2.
Le lendemain, le réveil sonna à 6h00. Je nétais pas habitué à me lever si tôt, et il me fallut un peu de temps pour réaliser où jétais, et me remémorer la journée dhier. Ma main passa sur mon pubis glabre que cétait doux ! Soudain je me souvins que ma Maîtresse attendait son petit-déjeuner pour 7h00 !
Je me levais donc précipitamment, et filais sous la douche. Après une douche rapide, je lissais mes cheveux, comme me lavait appris ma Maîtresse. Peu habitué, cela me pris plus de temps que je lavais escompté Ceci fait, nayant pas encore reçu les nouveaux vêtements, je remis ceux de la veille, le string noir, les bas, le soutien-gorge (qui me fit perdre aussi un peu de temps), la robe de soubrette, le petit tablier et la coiffe ! Ouf ! 6h50 et jétais prêt ! Jessayais les chaussures à talon, mais cétait trop difficile, surtout si javais un plateau à porter. Je changeais donc pour les ballerines. Puis je me dirigeais vers le monte plat, ou attendait déjà le déjeuner de Mrs Benson. Un plateau avec une cafetière fumante, une tasse, un verre de jus dorange, une assiette avec deux toasts et de la confiture.
A 7h00 précise, je toquais à la porte (du pied, ny arrivant pas avec la main à cause du plateau) de la chambre de Mrs. Benson.
— Entrez !
Jentrais et me dirigeais vers son lit. Ses cheveux étaient relâchés, et étaient plus long que ce que javais pensé. Elle portait une nuisette rose, transparente, qui me permettait de voir ses gros seins, les auréoles marquées, ses tétons Jessayais de ne pas fixer mon regard sur eux, de rester concentré pour ne pas renverser le plateau et je dois dire que je my prenais mieux que je laurais pensé Le problème se présenta au moment où je voulais déposer le plateau sur le lit une bosse déformait les couvertures. Erection matinale, sans doute Mrs Benson sourit.
— Dépose le plateau là Aline, sur la table basse.
Je mexécutais. Pour déposer le plateau sur la table basse, je devais lui tourner le dos et me pencher ce qui fit un peu remonter ma jupe, dévoilant le bas de mes fesses. Je sentis sa main se poser sur mes fesses, et les caresser doucement
— Ce string te va vraiment bien
Son pouce suivit la ficelle de coton, le long de ma raie je frémis, et faillit renverser le plateau ! Heureusement, je le posais, vite, renversant juste un peu de jus dorange
— Bien Aline, belle adresse approche !
De sa main, elle tapota le lit, près delle. Je my assois, essayant de ne fixer ni sa poitrine, ni la bosse qui déforme les couvertures blanches du lit.
— Jaime ce que tu deviens Aline, ça me fait plaisir davoir un peu de compagnie, aussi.
Sa main caressa ma joue, et elle poussa ma tête vers sa poitrine généreuse. Je sentis contre ma joue la douce soie de la nuisette, et son sein, tiède. Un téton dodu se frotta à mon oreille. Jentendais son cur, dont le battement saccélérait. Mes yeux étaient faces à la bosse, et jétais sûr quelle lavait fait exprès. Sa main caressait mes cheveux, puis elle approcha ses lèvres de mon oreille (pas celle contre le téton, lautre !) « Je ne pourrai jamais manger comme ça il faudrait faire disparaître cette bosse »
Elle poussa ma tête, qui quitta le sein moelleux, mon corps basculant légèrement en avant, mon visage se rapprochant de la bosse Alors que je nen étais plus quà quelques centimètres, elle tira sur la couverture dévoilant son sexe, bandé, raide, 18 centimètres de chaire dure, dépassant de sa jolie nuisette rose. Le fait davoir fait glisser la couverture fit balancer la verge, qui effleura mon nez Je navais pas eu bien le temps de la voir hier, et là je la trouvais belle. Le gland plus foncé, déjà mouillé, la hampe, une grosse veine saillant tout le long, ses petits testicules, sans un poil comme son pubis dailleurs je commençai par embrasser son pubis, ma main se posant doucement sur la hampe tiède je léchais et couvrais son pubis de baisers, tandis que je commençais à la branler doucement puis je fis le tour, et commença à déposer des baiser sur ses testicules tout en continuant à la branler, je les léchais, puis ma langue remonta le long de sa hampe, tournoya sur son gland, en ramassa la perle mouillée avant de lengloutir Le gland entra dans ma bouche, puis la hampe serrant les lèvres, je montais et descendais le long de cette verge, ma langue léchant ce quelle pouvait, mappliquant à donner du plaisir à ma maîtresse
Comme je voulais essayer de lenfoncer plus loin dans ma bouche, sans faire attention, je me mis à quatre patte sur le lit, ainsi je pouvais lenfoncer plus loin dans ma bouche Je ne savais pas encore lavaler tout à fait, mais de la moitié hier, jarrivais aujourdhui à mettre les trois quart de sa hampe dans ma bouche son gland et sa hampe remplissait ma bouche, et je bandais dur en la suçant Ma croupe lui étant offerte, je sentis sa main se poser sur ma fesse quelle caressa puis elle joua avec la corde du string, tirant dessus, ce qui faisait se frotter le triangle de tissu sur mon sexe, le caressant puis elle fit linverse, prenant le tissu plus bas, et tirant, pour que la ligne de textile me caresse le sillon des fesses Sa main suivit le tissu, me caressant le sillon, avant de caresser doucement mon petit trou cela mélectrisa, je jouis instantanément dans mon string, et la suçait avec plus de passion je lentendis soupirer daise, tandis son gros sexe commença à se cabrer dans ma bouche Jeus un mouvement de recul, mais sa main quitta ma fesse pour caler ma tête et elle enfonça son gland un peu plus profond dans ma bouche je sentis le premier jet sécraser dans le fonds de ma bouche, suivit dun deuxième elle éjaculait abondamment, pour ne pas tousser il fallait que javale au fur et à mesure ! Le sperme sécoulait dans ma gorge, fort et salé, mais je trouvais le goût moins désagréable quhier Lorsque je sentis quelle néjaculait plus, je léchais la hampe, le gland dans ma bouche, jusquà ce quelle le retire, reprenant son souffle.
— Aline, la vitesse avec laquelle tu apprends est sidérante ! Tout cela ma ouvert lappétit, jai faim ! Passe-moi le plateau, puis va
manger au réfectoire avec les autres. Noublie pas le programme de la journée : dabord une heure de marche avec des chaussures à talon, puis le nettoyage intégral de la chambre. En fin de journée encore une heure de marche avec les talons, puis un bain peau-douce. Et frotte ta bouche, tu as encore un peu de sperme à la commissure de tes lèvres !
Jobéis à ma maîtresse. Je retournais dans ma chambre, et mis les chaussures à talon. Des escarpins ouverts avec un talon de 5 centimètres pour commencer. Je marchais dans ma chambre et dans lappartement de Mrs Benson pendant 1 heure avec ces chaussures Je me tordis bien souvent les chevilles, et fut si content de les enlever mais ce que je les trouvais belles ces chaussures, bien plus belles que les ballerines.
Le reste de la journée se passa en nettoyage, rangement de lappartement de Mrs. Benson. Le soir, je remis les chaussures et les tint pendant un peu moins dune heure. Javais trop mal au pied. Je fus heureux de découvrir quon avait livré les robes de soubrette (toutes les mêmes) mais surtout un assortiment de sous-vêtements féminins plus affriolent les uns que les autres ! Ma Maîtresse mayant demandé de la rejoindre en petite tenue dans la salle de bain à 17h30, je choisis des bacs blancs, avec des jarretelles assorties, un string blanc, le soutien assorti et cest dans cette tenue que je me présentais à elle, à lheure dite
— Et bien, joli choix Aline ! Tu as du goût approche !
Je mapprochais. Au passage, elle effleura mes fesses dune caresse sensuelle.
— Tu as encore une chose à apprendre pour compléter ta transformation. Le maquillage. Viens près de moi, je vais tapprendre
Et elle mapprit à mettre du vernis à ongle, à me poudrer, à utiliser le mascara, le liner, le rouge à lèvre
— Noublie jamais Aline, pour le maquillage, cest trouver le bon équilibre. Trop, cest pute ou maquerelle. Pas assez, cest fillette qui na pas de goût. Par contre le bon mélange, cest
— Magnifique !
Cest ainsi que je me trouvais. Les yeux légèrement cerné de noir, les joues poudrées, un verni rouge foncé avec le rouge à lèvre assorti, avec mes sous-vêtements en dentelles blancs cétait magnifique !
— Bon, écoute. Après-demain, nous avons M. Striker qui vient nous visiter. Cest linspecteur du Conseil dAdministration de lécole, et si je veux retrouver de largent pour racheter le matériel que tu as cassé, il faut quil me soutienne et convoque le conseil. Je veux que pour après-demain tu saches marcher avec les chaussures à talon. Et que tu te fasses jolie. Le courant nest jamais bien passé entre lui et moi, mais si en te voyant et en te reluquant tu le mets dhumeur joyeuse, peut être les choses se passeront mieux
— Daccord Maîtresse, je serai irrésistible pour lui.
— Bien, va manger maintenant, puis viens me retrouver. Jai un autre exercice pour toi.
— Daccord Maîtresse.
Jobéis, et descendit pour aller vers le réfectoire. En chemin, je me retrouvais avec un groupe détudiants qui se rendait au même endroit. Jallais entrer dans le réfectoire lorsque je me sentis happée sur le côté. Contre le mur se tenait Danny, le playboy de lécole. Capitaine de léquipe de fleuret, garçon de bonne famille, le teint toujours halé, une constitution de sportif, la coiffure noire toujours impeccable, lassurance du gars à qui tout réussit Même sa voix était chaude et grave, alors que la mienne navait jamais vraiment mué, javais une voix unisexe, tout le monde hésitait à mappeler monsieur ou madame au téléphone, et souvent cétait le madame qui lemportait bref Danny avait tout, cétait le genre de gars que jenviais et haïssais lorsque jétais moi-même garçon. Il mavait pris par le bras, et je me retrouvais entre lui et les deux autres garçons qui trainaient toujours avec lui. Ils avaient tous entre 17 et 19 ans, ils étaient en dernière année. Cétaient les « grands » ceux qui en imposaient aux autres
— Alors ma jolie, on a pas été présenté
Lorsque jétais Alain, il se moquait toujours de moi. Et pas gentiment. Jétais prêt à lui répondre vertement, lorsque je croisais son regard. Dhabitude jy lisais le mépris, la moquerie. Là jy voyais de la curiosité, du désir un désir mâle qui me faisait monter le rouge aux joues Il souriait, et je sentis sa main passer sous ma jupe, caressant ma fesse droite
— Je mappelle Danny et
— TOUS LES ETUDIANTS AU REFECTOIRE !
Le surveillant venait de surgir. Le sourire ne quitta pas les lèvres de Danny. Il se pencha vers mon oreille et me susurra
— On se reverra ma belle
Puis il déposa un baiser dans mon cou avant de partir et dentrer dans le réfectoire. Je soufflais, puis rentrais à mon tour. Tandis que je me déplaçais vers les plateaux, puis vers ma place, je sentais des regards sur mon arrière train cela me faisait toujours rougir
Mon dîner pris, je remontais vers lappartement de Mrs. Benson. Lorsque jentrais, je ne la trouvais pas dans le salon. Ni dans la salle à manger, apparemment, elle avait fini son souper, les restes de son repas, assiettes, verres, etc. étaient à nouveau dans le monte-plat, prêt à être descendu à la cuisine. Entendant du bruit qui venait de ma chambre, je my rendis. Elle était là, finissant dinstaller un écran sur le petit bureau de ma chambre.
— Bien, te revoilà Aline. Tu as aussi besoin de te distraire, alors regarde ce que je tai installé. Un écran, relié à mon ordinateur. Ne cherche pas de clavier, ni de bouton on/off, il ny en a pas Je commande tout depuis mon PC. Je choisis quel programme tu regardes, je choisis quand il commence, et quand il se termine.
— Compris, merci Maîtresse !
— Ah, une dernière chose, tend tes mains sil te plaît
Je mexécutais et tendis mes mains vers elle
Schlap ! Schlap !
— Aïe !
Je reçus un coup de badine sur chaque main, et pas des petits coups !
— Cest pour bien te rappeler que quoi que je décide de te passer, tu nas pas le droit de te masturber. Jamais sans mon autorisation, compris ? Pense à ces coups si lenvie ten viens, je serai sans pitié si je te vois te donner du plaisir sans mon ordre !
— Daccord Maîtresse, cest bien compris
— Bon installe-toi sur la chaise, face à lécran, je vais te lancer le premier programme éducatif.
Je minstallais et attendit. Lécran était noir. Je regardais le dessus de mes mains, rougis par les coups de badine, lorsque lécran salluma. Des lettres blanches tournoyèrent sur lécran, le titre du programme éducatif sans doute « Sissys training » Puis vient limage une jolie fille, de dos, qui se trémousse avec un minishort elle me montre du porno ??? La fille se trémousse, puis enlève lascivement le short, dévoilant ses fesses rondes, un string couleur crème masquant son illet elle avance vers un sofa, y monte, trémousse de la croupe devant lécran puis fait doucement glisser son string dévoilant sa raie, son illet puis deux petites boules, toutes rasées, et un pénis de petite taille, comme le mien ! Elle met ses mains sur ses fesses, puis les écartent, dévoilant son anus, qui palpite je bande déjà comme un fou mes mains vont instinctivement vers mon sexe, mais au dernier moment je me retiens. Je me rappelle des ordres de ma maîtresse Des images défilent maintenant rapidement, toutes des jolies femmes, en sous-vêtements affriolants toutes avec des petites ou moyennes verges Pendant toute la projection, des mots écrits en rose foncé fluo sont projeté à lécran « Sissy » (effeminé) « Whore » (pute) « Slut » (fille facile, aimant le sexe) « Pleasure » (plaisir), ce dernier coïncident avec des images de verges bandées, tendues puis les images défilent de nouveau rapidement, on y voit ces filles comme moi sagenouillant, bouche ouverte, semblant implorer quelque chose les mots « Sissy », « Whore », « Slut » revenant en boucle, puis de nouveau un sexe tendu avec le mot « Pleasure » ce sexe senfonce dans la bouche dune des filles la musique sest arrêtée, on entent un soupir de plaisir puis la musique reprend et les images reprennent leur succession rapide, des images de fellations, de langue qui lèchent des grosses verges, de bouches ramonées par des grosses bites, des filles qui se mordent les lèvres de plaisir, denvie les mots projetés à lécran sont « mouth » (bouche), « fucking » (baiser), « cum » (sperme) ils senchaînent avec les mots « Sissy », « Whore », « Slut », un groupe puis lautre, sur des images de plus en plus excitante, ces femmes ayant lair de prendre un tel plaisir à sucer ces bites Ensuite lécran montre une grosse verge qui sort précipitamment de la bouche dune blonde elle ouvre grand la bouche, et le gars éjacule sur sa langue, puis sur son visage Maintenant ce sont les mots « cum » « mouth » « pleasure » qui senchaînent aux mots « Sissy », « Whore », « Slut », pendant que défilent des images de bouches remplies de sperme, le tout avalé avec un plaisir frappant, de sperme qui glisse sur des joues, des lèvres, lèvres pourléchées par des langues gourmandes
Le film fait une pause, jai une envie folle de me toucher mais je ne peux pas sil y aurait un sexe tendu, là, devant moi, je le sucerais immédiatement Soudain le film reprend sur des images de filles comme moi, toujours en sous-vêtements affriolants, qui se trémoussent, se touchent les mots « Sissy », « Whore », « Slut », reviennent en boucle, tandis que senchaînent les gros plans sur leurs croupes, quelles dévoilent toutes fièrement, tous ces anus ouvert en premier plan prêt à recevoir une grosse bite bandée ! Cest ce qui apparaît à lécran en gros plan, son gland semblant tendu vers moi puis il sapproche dun de ces culs offert avant de sy enfoncer lentement, la musique sest arrêtée et on entend un souffle ou un râle de plaisir lorsquil est entré entièrement dans cul, il commence à le ramoner de plus en plus rapidement la musique revient et les images défilent de nouveau très vite toute des images de sodomie, des sexe beaux, raides, dur, qui senfoncent dans des anus ouverts, accueillant Les mots « ass » (cul), « fucking », « pleasure » senchaînent au refrain « Sissy », « Whore », « Slut » La musique est entrecoupée de sons de couples qui copulent, de râles de plaisir puis de nouveau la musique sarrête nouveau gros plan sur une bite qui sort dun anus dilaté, puis se cabre, et éjacule le sperme sur lanus ouvert, la blanche semence atterrissant sur le petit trou, glissant le long des fesses la musique recommence et les images se succèdent de plus en plus vite, montrant des anus débordant de sperme, des verges qui éjaculent leur semence sur des fesses, des dos, des visages mon cur bat la chamade, mon sexe se cabre tout seul puis éjacule dans le string blanc, tandis que le film se termine sur une grosse bite bandée, dure, si appétissante enfin lécran séteint, signe quil est temps de dormir.
Je me déshabillais, mon cur battant encore la chamade, enlevant mon tablier, ma coiffe, ma robe de soubrette. Jenlevais ensuite mon soutien, mes jarretelles, mes bas, et enfin mon string. Le tissu du triangle, avec de jolis motifs en dentelle au-dessus, était maculé de mon sperme jallais le jeter dans le bac à linge sale, mais retint mon geste au dernier moment Les mots « sperme » « plaisir » tournaient en boucle dans ma tête. Jouvris le string, le reniflais puis commençais à lécher avec application le tissu, pour récolter tout mon sperme, qui me parut meilleur que la veille je ne vis pas que par la porte entrebâillé, ma Maîtresse avait assisté à toute la scène, un sourire amusé aux lèvres
Le lendemain matin, je me levais à lheure, mhabillais rapidement. Je choisis un slip boxer bordeaux, avec le soutien assorti. Cétait très joli sur moi, mais je me rendis compte au cours de la journée que je naimais pas tellement la sensation de mes fesses emprisonnées dans un slip. Le string laissait mes fesses à lair libre, et javais limpression de préférer cela ! Japportais le déjeuner de Mrs. Benson, qui nétait plus dans son lit mais déjà installée à table, lisant son journal. Elle portait une robe de chambre en soie rouge et noire. Je posais le plateau devant elle, puis attendit à côté delle, tandis quelle commençait à déjeuner, ne sachant trop quoi faire, comme un nigaud.
— Aline, tu ne sais pas quoi faire ? Allez, sur tes genoux !
Jobéis, et mis directement sur mes genoux. Elle me caressa la tête, tendrement, puis mindiqua dun geste de passer sous la table. Ce que je fis. A quatre pattes, sous la table, javais une sur ses jambes, quelle venait de décroiser, couverte de sa robe de chambre, des mules rouge à ses pieds. Elle fit glisser les mules et me présenta son pied. Je lembrassais avec tendresse, tout en le massant avec mes mains. Je fis de même pour le second. Puis elle écarta complètement les jambes. La robe de chambre me dévoila une partie de ses mollets, ses cuisses et son sexe maintenant bandé qui formait une bosse au niveau de la ceinture de la robe de chambre Je lentendis poser sa tasse de café, puis sa main apparut. Elle défit dun geste gracile le cordon de la robe de chambre, qui souvrit tout à fait. Sa verge était face à moi, raide, dur, surmonté de son gland déjà un peu mouillé dexcitation Les images de la veille me revinrent en tête A quatre pattes, javançais sous la table, me mettant entre ses jambes, mapprochant de sa bite dressée je ne le faisais pas par devoir, ni par obligation, mais là jen avais très envie Ses deux testicules glabres reposaient sur le tissu de la robe de chambre, sur la chaise. Je les léchais, puis les gobais avec douceur, lune puis lautre. Je lentendis cogner quelque chose sur la table, elle ne sattendait pas à ça Après avoir sucer en douceur ses testicules, ma langue remonta le long de sa hampe, redescendit, puis remonta encore… jusquau gland, que je léchais tout autour, puis au-dessus, recueillant sa perle de pré-sperme, un petit fil translucide reliant ma bouche à son gland ma tête plongea sur lui, je le sentit entrer dans ma bouche, racler mon palais, puis la hampe je suçais le gland, ma langue léchait la hampe dans ma bouche, avant que ma tête commence ses aller et retour le long de cette chair tiède et dure jaccélérais le mouvement, puis ralentissais, puis accélérais encore, mes lèvres tantôt serrant, tantôt plus lâche elle avait arrêté de manger, et jentendais sa respiration saccélérer pour le final, je mefforçais den prendre le plus possible en bouche, et enfin, victorieux, je pus enfoncer son gland au plus profond de ma cavité buccale, prenant entièrement ses 18 centimètres de chaire en bouche, au prix de quelques larmes au coins des yeux et dun sentiment nauséeux que je réussis à refouler Cela la fit venir, je sentis son sexe se cabrer dans ma bouche, et ne fit rien pour éviter la chose je plaçais juste son sexe un peu moins profond dans ma bouche, pour pouvoir sentir sa semence tiède se répandre sur ma langue, avant de lavaler avec contentement je bus tout ce que son sexe put moffrir de sperme laiteux Je gardais son sexe en bouche, il coulait encore un peu, jusquà ce quil débande
— Aaaaaaah Aaaaah Aline jaurais dû commencer par la vidéo éducative aaaah comme tu tes améliorée ! Cest pour me mettre en forme de grand matin ça ! Allez, zou, va déjeuner maintenant !
Javais pris un pied pas possible, et avais réussis à ne pas éjaculer dans mon slip, même si ça avait été proche jétais rayonnante et fière de moi. Et la vidéo avait raison, sperme = plaisir
Après le petit déjeuner, je me réentrainais avec les escarpins et leur 5 centimètres de talon. Ce nétait vraiment pas facile, mais je me débrouillais déjà mieux que la veille. Si je voulais être prête pour le lendemain, il fallait que je fasse encore mieux ! Je décidais donc de les garder toute la journée. Je fis le ménage avec, et aida ma Maîtresse à classer le courrier, et les factures. Comme elle était de bonne humeur, elle me laissa la sucer encore à midi, sous son bureau. Je me mis comme le matin, à quatre patte sous le bureau, et lui léchais les jambes, les cuisses son sexe se redressa sous sa jupe, que je relevais doucement Son slip blanc était tout tendu par une bosse de chaire ! Je dégageais son sexe et la suçais avec délectation. Je bus tout son jus, son nectar, avant de retourner à mes travaux.
Au souper, Danny passa deux fois près de mois, à chaque fois s’arrangeant pour me reluquer ou pour passer sa main sur mes fesses. Le soir, elle me repassa une vidéo éducative, du même style que la première. Les mêmes mots, le même style de film mais des images différentes, encore plus sensuelles, érotiques. Ces images, ces mots me marquaient, et se mélangeaient dans ma tête avec les images de moi suçant Mrs. Benson. Je bandais comme un fou, mais réussit à ne pas me toucher. Jallais dormir et fit des rêves érotiques, au point den éjaculer pendant mon sommeil dans mes draps !
Le lendemain, je me levais un peu plus tôt pour prendre un bain « peau douce », me laver les cheveux, les lisser, me maquiller de façon à être attirante, sans faire pute, puis je choisi des bas résilles noirs, des jarretelles, string et soutient assorti. Le tout en noir avec des dentelles. Je saurais faire en sorte que M. Striker les remarque ! Je mis aussi mes escarpins à talon, avec lesquels je me débrouillais bien maintenant.
Je passais ensuite ma robe, tablier et coiffe, et me précipitais chez ma Maîtresse, lui montrer comment je métais apprêtée, guettant son approbation. Mais elle nétait pas là. Elle aussi sétait levée plus tôt, et elle avait déjà déjeuné. Je mis donc les restes de son petit-déjeuner sur le plateau, et le plateau sur le monte-charge avant daller déjeuner. Elle travaillait déjà dans son bureau, sans doute pour préparer sa réunion avec M. Striker.
Je vaquais donc à mes tâches ménagères, lorsque le téléphone de service sonna. Ma Maîtresse me demandait dapporter un café pour M. Striker. Je descendis donc aux cuisines, pris le nécessaire, servait un café, et apportais le plateau. Arrivé près des abords du bureau, jentendais que cela chauffait. Des éclats de voix passaient à travers la porte pourtant fermée.
— Mais enfin Striker, vous savez que jai besoin de ces machines !
— Désolé Mrs. Benson, mais ce nest pas de notre faute si vous les avez cassées ! Et les assurances ninterviendront pas, ou vraiment peu, vu la nature de laccident. En plus ce type que vous avez viré était insolvable, on ne pourrait même pas le poursuivre en justice surtout quil a disparu dans la nature
— Mais avec ces machines, notre école deviendrait la deuxième meilleure du pays !
— Non ! Je ne vais pas me couvrir de ridicule en réunissant le Conseil dAdministration pour redemander des fonds Il faut des arguments plus convaincants, trouver dautres sources de revenus
Cest à ce moment que je toquais sur la porte. Le silence se fit dans le bureau, puis Mrs. Benson dit un « Entrez ! » dun timbre de voix marquant comme elle était tendue Jentrais dans le bureau, où la tension était palpable. Dès que jentrais je vis Mrs. Benson qui regardait par la fenêtre, et sentis les yeux de M. Striker, qui était assis dans le canapé de la partie salon du bureau de Mrs. Benson, se poser sur moi, puis sur mes jambes. Il resta un instant bouche bée, avant de se tourner vers Mrs. Benson.
— Vous avez engagé du nouveau personnel ?
— Elle travaille pour moi, je la paye sur mes fonds personnels. Et comme elle travaille aussi pour linternat, elle est logée et nourrie par les fonds de linternat. Aline, tu peux poser le plateau sur la table.
Je mapprochais donc, mes chaussures à talon me faisant dandiner du derrière, dandinement que jaccentuais un peu. Je sentais le regard de M. Striker qui montait de mes chaussures, glissais sur mes bas résilles, et sarrêtaient sur la robe courte, qui se soulevait au gré de ma marche, dévoilant la fin des bas et le début des jarretelles. Je pus voir un début de bosse se former au niveau de lentrejambe de M. Striker. La situation me tournait un peu la tête, mexcitait. Voir un homme bander sur moi me faisait moi-même bander !
Mrs. Benson faisait sembler de se désintéresser de la situation, semblant perdue dans ses pensées en regardant par la fenêtre, dos à nous mais je devinais quelle ne perdait rien de la scène, via le reflet dans le carreau. Ma Maîtresse était en difficulté, il fallait que je laide. Il fallait que je sorte le grand jeu. Je passais devant M. Striker, et me penchais pour déposer le plateau, ma robe courte remonta, et il eut une vue gros plan sur mes jarretelles et sur une partie du tissu noir du string qui sinuait entre mes fesses. Je lentendis déglutir. Je me redressais, me mettant droite à côté du canapé. Soudain le téléphone sur le bureau de Mrs. Benson sonna. Elle décrocha, fit quelques « Mmm » et finit par un « jarrive ». Elle raccrocha, et se tournant vers M. Striker
— Jarrive, jen ai pour 5 minutes, une urgence à lentrée.
Elle sortit précipitamment. Était-ce une coïncidence, était-ce calculé ? En tout cas je me retrouvais seule avec M. Striker, dont la bosse à lentrejambe avait un peu augmentée.
— Il vous faut autre chose M. Striker ?
— Hum heu, oui, du lait sil vous plaît !
Je repassais devant lui, et me penchais un peu plus pour attraper le lait, puis le servir. Il en vit un peu plus de mes fesses. Je ne suis pas sûr, mais il me sembla sentir une main les frôler Je me redressais, me remis à côté du canapé. Il était rouge dans son visage.
— Encore autre chose ? Minaudais-je
— Hum, hum, heu du sucre ? Sil vous plaît ?
Je voulus repasser devant lui, mais (et croyez-moi je ne lai vraiment pas fait exprès) mon talon se pris dans le bord épais du tapis et je basculais et tombais en avant, jessayais de me rattraper et tombais sur mes genoux, lavant de mon corps en plein sur M. Striker. Mon bras sur son entrejambe.
Au début, je ne voulais que me montrer, le faire craquer à ma vue. Mais ma Maîtresse avait vraiment besoin de cet argent. Et au point où les choses en étaient je caressais donc la bosse visible en minaudant un « Mais quavons-nous là M. Striker » ? Sa réaction ne se fit pas attendre
— Tu veux voir ce que jai là, salope ? Tu me chauffes depuis tantôt, tu la veux, hein ?
Il écarta mes mains, défit le bouton de son pantalon, ouvrit sa bragette la bosse apparut de plus belle par sa braguette ouverte, une bosse bleu ciel, au couleur de son caleçon
— Laissez-moi vous aider avec ça, servir est mon métier
Mes mains ouvrirent plus grand son pantalon tandis que ma tête se pencha vers son entrejambe ma langue lécha la bosse, le tissu du caleçon se mouillant légèrement avec ma salive et pas qe ma salive ! Mes mains caressèrent son ventre, descendirent vers son caleçon et le tirèrent pour dégager son sexe bandé Il était plus court, mais plus épais que celui de Mrs. Benson plus poilus aussi. En voyant cette verge, les images des vidéos me revinrent en tête. Je me baissais, et commençais à lui lécher la hampe, puis le gland. La respiration de M. Striker saccélérait. Il sentait plus fort que celui de Mrs. Benson, mais cela ne me repoussa pas. Au contraire, je trouvais cette odeur plus mâle, plus virile ma langue tournoya sur son gland, lattira vers ma bouche je gobais le gland, puis la hampe La chaude moiteur de ma bouche le fit lâche un râlement de plaisir Ma tête commença à monter et descendre le long de sa bite, et je me rendis vite compte que jaimais faire ça il se poussa un peu pour me permettre de me mettre à quatre pattes sur le canapé, afin de pouvoir mieux le sucer. Je pus prendre toute sa verge en bouge, jusquà ce que mon front touche sa cuisse, car elle était bien plus courte que celle de ma Maîtresse. Mais elle était bien plus grosse, et cette grosseur qui me remplissait la bouche me faisait bander comme un fou ! Je le suçais, montant, descendant, tout en sentant sa main caresser mes cheveux, puis mon dos sa main arriva à mes fesses il me caressa les fesses, avec passion, puis me donna une petite claque. Puis il recommença à me les caresser pendant que je le suçais il alternait petite claque et caresses sur les fesses, et jaimais ça soudain, sa main suivit le tissu noir du string, avant de le mettre de côté. Jeus peur quil découvre mes attributs masculin, et marrêtais de le sucer pour dire quelque chose Mais son autre main poussa ma tête contre son sexe. Il poussait fermement puis relevait, imprimant avec sa main le mouvement que ma tête faisait le long de sa bite, qui allait et venait de plus en plus rapidement dans ma bouche son autre main caressa mon sillon, puis mon illet javais peur, mais en même temps cela me faisait frissonner de plaisir ! Son doigt caressais mon anus, le flattait avant de sintroduire dedans jeus une décharge dadrénaline quand je sentais ce doigt entrer dans mon cul Je voulus une nouvelle fois dire quelque chose, mais il men empêcha, faisant aller et venir ma tête le long de sa bite tout en me doigtant le cul jétais entièrement dominé et jadorais ça ! Je ne tardais pas à éjaculer dans mon string noir et peu après, il sortit son doigt de mon petit trou, et calant sa bite au fonds de ma bouche, appuyant ses deux mains sur ma tête, il éjacula tout son foutre chaud dans ma gorge son sperme était plus fort de goût et plus abondant que celui de ma Maîtresse, mais jarrivais à tout avaler sans tousser ! Maintenant ma tête sur son sexe qui se cabrait encore dans ma bouche, il ahanait, reprenant son souffle, quand une voix retentit dans la pièce
— Et bien cest du beau ! Cest comme ça que vous traitez mon personnel, gros pervers !
M. Striker rougit de son cou à la racine de ses cheveux !
— Heu Mrs. Benson ce nest pas ce que vous croyez enfin si mais on peut sarranger
Elle le regarda droit dans les yeux
— Sarranger ? Gare à vous si je perds ma soubrette, qui mest si utile ! Réunissez-moi le Conseil dadministration et je pourrai peut être oublier lincident ! Et heureusement pour vous que je nai pas envie dappeler votre femme !
— Heu oui daccord mais et les assurances.
— Je men charge des assurances, je vais leur téléphoner demain. Et relâchez ma soubrette, voulez-vous ?
Il tenait toujours ma tête sur son sexe. Il avait débandé dans ma bouche, et je mamusais à donner de petit coup de langues sur le bout du gland qui se recalottait petit à petit
— Hum, oui, pardon.
Il me relâcha. Je remis mon string bien en place et me redressais, à côté du canapé, tandis que lui se rhabillait bien plus rapidement quil ne sétait déshabillé !
— Aline, M. Striker na plus besoin du café ni de tes services, tu peux rapporter le plateau en cuisine
Le sarcasme ne plut pas à M. Striker. Il fallait que jaide encore ma maîtresse, la situation ayant déjà tourné à notre avantage.
— Hum, puis-je faire une suggestion Maît hum Mrs. Benson ?
— Oui, Aline, parle.
— Vous pourriez organiser un rendez-vous ici avec lassureur et M. Striker. Si lassureur est aussi gentil que M. Striker, je suis sûr que vous pourriez trouver un arrangement. Je referai un bon café et
— Bonne idée ! fit M. Striker, lil sur mes fesses.
— Pourquoi pas fit Mrs. Benson pensive.
A la lueur qui brillait dans son il, je suis sûr quelle y avait déjà pensé. Je suis même sûr quelle avait été témoin de tout ce qui sétait passé ici, je le voyais à ses joues rosies par lexcitation.
— Et bien, je vais téléphoner immédiatement.
Pendant quelle téléphonait, M. Striker sapprocha de moi, et me caressa sans vergogne le fessier.
— Demain, cest possible ?
M. Striker hocha rapidement de la tête, le rendez-vous fut pris. La main de M. Striker quitta mes fesses, et il se dirigea vers la porte. En sortant, il se tourna vers Mrs. Benson.
— Votre soubrette est vraiment talentueuse si son café convainc lassureur de payer, non seulement je convoque la réunion du Conseil dadministration, mais en plus je vous soutiens à 100%.
Il lui serra la main et sortit. Elle se retourna vers moi, lair sévère !
— Et alors Aline, on samuse sans mon autorisation ? On fait sa petite salope ? Enlève ton string, puis mets-toi à genoux !
Je le fis glisser le long de mes jambes, en sortit les pieds, puis le pris dans ma main et me mis à genoux. Elle neut rien à dire juste un signe de tête je déroulais le string noir, blanchi et mouillé à lintérieur par mon sperme je le léchais, enfin pour ce qui nétait pas absorbé par le tissu Ma Maîtresse sapprocha de moi pendant que je léchais lintérieur de mon string et me caressa la tête.
— Tu as bien fait Aline, je suis fière de toi. Et ton idée pour lassureur est lumineuse ! Je savais que tu maiderais !
Elle repassa devant moi et soudain attira mon visage contre son entrejambe, donnant des coups de bassin pour frotter la bosse qui déformait son tailleur contre mon visage
— Et te voir le sucer, pendant quil te doigtait le cul, que cétait excitant ! Tellement excitant ! Regarde !
Elle recula mon visage de la bosse qui déformait entièrement son tailleur et me remit une boule de tissu quelle avait discrètement gardé caché dans sa main depuis quelle était revenue dans le bureau. Je compris tout de suite que cétait son string à elle, maculé de son sperme. Sans quelle ne dise ou ne fasse rien, je laissais tomber mon string et commença à lécher le sien. Sperme = plaisir raisonnait dans ma tête
— Et si tu prenais du tout frais ?
Elle remonta indécemment la jupe de son tailleur, dévoilant ses bas beiges, ses jarretelles couleur chair et son sexe tendu. Je men approchais. Il sentait déjà le sperme, vu quelle était venue dans sa culotte je le léchais donc, nettoyant le sperme séché sur le gland, sur la hampe, avant de lengloutir Excitée, elle prit ma tête entre ses mains, et commença à me baiser la bouche son gros sexe entrait et sortait à toute vitesse, et je positionnais mes lèvres de façon à ce quelle ait un maximum de plaisir elle ne tarda pas à éjaculer une seconde fois, directement dans ma gorge javais encore son string en main, et me sentant venir du fait dêtre ainsi dominé, utilisé par ma maîtresse pour son plaisir, jéjaculais dans son string, afin de ne pas à avoir à lécher une nouvelle fois le parquet
(à suivre)