chattes mouillées et gluantes qui se frottent dans un ballet frénétique aux mouvements de plus en plus amples, tandis que deux de mes doigts s’agitent profondément dans son cul dilaté de plaisir.
Poppy malaxe et torture mes mamelons au bord de l’explosion, nous ne sommes plus que deux bacchantes en furie criant crescendo le plaisir d’un orgasme qui nous électrise.
Poppy affalée sur mon corps inerte reprend comme elle peut sa respiration, je récupère lentement et ressors mes doigts de son cul bien ouvert, je les porte à ma bouche et les lèche goulûment, Poppy me regarde et commence à rire, puis me bouffe tout le visage et enfin prend ma bouche pour un doux baiser.
— Hum tu baises comme une petite reine mon chaton, je n’ai jamais eu une première fois aussi réussie !
— Merci poulette mais c’est sûrement grâce à ta longue expérience de vieille meuf ! Aie, arrête, tu me chatouilles ! !
— Tu vas voir la vieille meuf ! Et elle me pince doucement un téton.
— Ben quoi trente ou trente-deux pour moi tu es une mamie, dis-je en riant.
Poppy se redresse et plante ses yeux dans les miens, le regard grave.
— J’ai menti en fait je vais avoir quarante, je suis désolée j’ai eu peur que tu ne veuilles pas de moi si tu savais mon âge.
Ses yeux se remplirent de larmes et elle enfouit son visage dans mon cou, sa tristesse m’envahit également ne pouvant laisser sa déprime monter je retourne ma douce sur le dos et plonge mon regard dans l’humidité du sien.
— Calme-toi chérie ton âge je m’en fous et Sophie aussi, tu es belle gentille intelligente, nous ne sommes que des gamines et cela va nous faire le plus grand bien de fréquenter une vraie femme, ne pleures plus ma petite vieille hi hi heu… pardon ma chérie ne pleure plus.
Je l’embrasse doucement puis je sors ma langue et fais disparaître ses larmes légèrement salées, elle est enfin apaisée.
— Ne doute pas de toi Poppy, je t’aime, je suis amoureuse de toi et Sophie aussi depuis les premiers instants de notre rencontre alors détends-toi, nous saurons si tu veux tes petites chattes et toi notre grande goudou et maintenant un petit plateau et du rosé OK ma chérie ?
— Oui avec plaisir.
Poppy avait retrouvé son beau sourire.
Comme je veux me lever. Poppy me retient et m’embrasse tendrement, passionnément, puis nos bouches se quittent et avant que je me lève elle plonge ses yeux encore un peu embués.
— Je t’aime, je vous aime moi aussi vous êtes un si beau couple et c’est un cadeau merveilleux que vous me faites…
— Chut, tu vas me faire pleurer aussi maintenant je vais chercher le grignotage et le bon rosé que ma vieille goudou a emmené.
Avant que je parte, elle me claque gentiment le cul, je m’éloigne en le tortillant outrageusement.
Tandis que je reviens les bras chargés je découvre Poppy qui nage tranquillement, je pose tout sur le lit et la rejoins d’un plongeon gracieux et après avoir joué un peu dans l’eau nous sortons pour nous draper toutes les deux dans la même grande serviette collée l’une à l’autre en riant puis une fois sèches et assises nous commençons de grignoter.
Quelques verres et pleins de confidences plus tard nous étions tranquillement allongées côte à côte à se raconter des trucs intimes et faire mieux connaissance, plus la discussion avance plus j’aime cette femme, elle est cultivée, intelligente, intéressante à tout point de vue.
— A quoi tu penses chaton ?
— Je pense qu’après toutes ces bonnes choses c’est toi maintenant que je veux dévorer.
Nos corps à nouveau enlacés depuis un moment bercés par une douce ondulation et bien aidés par nos bouches gourmandes firent assez rapidement remonter une chaleur érotique entre nous, Poppy à nouveau étendue sur moi me couvre de caresses et de doux baisers et comme sa bouche descend doucement vers mes seins je décide de la bloquer face à moi.
— Hep hep hep ma petite dame, où veux-tu aller comme ça ?
— « Je vais te dévorer là, et là aussi et encore là » dit-elle en passant sa main sur mes seins, mon abricot humide en achevant son parcours coquin sa première phalange plantée dans mon petit illet.
— Mais bien sûr et moi pendant ce temps je fais l’étoile de mer écartée et offerte sans rien faire d’autre ! Mais tu rêves là Ginette !
J’avais en tête depuis un moment une tout autre suite à nos ébats.
Mets tes pieds au coin du lit là-bas et allonge-toi sur le côté en diagonal et moi je vais en faire de même à l’autre bout et on va commencer par un 69 bisou tu vas voir c’est super !
Poppy s’allongea sur le côté droit de son corps moi idem et nos visages se retrouvent face à face.
Trente secondes plus tard nos bouches s’embrassent en riant puis tout doucement cela devient de tendres et profonds baisers ponctués de furtifs mordillements sur le nez et le menton, nos visages mouillés de salive se font l’amour et nos mains caressent nos cheveux et nos seins.
Lentement ma bouche descend le long du cou de Poppy que je bascule sur le dos tout en empaumant ses magnifiques seins déjà durs gonflés et tendus tout comme les miens dans les mains de ma jolie conquête.
— Mes doigts jouent avec ses mamelons, ma langue doucement déguste ses aisselles humides et lisses aux effluves enivrantes, puis descend lécher les quelques perles de sueur nichées au creux de cette douce vallée si joliment vallonnée découvrant encore une nouvelle saveur de la palette trois étoiles de ma succulente rousse.
Cette position est de loin ma préférée quand tu fais l’amour à une femme pour la première fois permettant une douce découverte réciproque des trésors de chacune, cette femme est un pur délice le plaisir des sens dans toute sa splendeur.
Après un léger ralentissement sans vraiment marquer l’arrêt sur les contours de son nombril diamanté ma bouche commence à explorer le luxuriant pelage de ce joli renard tout humide de nos cyprines mêlées.
Poppy me renversa nous retrouvant à nouveau sur le côté, elle plie une jambe faisant de sa cuisse un merveilleux oreiller ou poser ma tête devant cette fente aux lèvres gonflées de désir et d’excitation indécemment offerte par la position très ouverte de son autre jambe repliée très haut le talon contre la fesse.
Le bras passé sous sa cuisse permet à ma main de passer entre ses fesses pour aller jouer avec sa petite bague de bronze qui frétille déjà autour de mon doigt intrusif, de l’autre je masse ses seins en pinçant les jumeaux de mes mamelons puis après avoir admiré quelques instants sa chatte coulante de plaisir je plonge langue tendue vers ce puits à orgasme profondément ouvert par la position de ma rousse qui me prodigue les mêmes attentions.
J’adore l’amour miroir, recevoir exactement ce que tu donnes laisse l’impression d’être la télécommande du corps d’en face puis d’être toi-même dirigée quand l’autre prend la barre de ce navire d’amour.
Tandis que je dévore goulûment sa chatte trempée mes mains continuent leur manège entre seins et petit trou, son corps est un vrai régal qu’on le caresse, le suce ou le respire, de son côté Poppy aspire et lèche mon bouton d’amour entièrement décapuchonné elle mordille de plus en plus fort déclenchant des coulées de mon jus d’abricot dont elle se délecte à intervalles réguliers.
Derrière c’est le festival ses deux mains écartent mes fesses au Maximum ses pouces me crochètent la chatte toujours dévorée par une bouche affamée et ses index et majeurs me défonce la rondelle.
Chaque paire de doigts s’enfonçant alternativement au plus profond de mon cul dilaté et plus elle va loin plus mon oignon s’agrandit, complice heureux de ses bourreaux laboureurs qui m’écartent le trou au point d’en lisser les plis tellement ils étirent mes chairs anales.
Je sens ma proie frémir de plus en plus fort les tremblements s’accélèrent et gagnent tout son corps puis d’un coup elle fixa tout mouvement sur ma personne dévastée par l’explosion d’un orgasme cataclysmique ponctué d’un hurlement guttural et d’un jet de miel intime remplissant ma bouche qui na point quittée sa cramouille dégoulinante aux lèvres complètement distendues et gorgées de sang que je mâchouille comme de délicieux chamallows.
Sans avoir eu le temps de redescendre un peu un second orgasme presque aussi fort que le premier refit décoller ma furie rousse qui cette fois lâcha ses prises sur mes deux trous béants frustrés de cet abandon soudain.
Elle finit de jouir puis change de position venant à califourchon sur mes seins qu’elle caresse de sa chatte trempée en ondulant sur moi provoquant une formidable érection de mes tétons douloureux de plaisir.
Ayant joint le bout des doigts de chacune de ses mains elle me pénétra d’un coup les deux orifices profondément tout en remuant très vite et de plus en plus loin, mes mains se mirent à pincer violemment mes mamelons gonflés et durcis par le plaisir d’un orgasme qui commence à naître tant au plus profond de ma chatte remplie et pilonnée que de mon trou du cul délicieusement explosé par les doigts et presque la main entière de mon roux bourreau d’amour.
L’explosion qui s’ensuivit électrisa tout mon corps traversé d’une intense et exquise douleur prodiguée par les mains démoniaques de Poppy qui, plutôt que de ralentir, augmenta le rythme de ses mains en folies je sens la chaleur en moi devenir presque insoutenable juste au moment ou j’explose une fois encore et encore plus intense que le premier orgasme le deuxième me fait perdre connaissance.
Quand je reviens à moi c’est pour voir le magnifique visage de ma belle penché sur moi.
— Eh bien mon chaton, tu as vraiment pris ton pied, tu m’as même un peu laissée tomber, ça va mieux ?
— Bienvenue chez les vivantes.
Je l’embrasse tendrement.
— J’ai bien fait de te draguer je savais que tu étais un bon coup mon beau renard, ma foxy girl.
— Mais c’est qu’elle prend confiance la môme, n’inverse pas les rôles chaton mais ce n’est que la moitié de ma mission il me reste encore ta chérie à attraper.
— Tu rêves mamie je vais lui dire que tu es nulle et elle ne voudra plus de toi.
— Nan mauvaise fille tu ne vas pas faire ça, tu es trop gentille pour ta femme et pour moi hum chaton.
Je me lève et lui donne un petit baiser.
— Mais non tu as raison, je vais chercher le rosé qui reste au frais.
Je rentre dans la cuisine et Max me file entre les jambes, il veut sans doute aller pisser, je découpe des kiwis et quelques fruits rouges ainsi que du raisin parfait pour accompagner le comté que je coupe en bâtonnets et retourne près de Poppy au bord de la piscine les bras chargés de notre petit en-cas.
Je reste clouée sur place et manque de tout lâcher en découvrant la scène qui se déroule sous mes yeux effarés.
Poppy est allongée sur le dos se caresse les seins en pinçant fort les bouts, les fesses légèrement dans le vide et les pieds posés au sol, les cuisses écartées le plus possible et bien campée sur ses pattes devant cette femelle en chaleur Max la gueule tendue en avant lui bouffe la raie sur toute la longueur du clito au son joli trou du cul en passant par sa chatte ouverte luisante de bave et de cyprine, la tête de Poppy se tourne vers moi.
— Pose tout ça et viens vite t’assoir sur mon visage je veux jouir en bouffant ta cramouille dégoulinante chaton.
Je pose le plat et me rends compte qu’effectivement je dégouline de la chatte et que mes seins bandent à nouveau, je les pince très fort en tournant les pointes entre pouce et index, presque trop tant la douleur qui se propage dans toutes mes terminaisons nerveuses est forte !
Je passe mes mains entre mes cuisses et sur ma motte pour les enduire de cyprine et je viens m’agenouiller au-dessus du visage souriant de Poppy, j’écarte doucement les genoux pour que mes lèvres rejoignent les siennes et pose mes mains gluantes sur ses seins déjà gonflés par les caresses que la dame vient de prodiguer généreusement.
Mon chien interrompt la toilette de la chatoune rousse, me regarde et comme je lui souris et ne l’engueule pas il reprend cet étrange cunnilingus imitant la bouche gloutonne entre mes cuisses qui me mordille les lèvres, les aspire, les mâchouille tandis que mes mains s’occupent de plus en plus fort de cette belle paire de nichons les mains de Poppy écartent ses grandes lèvres le plus possible pour que Max pénètre son vagin au plus profond que sa longue langue lui permet en effet depuis un moment il avait cessé les allers-retours sur les orifices et le clito gonflé pour ne s’appliquer plus qu’entre les lèvres de cette chatte humaine.
A voir comment respire notre jolie chienne les aptitudes de Max se révèlent bien au-dessus de la moyenne humaine tous sexes confondus et combinées à une main sur ses tétines et l’autre maintenant sur son bouton d’amour tout tendu, plus aucun doute n’est permis quant à l’imminence d’un orgasme qui va la foudroyer.
L’attente fut courte et le corps de Poppy se tend d’un coup comme un arc.
Elle interrompt bien involontairement la dégustation de mon coquillage et crie son plaisir.
Sa cyprine gicle plus qu’elle ne coule inondant la gueule de Max qui n’en perd pas une goutte.
Je remue mon bassin sur le visage trempé de ma rousse secouée par une succession d’orgasmes qui hurle de plus belle sous cette secousse encore plus intense que ce qu’elle vient de vivre.
Tandis que je continue à remuer, elle me bascule sur le côté.
Max finit de nettoyer les cuisses de Poppy et va s’allonger un peu en retrait, le bout de sa bite sorti de plusieurs centimètres tandis que ma douce rousse finit de redescendre.
— Héé chérie pourquoi tu m’as balancée je n’ai pas encore joui moi !
Elle se redresse et m’attire tout contre elle, m’embrasse.
— Je ne veux pas que tu jouisses chaton, enfin pas de suite, laisse-toi faire, viens ici devant moi.
Poppy s’agenouille, me prend la main et me fait assoir devant elle, m’allonge sur le dos les épaules sur ses cuisses et la tête sur son ventre.
Elle passe ses mains dans le creux de mes genoux et remonte mes cuisses, mes fesses se trouvent au bord du lit.
— Que veux-tu faire Poppy ? Non je ne sais si…
— Chuuuuuuut chaton, laisse-toi faire, tu as vu comme j’ai joui ? Maintenant c’est ton tour ton chien est formidable, laisse-moi commencer ton éducation canine tu me remercieras et Sophie aussi.
Tout se bouscule dans ma tête. Sophie, Poppy, mes mains sur le sexe de Max au salon et le goût de son sperme le drap et nos chattes trempées quand il nous a léchées pendant notre sommeil et les réactions de Sophie une fois dans un sens, une fois dans un autre entretenant l’ambiguïté de ses pensées réelles sur le sujet.
Max écoutant l’appel de Poppy vient doucement pointer son museau entre mes cuisses ouvertes dévoilant mes trésors les plus intimes.
— Allez viens Max vas-y c’est pour toi les bons trous trous parfumés de ta maîtresse.
Je sursaute quand il pose sa truffe humide sur mon clito et sens instantanément une coulée de cyprine.
— Oh tu mouilles bien dis donc coquine, tu vois que j’ai raison laisse toi faire mon chaton.
Poppy se penche pour me dévorer la bouche tout en caressant mes seins tandis que Max maintenant me parcourt toute la raie il semble marquer une nette préférence pour mon petit trou chocolaté qui s’ouvre de plus en plus à la pénétration de la langue intrusive.
Poppy qui me titille par de petits mouvements circulaires sur le bouton donne involontairement envie à Max de venir me bouffer la chatte il quitte mon cul tout dilaté et plonge sa langue sur mes lèvres gonflées et écartées maintenant par les mains de Poppy qui en même temps joue sur mon clito avec les ongles de ses pouces, je ne résiste pas longtemps au traitement si profond de la langue de Max et je décolle en criant.
— Oui vas-y jouis ma chérie oouuiii tu aimes hum.
Je suis prise successivement par plusieurs orgasmes dévastateurs, tellement puissants que je remercie mentalement Poppy tout en jouissant encore et encore.
Je redescends doucement quand Max vient poser ses pattes avant de chaque côté de mes seins, sa bite énorme et collante de sperme entre mes cuisses.
Poppy rapide comme l’éclair sauta s’agenouiller derrière lui, passe deux mains autour de son corps pour empêcher Max de rentrer dans ma chatte, il s’agite déjà comme un fou mais n’eut pas le temps de trouver un trou.
Je referme mes jambes sur le dos de Poppy l’emprisonnant avec Max contre moi, plus vraiment maîtresse de mes gestes.
Poppy pris à pleines mains le sexe du mâle qui est déjà gonflé à pour ne pas qu’il me défonce la chatte mais elle frotte le bout tout excité entre mes lèvres en le branlant.
Max déchainé comme jamais je ne l’ai vu avant donne de furieux coups contre ma motte trempée je sens les mains de Poppy branler de plus en plus fort cette énorme bite qui ne résiste pas et m’envoie un torrent de sperme sur la chatte.
Plusieurs giclées chaudes se succèdent et un nouvel orgasme vient me remplir la boîte à plaisir puis après la dernière Poppy vire le mâle canin et se jette comme une gourmande bouche grande ouverte et langue sortie pour me brouter le minou et ainsi boire tout le sperme qui macule abondement mon conin.
Tout en bouffant comme une folle elle me rentre deux doigts profondément dans le cul graissé lui aussi de sperme qui a coulé entre mes globes écartés, puis deux posés sur mon clitoris turgescent, elle les agita fortement, leur action combinée à la langue en furie font que je redécolle encore une fois lâchant un feulement guttural qui n’en finit pas, tout mon corps retombe, inerte comme démembré.
Poppy remonte en rampant sur moi, posa sa bouche sur la mienne, force le passage avec sa langue et me déverse dans la bouche tout le sperme qu’elle a gardé pour ce patin délicieusement velouté qui dura plusieurs minutes puis chacune avale le contenu de sa bouche.
— Merci ma grande goudou d’amour sans toi je n’aurai jamais osé.
— Tu vas voir ce n’est qu’un début et on va aussi s’occuper de ta chérie, je t’aime chaton, je vous aime toutes les deux et je suis impatiente de goûter à Sophie tu vas voir, nous allons passer de superbes moments à trois
— Peut-être à quatre mais chut, tu auras une surprise enfin si tu le mérites. Dis-je.
— Oh il me tarde. Je serai patiente, promis.
Puis, après avoir remis sa robe, ses sous-vêtements dans son sac et m’aider à ranger, nous échangeons un tendre dernier baiser puis Poppy rentre chez elle.
Je rentre dans la maison, je reste nue pour prendre une douche dans ma chambre, quand je sors de la douche, je m’essuie et là je vois Max étendu sur mon lit.
Je le rejoins et remonte le drap sur nous, il me tourne le dos, je lui passe une jambe par-dessus, un bras sous sa tête l’autre entre ses pattes arrière se referme sur ses couilles lisses.
Je m’endors la tête remplie d’images confuses qui se mélange et le corps collé tout contre ma boule de poils.