Sophie à l’EHPAD 2
Mon nouveau maître
Maîtresse avait organisé une soirée à l’EHPAD avec Gabrielle, Martial, son doberman, et Maître Lô.
J’espérais que nous aurions une soirée remplie de surprises et de sexe.
Car la plus belle des récompenses m’attendait après près d’un an au service des petits vieux de l’établissement.
Maîtresse allait enfin réaliser mon rêve…
Pour ma préparation, Martial et Gabrielle m’avaient douchée, fait un double lavement anal.
Le premier, traditionnel avec de l’eau tiède, du Normacol (laxatif total) et un peu d’huile pimentée, et le second, à la fumée de tabac. Gabrielle était adepte de cette mode-là, très prisée du temps de sa jeunesse en Guadeloupe, disait-elle. Elle m’avait soufflé, dans le trou du cul avec un tuyau en plastique transparent, la fumée qu’elle tirait d’un gros cigare de La Havane.
La cérémonie se déroulait dans le patio où nous avions donné la représentation de la pièce égyptienne. L’estrade était montée au centre et j’étais, comme à l’accoutumée pour les soirées avec Maître Lô, uniquement vêtue d’une paire de hauts talons, de mon collier de cuir et de la laisse qui y était accrochée.
Je l’accueille avec la poignée de la laisse entre les dents, les mains sur la tête, les jambes écartées et le ventre poussé vers l’avant en signe de soumission. J’ai encore des relents de fumée de cigare dans le nez.
Il vérifie la douceur de mon ventre, sans poils pour l’extérieur et humide, pour l’intérieur. Je ferme les yeux pour me délecter de ce moment. Mais j’oublie sans cesse une des règles : les yeux ouverts et baissés. Rien n’échappe à Maître Lô, et en guise de punition, j’ai droit à une morsure sur mon téton gauche. L’inattendu et la brutalité de son intervention me font perdre pied au propre comme au figuré et je me retrouve pliée en deux sur le sol.
Le doberman est déjà en train de me renifler et de tenter de mettre sa langue dans ma fente. Maîtresse le repousse et décide de calmer le jeu en me conduisant, par la laisse, sur l’estrade où j’ai droit à un tabouret. Martial prend le relais en la saisissant alors que Maîtresse rejoint Maître Lô.
Silence ! le moment est important.
Maîtresse prend la parole :
Sophie, dite Tétine, pour nous, est-ce que tu veux vivre chez Maître Lô, lui obéir, le servir, accepter toutes ses exigences, subir ses désirs et ses ordres dans les mêmes conditions qu’à l’EHPAD ?
J’étais très impressionnée devant tant de solennité. Je regardais mon futur nouveau Maître. Lui aussi était figé dans l’attente de ma réponse.
J’étais excitée par le silence que je faisais régner. Je me taisais sciemment. Mais ma réponse était dans l’acceptation que j’avais faite de moi-même. Personne ne semblait le comprendre.
Entièrement nue et offerte, sans aucune défense, c’était clair !
Réponds Tétine !
Je me décidais à leur dire :
J’ai renoncé à moi-même, Maîtresse ! Je suivrais vos ordres sans aucune retenue.
Ils applaudirent tous ensemble. J’étais émue et des larmes coulaient de mes yeux. C’était magique, chacun, à son tour, ils me félicitèrent et eurent des mots gentils pour moi.
Je ne m’attendais pas à une telle réaction unanime, mes mots résonnaient dans ma tête.
Je demandai à Maîtresse une seule permission : pouvoir passer voir mes parents avant de prendre résidence chez Maître Lô.
Mon départ fut décidé démocratiquement par l’assemblée des personnes présentes.
Il y eut un vote, et chacun prit une boule noire et une boule blanche; l’urne était mon vagin et le dépouillement devrait se faire uniquement par la contraction de mes muscles vaginaux internes.
Je reçus, tour à tour, et sans que les autres ni moi-même puissions les voir les boules d’une des deux couleurs. Au total, ce fut quatre boules qui envahirent ma cavité sexuelle. Leur diamètre devait être de 6 ou 7 centimètres.
C’était énorme !
Allongée sur l’estrade, les jambes écartées et relevées, visible aux yeux de tous, je poussais sur mes muscles vaginaux. Un projecteur éclairait mon entrejambe pour faciliter le « dépouillement ».
Ce furent quatre boules blanches qui sortirent tour à tour de ma chatte. Mon appartenance à Maître Lô était acquise à l’unanimité. Même le doberman était en joie et profita de l’euphorie et de ma position pour me lécher la chatte ; je me laissais faire.
S’ensuivit l’ouverture d’une bouteille de champagne et c’est mon vagin qui fut la coupe où chacun put boire le breuvage pétillant. Bien sûr, ce n’était qu’une façon décalée et chacun eut une coupe à vider… La bouteille flirtait quand même avec ma chatte puisque Martial, toujours inventif, poussa le chien pour qu’il me pénètre avec le goulot qu’il enfonçait loin. Les gestes de masturbation faisaient mousser le vin qui s’échappait en jets de mon vagin trempé.
À nouveau sur l’estrade du patio, je dus répondre aux questions de Maître Lô, de Maîtresse, de Martial et de Gabrielle. Ce questionnement était nécessaire pour ma future vie aux côtés de Maître Lô, disaient-ils…
C’était plus une inquisition qu’une activité sexuelle, mais c’était très sérieux et je devais répondre sans mentir et avec sincérité, les détails étaient appréciés. L’interrogatoire se déroulait sous la lumière d’un projecteur dirigé sur moi, et les personnes présentes étaient assises, me faisant face, sur des fauteuils confortables.
Mains liées dans le dos, cuisses ouvertes, yeux baissés, j’étais dans la soumission totale.
Les questions portaient sur mon enfance, mes relations avec mes parents, mes voisins, mes camarades : avais-je été le souffre-douleur de ma classe, de mes professeurs, de mon cousin, du curé, des docteurs, pendant mes vacances en colonie, et des commerçants près de chez moi ? Les questions sur mon thélotisme chronique étaient nombreuses. Chacun voulait des détails sur ce que je ressentais avec mes tétons toujours en érections et d’une grande sensibilité. Même Maître Lô ne connaissait pas d’autre femme atteinte de cette maladie, il avait bien évidemment l’intention d’en tirer le plus grand plaisir et je n’étais pas contre du tout, bien sûr !
Celles sur mon éveil sexuel étaient les plus nombreuses : les émois que j’avais ressentis durant toute ma vie, la perception des désirs que j’avais générés chez autrui.
Est-ce que je regardais mes parents nus par le trou de la serrure de la porte de leur chambre ? Je le faisais quelquefois, mais c’était plutôt mon père qui éveillait ma curiosité et dès que je le pouvais, je le matais. Il faut dire qu’il n’était pas très pudique. Je parlais aussi de la voisine qui me gardait assez souvent et qui était collante à toujours vouloir me faire des bisous.
A quel âge, avais-je commencé à me masturber, et de quelle façon ? Est-ce que je prenais des objets et lesquels ?
Je reconnaissais me caresser et plus particulièrement le clitoris.
Maîtresse me demanda si je jouais de la guitare avec mon sexe. Cela me fit rire, mais elle se leva pour me donner une gifle sur le sein. Je compris que je ne devais pas plaisanter !
Oui en effet, le mouvement était un peu le même et suivant mon envie, on pouvait dire que je jouais de la guitare sur ma chatte !
De peur d’être punie ou sermonnée, je leur expliquais les bienfaits de la douchette, en variant l’intensité de l’eau et la chaleur. Passer du froid au chaud en ouvrant à toute puissance le jet était pour moi la promesse d’un orgasme réussi.
Le manche de ma brosse à cheveux faisait partie de ma panoplie masturbatoire.
J’avais en permanence dans ma chambre une bouteille en verre de coca sur l’étagère au-dessus de mon lit. Mes parents pensaient que c’était une décoration, mais je me l’enfonçais bien profondément, jusqu’à couvrir complètement l’étiquette. J’aimais la sensation du verre dans mon vagin.
J’avouais que j’avais été rackettée et que pour ne pas me faire prendre mon argent, je mettais un billet dans un petit tube que je glissais dans ma chatte. Mes mains déliées me permirent de montrer comment je m’y prenais.
J’écartais mes lèvres et glissais (pour l’occasion Gabrielle, m’avait donné le bouchon de la bouteille) le tube dans mon vagin. Je fis quelques pas pour montrer comme il tenait bien au fond de ma chatte.
Maîtresse me questionna sur les sex-toys, mais je n’en avais jamais utilisés. Comme les objets vibrants étaient à l’ordre du jour, un effort de mémoire me rappela que ma brosse à dents vibrait, même si a priori, il ne s’agissait pas d’un sex-toy. J’expliquais donc comment j’écartais mes lèvres pour dégager mon clitoris et posais ma brosse à dents en marche dessus.
Maître parla avec Martial qui disparut un moment pour réapparaître avec ma propre brosse.
C’est Gabrielle qui s’y colla et sans ménagement écarta davantage mes jambes pour que l’assemblée ait une vue plongeante sur ma chatte. Martial avait dirigé le projecteur non plus sur mon visage, mais sur mon sexe offert. Des doigts boudinés de sa main gauche, Gabrielle distendait le haut de mes lèvres, et de la droite activait le mouvement rotatif de la brosse pour ensuite me la coller sur mon bouton d’amour. Je gesticulais, ce qui me valut de la part de Maîtresse un nom dont elle ne s’était jamais servie avec moi :
Tiens-toi tranquille, petite branleuse, ou je te rattache !
À vrai dire, Martial prit l’avertissement au premier degré et je dus le laisser faire. Il lia à nouveau mes mains dans mon dos.
Je haletais sous le tremblement de la brosse qui résonnait jusqu’à mes oreilles. Mais Gabrielle était plus fine que je ne le pensais : elle appuyait à peine sur l’objet, ce qui augmentait encore l’effet vibratoire. C’était divin, bien plus que lorsque je me le faisais quand j’étais seule.
Le regard des autres était un stimulant terrible et je jouissais comme une folle. Cela ne l’arrêta en rien : elle avait décidé de m’épuiser ; j’avais des orgasmes à répétition. Le groupe s’était rapproché de moi pour ne rien perdre du développement de mon clitoris qui, d’un rose pastel, était passé au rouge écarlate, grâce au sang qui s’accumulait en lui. Il était tellement décapuchonné que Gabrielle avait lâché mes lèvres et me triturait les tétines.
Au bout d’un quart d’heure, j’étais morte de fatigue, mon sexe et mes cuisses sont trempés. La brosse à dents arrêta enfin son mouvement mortel. Mais mes jambes continuèrent de vibrer pendant un moment.
On me laissa reprendre mes esprits et je soufflai un peu. J’en profitais pour réfléchir à ce que j’avais dévoilé et à ce que le sexe représentait avant de travailler à l’EHPAD.
Autant je n’avais eu sur le tard, après mes 18 ans, qu’une seule expérience sexuelle (pas réussie du tout !), autant je m’amusais avec mon corps depuis longtemps.
Maîtresse me demanda même, si je sentais mes petites culottes le soir, avant d’aller au lit. En rougissant, je reconnaissais l’avoir fait et l’aurais fait encore maintenant, mais comme je n’en portais plus depuis que j’étais à l’EHPAD…
Maître prit ma réflexion comme de l’arrogance et Martial eut l’ordre de me fesser la chatte.
Je ne bronchai pas pendant tout le temps que dura ma punition : je trouvais un plaisir immense à me faire ainsi battre devant le groupe et je trempais la main de Martial avec mon jus de fille. Ma cyprine coulait en faisant briller ma peau. Il avait des filets de mon jus intime entre les doigts.
L’interrogatoire se poursuivait : je devais dire ce que je pensais des rapports sexuels que j’avais eus avec telle ou telle personne, y compris celles qui m’interrogeaient. J’eus droit à des coups de gueule, comme un suspect interrogé dans un commissariat.
J’avais l’impression d’être une petite fille qui se faisait gronder par de grandes personnes.
Je dévoilais sans pudeur mes attouchements avec mon cousin et le bien-être que j’en tirais, la façon dont il m’entraînait à jouer au docteur et, en y réfléchissant, ces jeux avaient peut-être eu une incidence sur mon orientation professionnelle.
J’avais avoué ne pas être entièrement satisfaite du sexe avec le doberman de Martial. Une bonne partie de la soirée tourna sur les expériences que je pourrais avoir avec d’autres animaux. Toute l’arche de Noé y passa, avec les détails les plus sordides sur ce que l’on envisageait de me faire subir.
Chacun y allait pour savoir ce que je pensais de chaque proposition cruelle qui était envisagée. J’avouais mon désir de me faire prendre par un âne à cause d’un souvenir de mon enfance.
En effet, en vacances à la campagne avec mes parents, j’avais vu le sexe d’un âne pendre entre ses jambes. C’était énorme et mon esprit en plein fantasme avait imaginé que je jouais avec ce morceau de chair bandée et que je lui faisais du bien.
De nombreuses propositions virent le jour à cette occasion.
Je rejetais beaucoup d’entre elles…
Martial voulait me faire mettre à disposition d’une connaissance qui était soigneur dans un zoo et me faire baiser par chaque animal et ceci pendant toute une semaine afin de parfaire mes expériences sexuelles en tous genres.
Gabrielle, qui avait décidément un problème avec le passé de ses ascendants, insistait pour me faire voyager en Afrique et me livrer à des cultivateurs, servir d’esclave et y être traitée comme les négriers traitaient les personnes déplacées arrivant d’Afrique à l’époque de la colonisation des Antilles par les Blancs.
Maîtresse voulait me faire interner dans une unité psychiatrique, dont une amie à elle était directrice. Le but était d’étudier comment je me comporterais en milieu hostile avec des hommes déclarés irresponsables ou internés pour des délits et crimes sexuels.
Ils n’étaient pas à court d’idées et chacune m’effrayait un peu plus au fur et à mesure qu’avançait l’heure et que l’alcool faisait effet. À la fin de la séance, on me proposait de me faire greffer une bite au-dessus du vagin…..
C’était n’importe quoi ! Et heureusement que Maître Lô était vigilant et avait la tête sur les épaules. Certaines résolutions furent prises, mais suscitaient nombre d’interrogations de ma part quant à leur réalisation ; mais elles étaient ’’ possibles …
J’imaginais les animaux me pénétrant, les fous se ruant sur moi et les fermiers noirs m’attachant au poteau de torture pour me fouetter. Mon esprit vacillait quelque peu. J’étais détachée et abreuvée.
La soirée était une débauche sexuelle, chacun avait à l’esprit les situations évoquées et les accords que j’avais donnés.
Maîtresse me laissa dormir jusque tard dans la matinée. Je passai mon après-midi à réparer les excès de la veille. Après un entretien sur les obligations et les papiers à remplir, je passais ma dernière soirée à l’EHPAD. Mes dernières visites étaient tristes et je comprenais que mes pensionnaires avaient de l’affection pour moi.
Martial me déposait dans la matinée à la gare pour prendre mon train.
Mes parents
J’arrivais le lendemain après-midi chez mes parents.
Une fois à la maison, je racontais ma vie à l’EHPAD, en occultant certaines de mes frasques, mais en avouant ma soumission à la directrice. Je sentais bien le sentiment de revanche de ma mère par rapport à la décision que j’avais prise, contre son gré, de partir loin d’eux.
Elle ne tarda pas à me faire des reproches et je me laissais aller à une nouvelle forme d’abandon qui venait renforcer ma totale servitude envers ceux qui me dirigeaient.
Les questions fusaient et je sentais confusément la direction plutôt charnelle de leurs interrogations.
J’avais l’impression de revivre la soirée de la veille quand je m’étais racontée sur l’estrade de l’EHPAD.
C’est alors que maman, en présence de mon père, baissa mon haut en éponge rose, pour faire jaillir mes petits seins pointus soi-disant pour vérifier l’avance de ma maladie des tétons.
J’avais eu un geste pour l’en empêcher, mais c’était d’avance perdu. Je rencontrai son regard noir puis baissai les yeux aussitôt.
Tes tétines de chèvres se sont encore développées, qu’est-ce que tu leur as fait ?
Je dus avouer que la directrice y mettait des pinces pour son plaisir sur l’instigation de Maître Lô, mais que je lui étais reconnaissante de le faire.
Mes parents se regardèrent et je percevais leur désir d’explorer plus avant mon expérience professionnelle.
Sur l’entrefaite, la voisine qui m’avait gardée quand j’étais petite fit son entrée; sous prétexte de rapporter un fouet manuel pour battre les ufs en neige, qu’elle avait emprunté à maman.
Bien sûr, me voyant dépoitraillée, elle ne pouvait que ’se taper l’incruste ’’. Elle aussi, tout en les tapotant, ne put s’empêcher de faire une remarque sur mes tétons.
Ma mère ne s’arrêta pas en si bon chemin et raconta que j’avais eu des expériences sexuelles sur mon lieu de travail. Tout en parlant, elle passa ses doigts à l’arrière, de chaque côté de mon mini-short en éponge rose, coordonné à mon petit haut, et le baissa d’un coup. Je me retrouvais entièrement nue devant eux, au milieu du salon.
Tu te rases la chatte maintenant ? Tu deviens une vraie chienne, tu devrais avoir honte, tu veux que je te punisse comme si tu avais 10 ans, quand tu faisais pipi dans ta culotte ?
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Elle ne pouvait s’empêcher de me rabaisser plus bas que terre. C’était sa manière à elle de maîtriser la situation ; elle faisait la même chose avec mon père.
Des images me revenaient en mémoire et je me retrouvai à poil dans l’appartement familial. Sans pouvoir y mettre de nom, une ambiance lourde se faisait sentir, je ne savais pas si c’est l’inceste qui se profilait, ou si c’est moi qui était le déclencheur érotique.
Toujours est-il qu’il ne fallut pas longtemps pour que des mains s’égarent, au commencement sur mes seins, mais rapidement sur ma fente. La voisine vantait la douceur de mes lèvres et mon père celle de mon vagin. Maman, fidèle à elle-même, donnait les instructions à suivre et dirigeait son petit monde. Je la retrouvais bien comme elle était : une maîtresse qui s’ignorait.
Elle aurait été en concurrence avec Maître Lô.
Ma position changeait suivant les ordres et je me retrouvais sur le canapé, les fesses en l’air et les jambes à l’équerre. Papa trouvait que mes ouvertures étaient plus grandes et que j’avais dû recevoir plus que des bites dans mes orifices.
D’où connaissait-il le diamètre de mon trou du cul et la profondeur de ma chatte ?
Tout le monde semblait un peu fou, cette situation qui était mon lot et que j’adorais à l’EHPAD, me semblait tellement décalée ici que je la trouvais irréelle. Ce qui était pourtant bien réel, c’était mon père qui forçait ma bouche de son sexe dressé. J’avais ses couilles sur le nez dans la position qui était la mienne !
Mais je suçais avec délice la bite que j’avais dans la bouche.
Je m’excitais moi-même avec les pensées qui m’assaillaient. Maman me fessait et la voisine jouait avec mon sexe ouvert…
Mais elle ne pouvait se résoudre à laisser les choses se dérouler normalement…
Elle décida de branler mon père et ordonna à la voisine de manger mes lèvres et mon clitoris.
Maman m’écrasait la mâchoire et masturbait papa comme une malade. Le pauvre était déjà au septième ciel et déchargea dans ma bouche et sur mon visage. J’avais un masque de beauté à base de sperme.
Je ne tardais pas à jouir à cause de la sensibilité et du savoir-faire des lèvres de ma voisine qui me mâchouillait. Je pensais devoir nettoyer la bite de mon père, mais sur instruction de maman, c’est elle qui s’en chargea.
Je m’interrogeai sur leur relation de voisinage…
La tension retomba et le trio prit un rafraîchissement, alors que je devais rester à quatre pattes sur le tapis du salon avec interdiction de joindre mes cuisses. Une soucoupe avec de l’eau fut posée devant moi avec interdiction de me servir de mes mains.
Mais j’avais l’habitude de boire ainsi. Merci Gabrielle !
Une fois rafraîchie, je redevins le centre d’intérêt et de divertissement du trio infernal. Ce n’était plus mes parents, mais un couple pervers qui réalisait ses fantasmes; accompagnés dans leurs excès par une comparse, elle aussi, aux ordres de maman. La voisine m’avait noué des rubans roses aux chevilles et aux poignets, «pour la décoration »avait-elle dit.
Maman ordonna à mon père de prendre le fouet qui avait été rapporté et de me le rentrer dans la chatte pour « battre ses ufs de l’intérieur » !
Une nouvelle fois manipulée, je me retrouvais allongée sur la table à manger où j’avais pris tellement de repas , jambes à l’équerre. La voisine écartait mes lèvres à deux mains et papa appliquait les fils de fer qui composaient le fouet à l’entrée de ma grotte. Il poussait doucement dessus, mes lèvres s’écartaient au fur et à mesure que l’objet rentrait dans mon vagin. Les chairs étaient poussées de chaque côté contre mes parois internes.
Une fois le diamètre le plus gros passé, elles purent reprendre leur place, mais je sentais une énormité dans ma chatte. C’est curieux : quand j’ai quelque chose en moi, j’ai la vision de la même dimension à l’extérieur. Là, j’étais remplie de manière interne, mais il y avait juste un manche que je pouvais apercevoir à l’extérieur.
Maman s’en saisit et imprima un mouvement masturbatoire de va-et-vient à l’objet, mais également des rotations. C’était très excitant et je gémissais comme une chienne en chaleur. La voisine me massacrait les seins et papa jouait de la guitare sur mon clitoris. J’étais trempée et ma cyprine dégoulinait le long de mes cuisses. Ma mère était écarlate et transpirait à me branler avec force et rapidité. Je criais à tout rompre, ce qui me valut la main de la voisine en guise de bâillon.
J’étais complètement ramassée, mais maman continuait, elle n’avait pas eu son compte probablement !
J’avais eu trois orgasmes coup sur coup.
Je restais affalée sur la table, les jambes pendantes. J’eus le droit de boire normalement dans un verre.
La discussion reprit, un peu comme si rien ne s’était passé. J’étais désorientée par le déroulement de la scène. Mais y aurait-il eu une autre façon de procéder ?
La voisine repartit après m’avoir embrassée, et papa me rhabilla. Maman me fit obligation de revenir à une date précise, promit de bien meilleures expériences, que ce que je pouvais attendre de n’importe qui : « Une famille, ça ne se remplace pas ! »
C’était péremptoire et je la trouvais un peu gonflée, mais je ne regrettais rien. Les cas d’inceste sont légion encore de nos jours dans les campagnes et peut-être même dans les villes.
J’avais rendez-vous le soir même avec Maître Lô qui m’amènerait dans ma nouvelle demeure.
La soirée fut délicieuse et je lui racontai l’entrevue avec mes parents, sans oublier aucun détail. Il était réceptif et me proposa de les inviter un jour à venir me partager avec eux. Il me dit aimer le candaulisme (je me promis de regarder ce que cela voulait bien pouvoir dire). Après tout, je n’avais pas à avoir d’objection, car j’avais tout accepté d’avance.
Il m’annonça une visite surprise pour le lendemain.
Le nain
L’invité était entré dans la pièce, j’étais nue avec mes hauts talons et un voile noir qui me couvrait de la tête aux pieds. Ma surprise fut grande en découvrant qu’il s’agissait d’un nain. Je sais ce que l’on dit d’une personne de petite taille, mais plus il s’avançait, plus le terme de nain me paraissait juste. Il devait mesurer moins d’un mètre, ce qui veut dire qu’avec mon mètre cinquante-cinq et mes talons hauts, sa tête arrivait à hauteur de mon nombril.
Maître Lô faisait l’article tout en me débarrassant du voile et lui présenta mon corps, un peu comme un maquignon vanterait une des vaches qu’il souhaiterait vendre. Le petit homme soupesa mes seins, écarta ma chatte, y introduisit un doigt. Il écarta ma mâchoire pour saisir ma langue, testa l’élasticité de mon anus et de ma fente. L’inspection dura plus de 10 minutes (facile, l’horloge du vestibule est en face de moi !).
Nous allâmes au salon, mes talons hauts me propulsaient à près d’un mètre soixante-dix et le fait de marcher à côté du petit me donnait confiance en moi, un sentiment de supériorité que je n’allais pas tarder à regretter, car la révélation me fut cruelle lorsqu’il se déshabilla. Sa tête était disproportionnée par rapport à son corps, sa cage thoracique bombée plus que la normale semblait posée sur ses cuisses musclées et en arceau. Mais surtout, son sexe était effrayant, d’un diamètre que je ne croyais possible que pour les chevaux ou les ânes : au moins 5 centimètres. La longueur de son membre devait avoisiner les 25 ou 27 centimètres. Le bout arrivait à hauteur de son genou. Il était plein de poils et je pensais que je devrais faire attention à ne pas en avaler. J’avais quelquefois des pensées complètement hors sujet.
Maître Lô faisait une vidéo en me cadrant sous tous les angles.
Je ne pouvais le prendre en bouche.
Je suçotais son gland violacé et toute la longueur de sa bite, ses couilles étaient épaisses, mais ce qu’il voulait c’était une feuille de rose. Je m’exécutais en enfonçant ma langue dans son anus poivré. De ses bras courts, il me tenait la tête emprisonnée sous lui et me dictait ce que je devais faire à quelle vitesse et donnait des détails qui m’auraient fait rougir il y un an.
Maître Lô me rappela mes obligations et je m’appliquais à satisfaire le petit homme assis sur ma bouche qui me ravageait la chatte de ses petites mains. Il avait enfoncé jusqu’au poignet sa main droite dans mon vagin et la tournait en tous sens. Cela me faisait un effet dingue et je jouissais à n’en plus finir. Le plus effarant était qu’il faisait la même chose avec sa main gauche, qu’il enfonçait dans mon trou du cul. J’avais bien senti que Maître m’avait déversé du gel dans le fondement pour faciliter l’intromission. Les deux petites mains se côtoyaient dans mon corps, elles arrivaient à se toucher et le petit homme se frottait littéralement les mains dans mes intestins et ma chatte. La paroi qui séparait ses menottes était fine et je sentais parfaitement tous les mouvements que le nain faisait. Je n’en finissais plus de gémir ; si des voisins avaient été présents, ils m’auraient entendue à des kilomètres à la ronde. Je n’avais jamais ressenti quelque chose de pareil !
Je restais sans réactions quand le petit homme sortit ses mains d’un seul mouvement de mon corps. Un bruit bizarre se fit entendre et je me retrouvais vide.
La situation ne dura guère, car il m’enfila sa bite dans la chatte à grands coups de reins. Pour être remplie à nouveau, il n’y avait pas eu de problème ! Il ne s’arrêta pas en si bon chemin et trouva celui de mon anus.
Un coup sur deux il changeait d’étui pour sa bite : mon cul puis mon vagin l’accueillaient tour à tour…
Heureusement que Maître Lô avait lubrifié mes entrées ! J’avais le cul en l’air et regardais vers le sol quand la caméra me filmait en gros plan, mais par ironie je tirai la langue. Mal m’en prit ! Maître Lô n’apprécia pas mon humour et j’en fus quitte pour une grande paire de gifles. Le geste déclencha chez le petit homme une éjaculation importante et je fus submergée de sperme. Bien sûr, je dus lui nettoyer sa bite avec ma langue, mais l’abondance de semence m’obligea à lui lécher les couilles et les fesses.
Je dus rester allongée sur la table basse et deux verres et la bouteille de whisky furent posés sur mon torse avec interdiction de faire tomber quoi que ce soit.
Le petit homme me biffait les joues et les yeux avec sa grosse bite encore dure et humide. Je les fermais et restais allongée sans bouger.
Je m’étais étonnée qu’il ne s’intéresse pas plus que cela à mes seins. Mais c’était sans compter avec le fait que maintenant, ils étaient exposés devant lui et qu’il n’avait qu’à étendre le bras pour les toucher, ce qu’il ne se gêna pas de faire durant tout le temps que dura leur conversation sur mes disponibilités à satisfaire les hommes. Il me donna une fessée sur la chatte en accélérant le rythme des coups. Un léger clapotis se fit entendre malgré mes feulements et je ne tardai pas à avoir un nouvel orgasme.
Je devais faire des miracles pour que les objets qui étaient sur moi ne tombent pas au sol. Il me triturait les tétines sans pitié, de ses petits doigts boudinés; aidé par maître Lô qui avait posé sa caméra sur un pied : elle continuait à tourner. Mes tétons étaient durs et Maître Lô ne tarda pas à y apposer les fameuses pinces plates en métal qu’il affectionnait particulièrement. Le petit homme prit un malin plaisir à les animer ; elles mordaient mes tétines et il me fixait droit dans les yeux pour guetter le moindre signe de souffrance. Puis, il abandonna mes seins pour mieux tripoter mes lèvres et mon clitoris.
Il le roulait entre ses doigts, le tirait, le malaxait. Cela me rappelait la manière de faire de Gabrielle à l’EHPAD. Il l’étira et il devint aussi gros que ma phalange de petit doigt, si bien qu’il arriva à le masturber. Je n’avais jamais ressenti cela avant. Je bandais littéralement ! Comme celui d’un homme, mon micropénis était énervé et ultrasensible.
Il était expert, il me révélait mon propre corps, repoussait mes propres limites, c’était un mini-dieu d’amour ! L’extase m’emporta et je défaillis, rejoignant les esprits des rêves.
Il fit couler goutte à goutte dans ma bouche grande ouverte le breuvage qui me redonnait des forces. Je revins à moi.
Le petit homme que j’avais sous-estimé s’était révélé un baiseur hors normes et j’étais déçue qu’il reparte déjà. J’espérais que Maître Lô l’inviterait à nouveau pour repousser encore les limites de ma nature avide d’expériences.
La soirée
Peu de temps après la visite du petit homme, j’eus des informations le concernant par Maître Lô.
Non pas qu’il me tenait au courant de ses affaires, mais une simple réflexion après une communication téléphonique m’avait suffi pour en savoir plus. Je devais revoir le baiseur hors norme à l’occasion d’une soirée organisée chez un dirigeant politique régional.
Cette sortie revêtait une grande importance, vu la façon dont Maître Lô m’expliquait la façon dont je devais me comporter. J’avais la tenue qu’il affectionnait : talons aiguilles noirs de 11 centimètres de haut, cape noire entièrement ouverte, pinces métalliques sur les tétons et surtout aucun maquillage. Jamais ! Ca te vieillit, disait-il…
Et pour finir : ma laisse fixée à un large collier clouté autour de mon cou. C’est le nain qui tenait la poignée de ma laisse !
Je voyageais à quatre pattes sur le siège arrière de la voiture ; d’une main nonchalante, Maître Lô visitait mon vagin. Le petit homme conduisait. La route me sembla interminable, je devais rester sur les coudes et les genoux, sans me rattraper à rien. Je devais compenser les basculements dans les virages.
Après un long moment, nous franchîmes une haute grille noire qui se referma derrière la voiture et après quelques dizaines de mètres nous stoppâmes devant le perron d’une belle demeure en pierre blanche. Autour, un parc paysager avec des spots qui éclairaient les arbres et la maison donnait une forte idée de richesse.
Le petit homme vint me prendre par la laisse et se chargea de me faire patienter pour que je me trouve derrière Maître Lô.
Un homme d’une cinquantaine d’années avec les cheveux gris, très élégant, dans un smoking noir, salua mon Maître. Il était en compagnie d’une femme brune plus jeune, vêtue d’une longue robe noire, style fourreau; fendue sur le côté sur toute la hauteur à partir de la taille, avec un décolleté plus que généreux. Ils étaient tous trois en discussion et personne ne s’intéressait à nous, si bien que nous suivîmes le trio à l’intérieur sans que je sois présentée à qui que ce soit.
Dans le hall, deux autres hommes, répliques du premier; si ce n’est qu’un d’eux avait un ventre proéminent; nous observaient.
Maître Lô s’écarta pour nous faire avancer vers eux et la femme qui maintenant, nous regardait également. Nous devions présenter un drôle de couple, le petit homme vêtu d’une culotte bouffante rouge, d’un boléro doré ouvert sur son torse bombé, d’une paire de babouches, d’une coiffe faite d’un turban et moi. Il avait tout à fait le style d’un serviteur de l’Empire ottoman ou d’un eunuque de harem, ce qu’il était loin d’être !
J’allais oublier le poignard à sa ceinture, qui devait inspirer le respect !
Les pans de ma cape étaient largement écartés et j’avais pris la position de la parfaite soumise : je voulais faire honneur à mon Maître. Il me présenta et je bombais encore plus mon ventre pour faire saillir mes petites lèvres roses déjà humidifiées. Les regards convergeaient vers mon sexe et cela m’excitait énormément.
Le fait d’être tenue en laisse par le petit, d’être entièrement nue et offerte alors que tous étaient habillés de la tête aux pieds provoquait en moi un sentiment d’infériorité et de total abandon qui me ravissait.
Un des hommes avait demandé si j’étais majeure. Je fais jeune, mais là, à poser ce genre de question ! J’avais 19 ans révolus quand même ! Mes cheveux blonds, mon mètre cinquante-cinq (hors talons), mon petit gabarit et ma petite poitrine ne me vieillissaient pas, c’est sûr !
Cela me rappela une histoire. J’étais allée au cinéma avec deux copines, mais au moment de prendre mon billet, le film étant réservé aux plus de 18 ans (pas un film porno, juste quelques scènes sanglantes), on me demanda si j’étais avec mes parents. Forcée de montrer ma carte d’identité pour prouver que j’avais bien l’âge requis, j’avais été vexée et mes copines se moquèrent de moi. Il est vrai que ma petite jupe courte à volants, mon chemisier blanc à dentelle, mes socquettes dans mes chaussures plates, ainsi que mes couettes, me faisaient sans doute paraître plus jeune que je n’étais.
Les explications de l’origine de mon sacerdoce évoqué par Maître Lô m’étaient très largement connues, mais me mettaient toujours en état de pâmoison, comme si l’on ne parlait pas de moi, mais d’une tierce personne.
Il récitait un discours de la servitude volontaire de La Boétie, ainsi que la doctrine d’Homère :
« Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres ; n’en ayons qu’un seul,
qu’un seul soit le maître, qu’un seul soit le roi.» Je me retrouvais parfaitement dans l’abandon de mon être (mais sans connotation religieuse), en accord complet avec ce que disait Maître Lô qui citait La Boétie. Ces paroles faisaient gonfler mes parois vaginales qui s’humidifiaient au fur et à mesure des phrases que j’entendais et mon seul désir était d’être pleine, mon sexe était avide de se faire remplir.
Sur l’invitation de mon Maître, des mains ne tardèrent pas à s’emparer de mon corps. Elles testaient mes muscles, ma peau, ma bouche, mes oreilles, ma chatte et mon cul. Mes seins exigeaient des détails sur l’origine de la grosseur des tétons. Les pinces, un temps manipulées, me furent ôtées.
C’était toujours à ce moment-là que j’avais mal. Je ne pus réprimer une grimace, ce qui me valut une gifle instantanément.
Mais ce n’était pas mon Maître qui me corrigeait : la femme brune avait eu le réflexe avant lui. J’étais un peu vexée et l’interrogeai du regard. Mais elle avait intercepté mon message et immédiatement, me propulsa au sol. Dans le mouvement, j’aperçus son entrejambe et constatai avec plaisir qu’elle était nue sous sa robe.
Chacun y allait de sa réprimande, invoquait ma grossièreté et réclamait un châtiment. Le nain me tenait serrée, sa main près de mon collier clouté pour que je n’esquive pas les claques qui m’arrivaient dessus comme la pluie un soir d’orage. J’étais abasourdie : ma présentation avait dégénéré si rapidement !
Mais pourquoi ?
Je protégeais ma tête avec mes mains et touchais le sol avec mon visage. Mon dos et mes fesses, très exposés par ma position, recevaient moult coups de toutes sortes. J’étais un peu comme dans une bulle : mon corps subissait les assauts, mais mon esprit était séparé de lui. J’étais ma propre observatrice et constatais que ma cape n’était plus là et que mes chaussures devaient vivre leur vie sans moi.
Des mains finirent par me saisir, m’arracher de terre et m’emporter dans les airs. Je volais à plus d’un mètre du sol.
J’entrevis un rongeur sous moi, lui aussi tenu par une laisse, probablement une fouine ou un furet, tout blanc.
Mon vol terminé, après avoir traversé deux pièces, je fus déposée sur la vaste table basse du salon, écartelée par les quatre hommes, le nain me tenant toujours serré au ras du collier, et la superbe brune, entre mes cuisses, me jaugeait du regard, ses yeux pénétraient les miens.
Je baissais le menton en totale allégeance, ma soumission était entière.
J’avais envie que cette femme, inconnue un instant avant, me fasse souffrir, m’humilie, me traîne plus bas que terre, me fasse honte et révèle toutes les choses inconnues des hommes, qui me feraient vouloir mourir, mes envies profondes de femme en chaleur, mes fantasmes inavouables, tellement ils étaient sordides.
Je souhaitais être sa victime, mais je voulais sa langue dans ma bouche et ses mains dans ma chatte.
Elle devait avoir des antennes, car elle m’embrassa sauvagement, tout en fichant une main entière dans ma grotte. J’étais trempée et la pénétration était douce. Je remuais mon corps, plus pour exciter les hommes qui avaient sûrement le sentiment que j’étais réticente, que par souffrance, comme ils l’imaginaient probablement. Je vibrais au rythme du va-et-vient de la main qui avait pris place dans mon corps. Le bruit de clapotis m’excitait au plus haut point et je ne tardais pas à avoir un orgasme violent.
Mon corps était arc-bouté tellement ma jouissance avait été forte.
Maître Lô ordonna au nain de sortir son sexe et de me le coller dans la bouche. Je fus immédiatement envahie, ses couilles reposaient sur mes yeux, ma tête pendait le long du pied de la table en direction du sol. Je ne voyais pas ce qui se passait, mais je sentais des mains malmener mes tétons, des bouches happer mes lèvres sexuelles. J’espérais qu’il s’agissait de la brune…
Je déchantai vite après un bref abandon, car de petites dents trop pointues pour être celles de la femme grignotaient ma chair.
Le furet blanc était à l’uvre, sûrement maintenu devant l’entrée de mon vagin par un des hommes.
Ce n’était pas déplaisant, même plutôt agréable, mais j’avais envie d’être défoncée. Je sentais son museau humide contre mon ouverture et les doigts de la brune les ongles ne pouvaient pas me tromper ! écartaient mon vagin, distendaient mes lèvres au maximum, et les commentaires fusaient. Je compris facilement que le but était d’enfouir la tête de la bestiole entièrement dans ma chatte grande ouverte.
La brune les conseillait et mon bassin était maintenu en place comme scellé à la table.
La bite du nain était sur ma glotte et son sexe me semblait encore plus long que lors de sa découverte. Ce qui se passait sous ses yeux devait l’exciter tellement qu’il avait encore grandi de quelques centimètres.
Je sentais le rongeur remuer en moi, ses poils rugueux frottaient contre les parois internes de mon vagin.
Je coulais littéralement de plaisir, j’avais des orgasmes à répétitions, mais cela n’arrêtait en rien le désir des personnes présentes.
C’était au tour des petites pattes d’être introduites dans mon antre. À ma grande surprise, je ne sentais pas de griffes, sûrement le propriétaire les avait préventivement ôtées.
J’avais un vrai mandrin dans le corps, la bête devait avoir été engloutie pour moitié dans mon sexe. Le nain lâcha son sperme dans ma bouche et je toussais à m’en étrangler. On me manipulait, on me déplaçait.
Je le vis enfin !
L’arrière-train du furet dépassait de mon ventre ! Un peu comme si j’accouchais de la bête.
Les hommes avaient leur sexe à l’air. Je restais immobile et déclarai :
Laissez la Maîtresse faire seule, je ne bougerais pas, elle peut faire de moi ce qu’elle voudra, mon corps lui appartient.
Oui, je sais ! C’était un peu théâtral, mais je le pensais vraiment.
J’étais partie en délire, les hommes me lâchèrent et se masturbèrent en regardant ce que Maîtresse faisait entre mes jambes; subjuguée par ma totale soumission.
Agenouillée, j’apercevais ses cuisses fuselées. Penchés, ses seins étaient presque libres. Une beauté ! J’avais envie d’être son esclave asservie.
L’homme qui recevait expliquait que le furet avait l’habitude d’entrer dans les terriers des lapins, que c’était pour cette raison qu’il voulait toujours aller plus loin.
Maîtresse finit par me masturber avec l’animal. Elle le manipulait avec précision et savoir-faire. J’étais en eau, la cyprine coulait le long de mes cuisses. Mais elle finit par me l’ôter. Un bruit proche d’une bouteille que l’on débouche résonna quand la bestiole sortit de moi, laissant ma vulve grande ouverte. J’étais vide et désemparée. Je la vis se carapater sous un meuble et se nettoyer le museau.
Je pensais obtenir un répit pour reprendre mes esprits, mais c’était sans compter sur cette femme magnifique. Elle me fit disposer sur une table plus haute, les jambes toujours grandement écartées, elle me tendit le portemine Mont-Blanc (je reconnaissais la petite étoile blanche) de celui qui recevait.