Chapitre 7: les saveurs africaines.
La veille fut une journée épuisante. J’avais vécu si intensément de si bon moments que le soir je m’étais endormi devant la télévision. Le lendemain matin, je n’avais pas entendu ma tante partir au travail. Seul, le bruit de l’aspirateur me réveilla.
L’esprit encore en sommeil, je me demandais pendant quelques secondes ce qui se passait. Puis, je me rappelais ce que m’avait dit Catherine à savoir que la femme de ménage venait aujourd’hui.
Étant torse nu et en boxer avec une belle gaule du matin, je me faufilais dans la maison jusqu’à la salle de bain.
Après une bonne douche salvatrice et une fois que je portais une tenue convenable, je redescendis vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner.
Je me versais du café. Et, c’est lorsque je me retournais pour m’installer sur la table à manger, que je la vis.
Mon sang ne fit qu’un tour. Mes souvenirs remontaient instantanément à la surface. Je connaissais cette femme; cette splendide créature couleur d’ébène. Il y a deux ans, je l’avais vu faire l’amour avec ma tante et mon oncle dans les dunes.
Mon sexe emprisonné dans un slip durcit immédiatement. Je posais une main sur mon short à auteur de l’entre-jambe pour cacher mon état. Puis je lui tendis l’autre main pour la saluer.
« Bonjours madame, je suis XXX le neveu de Catherine et Bernard.
_Enchantée XXX, moi c’est Asma. Mme Catherine m’avait prévenu de votre présence. Jespère ne pas vous avoir dérangé. Je vous ai vu dormir sur le canapé.
_Oh non, ce n’est pas grave, de toute façon vu l’heure, il fallait que je me réveille. »
Sur ces dernières paroles, je m’installai à table et commençai mon déjeuner.
Elle nettoyait la cuisine en même temps. Ce qui me permis de l’observer à ma guise.
Asma, était une jeune femme avec beaucoup d’allure. Elle était assez grande avec des trait de visage fins. Elle n’avait guère vieillie depuis la dernière fois. Elle était une trentenaire rayonnante. Seule sa coiffure avait changé. Maintenant elle avait des tresses qui lui descendaient jusqu’à la moitié du dos. Elle portait un shorty en jean et un petit top à bretelle rose. Cette tenue laissait entrevoir à mon regard de pervers toute la générosité de ses formes. En effet, elle arborait toujours un poitrine imposante; bien grosse et ronde. Les larges bretelles de son soutien-gorge en attestaient. Ses fesses aussi étaient charnues. Bien bombées et cambrées, il était difficile du décrocher son regard. Il me semblait que comme il y a deux ans, elle attentait un heureux événement. Je lui posai la question pour entamer la conversation.
« Dites moi Asma, ne seriez-vous pas enceinte?
_ Oh oui, vous avez raison. Cela se voit tant que ça?
_C’est à dire que votre tenue ne peut guère cacher se genre de chose. Lui répondis-je tout en souriant.
_C’est vrai. Mais c’est plus agréable pour travailler surtout avec cette chaleur.
_Je veux bien vous croire. Et je ne vais pas m’en plaindre. Dailleurs ce n’est pas trop dur de faire le ménage dans votre état.
_Pour l’instant ça va. Je ne suis qu’à quatre mois de grossesse. C’est à partir de 6 que c’est plus compliqué. Mais j’ai l’habitude….
_Oui je sais. L’interrompais-je.
_Comment le savez-vous?
_Il y a deux ans, je vous ai vu et vous étiez déjà enceinte et déjà très belle. »
Je pu lire dans son regard de l’étonnement. Mais, elle me remercia pour le compliment. Nous nous sourîmes. Et elle reprit son travail.
Personnellement, je navais guère envie de sortir ce matin là. Aussi, une fois terminé dans la cuisine, je minstallais tranquillement dans le salon pour regarder la télévision.
Au bout dune bonne heure, Asma me rejoignit. Elle portait un sceau et un escabeau. La voyant encombré, je vins laider et lui pris lescabeau. Durant cette manuvre, mon bras et ma main touchèrent lun de ses seins. Ce contact, certes rapide, me fit frissonner. Et, cest en rougissant que je posai lescabeau près de la baie vitrée. Asma sembla sen amuser mais ne fit aucune réflexion.
Je dois avouer que part la suite le spectacle quelle me montrait narrangea en rien mon trouble.
Je la voyais à luvre. Elle frottait, elle rinçait, elle se penchait, elle bougeait au rythme de son tissus mouillé. Durant tout ces gestes, son corps était en mouvement. Par moment, je contemplais ses fesses. A dautres instant, où elle se baissait, cest sa grosse poitrine que je matais.
En effet, javais une vue de trois quart. Et, lorsquAsma saffairait à la tache les bretelles de son haut narrivaient guère à tenir en place. A ces moments là, Son décolleté, déjà pigeonnant, devenait outrageusement important. Il arrivait même que ses seins sortent littéralement de son top. A chaque fois je ne reluquais alors que sa poitrine juste habillée dans un soutien-gorge blanc à armatures renforcées spéciale femme enceinte.
Ce joli spectacle me rendait heureux et mexcitait. Je sentais mon sexe durcir. jaurai aimé le sortir de mon slip pour me masturber tout en la regardant. Nosant pas, je me prodiguais quelques caresses furtives par dessus mon short.
La sonnette de la porte, me sortit de mes songes. Je me levais pour aller ouvrir ; Mais Asma marrêta en me disant que cétait pour elle. Son Mari devait passer pour lui déposer leur fils.
Elle me présenta son petit dun ans et demi. Il se prénommait Idriss. Il ressemblait à sa mère. Noir de peau, il avait le même regard quelle et un sourire dange. Il devait avoir lhabitude de venir ici car dès son arrivée, il courrait partout et savait exactement où il allait.
Asma me demanda davoir un il sur lui pendant quelle finissait le ménage. Je le fis sans broncher. Comme envoûté par tout ce qui sortait de la bouche pulpeuse de cette si charmante femme.
Vers la fin de matinée, Une fois ses tâches effectuées, Asma appela Idriss dans le salon. Tout naturellement je le suivis. Quelle ne fut pas ma surprise, lorsque je vis sa mère assise sur le canapé juste vêtue de son short et en soutif. Idriss alla directement dans les bras de sa maman et se posa sur ses genoux. Celle-ci ôta alors le balconnet de son seins droit et son petit y plaqua directement sa bouche. Elle lui donna la tété tout en lui caressant les cheveux.
"Excusez moi Asma, je ne voulais pas vous déranger. Si vous voulez je vais vous laissez seul avec le petit.
_Vous ne me dérangez pas. Il ny a pas de honte à avoir. Donner le seins à son enfant est naturel. Vous pouvez rester si vous voulez.
_Merci beaucoup je vais me faire discret. Mais il nest pas trop vieux pour avoir la tétée ? Lui demandais-je.
_Il ny a pas dâge pour cela. Et puis comme ça ma poitrine sera prêt pour la prochaine.
_Cest une fille, elle devrait être aussi belle que sa mère.
_Merci pour ce compliment jeune homme. ça me touche. Aie !Il me fait mal le bougre."
Sur ces derniers mots elle le changea de seins. Mais, elle laissa quand même le droit sorti. Une goutte de lait ruissela et tomba sur ses cuisses. Quest ce que cétait beau. Je n avais jamais vu cela auparavant. Jétais en extase devant ce moment.
Le mamelons encore plus foncés que sa peau étaient prédominants. Ses tétons durs, gros et bien dressés semblaient vouloir exploser sous la pression exercée par Idriss.
Mon regard restait bloqué sur cette mère et son enfant en pleine fusion. Mon sexe à nouveau devenait dur. Oh oui, quest ce que ce moment était bon !
Asma, faisait des aller-retour entre son petit et moi. Lorsquelle croisait mon regard, elle me souriait. Je lui rendait la réciproque tout en étant mal à laise de létat dexcitation dans lequel jétais.
Une fois lenfant repu, elle rangea ces deux gros seins et referma les balconnets. Elle remit son haut et emmena son rejeton dans une chambre pour quil fasse une petite sieste. Elle mexpliqua que cétait son rituel avant de repartir. Puis, elle revint dans le salon et sessaya juste à côté de moi.
"Ouf, jai trente minutes de tranquillité. Dit-elle.
_Ca fait du bien de se poser un peu.
_Vous avez raison XXX, en plus avec cette chaleur, jai vraiment du mal à être en forme.
_Moi, je vous trouve très en forme et courageuse. Travailler en plus de soccuper de son enfant tout en étant enceinte, vous êtes une femme hors norme.
_merci beaucoup."
Durant cette petite discussion, je vis que son top était mouillé à lendroit de ses seins. Tout naturellement, je lui fis remarquer.
« Excusez- moi Asma, mais je crois que vous avez une fuite? Lui dis-je tout en lui montrant du doigts.
_Ah oui, en effet, j’ai encore une poussée de lait! Merde alors ça va ruiner mon haut. »
Sur ces paroles, elle ôta son top rose, alla rapidement y mettre un peu d’eau et revint pour le mettre à sécher dans la véranda. Enfin, elle se rassit à mes côtés.
Mon regard ne l’avait point quitté durant tout ce temps. J’avais pu contempler son ventre arrondi et sa volumineuse poitrine ballotter durant ses allers et retours.
Puis, sentir juste à ma gauche le frôlement de son corps à demi dénudé sur mon bras m’électrisa et me fit frissonner. Elle le vit, et avec un regard espiègle me parla.
« Ça va XXX, vous avez l’air d’avoir froid, je vous sent tout tremblant?
_Ne vous inquiété pas, c’est que je n’ai pas l’habitude d’avoir une si belle femme à moité nue si près de moi… je suis un peu impressionné.
_Il ne faut pas, je ne suis que la bonne. »
Sur ses mots elle se mit à rire. Celui-ci fut communicatif et moi aussi je fut submergé par un fou rire nerveux.
« Ça fait du bien de rire…dit-elle. Mais cela n’arrange en rien mon problème. Je me retrouve toujours avec une montée de lait et Idriss dort et je n’ai pas ma machine à traire. Elle se remit à rire. Dites moi jeune homme pourriez- vous m’aider dans mon désarroi?
_Bien sur Asma. Que dois-je faire? Vous apporter un bol, une serviette? Dites moi et je mexécuterai.
_ Non je n’ai guère besoin d’accessoire. J’ai juste besoin de votre bouche.
_Comment cela? l interrogeais-je.
_Je vous propose de retomber en enfance et de goûter au bonheur de la douceur du lait maternel. »
Tout en me disant cela, elle dégrafa son soutien-gorge. Ses seins par leur lourdeur tombèrent légèrement. Mais qu’est ce qu’il était gros et rond. Des veines en ressortaient et ses deux tétons s’érigeaient droit devant.
Asma posa sa main sur l’arrière de mes cheveux et poussa légèrement ma tête pour que je me baisse. Rapidement je me retrouvais à genoux entre ses jambes écartées avec ma tête au niveau de sa poitrine, la bouche posée sur son mamelon droit.
« voilà, c’est bien XXX, maintenant faites moi plaisir, allez-y, tétez. »
je fit ce qu’elle me dit et commençai un succion délicate et appliquée. Très vite je senti un liquide tiède voir relativement chaud couler et remplir ma bouche.
« Avalez mon petit, sinon vous allez vous étouffer. » Me dit-elle en chuchotant.
J’obéissais bien sagement. Je sentis alors ce lait couler le long de ma gorge et tout en avalant jeus l’impression qu’il se dispersait dans mon corps tout entier. Ce moment me donna énormément de joie et de bien-être.
Le goût n’était franchement pas très bon. Une douceur amère s’en dégageait. Mais, j’étais entrain de prendre le seins d’une femme enceinte. J’adorais et j’en redemandais. Aussi, je continuais à sucer et à avaler. J’y mettais beaucoup d’application et de plus en plus d’ardeur.
Asma aussi semblait aimer ce moment. Elle avait passé une main dans mes cheveux et les caressait délicatement. Par moment, elle appuyait plus fortement sur l’arrière de mon crane. Ma tête alors se retrouvait bien posé sur son seins droit tel un coussin. Quelques petits soupirs sortaient de sa bouche. Elle aimait et je le ressentais.
Par la suite, elle mit ma tête en face de son sein gauche. Ce coup ci elle n’eut pas besoin de m’indiquer ce qu’il fallait faire. Je posai seul mes lèvres sur son téton et entrepris sa succion. Très vite, jaillirent de celui-ci de long jets de lait.
Hum, quel délicieux breuvage. Je gobais littéralement tout le liquide, ne laissant aucune goutte échapper à ma langue.
Me sentant à laise, je laissais traîner mes mains sur son corps. Ainsi, je massais délicatement son ventre de gauche à droite et davant en arrière. Puis, ma main droite agrippa son sein droit. Je le pétrissais, le malaxais doucement. Et, pour encore plus susciter le désir chez cette si belle femme noire, avec mes doigts je jouais avec son téton tout dur et foncé.
Le petits soupirs dAsma devenaient de vrais gémissements. laction combinée de mes caresses et de ma bouche la plongeait dans une vague de plaisir incontrôlable mais toujours à voix basse :
"Hum, XXX vous me faites du bien….Hummm… Vous êtes appliqué et très doué..Hummm oui.. Profitez de mon lait mon petit, profitez de la bonne à votre service…"
Dentendre ses mots me fit de nouveau bander comme jamais. Ma queue était sortie de mon slip et déformait outrageusement la braguette de mon short. Mais, content du bonheur que japportais à Asma, je ne me concentrais que sur laspiration du lait de cette pulpeuse maman.
Après encore quelques caresses bien placées et frôlements de son entre-jambes par dessus le shorty, elle poussa un long râle de plaisir et se plongea dans le fond du canapé tout en restant topless. Pour ma part, comprenant que mon "repas" était terminé, je me dégageais de sa poitrine et me réinstalla à côté delle sur le canapé tout en gardant mon pénis dressé.
Cest moi qui prit en premier la parole :
"Merci Asma. Ce fut délicieux et je garderai ce moment gravé à jamais dans ma mémoire.
_ Mais cest moi qui vous remercie. Votre bouche ma été dun grand secours et vos caresses mont fait un bien fou. Vous savez quand on est enceinte, on a les hormones en feu et un rien nous excite… Mais je vois que pour vous aussi, lexcitation est présente."
Elle rajouta cette phrase tout en regardant en direction de mon sexe.
" Vous avez lair tout serré. Cela doit vous faire mal. Mettez vous à laise si vous le voulez."
Sans trop réfléchir, je fit ce quelle me proposait. Je me levai, retirait mon tee shirt et déboutonnai mon short qui tomba immédiatement à mes pieds. Il fut vite rattrapé par mon slip qui de toute façon ne cachait en rien mon excroissance.
Asma me regarda du début jusquà la fin de mon effeuillage. Lorsque mon sexe fut entièrement sorti, elle se passa la langue sur les lèvres tout en me souriant.
Jallais me rasseoir lorsquelle me soumit une nouvelle idée.
" Attendez XXX, Vous mavez rendu un service, je vais moi aussi vous aider."
Elle se redressa légèrement et avec difficulté. Je laidai alors à se relever. Un fois à ma hauteur, elle aussi déboutonna son short moulant et non sans mal le fit glisser à terre. Elle portait un string blanc en dentelle assorti à son soutien-gorge. Sur le devant on pouvait clairement voir un tache humide qui trahissait son envie. Le verso de son sous vêtement se perdait rapidement entres ses deux globes pulpeux. Il ny a pas à dire les femmes dorigine africaine ont vraiment les plus beaux culs du monde.
Une fois à laise, elle laissa glisser ses mains sur mon torse. Elle aussi joua quelques instants avec mes tétons. Puis, elle les descendit sur mes abdos et vint attraper avec les deux ma verge. Tout naturellement elle la branla délicatement ; prenant soin de bien descendre et bien remonter. Rien que cela me fit réagir et je crus que jallais éjaculer. Mais, elle le sentit et stoppa ses caresses.
Cest alors, quelle se mit à genoux et positionna sa bouche juste en face de mon gland rougis par lafflux sanguin.
Quelle douce sensation quand je sentis ses lèvres humides se poser sur le bout de mon sexe. Quel bonheur quand sa bouche engloba ma bite bandée.
Elle sappliquait. Elle aussi était douée avec sa langue.
Elle allait et venait de haut en bas ; sarrêtant quelques secondes en gorge profonde avec ma queue touchant sa glotte.
Cétait bon , vraiment très bon.
Elle aimait aussi juste passer sa langue le long de ma verge ; titillant mon frein ; léchant juste mon gland.
Elle savait y faire , il ny avait pas de doute.
Elle jouait aussi sur le rythme de la fellation ; alternant rapidité, rythme régulier et lenteur extrême.
Jétais aux anges, extériorisais mon plaisir par des petits cris étouffés ( il ne fallait pas réveiller le petit).
En même temps que cette fabuleuse pipe, ses mains parcouraient mon corps. Elle caressait à la fois mes bourses pleines, mais aussi mon torse. Elle égarait ses doigts sur mes fesses, jouant par moment avec mon rectum : leffleurant, sattardant dessus, exerçant une légère pression.
Je me sentais partir. Jétais dans un état proche de la transe. Jamais on ne mavait sucer comme cela. La pression montait. Javais du mal à tenir sur mes jambes.
Elle aussi le ressentais. Habilement elle contrôlait ma future éjaculation. Elle me fixait parfois pour voir mon état dans mon regard tout en gardant ma bite en bouche. Mais lorsquelle sentait que jallais me décharger, elle arrêtait nette sa fellation et me branlait tout doucement.
Elle me tenait. Elle pouvait faire ce quelle voulait de moi. jaurai aimé quelle fasse ce quelle voulait de moi.
Malheureusement, après dix bonnes minutes de plaisir intense. Alors que lune de ses main ne touchait plus mon corps mais le sien. Que ses doigts exerçaient une pression habile à lintérieur de son string. Elle me sentit partir. Rapidement elle retira sa bouche de mon sexe et me laissa jouir sur sa généreuse poitrine et sur son ventre tendu.
Je déchargeai une quantité hallucinante de sperme. De longs jets sortirent et virent séchouer sur tout son corps.
Une fois fini, je laidai de nouveau à se relever et pris par mon enthousiasme je lembrassai goulûment sur la bouche. Elle ne sopposa pas et nos langues se mélangèrent.
Le baiser terminé, nous nous effondrâmes ensemble dans le canapé. Elle sessuya avec un chiffon spéciale poussière, moi avec mon tee shirt.
Nous restâmes silencieux quelques instants lun à côté de lautre. Chacun plongé dans ses pensées.
Puis nous entendîmes Idriss pleurer.
"Voilà, sa sieste est fini. Fini la tranquillité. Dit-elle avec une pointe de regret. Jespère que ce moment entre nous vous a plu XXX ?
-Oh que oui Asma. Cétait magique. Merci beaucoup.
_Mais de rien XXX. Moi aussi je te remercie. Tu mas donné énormément de plaisir. jespère avoir loccasion de te revoir.
_Si je vous ai donné du plaisir, vous vous mavez comblé de bonheur. Venez ce week-end à mon anniversaire. Cathy organise une petite soirée en mon honneur. Je vous invite.
_Merci jeune homme.je pourrais venir avec mon mari ?
_Bien sur…Même si je vous préférerai juste pour moi.
_Ne vous inquiétez pas il nest pas jaloux et moi non plus. Elle ma dit cela tout en me faisant un clin dil. Bon je vais aller chercher le petit."
Elle se rhabilla rapidement. Je fit de même. Elle remit son short (toujours en luttant vu son étroitesse) et son top sans soutien-gorge. Ses seins libres comme cela dans ce haut léger, donnaient vraiment envie de les toucher. Puis, elle alla dans la chambre chercher Idriss.
Cinq minutes plus tard, elle revint. Nous nous dîmes au revoir en nous embrassant une dernière fois sur la bouche. Je la regardais avec envie et bonheur passer le pas de la porte avec son petit dans ses bras.
Je me retrouvais seul . Je décidais alors dattendre le retour de ma tante sur un transat dans le jardin avec une revue de surf.Javais hâte quelle revienne. Javais tellement de chose à lui raconter.