Je déteste faire les courses, et encore plus en un jour de pluie. Pourtant, au regard du vide total enivrant mon réfrigérateur, je suis bien obligée de les faire.
En cette fin de soirée brumeuse, je m’enfonce dans un hypermarché bondé de monde. Je ne comprends pas toutes ces personnes voulant faire leur courses alors qu’il fait un temps torrentiel dehors. J’aurais définitivement préféré rester chez moi. Au fur et à mesure que mon Caddy se remplit, je constate un homme qui essaie tant bien que mal de me suivre. Étant parano sur les bords, je me dis de laisser tomber.
Au moment d’arriver à la caisse pourtant, ce même homme est encore derrière moi. Voyant que je l’ai remarqué, il esquisse un petit sourire. Je fais de même par courtoisie. Il est grand, assez costaud, brun, la peau mate, les cheveux courts, un tatouage imprimé sur son cou il doit avoir 30 ans, une petite dizaine d’année de plus que moi. Il y a tellement de monde aux caisses, j’ai tellement chaud que je dispose mon panier entre mes deux pieds et attends une bonne dizaine de minutes, sans bouger, que la file d’attente daigne diminuer. Mais rien, je me dis que j’ai encore choisi la bonne caisse.
Perdue dans mes pensées, je sens quelque chose m’effleurer les fesses. Le temps de me retourner, je vois l’homme commencer à se coller contre moi. Je sentais littéralement son corps se frotter au mien. Mais personne ne remarquait, puisqu’ils étaient tous à proximité presque égale à la notre. Et puis, peut être pensaient ils que nous étions ensemble. Par miracle, au même moment, la file avance devant moi, et je réussis à me défaire de l’envahisseur. Mais pas pour longtemps, j’ai à peine eu le temps d’avancer mon panier et de m’appuyer des deux mains, une sur la barre, une sur la caisse, que je le sens revenir à la charge. Cette fois ci, je sens son sexe durci à travers ses vêtements se caler sur mes fesses. Il pratique des va-et-vient imperceptibles et m’enveloppe de ses bras. Je ne connais pas cet homme, mais le sentir se frotter sur mes fesses comme ça fait monter une chaleur incroyable en moi. Je sens son sexe prendre des proportions assez impressionnantes. Pour vérifier mes pensées, j’avance ma main gauche cramponnant la rambarde, et pivote légèrement afin de passer ma main droite derrière mon dos et empoigner son sexe à travers ses vêtements. Il porte un jogging, et son sexe est de loin le plus gros que j’ai jamais senti. Je mets un peu de pression autour de son gland en y positionnant discrètement mon pousse et mon index de deux cotés. Malheureusement, notre jeu s’arrête là, c’est à mon tour de passer en caisse. En marchant, je peux constater que mon string est totalement trempé.
J’entrepose mes courses dans mon sachet, paye, adresse un sourire au bel inconnu et m’en vais en direction de la sortie.
Arrivée à la voiture, je constate qu’il est 20h50. J’ai passé plus de deux heures dans ce magasin à acheter dix maudits articles. Je suis garée dans le parking couvert à l’étage, il n’y a plus que dix voitures. Je me dis que la prochaine fois, j’irais plus tôt, parce que là je vais me prendre les embouteillages pour rentrer. Après avoir disposé mes courses dans le coffre, je ferme la portière. D’un coup je sens qu’on me colle violemment contre ma voiture. Visage contre vitre, je ne peux rien voir. Je sens un souffle s’approchant de l’oreille :
— Tu m’as bien excité à l’intérieur toi. Tu vas voir ce que je vais te mettre maintenant.
Je ne m’attendais pas à tant d’animosité, mais qu’est ce que ça mexcitait. Il me descend le jeans sans même l’avoir déboutonné, à peine eut-il le temps de descendre mon string qu’il s’enfonce en moi avec une brutalité hors norme.
— T’es trempée hein, apparemment je suis pas le seul à être excité ici.
J’ai honte mais c’est vrai, je suis totalement excitée par la situation. Il me met des coups de reins à me faire arracher des cris entre plaisir des douleur. L’épaisseur de son membre est vraiment impressionnant, si je n’avais pas autant mouillé je pense qu’il aurait eu du mal à s’introduire. Le sentir buter au fond de moi me donne un plaisir indescriptible, j’ai toujours la tête collée contre la vitre, le pantalon et sous vêtements à mes chaussures, lui ayant juste sorti son sexe pour me baiser. Littéralement, je suis entrain de me faire baiser dans un parking. Mais que c’est bon. Il accélère ses va-et-vient, je commence à crier comme jamais.
— En plus t’aime te faire baiser comme ça, par un rebeu, dans un parking à la vue de tout le monde ? Tiens je vais te la mettre autre part moi, tu vas te soumettre.
Il se retire, me retourne et me porte littéralement sur le capot de ma voiture. Contre toute attente il monte aussi sur le capot, s’assois sur ma poitrine et m’enfonce son sexe dans la bouche. Je déteste la position allongée pour pratiquer une fellation, j’ai l’impression de m’étouffer. Il essaie d’enfoncer son sexe au plus profond de ma gorge, je peine, je crache mais il ne se retire pas, il ne fait que des va-et-vient si petits et si intenses qu’il ne fait que s’enfoncer de plus en plus dans ma gorge. Je me fais baiser la bouche maintenant.
Je m’étouffe de plus en plus, à ne plus pouvoir respirer, mes yeux pleurent mais il continue à me baiser la bouche, à jurer sur tout ce qu’il connait. Mais j’aime cette sensation, cette domination. Quand d’un coup, il se dégage brusquement me laissant enfin respirer. Après avoir repris un peu mes esprits, je remarque qu’un autre homme l’avais tiré violemment de moi. J’écoute d’une oreille ce qu’ils disent
— Mais si je vous dis qu’elle est consentante. On aime faire ça dans les lieux publics.
— Ecoutez, elle n’a pas l’air d’être consentante, vous l’avez pris sans ménagement lorsqu’elle avait le dos tourné, elle rangeait ses courses je l’ai vu sur les caméras.
Après vous êtes sortis du champ de la caméra.
— Alors on nous voit pas là, en ce moment ?
— Non, mais là n’est pas la question…
— C’est une vraie salope, elle mouille comme pas deux, viens mon frère on va la baiser tous les deux.
C’est le comble, l’homme qui est censé me sauver vient finalement lui aussi me baiser dans ce parking. Honteusement, la seule chose me venant à l’esprit, est d’espérer qu’il ait un gros sexe. Je me sens sale.
Au moment où je tente de me relever, je sens les mains du bel inconnu m’attraper fermement les hanches et de me retourner sur le ventre face au capot, les fesses en l’air, les pieds sur le sol.
— Je t’avais dit que c’était une belle salope, elle réagit même pas. Tout ce qu’elle veut, c’est nos queues. Vas y, prends là. Tiens mets ça.
Je sens l’agent de sécurité s’avancer, poser ses mains sur mes hanches à son tour. Elles sont plus rugueuses, il a l’air plus vieux que mon assaillant. Je sens ses doigts se mouvoir de mes hanches pour palper mes seins, et au moment où je m’y attendais le moins, il plante son sexe en moi. Je ne peux pas m’empêcher de crier parce qu’il n’a pas investi mon vagin, mais il a forcé l’entrée de mon anus. Mon bel inconnu lui avait donné du lubrifiant, je suis entrain d’hurler, littéralement pendant que l’agent de sécurité me chuchote des obscénités du genre "oh oui sale chienne, t’aimes te faire prendre le cul hein", "sens ma grosse bite dans ton petit trou" et oui, pour le coup, je la sentais bien. Il continuait de me ramoner encore et encore en y allant toujours plus fort, me tirant toujours des cris aigus, quand mon premier assaillant revint à la charge. Il se couche sur le capot de la voiture sur le dos, pendant que l’agent de sécurité me pose sur lui, toujours enfoncé en moi. Je suis allongée sur un homme, en ayant le sexe d’un autre en moi. J’ai honte mais j’aime tellement ça. Mon bel inconnu me regarde, je sens sa main sur son sexe, et il l’enfonce dans mon seul trou restant.
— Oh tu mouilles encore plus qu’au début, t’aimes vraiment te faire prendre les fesses toi… et pas que les fesses apparemment.
La seule réponse que j’arrive à lui former, c’est un gémissement très expressif, et vraiment fort, tout autour de moi devient flou, une sensation de plaisir pur m’envahit, me fait trembler, hurler. Ils viennent de me donner tous les deux un orgasme. Je sens mon bel inconnu bouger en moi à l’unisson avec mon nouvel assaillant. Tous les deux tiennent un rythme rapide mais surtout très brutal, ils butent au fond de moi, je sens les couilles de l’agent de sécurité cogner à l’entrée de mon trou. Ce dernier me ramone encore plus rapidement et jouit en moi dans un râlement rauque, je sens son sperme chaud se déverser dans mes fesses. Il m’adresse quelques insultes et s’en va. Il n’aura duré qu’une dizaine de minutes mais j’ai aimé sentir son sexe me ramoner l’anus. Le bel inconnu me regarde interloqué, puis se retire de mon vagin pour s’introduire dans mon anus. Il y a encore le sperme du deuxième assaillant à l’intérieur, et ça nous excite tous les deux. Il me porte et me fait reprendre la position face au capot, cul à l’air pour qu’il puisse me ramoner encore plus violemment. Pendant que ses va-et-vient se font de plus en plus rapides, je me permets de faire glisser mes doigts sur mon clitoris, ce qui me donne un deuxième orgasme en moins d’une minute. Le plaisir est tout aussi fort que tout à l’heure, je sens mon vagin comme mon anus se crisper et se relâcher. N’en pouvant plus face à cette pression intermittente, mon bel inconnu se retire, me retourne, et recommence des va-et-vient dans ma bouche pour y déverser sa semence que je ne prends même pas la peine d’avaler tellement il était enfoncé profondément dans ma bouche.
Il se retire de ma bouche, se rhabille et s’en va sans rien dire, m’abandonnant sur le parking vide. Les dix voitures aux alentours sont parties, et leurs propriétaires ont du me voir me faire prendre par deux hommes. Quand je me redresse je sens du liquide chaud couler de mes fesses, c’est le sperme de l’agent de sécurité qui coule le long de mes cuisses à présent. Je remonte vite dans ma voiture et laisse mon sentiment de honte sur le parking, en espérant qu’un jour je revive une expérience similaire.