Aujourd’hui à mon réveil, je me souviens du rêve qui m’a mené jusqu’à la peur, la curiosité et l’excitation.
Je suis chez moi, je rentre à peine de mon travail, nous sommes vendredi et il est 21h.
Je n’ai qu’une envie, prendre une douche et me coucher comme à mon habitude, nue sous la couette.
Mon téléphone vibre. Je regarde furtivement et je me rends compte que c’est lui, mon Maître !
Que se passe-t-il ? D’habitude, il ne me sollicite pas le soir ? Bizarre,
Je réponds de suite à son message, mon bas ventre commence à s’activer dès que je suis avec lui.
— Elyne, demain, mets ton réveil à 8h, prépare-toi un sac de voyage, tu y mettras ta petite jupe noire à volant, ton chemisier blanc, tes talons noirs, et n’oublie pas ton joli bijou d’anus, ton petit rosebud !
Rendez-vous à notre point habituel sous l’arrêt de bus au 69 rue des Rosiers à 9h ! Sois à l’heure !
Je suis étonnée, mon Maître m’envoie un message la veille pour le lendemain.
Allongée sur le ventre dans mon lit, je m’endors très rapidement.
Réveillée à 8h, une douche et un café, me voilà prête pour mon rendez-vous avec mon sac !
Je suis habillée en jupette noire, bas noirs, talons hauts mais ne portant pas de sous vêtement comme le veut le protocole avec mon Dominant !
Arrivée à l’arrêt de bus, il est là, accoudé à sa voiture de luxe, une grosse berline noire, vêtu d’un pantalon noir et d’une chemise grise anthracite.
Je m’approche de lui et me présente : – Bonjour Monsieur, Elyne se présente à vous
— Bonjour ma Douce me dit-il, aujourd’hui je vais te réserver une surprise, nous partons tous les deux pour un weekend de trois jours, tu ne connaîtras pas la destination, mais comme toujours fais-moi confiance !
Jacquiesce de la tête et me mets en position d’attente, debout jambes mi-écartées, tête baissée, poitrine à l’avant.
Il s’approche de moi, me contourne et revient à sa position de départ, quelques voitures circulent sur cette route nationale.
De ses deux mains, il lève ma robe jusqu’à la taille et vérifie que je ne porte pas de lingerie.
D’un doigt il vient caresser mes lèvres humides que son contact accentue.
— C’est bien Elyne, tu es encore merveilleuse,
Une voiture passe à ce moment-là, je sens mes joues rougirent.
— Allez, monte dans la voiture ! Nous partons, nous avons au moins deux à trois heures de route.
Lors du trajet, aucune parole n’est échangée, je me demande où il va m’amener, mes pensées sont stoppées par sa main qui vient se poser sur ma cuisse avant d’aller se diriger sur ma petite chatte,
— Ma chère Elyne, nous sommes arrivés !
Je regarde autour de moi, et là, devant moi, se dresse un énorme château à la pierre érodée.
Il descend de la voiture, vient de mon côté et ouvre ma porte afin que je descende à mon tour. Je réajuste ma robe et mon collier (oui, je le porte toujours en sa présence), il passe devant moi, je me tiens à 1 mètre derrière lui.
La porte du château s’ouvre et un homme d’une quarantaine d’années se présente à nous.