Élodie commence ses va et viens en même temps pour tous les deux. Très vite elle se rend compte que seule elle n’arrivera pas à sodomiser Valérie et moi en même temps tout en gonflant mon gode.
— Quelqu’un pour me remplacer?
— J’arrive dit Brice.
Il s’empare du gode de Valérie et continu de la besogner.
Élodie gonfle petit à petit le gode dans mon cul tout en le faisant aller de plus en plus vite dans le fion. Je sens le plaisir monter d’autant que Valérie s’est emparée de ma bite et la masturbe doucement. Éric, le seul inactif, se couche sous le transat et lèche la vulve de sa femme. Elle se crispe comme si elle avait reçu une décharge électrique. Elle s’active de plus en plus.
Élodie ne s’occupe plus que de moi et fait gonfler le gode pour atteindre des dimensions que je ne pensais pas pouvoir supporter. Tout à coup une violente décharge de plaisir envahi mon corps et je me déchaîne. Je saisi le gode des mains dÉlodie et m’astique à toute vitesse tout en pompant encore et encore. Je ne sais plus ou je suis, dans la stratosphère entrain de planer au dessus de la terre? Dans l’océan, porté par les vagues du plaisir? Je ne sais pas, tout ce que je ressens c’est un plaisir immense que je veux vivre à fond. Élodie réussi à s’emparer du gode et ralenti les va et viens jusqu’à s’immobiliser. Cet énorme engin dans mon cul me procure tellement de plaisir que je m’écroule, les bras ballants, sur le transat. Une bouche vient s’emparer de ma bite devenue molle, mais rien à faire elle reste en l’état. Élodie retire le gode et mesure sa circonférence à l’aide d’un mètre de couturier. 31,5 cm, c’est à dire 10 cm de diamètre. Je viens de battre mon record!
— Ouah, ça c’est du solide. Tu nauras aucun mal à te faire mettre par les chevaux, me dit Élodie.
Valérie est maintenant prête et Brice fait monter son chien sur son dos. Il s’empare de sa bite et la dirige vers le fion de Valérie. Quand le sexe de Rex touche la corolle de Valérie, elle se contracte un peu tandis que Rex envoie en grand coup en avant et la pénètre d’un seul trait. Elle hurle de douleur et fait mine de se dégager. Rien n’y fait, Rex se maintien et la pistonne comme un fou. Ses va et viens ont un rythme effroyable et finissent par calibrer le cul de Valérie au diamètre de son sexe. Les cris de Valérie se transforment petit à petit en complaintes de plaisir.
— Oui c’est bon, vas y mon Rex, bourre moi, fait moi jouir, n’arrêtes pas je te veux encore.
Le chien continu de l’enculer, sa langue pend, il commence à ressentir le poids des différente saillies qu’il a faite aujourd’hui. Il ne faut tout de même pas trop en demander.
Rex ralenti sa cadence et s’immobilise. je me penche sous Valérie, à côté dÉric et je constate que la boule a disparue dans le cul.
Rex se retourne et ne bouge plus.
— Il m’inonde, il va ma faire éclater le cul, c’est bon, ça vient, ça monte, je joui, je joui, je jouiiiiiiii, encore, encore, ah que c’est bon cette bite.
Valérie s’affale sur le transat et ferme les yeux. Elle savoure son plaisir. Sa main va chercher son sexe et le caresse doucement. Elle profite à fond de ces derniers moments de possession. Un étrange silence envahi la terrasse, tout le monde récupère. Rex fini par se dégager et Élodie et Éric, resté sous le transat, se jettent sur le foutre qui coule du cul de Valérie. Ils la nettoient comme un sou neuf. Valérie apprécie d’autant quÉric en profite pour passer sa langue sur son clitoris. Cela suffit à déclencher un nouvel orgasme que Valérie nous fait partager bruyamment.
Tout le monde se détend sauf Éric qui en fait n’a pas fait grand chose.
— A moi maintenant, je veux du lourd dans le cul.
Personne ne réagit quand quelqu’un frappe à la porte.
Brice va ouvrir.
— Oh Marie, qu’est ce que tu fais ici demande Brice en déposant un baiser sur la bouche de l’inconnue.
— J’ai eu un petit problème de santé et je suis venu me reposer quelques jours, je reste une dizaine de jours.
— Entres, tu connais tout le monde à part Jean. Jean je te présente Marie, ma sur.
Elle embrasse tout le monde avec un petit baiser sur la bouche et se penche vers moi pour m’embrasser. Mais au contraire des autre, elle ne se contente pas d’un petit baiser mais me plante sa langue dans la bouche et s’active autour de ma langue. Je réponds à son baiser fougueusement et pose mes mains sur ses fesses fermes. Marie n’est pas très grande, 165 cm, mais elle est parfaitement proportionnée avec des seins hauts perchés, bien ronds et des fesses à damner un saint. Elle se redresse tout en restant en position pour que je puisse continuer à lui caresser les fesses.
Rex, allongé dans le coin ne bouge pas. Il est épuisé. Il faut lui laisser le temps de récupérer.
— Je vois que tout le monde est en forme dit Marie.
— Parfaitement et si tu veux on peut te le prouver.
— Pas maintenant Brice chéri, je dois aller aux toilettes et prendre une douche. Je viens de la plage et ce début d’après midi à été chaud.
Marie disparaît au fond de l’appartement et Éric se dirige vers Rex.
— Alors mon gros, tu es fatigué? J’ai besoin de toi, il faut te remettre vite sur pieds.
— En attendant on va te préparer lui dit Brice.
Il s’avance vers Éric en se branlant. Sa queue commence à prendre du volume et Éric va chercher un préservatif. Il l’ouvre, le positionne sur ses lèvres et se penche vers Brice pour lui enfiler sur la bite. Éric en profite pour pomper un peu son ami et se retourne en se penchant vers l’avant. Brice s’approche, guide son vit vers le fion dÉric, agrippe ses fesses et pousse d’une poussée régulière. Sa bite rentre dans le trou sec se qui déclenche chez Éric un petit rictus. Il prend ses fesses des deux mains et les écarte au maximum. Brice s’enfonce de plus en plus jusqu’à ce que ses couilles touchent les fesses dÉric. Il s’immobilise un instant et commence ses va et viens. Éric se crispe mais va à l’encontre de ce sexe dans son cul.
— Je pense que Rex est prêt dit Élodie qui, penchée sur le sexe de son chien est entrain de la masturber.
Brice se retire dÉric, lui lubrifie un peu le cul et le fait se mettre à quatre pattes sur le transat.
Élodie amène le chien qui commence à vouloir lécher le cul dÉric. Valérie le retient pour ne pas qu’il enlève le lubrifiant et le fait monter sur le dos dÉric.
Le chien s’arque-boute et d’un seul coup pénètre le fion dÉric.
— Putain le salaud, il n’y va pas de main morte. Il me déchire, putain que c’est bon, encore Rex, vas y, gonfle mon chien, gonfle, je veux sentir ta bite me remplir.
Le chien se déchaîne il encule Éric a une vitesse impressionnante, il a bien récupéré!
— Vas y Rex, vide toi dans mon cul, putain que c’est bon, il m’asperge le tube avec son foutre, encore, encore.
Je me glisse sous le transat et je prends sa bite bien gonflée dans ma bouche.
Rex a maintenant introduit sa boule dans le cul dÉric et fini par se retourner.
— Oui mon chien, vas y gonfle, gonfle encore, oui, oui c’est parti je joui aaaaaaaah que c’est bon.
Je sens son foutre remplir ma bouche et j’avale tout avec délectation.
Je repose ma tête par terre au moment ou réapparaît Marie. D’en bas, vue à l’envers, elle est magnifique, ses jambes fines mais bien formées, sa taille de guêpe, son pubis épilé, ses seins hauts, son visage doux et ses yeux bleu pales me font un effet extraordinaire. Je recommence à bander rien qu’à la voir!!
Elle se positionne à côté de moi, saccroupit et je peux voir sa moule ouverte à 20cm de mes yeux. Je bande encore plus. J’avance la tête pour m’emparer de cette vulve offerte quand Rex se retire, libérant un torrent de foutre. Marie se jette sur le cul dÉric et avale le plus possible de crème canine. Je récupère les restes car Marie est d’une rare efficacité. Une fois qu’elle juge que le cul est suffisamment nettoyé, elle se repositionne face à moi pour que je puisse m’emparer de son sexe.
Je l’aspire, le suce, le mordille, titille son clitoris avec ma langue et je sens que Marie apprécie. Ses mouvements du bas ventre sont sans équivoques.
— Un pieu, je veux un pieu dans mon ventre dit Marie.
Élodie s’approche avec le gode gonflable et lui propose de lui mettre. Il est resté gonflé à 10 cm de diamètre et Marie a un petit mouvement de recul.
— Ok dit Marie mais dégonfle-le un peu.
— Tu ne vas pas me dire que tu ne peux pas prendre dans le con ce que Jean à prit dans le cul.
Marie se retourne vers moi et dit
— J’aimerais bien voir ça.
— Un autre jour peut-être mais aujourd’hui j’ai mon compte.
— Ok mais pour commencer réduit moi ça de 2 cm dit elle à Élodie.
Élodie s’exécute et demande à Marie de se mettre en position.
Marie se couche sur le dos sur le transat, écarte les jambes et me demande d’approcher.
— Viens t’occuper de mes seins s’il te plait.
Évidemment qu’il me plait. Je m’approche, me penche sur ses seins et commence à les sucer. Je fais rouler ses petites pointes, une avec mes doigts, l’autre avec ma langue. L’effet est immédiat, elle se cambre, soulève son bassin, ce qui facilite l’introduction du gode. Élodie enfonce le gode sut toute sa longueur, il entre facilement malgré ses 8 cm de diamètre. On voit que ce con a l’habitude de se faire défoncer par du gros. Élodie fait aller et venir le gode dans l’antre de Marie tout en donnant de temps en temps des coups de pompe. Le gode gonfle de plus en plus et Marie s’envole dans son plaisir.
— Oui Elo, vas y, met le moi profond, je veux le sentir m’éclater le con, vas y gonfle, gonfle.
Élodie s’exécute et gonfle encore l’engin. Je sens Marie partir dans un orgasme démentiel.
— Oui c’est bon, je vais partir, suce moi Jean, baise moi Elo, allez y mes chéris je pars, je pars, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH que s’est bon.
Marie me regarde avec de la gratitude dans les yeux et prend ma tête pour m’embrasser avec fougue. Je lui rends son baiser tout en me demandant ce qui se passe dans me tête, je suis extraordinairement bien avec cette fille. J’ai plus de 60 ans, elle peut être 25 et j’ai l’impression que tout va bien.
Elle me regarde avec un joli sourire.
— Jean peux tu préparer Brice?
— Ok
Je me dirige vers Brice qui bande déjà pas mal. Je maccroupis, prend son sexe dans ma bouche et le fait gonfler au maximum. Quand je juge qu’il est prêt, je me retourne vers marie et l’interroge du regard.
— Amènes moi mon esclave s’il te plait.
J’amène Brice vers Marie. Elle se met sur le ventre, en position de levrette et dit à Brice.
— Vas y chéri il n’attend que toi.
Brice la prend par les fesses, avance son sexe près de la rondelle de sa sur et s’enfonce en elle.
— A que s’est bon, que de souvenir mon chéri, vas y, vas y plus loin, plus profond, plus vite.
Brice s’active comme un fou et ne pouvant résister plus se répand dans le fion de sa sur.
— Oui, oui, c’est bon ton jus, je joui, je joui, AAAAAAAAAAAAAAH que c’est bon.
L’atmosphère est à la détente. Élodie a amené des verres et des boissons fraîches et tout le monde se désaltère.
Marie s’approche de moi.
— Tu n’es pas trop choqué, moi et mon frère.
— Surpris oui, choqué non pas du tout.
— Cela fait plus de 7 ans que nous sommes amants occasionnels. Cela ne gène pas nos autres relations, mais quand on se voit il nous est impossible de ne pas baiser ensemble. Tout a commencé quand j’avais 17 ans et Brice 18. Un soir un énorme orage éclate, les éclairs étaient terrifiants et j’avais peur. Nous dormions dans la même chambre et Brice voyant ma peur me proposa de venir dans son lit. Je me suis blotti contre lui en le serrant fort. Ma poitrine, était comprimée contre la sienne. Il me serra fort et j’ai commencé à me calmer. Il me caressait les cheveux en me disant des mots calmes. En voulant mieux me positionner, j’ai avancé une jambe et j’ai buté contre quelque chose de dur. Je nai pas compris tout de suite mais à l’évidence je ne laissais pas mon frère indifférent. Au lieu de retirer mon genou, j’ai commencé à imprimer un petit mouvement à me jambe. C’était de plus en plus dur. Brice à fait descendre sa main vers ma poitrine et pour lui faciliter la tâche, j’ai carrément enlevé ma chemise de nuit. J’étais nue contre lui. Il s’est redressé et a retiré son pyjama. Nous nous somme collé l’un à l’autre sans bouger pendant au moins une demi-heure. Que s’était bon se sentir un corps d’homme contre le mien. Ne pouvant me retenir, ma main a commencer à parcourir le corps de Brice. D’abord les épaules, le thorax, le ventre, les fesses et enfin le sexe. Brice ne bougeait pas, il savourait l’instant les yeux fermés. Je lui ai demandé de se mettre sur le dos et je l’ai enjambé. Je le suis assise sur son ventre et j’ai reculé le bassin petit à petit. Lorsque mes fesses sont entrées en contact avec son sexe je me suis un peu redressé, j’ai pris son sexe de la main droite et je l’ai dirigé vers mon sexe qui coulait comme une fontaine. Je me suis introduite doucement. J’ai senti une douleur vive mais passagère avant que mon ventre ne commence à bouillonner, je montais et descendais sur ce sexe raide qui me remplissait bien, les yeux fermés jusqu’au moment ou j’ai senti un jet dans mon sexe. Brice se vidait. Cela a eu pour effet de déclencher ma jouissance. J’ai joui en silence de peur de réveiller nos parents qui dormaient dans la pièce d’à côté. Épuisée, je me suis allongée sur Brice et nous avons fini par nous endormir. Vers 3 heures du matin, je me suis réveillée, habillée et je suis allée me remettre dans mon lit. Heureusement car vers 6 heures nous avons entendu un grand bruit, mon père s’est précipité dans notre chambre avant que nous ayons le temps de bouger. Imaginez le nous trouvant tous les deux nus dans le même lit. Nous avons recommencé souvent et maintenant c’est devenu un besoin.
Tout le monde écoutait le récit de Marie religieusement.
Brice vient vers sa sur et l’embrasse tendrement.
— Je serais toujours là pour toi petite sur.
— Ce nest pas tout ça mais je crois que l’on devait préparer le week end prochain. Bien sûr tu es des notre Marie. Dit Éric
— Un week end à la ferme? Elle est prête ?
— Oui tout sera prêt.
— Ok