16h, Sophie termine sa première journée de cours. C’est sa première journée à la fac
de sciences. Il y a beaucoup de garçons et quelques jolies filles. Sarah appréhendais
beaucoup, en effet, c’est la première fois qu’elle allait habiter seule, dans la banlieue
bordelaise, ville inconnue pour elle. Sophie est originaire du Nord, de Dunkerque plus
précisément. Le nord du Nord. Du haut de son mètres 58, des formes là où il en faut, blonde à
cheveux long et ses yeux bleus, elle a eu quelques flirts mais rien de sérieux. C’est donc
seule qu’elle est arrivée en train dans le Sud Ouest chaleureux et ensoleillé.
Revenons-en à la situation : Sophie termine donc sa première journée. Présentation
des profs, agenda de la semaine et… intégration. Les éléves de deuxième et troisième année
sont venus se présenter et proposer quelques activités pour le jeudi qui arrive. Les
propositions sont variées : activités sportives, visite de la ville, présentation de l’école
puis rassemblement pour une soirée certainement alcoolisée.
Sophie rentre donc dans son 15m² au 1er étage de la résidence universitaire, avec un
beau balcon donnant sur un parc verdoyant. Malgré tout celà, elle déprime un peu, la solitude
lui pèse. Elle prend une douche, appelle ses parents et quelques amis puis se réchauffe un
plat tout prêt. Le lendemain, les cours commencent, ennuyeux et monotones, dans un calme
étonnant de la centaine d’élèves.
Le Jeudi approche vite et Sophie décide d’opter pour la visite de la ville. Au moins,
ce sera utile. Les températures sont toujours bonnes en ce mois de septembre et elle choisit
une petite jupe arrivant au genoux, noires et plissée, un débardeur blanc légèrement
transparent et décolleté et les dessous noirs assortis. Une vingtaine d’élèves sont présents
au point de rendez vous, les accompagnateurs sont là aussi. Il y a Sébastien, cigarette aux
lèvres, pas très grand ni très beau ; Jonathan, costaud et mesurant 1m90 ; et enfin, Karim,
plutôt bien foutu et accueillant. Dans le groupe, une autre fille nommée Léa, fine, élancée,
petite poitrine mais des fesses bien rebondies, puis des mecs, de toutes origines et allures.
La visite commence, les passages stratégiques Tour Pey-Berland, Cathédrale Saint
André, la place de la bourse et de la victoire ainsi que le Monument aux girondins. Jonathan
propose ensuite d’aller boire un verre en terrasse, la petite bande se trouve une place pour
se désaltérer. Ensuite, Karim propose d’aller jusqu’à la plage pour terminer l’après midi en
attendant la soirée prévue. La mer est calme, une petite marche au bord de l’eau s’improvise.
Léa, qui est en pantalon reste sur le sable tandis que Sophie s’est déchaussée et profite de
la fraicheur de l’eau.
—– La soirée d’intégration —–
La soirée avait lieu dans un manoir ancien, pas loin de l’université. Certains garçons
étaient déjà amochés par l’alcool et surement quelques drogues douces.
Sophie et Léa arrivèrent ensemble, elles commençaient à tisser des liens. Léa était d’origine
asiatique et avait enduré beaucoup d’épreuves dans sa vie. Ses parents étaient décédés alors
qu’elle avait 16 ans et elle n’avait pas de frères et surs. C’est peut être pour cela
qu’elle prenait Sophie comme une sur de substitution.
Elles sont toutes les deux bien coiffées, habillées sobrement mais chic (jupe ample mi
longue, chemisier décolleté). Léa ne porte pas de soutien gorge, son petit 85B n’en a pas
besoin. Lorsqu’elles arrivent à 20h, elles sont les seules filles présentes. Jonathan joue le
rôle de videur même s’il est plus alcoolisé que ceux à l’intérieur. Il leur dit:
– "Bonsoir Mesdemoiselles, je vais devoir procéder à la fouille d’entrée."
– Sophie présenta son sac : "Vas y, qu’est-ce que tu cherches ? Ca sent déjà la drogue et l’alcool ici !!!"
– "Il faut que je vois si vous n’avez rien de dangereux sur vous", en disant çà il commence à passer ses mains le long des hanches de Sophie.
– Elle se recula vivement "Ca va pas non, ne me touche pas"
– "Excuse moi mais c’est le règlement"
– "Quel règlement, tu es bourré c’est tout !"
– "Du calme ma jolie, rappelle toi que tu n’es qu’en première année, tu as juste le droit d’obéir". Jonathan avait dit çà, un sourire narquois s’affichait sur son visage mais
Léa intervient
– "C’est bon laisse nous entrer…". Puis elles ouvrirent la porte.
– "A plus tard les filles !"
A quoi d’autre pouvaient elles s’attendre qu’à des cadavres de bouteilles, de la musique à
fond et des pièces enfumées… Encore une soirée d’alcooliques. Karim est là, lui est sobre.
Il propose aux filles de prendre leurs sacs mais elles les gardèrent.
Sophie pris un soda et Léa un whisky coca. D’autres filles arrivèrent une heure plus tard
alors que la fête bâtait son plein.
Vers minuit, certaines des filles de la promo étaient aussi bien alcoolisées. Elles dansaient
sur les tables et certaines atteignait la limite de la décence. L’une d’elle, Julie, avait
le chemisier à moitié ouvert et les mecs l’entouraient pour admirer son sous vêtement et la
naissance de ses globes bronzés. D’un coup, la musique s’arrêtât. Jonathan se mit dans le
coin salon et annonça la suite de la soirée.
– "Merci d’avoir participé à cette soirée d’intégration. Sachez que tous ceux qui
sont présents ce soir sont désormais intégrés à l’école. Pour les autres, nous nous
occuperons de leur faire savoir ce qu’ils ont loupé. Maintenant, je veux vous voir tous sur
la piste de danse".
Tous se mirent donc face à Jonathan avec l’idée de faire une chorégraphie débile pour leur intégration.
– "Maintenant, vous aller vous mettre par deux. Nous allons faire un concours."
Le concours démarra par un slow, 20 des 40 participants furent éliminés, principalement les
duos de garçons. Ensuite, la musique enchaina sur de la zumba, les jupes virevoltaient lorsque les filles sautaient et certains gars s’affalèrent par terre suite à leur effort imbibés d’alcool. Il restait désormais Sophie avec John, un garçon charmant, 1m82, 80Kg, musclé au sourire radieux. Léa s’était retrouvé avec un type sans grand intérêt prénommé Joel. Il restait ensuite 2 autres "couples" dont Julie, visiblement à moitié inconsciente mais dont le déhanché sexy avait dû penché en sa faveur lors des votes. Jonathan repris la parole
– "Maintenant, changement de programme. Nous avons les meilleurs nouveaux couples.
Vous allez nous le prouver ! Embrassez vous, et mettez y de la bonne volonté".
Julie se jeta sur son binôme, elle lui roula une pelle monstrueuse et ils échangèrent leurs
effluves de whisky. Léa, qui avait un peu bu, embrassa à tâtons Joel mais juste de la pointe
de ses lèvres. Pour Sophie, pas question d’embrasser quelqu’un à peine rencontré. Elle se
figea sur place et refusa tout contact.
– "Qu’est qu’y a la jeunette ? Il est pas beau ton étalon ?"
– Sophie répondit qu’elle n’était pas là pour être humiliée
– "Tu le fais ou alors c’est moi que tu embrasses" lui répondit t’il, mais elle ne bougea pas.
– "Très bien, vous êtes éliminés. Je reviendrais sur ton cas plus tard. Passons à la finale. Par défaut, il nous reste donc Julie et Léa pour les filles. Pour les mecs, Joel et Franck".
– "Commençons par les mecs. Vous aller, à tour de rôle, boire une bière cul sec et
ce, jusqu’au premier qui abandonne". Joel et Franck burent une dizaine de bière puis tombèrent au sol pratiquement en même temps.
– "Bien ! Les filles, une dernière dans pour vous départager. La gagnante aura droit
à une immunité pour l’année à venir. Allons-y !"
Karim mit la musique à fond, c’était celle de 9 semaines 1/2. Léa était stressée à l’idée de
ce que l’on attendait d’elle, un strip tease ! C’est elle qui commença, elle dansait
lascivement, puis au bout d’une minute, elle défit les boutons de sa jupe puis la fit glisser
le long de ses jambes élancées. Un beau shorty rouge apparu sur sa peau bronzée, ses fesses
rebondies recelèrent les acclamations de l’assemblée. Elle continua de danser comme çà
quelques secondes avant d’entendre "Le haut ! Le haut !". Elle commença à enlever les boutons
un par un tout en maintenant les pans du chemisier qui était le seul rempart à sa poitrine
nue. Léa finit de danser sur la musique en se massant la poitrine à travers le chemisier et
en jouant à le remonter et le descendre pour dévoiler son nombril. Quand la musique
s’arrêtât, la salle était en folie, mais Léa avait refermé son chemisier et remit sa jupe.
Tout le monde avait bien vu qu’elle ne portait rien sous ce dernier.
Vint ensuite le tour de Julie, elle se déchaina et fit sauter la boucle de son pantalon et
l’envoya valser dans la foule. Idem avec son débardeur. Une fois en sous vêtement, elle
tournoya autour de la rambarde d’escalier en s’y frottant avec sensualité. Encouragée par les acclamations, elle dégrafa son haut et exhiba une belle poitrine avec de petits tétons
fièrement érigés. Julie se mit à 4 pattes puis creusa le dos sous les cris de tous les mecs.
Enfin, elle osa, surement aidée par ce qu’elle avait ingurgité, délacer les 2 nuds de sa
minuscule culotte qu’elle ôta lentement pour exhiber son sexe totalement épilé. Elle reprit
sa position à 4 pattes et offrit à tous la vue de ses deux orifices.
La musique terminée, celle ci prit enfin conscience du spectacle et se dépêchât de renfiler
ses sous-vêtements mais elle ne trouva ni son soutif ni son pantalon. Karim la félicita
– "Je crois que le vote est unanime, Julie gagne ce concours ! Bravo Julie." dit-il
en l’enlaçant et en plotant ses fesses.
– "Je voudrais quand même féliciter la dauphine, Léa vient ici s’il te plait".