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Soumise au destin – Chapitre 1

Soumise au destin - Chapitre 1



Soumise au destin.

Marseille, gare Saint-Charles.

       Sans prendre garde, j’entrais en gare. A deux doigts de trébucher, accrochant un de mes talons à une marche, je me rattrapais in extrémis. Trainant ma valise en accélérant le pas, je sortis mon billet de ma poche, puis levais mes yeux sur le tableau d’affichage. Quai D. Ne voyant pas mon numéro de train affiché, je commençais à m’inquiéter. J’interpellais donc une personne proche de moi :

— Excusez-moi, Monsieur, est-ce que le train pour Paris est déjà parti ?

 

— Non, il a du retard, me répondit-il, sans même m’accorder un regard.

         Soulagée, je pris quelques minutes pour me calmer et m’installais tranquillement sur le banc. J’étais d’un naturel nerveux et aimais tout contrôler. Ayant énormément de mal à lâcher prise, je paniquais rapidement lorsque je ne maîtrisais pas la situation. Et ce jour-là, plus encore, puisque je devais me rendre à un entretien d’embauche dans une grosse entreprise Pharmaceutique sur Paris. C’était la chance de ma vie. Cela faisait plus d’un an que j’avais fini ma thèse en biologie moléculaire et je galérais à trouver un emploi. Je n’avais pas le choix, j’étais obligée de m’exiler dans le nord! Parce que, oui, pour une sudiste telle que moi, passé Lyon, c’est le nord.

             A ce moment-là, je n’imaginais pas encore à quel point ma vie allait être bouleversée.

            Mais je devrais plutôt commencer par me présenter, je m’appelle Liliane, j’ai 29 ans, brune aux yeux noirs, un petit bout de femme, et quand je dis petite, croyez-moi, c’est petite! 1m57 cm, 45 kg. Je suis une fille que l’on pourrait qualifier de femme enfant, sachant être aussi bien discrète que sexy quand l’envie m’en prend. Pratiquant l’escalade depuis environ une dizaine d’année, mon fessier plutôt rebondi attire souvent le regard de ces messieurs.

Cependant, ce jour-là, mon code vestimentaire était assez professionnel, voir stricte, une jupe noire s’arrêtant aux genoux, un chemisier blanc moulant mes petits seins fermes, avec une veste de tailleur, et des escarpins. Une tenue qui convenait pour un entretien.

___Objectif : Faire bonne impression et surtout mon âge. En effet, la plupart du temps on me prenait pour une gamine de 22 ans, ce qui pouvait poser problème en termes de crédibilité, vous l’aurez compris.

 

           Le train arrivant, je me retournais pour prendre ma valise et monter dans le train.

         Soudain, je me fis bousculer par un homme, très grand. Il devait mesurer dans les 1m90 environ, et m’impressionna drôlement. A cet instant, j’oubliais tout autour de moi, le brouhaha typique d’une gare, les gens qui se bousculaient sans même prendre la peine de s’excuser, les cris d’enfant et surtout le but de mon voyage. Je ne savais pas pourquoi, mais, je ressentis une attraction physique. Cet homme dégageait un je ne sais quoi qui me rendait toute fébrile. Il devait avoir dans la soixantaine, des yeux d’un bleu indigo donnant l’impression d’être vulnérable! Je me sentis rougir lorsqu’il s’attarda sur ma personne, il laissa courir son regard sur tout mon corps en fixant ma bouche avec insistance.

 Je déglutis et dis d’une toute petite voix :

–  Je suis désolée, je ne vous avais pas vu. Vous prenez ce train vous aussi ? vous êtes dans quelle voiture ? moi c’est la voiture 7, il me semble. Vous êtes Parisien ? Je suis marseillaise, je vais passer un entretien d’embauche sur Paris. Du coup, c’est le stress total !

          Mais qu’est-ce que je racontais?! Me rendant compte de mon indiscrétion et de mon flux de parole inappropriée, je me tus sur le champ et ressentis une honte indescriptible. Si je pouvais à l’instant me glisser dans le trou d’une petite souris, je le ferais illico. Malheureusement, à la place, je fixais mes chaussures, priant pour qu’il ne me fasse pas une remarque désobligeante sur mes questions indiscrètes et qu’il monte dans le train le plus vite possible.

–  Je vous en prie, passez devant, je suis en voiture 7 également, Me répondit- il avec un sourire en coin, en s’efforçant de ne pas éclater de rire devant ma gêne qu’il trouvait apparemment amusante.

        Le timbre de sa voix me perturbait et me procurait des frissons que je n’arrivais pas à déterminer. Etait-ce de la peur ? De l’excitation ? Les deux ? Je ne saurais vous dire, mais une chose était sure, j’étais loin d’être à l’aise comme si mon subconscient me mettait en garde et me soufflait que cet homme était dangereux.

        Je ne me fis pas prier, pris ma valise et m’installais sur mon siège que j’espérais loin de cet homme qui me mettait dans tous mes états. Je vous assure, qu’à ce moment-là, je ne rêvais que d’une chose, être le plus loin possible de cet homme des plus déconcertant.

Malheureusement, Je devais certainement avoir fait quelque chose de mal dans une vie antérieure car je le vis s’installer trois allées plus loin, coté couloir, juste en face de moi. J’allais devoir croiser son regard pendant presque 4 heures et faire comme si j’étais complètement indifférente et qu’il ne me perturbait pas du tout.

Autant vous dire, mission impossible, je commençais déjà à rougir et à ressentir un picotement entre les jambes. Mon corps surchauffait. Je ne contrôlais absolument plus les effets de cet homme, imposant et mature, sur mon corps. J’en devenais même humide. Je ne savais plus où me mettre, et priais pour qu’il soit occupé pendant tout le trajet et qu’il ne s’aperçut pas de mon émoi. Mon excitation grandissante, je sentis ma mouille tremper ma petite culotte malgré moi. La panique me submergea.

        Décidant de me ressaisir, je pris mon carnet où j’avais mis les points clés de mon parcours professionnel pour mon entretien et me mis à lire. J’essayais de me concentrer autant que je le pouvais, mais sentais une gêne comme si l’on m’observait. Voulant savoir d’où me venait ce sentiment d’être épiée, je relevais la tête et aperçus le soixantenaire me scruter avec une lueur brillante dans le regard.

Il fixait ma jupe et mes jambes gainées de bas. Je baissais la tête pour me rendre compte que la dentelle de mes bas était totalement à découvert, la jupe largement remontée sur le haut de mes cuisses. L’homme se mordit les lèvres, ne détournant pas son regard. Le rouge me monta d’autant plus aux joues.

         La situation devenait de plus en plus incontrôlable. Je me sentais prise au piège de son emprise et l’excitation ne fit que s’accroître ! Je m’étais surprise à écarter légèrement les jambes afin de lui dévoiler ma petite culotte immaculée inondée de désir.

Vraiment, je ne me reconnaissais pas, je ne maîtrisais absolument plus rien. Mon corps avait ses propres réactions qui me trahissaient totalement.

          Insatisfait, il leva un sourcil et fit un geste de ses doigts, m’incitant à écarter encore un peu plus. Avais-je bien compris ? Ou me faisais-je des films, purs fruits de mon imagination ?

  J’étais chamboulée intérieurement entre l’incompréhension de mes réactions face à l’inédit de la situation, la peur de se faire surprendre et un désir plus fort que la raison m’imposant d’exécuter son ordre silencieux.

 J’écartais donc encore plus les jambes, lui accordant la vision de ma chatte liquéfiée. Je n’osais toujours pas le regarder en face, je me sentais humiliée d’obéir implicitement à cet homme. Mais qu’est-ce que je fais ? Je n’arrivais pas à croire que j’osais faire une chose pareille. Moi ? Habituellement si réservée, je ne me reconnaissais pas. Sous mes airs de sainte ni touche, je devenais une belle petite salope. J’étais pris entre un sentiment de honte et une envie irrépressible de continuer ce petit jeu.

        Puis, je le vis passer discrètement sa main entre ses jambes et fut surprise de voir son entrejambe gorgée de désir, dessinant une merveilleuse bosse. Cette vision m’excita à un point tel, qu’elle me fit perdre complètement la raison. Je ne répondis plus de rien. Mon bassin se mit à gigoter lascivement, frottant ma petite chatte contre le siège.

J’étais dans un autre monde sous le contrôle de mes sensations. Le plaisir me donnait des décharges électriques de purs délices. L’objet de mon désir m’encouragea en glissant discrètement sa langue sur ses lèvres tout en continuant de fixer mes jambes écartées comme s’il voulait me bouffer la chatte. Je me mordis les lèvres sur cette vision.

 Ma position était totalement indécente, occultant mon entourage. Tout disparaissait autour de moi. Seul l’homme en face comptait.

         Je l’imaginais toucher sensuellement mes seins avec le bout de ses doigts, effleurant mes tétons pour finir par les pincer légèrement. J’avais envie qu’il les mordille et se délecte en les suçant délicatement. Je désirais ardemment qu’il agace mes nichons et qu’il s’amuse à me faire jouir de cette manière. (J’avais des seins très sensibles et c’était, à chaque fois, un ravissement et un plaisir inouïe lorsqu’on s’en occupait avec délectation).

         A cet instant, il me soumettait complètement à lui à travers un simple regard, j’étais si excitée que j’en devenais folle. Ma chatte brulait d’envie de sentir sa bouche explorée mes chairs intimes. Mon nectar coulait entre mes cuisses.

          Je m’exhibais volontairement à lui. Je divaguais et pourtant…, pourtant, il n’avait rien fait. Il était installé confortablement sur son siège, avec une maîtrise totale de lui-même. Il dégageait une énergie qui m’attirait irrésistiblement. Je ne voulais pas qu’il me quitte du regard. J’étais subjuguée par sa prestance et son calme. Un calme serein alors que je sentais en lui l’envie de me dévorer.

Je devenais peut être folle. J’étais sûrement en train de me ridiculiser. Je ne savais plus, je n’arrivais plus à réfléchir. La seule chose dont j’étais sure, c’est que j’avais envie de cet homme, que je ne connaissais pas du tout. Cet homme, qui avait l’âge de mon père et qui contrôlait complètement mon plaisir. Devais-je arrêter ? Le problème, c’était que je m’en sentais tout simplement incapable.

          Pendant que je luttais intérieurement, je le vis se lever et se dirigeait doucement vers moi. Paniquant, je regardais autour de moi et fut rassurée. Personne n’avait remarqué notre échange. Tout le monde semblait concentrer par ses occupations. Je l’observais donc s’approcher de moi. Il s’arrêta à quelque centimètre, de toute sa hauteur et marqua un temps d’arrêt. Je me sentais encore plus minuscule et impressionnée. Mon cur battait la chamade. Je sentais son odeur, un soupçon de jasmin, renforçant son emprise sur moi. Il était si beau, si viril et impressionnant, il dégageait une assurance à l’opposé de ce que je ressentais sur l’instant. Doucement, il se pencha et me chuchota à l’oreille :

–  Je veux que tu ailles aux toilettes et que tu enlèves cette jolie culotte que j’ai aperçue. Tu as 5 minutes.

Croyant avoir mal entendu, je rougis mal à l’aise. Avait-t-il vraiment demandé ça ? Cela ne pouvait être possible ! Cependant, il maintenait mon regard prolongeant le silence.

— Mais, je ne vous… tentais je de m’y opposer, la boule au ventre.

— Chut ! je ne te demande pas ton avis, j’exige que tu ailles l’enlever et que tu la laisses en évidence. Fais moi confiance, tu vas aimer ça.

— D’accord

— Oui Monsieur.

Même en chuchotant, j’entendais son ton autoritaire.

Baissant le regard, je répétais :

— Oui Monsieur.

— C’est bien. Et maintenant, obéis.

Sur ces paroles, il retourna s’assoir à sa place.

        Sans m’en rendre spécialement compte, je marchais comme un automate vers les toilettes et fit glisser ma culotte le long de mes jambes. Rien que le geste accentua la tension qui émanait de mon sexe. J’étais littéralement liquéfiée. Lorsque je me rendis à ma place, je sentais mes lèvres se frottaient l’une à l’autre tellement elles étaient gonflées d’excitation et de mouille.

Je n’avais qu’une hâte, me soulager, mais je ne pouvais pas ! Une vraie torture. Une délicieuse torture au point d’en avoir mal. Quelle sensation ! C’était incroyable. La tension s’accentua encore lorsque je le vis se rendre à son tour aux toilettes et revenir tranquillement d’un pas de velours. Jamais je n’avais été aussi excitée de ma vie. De retour à sa place, il fit un geste discret m’indiquant d’écarter à nouveau les jambes. J’obéis. Il eut une vue de ma chatte épilée, avec mes grandes lèvres toutes roses bien ouvertes.

En même temps, il huma ma culotte et ferma les yeux en appréciant chaque flagrance. Cette image resta gravée en moi. C’était d’un érotisme à m’en couper le souffle, je devins complètement folle. Je n’avais qu’une envie, qu’il me prenne ! Qu’il me prenne maintenant, tout de suite ! Qu’il me pénètre de son sexe que je devinais dur et épais. Je voulais être à sa merci et qu’il me lèche partout. J’avais envie que sa langue me fouille délicieusement, qu’il avale mon jus, jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche. J’étais plus que prête à le recevoir.

          Seulement, je dus faire face à ma frustration durant tout le reste du trajet. Mon inconnu se pencha pour prendre son ordinateur dans son sac et passa tout le reste du temps concentré dessus. Je me sentis abandonnée et honteuse, doutant même d’avoir vécu cette scène. Mais dès que je refermais les jambes, il levait la tête et me pénétrait du regard jusqu’à ce que je les rouvre. Il haussa la tête discrètement et retourna travailler. A croire que malgré sa concentration, il sentait quand j’avais les jambes écartées ou pas. Je passais donc le reste du trajet drapée dans ma frustration et décidais de reprendre ma lecture pour passer le temps.

 Après tout, je devais me concentrer ! J’avais un entretien d’embauche dans moins de deux heures et je ne me sentais plus du tout prête. D’autant plus, que j’y allais excitée comme une puce et terriblement sous tension.

          Arrivée en gare de Lyon à Paris, tout le monde se leva et chercha ses bagages. Je ne vis pas mon inconnu sortir de l’autre côté du wagon sans même me lancer un regard, ni me dire au revoir. Je sortis donc du train, nue sous ma jupe, le froid frôlant mes cuisses et mes fesses. J’étais comme anesthésiée. Je n’arrivais pas à croire ce qui était arrivée. Je ne comprenais pas mon comportement. C’était la première fois que j’étais si dévergondée. Je me sentis sale. Pire, je n’arrivais surtout pas à croire qu’il était parti sans même m’accorder un regard, avec en souvenirs ma culotte qui plus est !

Pas le choix, je devais oublier cette histoire et me concentrer sur mon entretien.

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