Arrivé à un âge de la vie où le blues s’installe et où les souvenirs de jeunesse se font plus présents, je me prends à rêver de ce qui aurait pu se passer si…
Je vous propose de partager ces souvenirs et ces moments où ma vie aurait pu basculer.
Jeune, j’avais toujours été fasciné par les tenues féminines, en particulier les jupes et robes. J’adorai voir les jambes des femmes et filles.
N’y voyez pas quelque chose de pervers, mais juste une envie d’en porter.
Outre mes désirs de vêtir des jupes et robes, j’avais également des penchants masochistes, en particulier être attaché.
Mon père aimait regarder les films de western des années 50.
Je me souviens d’une scène d’un film dont j’ai oublié le nom et où une jeune femme était attachée à un poteau sous les yeux d’hommes qui la gardaient.
J’ai toujours fantasmé sur cette scène en imaginant être cette jeune Indienne attachée à ce poteau et sentir les mains des hommes caresser mes cuisses, passer leurs mains sous ma robe, sentir leur souffle dans mon cou, leurs lèvres sur ma peau…
Plus tard, un peu plus âgé, j’allais aider mon oncle à la ferme.
Un jour que j’étais seul, mon oncle et ma tante étant partis à la ville, mes travaux terminés, je fouillais une vieille malle contenant de vieux objets de marin hors d’usage.
J’y ai trouvé un livre sur les nuds marins.
Les soirs, dans ma chambre, je m’exerçais à faire les nuds et les défaire.
La scène du film allait pouvoir devenir réalité.
Je trouvais de vieilles tenues à ma tante, que je me suis empressé de mettre : un chemisier avec frou-frou, une jupe légèrement évasée, des collants, une paire de mini-bottes et une perruque.
En me regardant dans la Psyché de ma tante, je ressemblais à une jeune fille des années 50.
Je pris un bandeau et plusieurs cordes et je me dirigeais vers un des poteaux où ma tante pendait son linge.
Je m’adossais au poteau, puis je m’attachais les chevilles puis les hanches, et après avoir préparé un nud coulant et mis le bandeau, je tirais sur la corde et je me retrouvais attaché au poteau les yeux bandés.
Jétais très excitée, à l’idée d’être découverte et sans pouvoir m’esquiver.
Je suis restée une petite heure ainsi, puis je me suis détachée et j’ai tout rangé, mais imaginons une autre suite.
Une voix se fait entendre.
C’était le fermier d’à côté, sa ferme était à 500m de celle de mon oncle et je n’imaginais pas qu’il viendrait, surtout à cette heure-là.
Je me débattais pour essayer de me libérer, pour ne pas qu’il me découvre ainsi.
Tiens, mais qui est là ?
Mince, trop tard. Je tremblais comme une feuille, le voisin était plutôt gentil, mais un peu bizarre.
Je ne te connais pas, mais tu ressembles au neveu de Georges, qu’est-ce que tu fais, attaché ainsi ?
Bonjour, pouvez-vous me libérer s’il vous plaît ?
Mais ce n’est pas vrai, tu es le neveu de ce bon vieux Georges, habillé comme sa femme.
Je le sens tourner autour de moi.
Tu t’es attaché tout seul, pas vrai ?
Oui, Monsieur, mais détachez-moi, s’il vous plaît, j’ai encore des choses à faire.
Je sens ses mains sur mes hanches, sur ma jupe, son souffle dans mon cou.
En passant sur mon entrejambe, il constate mon début d’érection.
Mais ça te plaît d’être ainsi. Soumise, ne pouvant rien faire, on va bien s’amuser tous les deux.
S’il vous plaît Monsieur…
je n’ai pas eu le temps de terminer, il m’a mis un chiffon dans la bouche.
Il soulève ma jupe et arrache la culotte.
Ne t’inquiète pas, nous allons prendre un peu de plaisir tous les deux, ce sera notre secret.
Sa voix est devenue plus douce, moins moqueuse. Sa main me caresse les cuisses et mon appréhension disparaît au profit de l’excitation d’être soumise sans pouvoir réagir.
Il m’embrasse dans le cou en me caressant l’entrejambe.
Je pousse des cris de plaisir étouffés par le bâillon.
Jadore ta peau, elle est si douce et tu es tellement jolie dans cette tenue, plus jolie qu’avec tes cuissardes et ta salopette.
Je me surprends à sourire à ce compliment.
Il est d’une grande douceur que je n’imaginais pas chez lui.
Mon sexe se tend sous ses caresses et ses baisers, il ôte mon bâillon et m’embrasse à pleine bouche.
Tu me plais beaucoup, tu me rappelles quelqu’un que j’ai beaucoup aimé, tu me troubles…
Ses mains remontent sur mes hanches et il m’embrasse à nouveau avec une telle passion que je me sens femme dans ses bras.
Hummm, que j’aime tes lèvres, son corps…
Ses mains me caressent comme si j’étais une femme, j’en oublie toute crainte et je me laisse embrasser et caresser.
Il reboutonne mon chemisier et me caresse la poitrine et les tétons.
Son autre main passe sous ma jupe et prend mon sexe en semi-érection dans sa main.
Il me caresse avec tant de douceur et m’embrasse avec tant de passion que je suis au bord de l’évanouissement.
Mes tétons et mon sexe deviennent durs, il le sent et ralentit sa caresse sur mon sexe.
Je finis par éjaculer dans sa main et je reprends mes esprits à ce moment-là.
Je devine qu’il s’essuie la main sur son pantalon puis il réajuste mon chemisier et ma jupe.
Je le remercie de m’avoir donné tant de plaisir.
De rien, ma belle, je suis content qu’on ait pu partager ce moment. A bientôt. Tu diras à ton oncle que j’aurai besoin de son tracteur demain matin.
Il me détache les mains et je l’entends s’éloigner.
Je reste un moment sans voix et sans réaction, puis je lui crie :
Au revoir Monsieur, je dirais à mon oncle qu’il passe demain avec le tracteur.
Jenlève le bandeau et je le vois au bout du chemin me faire un signe de la main.
Je me détache, je range les affaires, puis je vais dans ma chambre m’allonger un peu en pensant à ce moment délicieux…..
A bientôt pour d’autres souvenirs…