Second défi
Les préparatifs
Les suites du séjour au centre des délinquants sexuels récidivistes avaient été pénibles. Je mis près d’une semaine pour me rétablir. Maîtresse Syl et Charles avaient été indulgents et m’avaient laissée récupérer tranquillement. Même les chiens étaient câlins et doux avec moi. Bien sûr, ils me faisaient l’amour, mais dans le respect, j’allais dire avec amour.
Maîtresse avait donné la permission à Josiane de m’emmener à la piscine puis, un autre jour, à une soirée entre filles.
Sous le moindre prétexte, elle m’avait fait mettre nue devant un maximum de personnes. Dans la douche des filles que je prenais sans maillot obligation me fut faite de me frotter longuement pendant ma toilette intime, face aux autres usagers, mais non face au mur.
Quand nous arrivâmes dans le bassin, Josiane alla faire la bise et discuter avec la maîtresse-nageuse qu’elle devait connaître. Je me méfiais des connaissances de Josiane, non pas que j’avais des apriorismes sur les gens qui venaient de milieu modeste moi-même j’en étais issue , mais elle semblait avoir des fréquentations douteuses. Bon, c’est vrai que je suis méfiante, voire un peu jalouse d’elle, mais quand même …
Je me baignais avec un maillot que je n’avais découvert qu’au moment de me mettre à l’eau : trop petit, blanc et transparent dès qu’il était mouillé. J’offrais un spectacle intéressant pour les hommes comme pour les femmes présents en ce milieu d’après-midi.
Le toboggan fut l’occasion pour elle de tirer sur les cordons de chaque côté de ma culotte et j’arrivais dans le grand bain le cul à l’air. Je dus nager nue avec seulement mon soutien-gorge trop petit.
La maître-nageuse siffla et me fit sortir de l’eau.
Elle me fit la morale et m’expliqua que je ne devais pas me balader à poil devant tout le monde, car l’établissement était à vocation familiale.
En fait, elle faisait durer le plaisir et un attroupement se fit autour de nous. Son sermon n’en finissait pas ! Je restais bouche close et bras ballants en attendant que je puisse récupérer mon maillot.
C’est en fait elle qui se chargea, avec la perche qui sert à apprendre à nager, de repêcher mon vêtement.
Josiane s’en empara et fit les nuds de chaque côté de la petite culotte blanche.
Puis je fus contrainte de la remettre devant tout le monde et bien sûr, le mouvement pour l’enfiler me fit lever les jambes, ce qui laissa entrevoir ma fente qui s’entrouvrait.
Josiane savait doser le temps pour que chacun puisse profiter au maximum de mon exposition.
À la fin de la séance, alors que je repassais nue sous la douche, elle m’essuya et me dirigea sans que je sache où nous allions : elle m’avait complètement aveuglée en me mettant la serviette sur la tête.
Elle me guida et me fit entrer dans un autre vestiaire. La serviette disparut et elle avec.
Je me retrouvais alors entièrement nue en présence de deux jeunes hommes. Par réflexe, je cachais mes seins, mais dus laisser ma chatte bien visible. Les deux devaient être copains, car ils se parlaient et avaient la ferme intention de profiter de moi.
Livrée à moi-même, une peur panique m’envahissant, je retournais vers le bassin. Heureusement, Josiane était là avec la serviette. Je me pendis à son cou en pleurant.
Mes nerfs étaient encore fragiles à cause de mon expérience chez les délinquants.
Elle me traita de grosse bête et me consola en me tapotant les fesses.
Le soir, dès que nous fûmes rentrées à la maison, Maîtresse Syl me fit lui faire un cunnilingus et je dus lui raconter notre après-midi à la piscine. Les deux incidents, celui du vestiaire des hommes et la perte de mon maillot lui plurent particulièrement.
Il dura au moins une demi-heure. J’avais son foutre sur toute ma figure, elle était prise d’orgasmes à répétition. Je buvais son jus de fille avec délectation : j’étais en manque de sexe et frustrée de ne pas avoir osé goûter aux deux hommes du vestiaire.
La soirée
La soirée entre filles nécessita une préparation de la part de Charles : lavement. Épilation et maquillage de la part de Josiane de mes tétons et de mes lèvres les deux, celles du haut et celles du bas.
Mes vêtements étaient pour une fois plus couvrants que d’habitude.
Moi qui étais toujours nue, j’avais droit à un chemisier blanc, mais avec un généreux décolleté, une jupe courte évasée bleu marine et des chaussures fermées noires sur des chaussettes blanches.
Pas de sous-vêtements, mais ça faisait des années que je n’en portais plus.
Je crois me souvenir que c’est maman, sur l’instigation de mon grand-père, qui me défendit d’en porter. J’étais plus belle naturellement, disait-il. Il adorait regarder ma ’ fente du bonheur’’ comme il aimait à l’appeler quand ses amis étaient à la maison pour une partie de cartes.
Elle nous conduisit en ville, dans un immeuble quelconque. Nous croisâmes un des habitants dans l’ascenseur qui, croyant parler à des résidentes, nous entreprit sur le ramassage des poubelles. Josiane lui répondit avec humour que c’était moi qui devrais m’y retrouver dedans.
Ils rigolèrent tous deux, l’homme d’un certain âge répondit que ce serait dommage, belle comme j’étais.
Il n’en fallut pas plus à Josiane pour me faire tourner plusieurs fois sur moi-même afin que ma jupe se soulève.
Bien sûr, sans culotte, j’offrais au vieil homme de quoi se rincer l’il. Nous sortîmes de la cabine au quatrième étage à son grand regret, car il aurait voulu savoir où nous logions.
Josiane sonna ; on lui ouvrit de suite. À croire que nous étions guettées de derrière la porte. Embrassades. Josiane me présenta aux deux femmes :
Ma petite chienne particulière,
mais ne se donna pas la peine de me les présenter
J’étais estomaquée qu’elle ose dire de telles choses. J’étais la chienne de Maîtresse Syl et de Charles, mais sûrement pas la sienne. Non, mais !
Je me fis la promesse de le dire à Maîtresse.
Et elle sait aboyer ta petite chiennasse ?
C’était celle qui faisait un peu macho qui disait ça.
La porte palière était encore ouverte et j’avais peur que quelqu’un arrive.
L’autre était plus féminine. Il s’agissait à coup sûr d’un couple de lesbiennes. Je les trouvais un brin vulgaires.
Qu’est-ce que tu attends ? Tu fais moins ta mijaurée quand tu te fais baiser par les chiens !
Josiane avait donné le ton et la soirée ne réservait rien de bon pour moi.
J’y allais d’un wouaf de circonstance, mais pas assez fort à ses dires. J’avais l’angoisse qu’un voisin sorte pour voir ce qui se passait.
J’y allais d’un wouaf retentissant. L’une d’elles ferma la porte ; j’étais soulagée.
Suivirent des commentaires sur mes capacités sexuelles.
Je me retrouvais vite à genoux sur la table basse du salon, envahie par des mains qui me tripotaient.
J’étais contente, car la soirée échappait complètement à Josiane.
Arlette, la femme qui faisait un peu mec, avait pris les choses en mains et donnait le ton à suivre.
Après quelques verres, j’étais à poil et les jambes écartées au milieu des cacahuètes et des bouteilles.
L’autre femme, Jocelyne, me donnait la becquée en me faisant avaler gâteaux secs et graines en tous genres. Josiane et Arlette étaient plus attachées à investir ma chatte et à établir des comparaisons qu’à chercher à tester mes capacités de dominée. Ça ne plaisait pas à Josiane qui avait dans la tête de me faire honte. Elle devait être fâchée de ne pas m’accompagner en Afrique.
Un conciliabule entre elles et je me retrouvais debout derrière la porte d’entrée avec de l’argent à la main.
Des pizzas avaient été commandées et je devais les réceptionner seule et à poil.
La sonnette depuis un moment résonnait ; je libérais la porte de l’immeuble grâce au bouton sous l’interphone.
J’attendais l’homme de pied ferme. Je n’avais pas peur, mais je trouvais l’exercice inintéressant. Les filles pouffaient de la cuisine, dans mon dos.
Elles n’étaient probablement pas capables d’en faire autant ! Le livreur que j’avais imaginé jeune à cause de sa voix était en fait un quarantenaire bedonnant.
Je réceptionnais les pizzas et il en profita pour me reluquer et me demanda même s’il devait me considérer comme un pourboire.
Je lui fis signe de la tête et il me ficha sa main entre les cuisses et ma chatte fut tout de suite investie par plusieurs doigts inquisiteurs. Sa bouche ne resta pas inactive, et penché sur mon buste il tétait mon sein tout en mordillant mon téton.
Il faut croire que ça ne plaisait pas aux filles, car Arlette intervint pour le virer de l’appartement.
J’étais frustrée de ne pas avoir joui.
Ça me rappelait quand grand-père me faisait aller chercher le voisin à l’étage en dessous pour jouer aux cartes avec lui, alors que je sortais de ma douche et que j’étais encore toute nue.
Josiane m’accusa de l’avoir provoqué, je me retrouvais au sol et subis les foudres des trois filles.
Des claques pleuvaient sur ma tête bien sûr, mais pas seulement ! Mes seins étaient une cible privilégiée ainsi que ma fente ouverte et humide après les attouchements du livreur.
La masturbation violente à quatre doigts d’Arlette (et des autres) me fit perdre mon calme et je jouis bruyamment devant mes trois masturbatrices.
Je restais seule sur le sol alors qu’elles avaient repris leur place autour de l’apéritif.
J’entendais Josiane qui cherchait à me faire honte.
Vous savez qu’elle fait ses besoins devant tout le monde et qu’elle adore boire ma pisse, la cochonne ?
Je ne fus donc pas surprise de les voir se soulager, toutes les trois, dans un bol vidé de son contenu, et de me le faire boire ensuite.
J’avais acquis une technique qui consistait à avaler rapidement et en bouchant le nez.
C’était tiède, mais à cette heure, moins concentré, donc moins fort que la pisse du matin.
Il n’en fallait pas plus pour déclencher les hostilités et je sentais que ma soirée serait plus hard que je ne le pensais.
Arlette avait des lèvres très longues, épaisses et foncées, presque noires, elle me les fit avaler. C’étaient des vrais steaks, comparés aux miennes, qui étaient quasiment inexistantes et roses. Elles étaient monstrueuses !
Elle me faisait les lécher. C’était un paradis de sensations ! Qui lèche mieux une fille qu’une autre fille ?
Arlette obligea Jocelyne à faire le ciseau avec moi. Je m’imaginais avec Maîtresse Syl. C’était doux et je suis certaine qu’elle aurait adoré la soumettre à ses désirs.
Mon vagin et mon anus étaient devenus les réceptacles de tout ce qui était présent dans l’appartement. La pizza pepperoni me laissa des brûlures vaginales très fortes et toute la soirée fut pénible. Chaque chose me pénétrant réactivait le piment sur mes lèvres et mon clitoris.
Je dois l’avouer, j’ai joui plusieurs fois avec des orgasmes très forts. Les trois filles s’occupaient bien de moi, mais je regrettais qu’il n’y ait pas de chien pour que je puisse leur prouver ma supériorité sexuelle face à elles.
C’est entièrement nue qu’un moment donné je me retrouvais dans le couloir de l’immeuble, complètement nue avec une carotte dans le cul ! Je dus descendre à la porte d’entrée manipuler l’interrupteur pour ouvrir la porte principale.
Je me masturbais devant une fenêtre en vis-à-vis d’un appartement où un couple me matait. Il inscrivit même un numéro de téléphone sur un grand papier pour que je les appelle.
Les filles m’ordonnaient des positions et les gestes à avoir, cachées derrière la coiffeuse de la chambre.
Josiane me prenait en photo du haut de la fenêtre du quatrième de l’appartement alors que j’étais nue sur le trottoir plusieurs étages plus bas ; je dus danser dans la rue entre les voitures en stationnement.
Les délires allaient bon train et elles n’étaient pas en panne d’imagination.
L’alcool aidant, c’est à quatre heures du matin que Josiane reprit la voiture. Je n’étais pas rassurée, mais fatiguée par les péripéties de la soirée, je m’endormis dans le véhicule.
Arrivée à la maison, elle me donna une douche et me mit de la crème apaisante. Tant de sollicitude de sa part me touchait. Je passais la nuit entre ses cuisses.
Le départ
Finalement, c’est Gabrielle qui avait été choisie pour m’accompagner en Afrique pour mon second défi. Charles avait été pendant un moment un possible accompagnateur en plus, mais le budget ne le permettait pas.
Maîtresse Syl en tant que Présidente de Région, avait fait passer les frais de voyage et de séjour sur le budget de la région et Gabrielle comme assistante de recherche ethnographique !
Josiane s’était chargée de ma valise avec Maîtresse. Charles avait veillé à mon épilation minutieuse et à un dernier lavement avant le départ.
Le jour dit, une grande tristesse flottait dans la maison. Cependant, j’avais eu le droit de passer la nuit avec les lévriers et Charles.
Gabrielle m’avait choisi une robe en lin blanc, courte et avec des emmanchures très larges. On voyait mes seins sur les côtés pour peu que je bouge les bras et le décolleté n’avait pas besoin que je me penche beaucoup pour révéler ma gorge.
Mon collier-de-chien autour du cou dont Gabrielle avait la laisse dans son sac, avait reçu une puce GPS, pour limiter les problèmes éventuels de ma perte. Ma coiffure avec deux couettes terminait mon allure de jeunette.
Le taxi nous déposa en moins d’une heure à l’aéroport Charles-de-Gaule, d’où partait notre vol pour l’Afrique.
Après l’enregistrement, Gabrielle me fit m’exhiber aux endroits où il y avait du soleil et à l’aéroport de Roissy, il y en avait partout. Je me plaçais devant une raie de soleil où une lumière un peu intense, à un endroit décidé par elle et faisait mine d’attendre. Ma robe rendue parfaitement transparente, les hommes ne manquaient pas de me mater ni de prendre des photos.
J’étais supposée ne me rendre compte de rien et un individu m’a abordée en me déclarant crûment qu’il voulait me baiser. Je ne savais pas que les choses pouvaient se passer comme ça !
Il faut qu’il y ait dans la drague un minimum d’échanges courtois avant d’en arriver à une telle proposition, non ?
Je lui fis savoir que j’attendais ma tante pour partir en Afrique. Il détailla ma tenue en me disant que j’étais bandante et je baissai la tête pour le constater. En effet, la bosse au niveau de sa braguette ne laissait que peu d’interprétations possibles. Il bandait fort ! Devant ma détermination à ne pas vouloir le suivre, il me laissa en paix.
J’étais l’appât et Gabrielle placée plus loin prenait des clichés avec son téléobjectif. Pour le site, il fallait des photos de plus en plus performantes.
Elle avait fait en sorte que je ne connaisse pas la destination de notre vol en me bandant les yeux avec ce que l’on donne dans les avions pour dormir et je ne la découvris qu’au moment où, assise à ma place, le pilote annonçait la durée du vol et la destination finale.
Nous étions en classe économique en route pour le Malawi et plus précieusement sa capitale Lilongwe, pays choisi, car Gabrielle parlait le bantou, langue du pays.
Le peu que je me souvenais de mes cours à la fac d’histoire était que le pays avait été colonisé depuis les années 1800 par les protestants britanniques et qu’il y avait un des plus grands lacs du continent.
Très au sud de l’Afrique, sa population avait subi un esclavage violent. C’est un des pays les plus pauvres au monde.
Je savais qu’il y avait des camps d’initiation sexuelle pour jeunes filles pré-pubères, bien qu’interdits depuis quelques années. Les ’hyènes’’ violaient les adolescentes dès leurs premières règles. C’était la tradition.
C’était à peu près tout ce que je connaissais du pays de mon second défi.
Le vol prévu en fin d’après-midi, ne partit qu’en début de soirée : problème de maintenance. Air Malawi n’était pas réputé pour ses performances en termes de sécurité aérienne.
D’après la documentation de bord, la compagnie possédait cinq avions, dont ce Boeing 737 dans lequel nous nous trouvions. L’avion s’était rempli rapidement, mais n’était pas complet. Sur les 200 places, à vue de nez, seulement les trois quarts devaient être occupées.
Il y avait trois sièges à droite et autant à gauche de l’allée centrale, une petite couverture et un casque audio étaient posés sur chacun d’eux.
Manque de chance : je n’étais pas côté hublot, mais côté couloir. Un homme était déjà assis sur la gauche à notre arrivée.
Gabrielle se présenta et parla très rapidement avec lui et décida que je devais m’asseoir entre lui et elle.
Tous deux parlaient la langue du pays de destination, autant vous dire qu’elle m’était complètement inconnue. Du coup, ils étaient constamment tournés vers moi, l’un et l’autre.
Gabrielle décida de m’attacher la ceinture de sécurité et releva le bas de ma robe en me faisant soulever les fesses pour le faire passer autour de ma taille, sous prétexte de ne pas la froisser.
Le lin fait des plis rapidement et c’est difficile à repasser ensuite.
Elle le dit en français pour que je comprenne. Et en bantoue pour que l’homme interprète.
Je me disais qu’elle ne perdait pas de temps ! De fait, si j’écartais les jambes, je livrais une partir de mon intimité, mais Gabrielle ne l’exigea pas. Elle élargit seulement mes emmanchures pour donner un aperçu de mes seins au passager à mon côté.
Elle lui expliqua la raison de mon collier et interpréta ses propos soulignés par des gestes avec ses mains. Elle avait relevé l’accoudoir entre nous : son surpoids nécessitait de prendre un peu de mon espace. Mais également l’accoudoir entre l’homme noir et moi.
Elle avait opté pour un kitenge traditionnel très coloré et très large, sorte de sarong avec plein de replis dans lequel elle était très à l’aise.
Gabrielle m’apprit que l’homme ne parlait pas le français et qu’il me trouvait très belle et désirable.
Je devrais donc faire tout ce qu’il me demanderait et gare à moi si je ne m’appliquais pas !
Je retrouvais la Gabrielle de l’EHPAD, autoritaire et sévère.
Au décollage de l’avion, l’homme avait déjà posé sa main sur ma cuisse, profitant qu’il n’y avait personne dans l’allée. Il la remonta avec la bénédiction de Gabrielle qui n’en ratait pas une miette.
Il caressa rapidement ma fente fraîchement épilée et sembla apprécier.
Je ne pouvais pas beaucoup écarter les cuisses et ça limitait forcément ses possibilités.
Il s’en plaignit à Gabrielle, qui se saisit de ma jambe droite et la fit passer sur ses propres jambes.
Du coup, j’étais enfoncée dans mon siège et l’accès à ma chatte était plus aisé pour mon voisin. Il avait les doigts rugueux et je n’étais pas préparée à une pénétration si rapide. Alors, j’étais réticente et Gabrielle s’en aperçut.
Tu vas déguster ma fille, si tu n’obéis pas !
Ses paroles me firent mouiller immédiatement comme une petite chienne que son maître dispute et facilita l’intromission d’un, puis de deux doigts de l’homme.
Il commença un mouvement masturbatoire de sa main gauche en continuant de parler avec Gabrielle, il utilisait sa main droite pour me titiller le sein en tirant ma tétine avec fougue ; sa main se coinça dans l’emmanchure de ma robe.
Heureusement, le voyant ceinture attachée s’éteignait et la venue de l’hôtesse de l’air me libéra d’un coup de toute emprise de la part de mon voisin. Je me retrouvais vide.
Elle me regarda d’un air entendu.
Mes voisins continuaient leurs conversations à mon sujet et j’imaginais bien les détails anatomiques et les possibilités que je pouvais offrir et que Gabrielle devait donner de moi.
L’homme parlait aussi beaucoup avec les mains. J’imaginais que c’était une particularité de cette langue, un peu comme en Italie.
Je sentais l’excitation monter chez eux et j’espérais que le service du dîner allait les calmer.
Gabrielle m’autorisa un apéritif alcoolisé et je pus trinquer aussi. Le repas se constituait du chambo, plat national, de patates douces et d’une salade de fruits en guise de dessert. Je ne pris pas de café, pensant profiter de la nuit pour dormir. Eux ne se privèrent pas et après, ils demandèrent un alcool.
La lumière tardait à s’éteindre, mais je fermais les yeux pour prendre un peu de repos. Nous étions partis de la maison depuis le matin et j’étais fatiguée.
J’avais dû dormir un moment et c’est Gabrielle qui, tirant sur ma robe pour la faire passer au-dessus de ma tête, me réveilla.
Il faisait noir dans l’avion et les gens commençaient à s’assoupir. Mon voisin l’aida à la tâche et je me retrouvais vite entièrement nue. Gabrielle avait passé le mousqueton dans ma laisse et me faisait baisser la tête en direction de l’entrejambe de mon voisin. Je me retrouvais la tête sur ses cuisses, le torse sur mon siège, mes jambes en chien de fusil et mes pieds sur les cuisses de Gabrielle.
Elle posa la petite couverture sur mon flanc gauche et sur ma tête, l’accoudoir entre l’homme et moi abaissé, je pouvais sortir son sexe et le gober. Gabrielle suivait les préparations et imprimait le mouvement en maintenant mon crâne d’une main.
La bite de l’Africain était épaisse et me forçait à une ouverture optimum de la bouche. Sa main droite passée entre mes cuisses ouvrait mon sexe et ses doigts retrouvaient la place laissée vacante avant le repas.
Une hôtesse de l’air s’adressa à Gabrielle et je sentis la pression sur ma tête cesser.
L’homme ne bougeait plus non plus. La discussion se déroulait dans leur langue. J’avais chaud sous la couverture, mais je n’osais pas bouger.
Je ne savais pas ce qui s’était dit, mais tout reprit sa place et les mains de l’homme étaient de plus en plus violentes avec mon vagin et mon clitoris criait pitié. Gabrielle s’occupait de mes pieds qu’elle maltraitait avec délice. Je n’étais pas une experte dans ce domaine, mais je savais que certaines personnes en étaient fétichistes. Plus d’une fois, j’en avais léché pour le plus grand plaisir de la personne à qui ils appartenaient.
Je ne savais pas que Gabrielle en faisait partie.
Je pompais du mieux que je pouvais tout en masturbant le sexe noir et je jouais avec ses couilles en serrant la base de son sexe. J’étais trempée et j’entendais mon humidité faire des clapotis. Je pensais que les voisins de derrière devaient être à la fête.
En fait, je me trompais, il n’y avait personne dans notre dos.
Je reçus la giclée chaude au fond de ma gorge. C’était parfumé et gluant. Je m’en léchais les lèvres en remontant ma tête et me redressais sur mon siège. Gabrielle me roula une pelle, je crois bien que c’était la première fois qu’elle le faisait. Sa langue était puissante et elle repoussa la mienne au fond de ma bouche. L’homme prit sa suite et j’eus droit à un baiser torride.
Je dus nettoyer sa bite avec des mouchoirs en papier et un dernier coup de langue.
Charles aurait pris une petite cuillère et aurait récupéré le sperme pour me le faire avaler.
Je pensais une nouvelle fois pouvoir dormir, mais c’était sans compter avec Gabrielle qui avait négocié la discrétion de l’hôtesse de l’air. Elle appuya sur le bouton d’appel qui s’éclaira en rouge et elle arriva rapidement.
Sans un mot, elle se saisit de la laisse et sans même prendre le temps de me couvrir, m’extirpa de mon siège. Gabrielle jeta la couverture sur mes épaules. J’étais cul nu au milieu de l’allée en suivant l’hôtesse de l’air qui me guidait avec ma laisse.
Nous arrivâmes dans un espace derrière le rideau, après les toilettes, là où se préparent les repas des passagers. Ma couverture tomba au sol.
Une porte de placard laissait place à un réduit où deux petits lits côte à côte étaient disposés pour le repos du personnel navigant.
Je regardais l’hôtesse, une superbe Noire d’au moins un mètre quatre-vingt-dix, soit cinquante centimètres de plus que moi, avec une poitrine en forme d’obus et des yeux verts magnifiques. Elle me toisa du regard.
Tu n’as pas froid aux yeux. J’adore ça ! Je ne suis pas lesbienne, mais tu m’as donnée envie. Tu es une vraie gourmandise à toi toute seule et j’ai envie de te manger.
Je croyais qu’elle exigerait que je lui lèche la chatte, mais c’est le contraire qui se passa.
Elle écarta mes cuisses en les tenant bien hautes et enfourna sa langue entre mes lèvres roses.
Je sentais sa langue aller et venir sur mon clitoris, ses dents mordiller mes petites lèvres. J’étais prête à exploser. Mais elle calma le jeu et introduisit ses doigts un par un dans mon orifice.
Ensuite, c’est toute sa main qui me pénétra, ses doigts fins avaient trouvé naturellement leur place dans mon vagin. Elle remuait à l’intérieur de moi. C’était divin et mon orgasme fut violent.
J’étais pantoise sur le lit, mais elle continuait de me lécher. Ma chatte n’était pas son seul terrain de jeu et mes seins étaient tordus en tous sens, mais je manquais d’air parce que je ne pouvais pas crier.
Un second orgasme eut raison de moi.
Elle me laissa étendue, jambes ouvertes, à demi consciente sur les lits. Je pensais là aussi pouvoir dormir, mais elle fit entrer son collègue steward que j’avais aperçu en pénétrant dans l’avion.
Il avait déjà sa bite bandée et hors de son costume. Il ne m’adressa pas plus la parole que l’hôtesse de l’air et me baisa directement sans plus de préambule. Ses mouvements étaient violents et rapides. Il cherchait son plaisir et y arriva rapidement, à grands coups de reins.
Je fus aspergée de son sperme généreux. J’en avais partout : ma chatte, mon ventre, jusqu’à mes seins qui avaient été éclaboussés lors de son retrait de mon vagin.
Gabrielle était dans l’embrasure de la porte et prenait des photos (ou filmait). Aidée de l’hôtesse, elle me passa de l’eau et m’essuya avec des serviettes en papier.
Je pouvais regagner ma place. Il était au moins deux heures du matin et je m’endormis sur les cuisses de Gabrielle.
La lumière du petit-déjeuner me réveilla et Gabrielle me fit mettre ma robe, mais toujours en l’arrêtant autour de ma taille. La laisse avait été ôtée et mon voisin avait toujours les mains baladeuses.
J’avais droit à un bon petit-déjeuner et un petit plus : l’hôtesse me proposa un fruit.
Sur le plateau trois banane de tailles différentes. Elle s’empressa, en français, de me faire choisir:
Un rêve de jeune fille, un plaisir de femme mariée ou une houlala maman ?
Je devais choisir ; Gabrielle et l’homme m’encourageaient à prendre la grosse.
Une houlala maman, s’il vous plaît.
Ce que je n’avais pas imprimé, c’est qu’elle terminerait dans ma chatte.
Je dus, devant l’hôtesse (qui bouchait la vue aux autres passagers), mon voisin et Gabrielle, me masturber avec. Mes jambes passées, l’une sur les cuisses de l’homme et l’autre sur celles de Gabrielle, je trouvais l’ouverture maximum.
Dans un moment de naïveté, je demandais si je devais l’éplucher. Tout le monde rit et je l’introduisis en moi.
C’était dur, mais la courbure augmentait mon plaisir et il ne fallut pas longtemps pour que mon corps tendu comme un arc, fasse comprendre à tous que j’avais une jouissance violente.
Je dus ensuite manger, toujours devant le trio, la banane que je venais d’introduire dans ma chatte.
Gabrielle échangea nos coordonnées avec l’homme avant que nous quittions l’avion
Quand nous franchîmes la porte, l’hôtesse et le steward eurent un mot gentil pour moi.
Nous passâmes la douane pour récupérer nos valises.
Peut-être était-ce parce que j’étais la seule blanche de l’avion, mais la femme douanière voulut voir la mienne.
Je la posais sur le comptoir devant elle et l’ouvris. Je fus stupéfaite devant son contenu : godemichets de plusieurs tailles et plusieurs couleurs, dont un en forme de sexe de chien, martinet, fouet, menottes, pinces, la cravache que je reconnaissais et liens divers, formaient mon bagage.
La femme douanière décida d’approfondir sa découverte et me fit passer dans un bureau de fouille.
Gabrielle ne disait rien, mais nous suivait. Mais elle fut priée de rester à l’extérieur.
Il y avait déjà un homme en slip dans la pièce qui se faisait fouiller par deux douaniers.
On me fit mettre les mains contre un mur et on me palpa de haut en bas.
Elle s’aperçut rapidement que je n’avais pas de sous-vêtements et après quelques mots échangés avec ses collègues, décida de faire entrer Gabrielle.
Elle parla avec elle ; l’échange un peu rude au début s’adoucit et devint même bon enfant, d’après ce que je pouvais interpréter.
Gabrielle traduisit ce que me disait la femme douanière.
Je devais défaire ma robe, car ils me soupçonnaient de cacher de la drogue tout comme le suspect à côté qui subissait une fouille au corps.
Les deux hommes avaient baissé son pantalon et le pauvre était à poil devant moi. L’un des douaniers avait un gant en plastique et introduisait deux doigts dans son fondement.
J’avais honte pour lui, mais je regardais son sexe long se balancer entre ses cuisses.
Sans autre forme de procès, je me retrouvais à poil au milieu du bureau. Les trois hommes se rinçaient l’il ; je n’avais que mon collier autour du cou. Gabrielle y attacha le mousqueton et tendit la laisse à un des douaniers.
La femme me fit écarter les jambes bien larges et me pesa sur le dos pour que je me courbe. Gabrielle me tenait les mains pour que je ne bascule pas vers l’avant.
La femme avait une paire de gants en plastique, tout comme ceux employés pour l’homme à côté de moi.
Gabrielle me dit qu’ils pensaient que je cachais peut-être quelque chose dans mon vagin ou mon trou du cul, car il y avait souvent des passages de stupéfiants dans cet aéroport.
J’étais rouge de honte. Non seulement elle cherchait en fouillant mon corps, mais me parlait rudement sans que je comprenne quoi que ce soit.
L’homme à côté sortit du bureau : ils n’avaient rien trouvé sur lui.
Un des douaniers voulut absolument faire la recherche de drogue lui-même, la femme n’ayant rien trouvé.
Gabrielle donna son accord. Ils me firent mettre à quatre pattes sur le bureau pour que la fouille soit réglementaire, dirent-ils. L’homme plus gradé que les autres si j’en croyais le nombre de barrettes dorées sur son uniforme rejeta les gants que lui tendait la femme des douanes.
Il introduisit deux doigts dans ma chatte et deux dans mon trou du cul en même temps.
Je sursautai et poussai un « aïe » de rébellion. Gabrielle saisit le martinet et m’en asséna plusieurs coups sur le dos et les seins. Je repris le mode chienne et aboyai deux fois.
Je vis aux têtes des douaniers qu’ils ne s’y attendaient pas, mais trouvaient ça très drôle.
La femme dut comprendre ma détresse et m’enduisit les orifices de vaseline. C’était froid, mais ses mains étaient douces. Elle m’enfonçait le produit bien dans mes conduits maintenant grands ouverts.
Le gradé montra aux autres comment faire. Sous ce prétexte, il se régalait de mon corps de petite blanche.
Il enfonçait ses doigts et les tournait, soi-disant à recherche de drogue. En fait, il me masturbait tout bonnement devant tout le monde. J’eus un mouvement de recul, mais Gabrielle m’expliqua que si je me rebellais, ils me mettraient en prison. Ils étaient corrompus et il fallait mieux être daccord avec eux.
Ils voulaient juste s’amuser un peu.
En guise d’amusement, c’est la totalité des personnes présentes qui me tripotait et essayait les différents objets que contenait ma valise. J’étais fouettée, passée au martinet, pincée, enculée et baisée par les différents godes de ma valise.
Mon vagin distendu recevait en même temps que mon rectum le gode en forme de bite de chien. Je ne le connaissais pas. Sûrement un cadeau de Maîtresse Syl.
Mes seins, compressés avec les fameuses pinces plates de Charles, me faisaient mal, car l’homme qui les avait posées les tournait et tirait dessus. Mon clitoris n’était pas oublié et subissait lui aussi les assauts de la femme douanière. Je n’étais qu’un objet dont on se servait.
Les sex-toys passaient dans mon corps et ma cyprine les humidifiait à merveille. J’arrivais à jouir à plusieurs reprises.
Gabrielle donnait un spectacle dans lequel je jouais la chienne en chaleur. J’exécutais moult figures et aboiements de circonstance. Le travail plus que l’envie de continuer rappela les douaniers à leur devoir, par interphone interposé. Ils durent nous laisser repartir.
J’étais déçue de ne pas avoir eu de contact physique avec les hommes ou la femme présents.
On sortit de l’aéroport Kamuz. Gabrielle tenait ma laisse à la main et sa valise de l’autre. Javais l’impression que tout le monde me regardait, moi, seule petite Blanche, perdue dans un monde hostile avec ma robe qui laissait voir mon corps offert.
Les hommes de ce pays étaient grands et fins, alors que les femmes, grandes également, étaient grosses.
L’aéroport de Lilongwe ressemble à une construction des années 50 : un bâtiment tout en béton, droit, à un étage, genre aéroport de province avec une seule piste et deux portes d’embarquement. La zone est désertique tout autour. Quelques taxis-brousse et motos attendent les rares clients.
Gabrielle au téléphone se démenait, mais rien ne semblait se passer comme elle voulait. Notre chauffeur n’était pas au rendez-vous.
La voiture était en panne à Mponela et nous devions trouver un moyen de transport jusqu’à cette ville en espérant qu’à notre arrivée, notre chauffeur et la voiture seraient en état de nous conduire à notre point de destination, plus au nord.
Gabrielle trouva un homme avec un minibus trafiqué, qui accepterait de nous y conduire : une soixantaine de kilomètres à faire pour Mponela. Le chauffeur n’arrêtait pas de me mater tout le temps des palabres pour le tarif. Gabrielle, qui n’était pas sotte avait compris qu’elle devrait me mettre dans la transaction pour que ça aboutisse.
Elle me faisait lever les bras pour que le chauffeur puisse voir ma poitrine, ce qui le décida à accepter de nous conduire pour un prix raisonnable.
Les bagages dans le coffre de l’antique minibus Volkswagen, moi sur l’une des banquettes arrière perpendiculaires à la circulation et Gabrielle sur le siège avant, nous partîmes sur la route, puis la piste pour rejoindre Mponela.
Gabrielle me parla enfin de l’origine de sa famille et du départ des esclaves du Malawi. C’est nus qu’ils étaient emportés vers les bateaux négriers du détroit du Mozambique et de là vers les Amériques.
Le voyage depuis les forêts se faisait à pied, enchaînés les uns aux autres par des cordes autour du cou et les mains liées derrière le dos.
La poussière de la piste rentrait dans le minibus par les fenêtres aux vitres inexistantes. Nous avancions lentement à cause des trous causés par les fortes pluies.
Le chauffeur s’arrêta en milieu de chemin : il était l’heure pour lui du déjeuner.
Un simple abri de bois et de tôle faisait office de cantine. On y vendait un plat fait de poulet bouilli et de patates douces.
Gabrielle me descendit du minibus en tirant ma laisse. Elle avait décidé qu’il était temps pour moi de remplir mon contrat et me lia les mains dans le dos. Elle dénuda ma poitrine en roulant ma robe autour de ma taille.
La femme qui tenait la cantine nous fit asseoir sur des bidons d’essence coupés en deux qui servaient de tabourets. Notre chauffeur était à notre table, si on pouvait donner ce nom à l’espèce de roue en bois posée sur quatre rondins.
J’étais dépoitraillée et ça lui plaisait visiblement ; il s’insinua sous ma jupe. Gabrielle laissait faire, me rappelant que nombre de filles avaient été violées avant d’arriver à destination. Ce qui se passait ne semblait pas inquiéter la femme de la cantine qui regardait d’un air impassible.
Gabrielle mangeait et moi je me faisais mettre à poil devant elle.
Le Noir avait sorti son sexe et il me fit m’accroupir de force devant lui. J’entendais le bruit de l’appareil photo. J’ouvris ma bouche pour le recevoir ; il se masturba devant ma figure avant de m’enfourner sa bite au fond de la gorge.
En même temps qu’il faisait l’amour à ma bouche, il tiraillait sur mes tétines.
Il se retira de ma bouche pour me plier sur le tabouret, face à Gabrielle, et me baisa sans aucune retenue. Il m’enculait de la même façon et Gabrielle me dit de tirer la langue, d’ouvrir grand les yeux, alors que j’étais en train de me faire défoncer.
Il me retourna dans un geste rapide pour lâcher son sperme sur ma figure. Ses couilles vides, il essuya son sexe sur ma langue que Gabrielle m’avait demandé de sortir.
Elle me donna à manger, mais je restais nue et les mains liées dans mon dos. Le chauffeur se restaurait et buvait du dolo, un alcool local.
Je remontai dans le minibus, assise entre le chauffeur et Gabrielle, autant dire coincée.
Le long levier de vitesses arrivait entre mes cuisses et ma chatte recevait à chaque changement de rapport et coup de la boule du levier. Il n’était pas un doux ! À la fin de notre route, j’avais le clitoris en feu, à force des coups reçus.
Gabrielle m’inspecta à la descente du minibus, elle en bas et moi encore sur le siège. Elle m’écarta les lèvres devant lui et les personnes qui étaient présentes à notre arrivée.
Nous retrouvâmes notre chauffeur avec la voiture réparée. Il s’agissait d’une vieille jeep anglaise avec la conduite à droite. Notre homme se prénommait Mélina, ce qui voulait dire prince nous précisa-t-il.
Gabrielle décida que je devais l’appeler ainsi et lui rendre les hommages comme à un roi.
C’était un grand jeune homme de 23 ou 24 ans en short kaki, avec un maillot de corps qui avait été blanc, troué dans le dos, une paire de scandales et surtout, chose improbable, un collier de perles en plastique autour cou, des perles de toutes les couleurs.
Elles me rappelaient le collier que mon grand-père me faisait faire quand j’étais petite fille et quand je m’ennuyais le mercredi à la maison lorsque maman était au travail. Ça évoquait un tas de souvenirs en moi.
Mais je me demandais bien pourquoi un collier de pacotille ?
Elle expliqua au Prince que j’avais été méchante et que j’étais punie, ce qui justifiait ma tenue.
Il était ravi de la situation et remercia Gabrielle de ne pas mhabiller, parce que mon trou tout rose était plaisant à regarder. Il parlait bien français, mais avec un fort accent maghrébin.
Je montais à l’arrière de la jeep, ma laisse attachée au montant de la voiture. Prince me couvrit d’un chapeau de brousse, contre les coups de soleil. Il resta un bon moment à me regarder et Gabrielle en profita pour m’écarter les cuisses et les lèvres avec ses deux mains pour que notre chauffeur puisse en voir plus, avant de ce qu’il pourrait peut-être posséder. Je mouillais comme une folle. Le coup de bite du chauffeur de minibus m’avait laissé un goût d’inachevé.
Nous devions rejoindre un village situé entre Nkhotakota et la réserve Wildlife, pas très loin du lac Malawi. Nous avions près de 250 kilomètres à faire depuis Mponela.
Il faisait chaud et sec, j’étais secouée comme une marchandise à l’arrière du véhicule dont les suspensions n’étaient plus qu’un vague souvenir.
Après deux heures de route, la nuit commençait à tomber et la température à baisser.
Prince décida qu’il fallait s’arrêter et camper près de la piste, dans un bois d’épineux. Il y avait un peu de matériel à bord de la jeep.
Gabrielle me fit descendre de la voiture et m’attacha à un arbre avec la laisse, pas à une branche, mais à une racine à fleur de terre. Du coup, je me tenais à moitié allongée sur le sol.
Prince sortit trois matelas minces de la jeep, mais Gabrielle en accapara deux et Prince dut ramasser des feuilles pour me faire une litière comme une esclave aurait eue pour dormir remarqua Gabrielle.
Elle avait sorti de ma valise la cravache qu’elle portait à la ceinture et le martinet dont elle frappa sa cuisse, comme pour tester les lanières de cuir.
Prince avait fait un feu de bois pour chauffer le contenu d’une casserole qui, à l’odeur, n’avait rien d’engageant.
Je fus détachée de la racine. Mes mains déliées de mon dos l’étaient à nouveau à la hauteur de mon cou, sur ma nuque. Je fus mise à plat ventre sur un rondin ce qui faisait ressortir mes fesses et Gabrielle attacha mes chevilles à chaque extrémité d’un morceau de bois et lia mes cuisses à mes mollets. Mon intimité était livrée aux regards de Prince qui passait les doigts dessus, mais surtout au martinet de Gabrielle.
Mes seins étaient frappés par l’écorce de l’arbre à chaque mouvement de mon corps.
Chaque soir, l’esclave qui avait le moins travaillé de chaque chambrée recevait le fouet. Ce soir, c’est toi la paresseuse qui n’a pas ramassé suffisamment de coton.
Elle commença à me frapper sur les fesses et rapidement mon entrejambe fut la cible des coups. Les lanières s’incrustaient dans ma fente béante et touchaient mon clitoris énervé. Elle passa le relais à Prince qui, non content de viser les mêmes endroits sensibles, visait également mes pieds et mon dos.
Il était en eau à force de me punir et j’étais trempée à force de mouiller de plaisir. Gabrielle jouait avec mes seins, bien que ceux-ci fussent en partie écrasés sur le tronc d’arbre rugueux.
Détachée, je me retrouvais à genoux devant Prince qui avait enlevé le collier de son cou pour l’enrouler autour de son sexe. Il le serra fortement et commença à se masturber sous mon nez. Gabrielle penchée vers moi agaçait mon clitoris.
Je voyais naître sous mes yeux une nouvelle bite : le roulement des perles dû aux allers et retours le long du sexe le faisait grossir dans des proportions affolantes.
D’un coup sec, au bout de deux minutes, Prince ôta le collier et je découvrais un engin qui avait doublé de volume : au moins 6 centimètres de diamètre et 25 ou 28 centimètres de long !
Je comprenais la présence de cet objet bien que, petite fille, je ne connusse pas cet usage des colliers que je confectionnais. Est-ce que mon grand-père le savait ? ça restera un mystère pour moi. Je me jurais quand même de demander à ma mère si elle était au courant.
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