J’étais passé un peu par hasard dans ce petit village typique sans me poser la question de ce que je venais y faire . Ce n’est que devant la maison que je me suis rappelé y avoir connu des instants heureux plus de trente ans auparavant. Qu’était donc devenue la propriétaire de l’édifice que j’avais perdue de vue il y a bien des années ? Sans doute avait-elle déménagé. J’allais marcher un peu vers le centre bourg pour m’y rafraîchir lorsque la porte s’est brusquement ouverte sur une grande femme brune aux petits yeux noisette. Je l’ai immédiatement reconnue. Elle a un peu épaissi, mais peu changé. Sa démarche est toujours aussi élégante grâce à ses épaules très droites. Je me souviens d’une incroyable chute de reins, d’adorables petits seins ronds et de plein d’autres particularités anatomiques aussi charmantes. Elle me regarde, esquisse un sourire qui prouve qu’elle m’a identifié, puis commande sèchement : « entre ! ». Son intérieur rustique est resté le même, si ce n’est une imposante véranda qui borde un chemin de terre et la nature, faite de champs et de bois, toute proche.
Elle m’y fait pénétrer et commande à nouveau d’une voix sèche : « déshabille-toi, s’il te plaît ! ». Je ne sais comment me comporter. Là ou je suis, n’importe qui peut me voir depuis le domaine public. J’ai un peu peur et mon cur s’accélère. Mais elle me connaît et sait que je ne déteste pas m’exhiber. Elle répète d’une voix plus douce : « à poil te dis-je ; tu ne vas pas commencer à me résister aujourd’hui ! ». Mon cur s’emballe encore et je commence à déboucler ma ceinture. Mon pantalon s’affaisse doucement vers le sol dévoilant au passage mes cuisses dodues et mes mollets bien marqués. Comme d’habitude à la saison chaude, je ne porte rien dessous, ce qu’elle apprécie d’un sourire gourmand. Je trousse mon tee-shirt sans me faire prier. J’ôte mes sandalettes d’un geste des pieds et les dégage du pantalon avachi.
Me voici totalement nu, exposé en vitrine à la vue de deux promeneurs qui approchent sur le chemin. Mon sexe s’est redressé et j’ai honte. Mais plus j’y pense et plus il se redresse. Une étincelle traverse le regard de mon amie. « Branle-toi ! », dit elle. Sans que je le décide, une main monte sur mon téton tandis que l’autre commence à me caresser l’aine puis glisse sur mes bourses et mon phallus qui se redresse encore. Mon hôtesse s’est effondrée dans une bergère et ses mains se sont engagées dans la ceinture de son survêtement pour se masser compulsivement le bas ventre. Des marcheurs, un couple, se sont arrêtés derrière la vitre de la véranda et me contemplent avec gourmandise. Je rudoie violemment mon sexe tandis que mon autre main glisse doucement vers mes fesses et les caresse un moment. Trois paires d’yeux me dévorent du regard. Je redouble d’ardeur, entre un doigt dans mon cul et me tords littéralement en sentant venir l’orgasme. Mon foutre s ’éparpille au sol et je reste là, debout et indécent, à peine porté par mes jambes qui flageolent. Mon amie à les yeux révulsés et lâche un petit cri. Les marcheurs s’enfuient d’une démarche malaisée. Je n’ose bouger et reste ainsi seulement éclairé de rouge par le soleil déclinant.
Lorsque mon amie retrouve ses esprits, elle m’ordonne de la suivre dans un appentis voisin. Je dois sortir de la maison conscient de mon absolue nudité. Elle en extrait des sangles et des chaînes dont je ne vois que trop l’usage. Quelques minutes après, me voici entravé aux chevilles, les mains liées dans le dos, affublé d’un collier et traîné en laisse. Je me courbe et avance derrière ma nouvelle « maîtresse ». Mes entraves m’obligent à écarter les jambes pour garder l’équilibre, ce qui renforce l’indécence de mon attitude. Je suis grotesque et me sens terriblement impudique. Arrivés dans la cuisine, mes poignets sont déliés et je suis attaché, bras levés à deux chaînes qui pendent du plafond. « Bienvenue dans ta nouvelle vie ! » me dit ma nouvelle maîtresse en riant.
A l’heure du dîner, un homme d’une soixantaine d’années entre dans la maison comme s’il y habitait. Il me contemple avec un sourire égrillard et dit à ma maîtresse : « je peux ? ». Sur un signe d ’assentiment de la part de celle ci, il baisse son pantalon et enduit de salive sa mince verge qu’il approche tendue de mon cul. J’essaie d’esquiver l’outrage, mais il me retient par les hanches . Il hésite, mais elle insiste : « vas-y, il adore ça ! ». Je sens son vit s’engager doucement en moi de plus en plus profondément. A la douleur succède un étrange sentiment de désir et lorsqu’il accélère le mouvement, je suis complètement dilaté. Je sens ses couilles battre mon aine et nos deux peaux se télescoper en un claquement caractéristique. Mon cur bat la chamade et j’ai terriblement chaud. Je pousse un long cri suraigu et mon corps s ’affaisse douloureusement sur ses chaînes. Il se soulage dans mes intestins et se retire. Je me sens alors diablement mal et angoissé. Ma maîtresse me détache les poignets et m’autorise à à faire un peu de toilette avant de manger avec eux à table en signe de reconnaissance pour mon obéissance.
Le soir, alors que l’amant a quitté les lieux, elle devient plus douce. Je peux lui peloter ses petits seins puis caresser son sexe et son cul. Je peux enfin la prendre dans la position du missionnaire. J’aurais sans doute pu la sodomiser si la fatigue ne m’avait provoqué une panne irréparable. Elle me lie à nouveau les mains dans le dos et accroche mes chaînes à un anneau mural. Je m’endors, près de la cheminée couché en chien de fusil. Jusqu’au petit matin, je vais rêver de sévices, tant ma position inconfortable et mes entraves induisent mes états d’âme. Vers quatre ou cinq heures, après plusieurs réveils douloureux, deux jeunes couples de retour d’une sortie nocturne me trouvent en travers de leur chemin. De sa chambre, ma maîtresse m’ordonne de satisfaire la sexualité de ses enfants. Je prête donc ma bouche et mes fesses aux mains des filles et aux vits des garçons. L’une des fêtardes torture mon cul étroit en essayant de le fister. Je me prête au tourment mais finis par m’évanouir de douleur. Mon corps inerte ne les intéresse bientôt plus et ils me laissent enfin me reposer.
Dés le lever du jour, ma maîtresse me réveille et m’oblige à lécher chaque recoin de son anatomie pour en chasser les miasmes de la nuit. J’adore ces odeurs poivrées. Je laisse longuement traîner ma langue dans la raie de son cul au point que je réveille son désir. Je peux enfin l’enculer tout à mon aise. Elle me gratifie d’un chapelet de petits cris qui me font penser à des orgasmes multiples. Sitôt le petit déjeuner passé, elle me vêt d’une courte tunique sans manches qui me couvre à peine le bassin, me chausse de mes sandales et m’équipe d’une longue laisse. Cette tenue m’excite et j’en ressens les effets sur mon rythme cardiaque, ma respiration et une agréable sensation sur ma poitrine, mes fesses et mon bas ventre. Nous effectuons une longue promenade dans la campagne au cours de laquelle je suis autorisé à faire mes besoins à condition de rester en vue de mon bourreau qui ne me quitte pas des yeux. Son regard exprime en même temps le mépris et l’envie. J’ignorais que ma modeste anatomie pouvait avoir de tels effets. Par jeu elle trousse ma tunique sur les épaules ce qui renforce ma sensation de gène et de plaisir. Par moments, elle m’attire contre elle et me soumet à quelques caresses intrusives.
Lorsque nous passons devant un immense jardin, ou un vieil homme est occupé à nettoyer ses plantations, ma maîtresse m’ordonne de me dénuder et d’aller le rejoindre. Je m’y soumets presque avec plaisir. Le jardinier me regarde d’un il torve et pince divers endroits de mon intimité. Mon cri de douleur lui tire un sourire et il arrache une fine badine plantée là comme tuteur. Il me fouette les fesses et le dos. J’esquive les coups autant que je peux et cela excite mon bourreau qui commence à rechercher les zones les plus sensibles. Je comprends vite que je dois me soumettre et ne bouge plus. Il s’arrête enfin et caresse doucement les blessures sur mon corps nu. Ma maîtresse me couvre à nouveau sommairement et nous partons.
Une nuit, les sens en révolution comme souvent, j’ai fait ce rêve : Au café du village , une jeune femme est attablée, un énorme chien fauve à ses pieds. Ma maîtresse s’installe face à elle alors que je me couche, à côté du chien. A mon approche ce dernier grogne et je me plaque au sol en signe de soumission. Il se lève et vient naturellement renifler mon anatomie. Sa truffe humide écarte mes fesses et sa langue commence à lécher mon cul. Cette caresse met mes sens en émoi, mon cul s’échauffe et mon sexe se dresse à demi. Le chien perçoit mon excitation et redouble d’attentions. Je soulève mon bassin pour faciliter la caresse tout en laissant mes épaules au sol. Il inonde de sa bave ma rondelle et je sens sa langue étroite qui s’engage dans mon cul. Je me tortille de plaisir. Je sens le regard des deux filles vissé sur nous dans un silence pesant. La bête ressent ce geste comme une invite et redouble de vigueur avec sa langue. Elle monte sur mon dos pour honorer mes fesses offertes et, alors que mes jambes s’écartent plus encore, mes reins se cambrent pour mieux l’accueillir. Je sens son sexe étroit pénétrer sans résistance dans mon cul distendu. Mon corps vibre et je hoquette de plaisir. Mon ventre se creuse. Le chien s’agite vigoureusement puis son vit grossit considérablement au point de dilater mon ampoule anale. Il descend de mon dos et nous nous retrouvons cul à cul, collés l’un à l’autre. Je me sens habité par cet amant de rencontre et j’accompagne son long orgasme de mes nombreuses petites morts. Plaisir indescriptible ! Il désenfle et me libère si brutalement qu’il m’arrache un cri de surprise. Sitôt sorti, il nettoie avec application de sa langue les miasmes de notre copulation. Je me tords à nouveau de plaisir. Lorsqu’il s’allonge enfin près de moi, je suis tiré par le collier et j’entends ma maîtresse dire sèchement : « ça suffit, sale chienne en chaleur ! » Elle saisit d’une baguette de coudrier dont elle menace mon bas ventre et mes fesses…
Lorsque je me réveille, je suis gluant de mon foutre ; envahi de fatigue et de honte. Elle est là, penchée sur moi, un sourire coquin aux lèvres. Elle me pince le sein, ce qui finit de me rendre conscient, puis me caresse doucement le dos. Ensuite elle me conduit à la salle de bains et m’asperge et m’étrille dans la baignoire. Mais progressivement son geste se fait moins brutal, plus tendre. D’un jet d’eau elle procède à ma toilette intime. Son insistance est telle que je frissonne et que mes sens exultent. Ma maîtresse se dénude alors, me rejoint dans la baignoire, et m’offre sa croupe de déesse pour la prendre en levrette. Mes mains libérées se cramponnent à ses petits seins durcis. Nos peaux humides font un bruit de ventouse à chaque mouvement et je sens mes bourses heurter l’intérieur de ses cuisses fuselées. Ravissement !
Les jours passent et ma situation change peu. L’amant me prend de temps à autre brutalement lors de ses passages. Ils m’associent parfois à leurs ébats et j’y ai le plaisir d’avoir le cul défoncé pendant que je m’active dans le vagin ou le cul de ma maîtresse. J’aime cela et je suis plus performant ainsi. Je n’ai pas revu les jeunes. J’espère que cela ne durera pas car j’ai apprécié le contact de leurs peaux fraîches et de leurs membres vigoureux.
Aujourd’hui, c’est une journée entre filles ou je n’ai pas de rôle défini. Je reste sur mon territoire au coin de la cheminée. Mon repos est parfois interrompu par quelque caresse perverse, mais rien de plus. L’alcool coule à flots et les filles parlent de plus en plus fort. Elles évoquent leurs amours et leurs pensées cochonnes. Ma maîtresse propose une séance de lèche et me voici sous la table entouré de sexes dénudés . J’ai du mal à fournir et utilise simultanément ma langue et mes mains, ce qui me permet d’astiquer les six invitées trois par trois. Je m’agite et m’applique jusqu’à être pétri de crampes. La variété des toisons et des formes de sexes est extraordinaire. Les sensibilités sont très différentes . J’ai du envoyer au ciel cinq fois une grosse blonde au discret clitoris alors qu’une brune épilée bien dotée m’a longuement résisté . Une fois satisfaites mes compagnes m’ordonnent de me coucher sur la table et me font subir mille outrages. L’alcool aidant, elles finissent de se dénuder et je puis téter leurs seins, du téton à peine visible aux énormes loches. Voilà une délicieuse journée bien fatigante !
Depuis quelque temps, ma maîtresse a acheté un martinet et pris l’habitude de me fouetter le séant lorsqu’elle est mécontente. Elle accompagne ces séances d’insultes variées et peu imaginatives ou « chienne, pute, salope » et autres vocables ont une place de choix. Elle l’emmène partout. A son ordre, je dois m’installer les fesses levées, tête et genoux au sol. Elle me frappe longuement en économisant sa force . Je ne sais ce que je ressens le mieux entre la douleur du fouet sur ma peau nue et l’excitation. Il lui arrive aussi, sans raison, de me fouetter dans la rue pour affirmer sa domination et montrer ma soumission obscène à quelque villageois.
Le jour de l’abattage du cochon, je suis voué à soulager les burnes des quelques hommes qui viennent aider. J’avale des bites en série, souvent en gorge profonde et ils éjaculent sur moi. A la fin du travail, lorsque vient l’heure du repas, je suis couvert de foutre et prié de ne pas paraître dans la maison. Je rince au mieux ma peau, mes cheveux et mes pilosités, avec le tuyau d’arrosage. Le voisin m’appelle et me montre une fort jolie courgette, longue et fine. Je ne comprends pas ce qu’il veut et franchis le mur pour m’approcher de lui. Il me saisit par le collier et enfonce deux doigts humides dans mon cul. Le passage est vite assoupli. Il enfonce ensuite profondément le légume et commence un va et vient de grande amplitude entre mes fesses. Me croirez vous si je vous dis que j’ai ressenti du plaisir. Bon, en plus d’être une salope soumise, me voici également légumophile. Je manifeste ma jouissance de façon tellement sonore que les faiseurs de boudin en sortent de la maison. Cela m’a valu d’être longuement et vicieusement fouetté par ma maîtresse.
Lors qu’arrive l’automne, elle me dote d’un de ces manteaux transparents issus de la recherche récente ainsi que de bas en même tissu. J’apprécie la valeur du cadeau qui me permet d’être exhibé, totalement dévêtu, dedans comme dehors, été comme hiver. Malgré l’habitude, de nombreux villageois ont plaisir à me regarder passer et à détailler mon insolente nudité. Je suis prêté régulièrement au cafetier. Je sers les clients revêtu d’un petit tablier bleu qui ne cache que mon sexe et le bas de mon ventre. C’est pire que d’être totalement dévoilé et bien plus graveleux. A chacun de mes passages entre les tables, des mains se tendent vers mon cul. Lorsque je sers à table, elles s’engagent sous le tablier ou sur les tétons. Elles entrent dans ma bouche avide ou dans mon cul dilaté. Je suis en permanence excité et cela se voit. Je sers également de bedeau et le lubrique curé en profite pour envahir mes trous, sans ménagement, prosterné devant le crucifix de la sacristie. Il aime aussi me flageller le cul, agenouillé devant l’autel et penché en avant.
A la mauvaise saison, ma maîtresse me laisse parfois à la garde de ses enfants qui font de moi l’attraction de leurs réceptions. J’avoue que j’ai grand plaisir de voir mon cul et ma bouche pénétrés par ces jeunes organes. Les filles sont plus dures avec moi et m’humilient souvent. Puis elles culpabilisent et m’offrent leurs orifices pour me récompenser.
Au milieu de l’hiver, ma maîtresse m’emmène à la neige. Je deviens la coqueluche des salles hors sac ou je suis vu dans le plus simple appareil et souvent besogné par des inconnus. Il n’est pas rare de voir les touristes présents consommer leur frugal repas en cercle autour de mon corps découvert et impudique qu’ils ne cessent de lorgner et de palper.
Au village, ma maîtresse m’envoie souvent faire quelques courses à l’épicerie, à la boulangerie et dans d’autres commerces… A chaque fois le scénario est le même : je dois me prêter au jeu pervers de mes interlocuteurs. Le boulanger adore me sodomiser avec le manche de sa pelle à four. L’épicier a conçu pour moi un ingénieux engin de torture qui dispense 24 volts dans mes bourses ou mes fesses. Chaque décharge me met en transes et m’écartèle en des positions lubriques. Le garagiste a équipé la selle d’un vélo d’un sex-toy sur lequel je dois empaler mon cul pour me promener avec lui. J’avoue qu’au moindre faux plat, l’impression est assez géniale. Quant au plombier, il m’a confectionné un jet de massage dont l’effet lavement est intéressant. J’en ai les boyaux en folie sans que cela soit douloureux. Le pharmacien m’alimente en toniques de tous genres pour que je sois endurant à la tâche. Il faut dire qu’il a des besoins sexuels hors norme et que mon anatomie est mise à rude épreuve. L’artiste peintre compose des tableaux éphémères sur mon corps. Il plante dans tous mes trous des objets décoratifs qui me font ressembler à une sculpture d’avant garde. Celles-ci m’échauffent et renforcent la sensualité de mes postures. Il les montre à tout le village puis les photographie avant destruction. Une seule consigne, ne jamais dire « non » à mes interlocuteurs même si je suis effrayé ou fatigué. Seule ma maîtresse a ce droit.
En un mot, comme en cent, mon corps ne m’appartient plus et s’est habitué à être en permanence excité et prêt à l’ouvrage. J’y ai découvert que chaque cm² de peau peut être une zone érogène. Il m’arrive de ressentir un spasme génital violent alors qu’on ne me touche que la main, la tête ou le pied. Parfois j’ai l’impression que tout mon être est un sexe. Je n’arrive que difficilement à penser par moi même et m’en remets toujours à ma maîtresse que je ne cesse de contempler avec l’admiration et la reconnaissance d’un chien. Je ne rêve que d’être fourré profondément en toute circonstance et je n’ai plus d’autre raison d’exister. Merci maîtresse !