Bonjour, désolée pour le retard et meilleurs voeux pour cette nouvelle année. Le récit qui va suivre est un mélange de réalité et de fantasme, ce qui est un peu différent de ce que je proposais lors des épisodes précédents.
Les sorties en femme étaient agréables, mais il me manquait quelque chose. J’avais envie d’être soumise aux désirs de quelqu’un. Je m’étais donc inscrite sur des sites de discussions où on abordait ce genre de pratique. J’ai appris donc ce qu’était la vie d’une soumise, les désirs d’un maître ou d’une maîtresse, le bondage, les pratiques SM… Je dois bien avouer que cela me faisait peur, mais m’excitais à la fois, appartenir à quelqu’un, subir ses punitions, ses envies étaient quelque chose qui fallait vivre avec une personne de confiance. J’ai sélectionné une personne habitant mon secteur et qui me paraissait correcte. Nous avions discuté un long moment, il me proposait une initiation en douceur, aucune brutalité physique de sa part, juste des ordres à quoi je devais obéir.
La rencontre eut lieu plusieurs jours après le début de nos discussions, dans un hôtel. Je me suis préparée en attendant qu’il arrive. J’avais mis un ensemble Tailleur jupe rouge que j’avais trouvé dans un magasin de seconde main (javais eu de la chance de le trouver, la vendeuse venait juste de le recevoir et c’était la bonne taille), puis une paire d’escarpins un peu juste, mais avec une paire de bas, j’arrivais à les mettre.
Un léger maquillage, une légère touche de parfum et j’allais ouvrir la porte. Après avoir refermé derrière lui, il m’a demandé de me mettre à genoux, les mains sur la tête. Il a pris une chaise et s’est assis devant moi. Sans un mot, il m’a regardé puis caressé la joue, forcé ma bouche avec son doigt que j’ai dû sucer. Il m’a fait me lever puis m’a plaquée contre le mur. Il a pris mes mains et les a placés au-dessus de ma tête puis m’a embrassé violemment en me caressant l’entrejambe avec son autre main. Je me sentais prisonnière, j’étais comme figée. Il a déboutonné mon chemisier, arraché mon soutien-gorge et pris mes tétons dans sa bouche. Je ne m’attendais pas à une telle violence, j’ai voulu me débattre, mais il était trop fort pour moi.
Il a poussé sur ma tête, m’obligeant à m’accroupir et a sorti son sexe devant ma bouche. Toujours sans un mot, il m’a fait comprendre que je devais le sucer. J’ai pris ce sexe dans ma bouche, j’ai fait de mon mieux pour le faire jouir rapidement, car je n’y prenais aucun plaisir. Il a fini par jouir sur mon visage, puis a rangé son instrument et il est parti, toujours sans un mot.
Cette rencontre n’a duré que 15 mn et j’en garde encore le goût amer. Je me suis déshabillée et après une bonne douche je suis retourné chez moi. Je n’ai plus eu de nouvelles de lui et c’est tant mieux.
J’ai repris mes discussions sur Internet, mais chaque fois qu’on me proposait un rendez-vous, je trouvais une excuse pour ne pas m’y rendre.
Puis j’ai rencontré sur un chat public une travestie qui me proposait une rencontre où on pourrait discuter de nos envies et pourquoi pas les réaliser. Elle m’a envoyé plusieurs photos d’elle et nous avions convenu d’un rendez-vous chez elle. Je connaissais son quartier, ce n’était pas loin du centre-ville, j’avais pris une tenue dans un sac, une robe noire, avec un haut en dentelle, un ensemble soutien-gorge, culotte, porte-jarretelles que j’avais trouvé en solde (j’avais prétexté que c’était pour ma copine, je ne sais pas si la vendeuse m’a cru ou pas) et une paire d’escarpins.
Quand j’ai sonné, une femme d’un certain âge m’a ouvert. Elle m’a fait entrer, puis m’a indiqué la salle de bain où je pourrais me préparer. Sa voix un peu masculine me fit comprendre que mon hôte était un travesti.
J’ai trouvé un mot sur le lavabo : "Quand tu seras prête, tu mets le tablier qui se trouve sur le porte-serviette, puis tu viendra dans le salon pour nous servir un verre". Je suis arrivée dans le salon, un peu maladroite avec mes chaussures un peu justes, je l’ai trouvée assise dans un fauteuil avec devant elle une petite table sur lequel étaient posé un plateau avec deux verres et une bouteille de jus de fruits.
Après avoir rempli les deux verres et en avoir donné un, je suis restée debout, attendant sa réaction.
Prends ton verre et assieds-toi, nous allons discuter un peu entre femmes.
Oui, Madame, ai-je répondu un peu inquiète.
J’ai eu l’idée que tu pourrais être ma servante et moi ta maîtresse. Je pense que pour un début, ce n’est pas mal. Tu es très jolie et désirable.
Merci Madame, répondis-je en rougissant.
Viens à genoux face à moi.
Je l’ai regardée incrédule puis j’ai posé mon verre sur le plateau et je me suis mise à genoux face à elle. Nous sommes restées ainsi un long moment, elle me couvrant de ses regards insistants en dégustant ton breuvage et moi à genoux face à elle, intimidée.
Masse mes pieds, m’a-t-elle demandé sans hausser la voix.
J’ai pris son pied, enlevé sa chaussure puis lentement en commençant par les orteils, puis le dessus et enfin la plante. En levant les yeux et en voyant sa mine réjouie, je sentais bien qu’elle aimait le massage que je lui prodiguais. Je posais délicatement son pied et pris l’autre et lui faisais la même chose. Dans mon esprit, j’avais envie d’aller plus loin, de remonter le long de sa jambe, puis de sa cuisse et…
j’en étais là de mes rêvasseries quand sa voix me demanda de débarrasser la table et d’aller faire la vaisselle. J’ai pris le plateau et je me suis dirigée vers la cuisine. Prenant mon rôle de servante très au sérieux, je m’appliquais à faire la vaisselle, ce dont je n’étais pas coutumier chez moi. Elle est arrivée derrière moi et s’est mise à me caresser le ventre et la poitrine.
Continue ton travail et laisse-moi te caresser et t’embrasser. Tu es adorable, tu sais.
La vaisselle terminée, elle me guida vers le canapé où elle me fit m’assoir et m’embrassa tendrement tout en me caressant le dos.
Déshabille-moi, m’a-t-elle demandé.
Je m’écartais un peu et déboutonnai son chemisier. Elle portait dessous un corset du plus bel effet qui lui donnait une petite poitrine. J’écartais un pan du bonnet et pris le téton dans ma bouche.
Hummm, oui, continue ma servante, occupe-toi bien de ta maîtresse.
Je lui mordillais le téton tout en ôtant son chemisier. Elle, de son côté, passait sa main entre mes cuisses et me massait l’entrejambe
Hoo, mais c’est que je t’excite ma petite salope. Descends plus bas et suce mon sexe.
Je me mis à genoux face à elle, et soulevais sa jupe. Elle portait une culotte assortie à son corset. Je me surpris à embrasser cette culotte avant de l’enlever. Dévoilant un sexe à demi tendu. Voyant mon hésitation, elle me dit de prendre un préservatif sur la petite table. Je caressais son sexe puis je posais le préservatif dessus. Puis je le pris entre mes lèvres et le suçai lentement. Son sexe grossissait dans ma bouche au fur et à mesure de ma fellation. Je lui caressais les bourses en même temps et à entendre ses gémissements, elle avait l’air d’aimer.
Mets-toi à quatre pattes et relève ta jupe, je vais te prendre comme une chienne.
Je m’exécutais avec un mélange d’appréhension et de désir. Elle se pencha sur moi en m’embrassant dans le cou.
Tu vas voir, ça fait mal au début et après, c’est un plaisir.
Elle se releva et je sens son sexe me pénétrer lentement.
Pousse un peu salope, ça rentrera mieux.
Je fis ce qu’elle me dit et le sexe entre plus profondément en moi. Je serrais les dents de douleur, je pousse un petit cri de douleur lorsqu’elle force mon intimité jusqu’au bout.
Qu’est-ce qu’il est bon ton cul ma salope, me dit-elle.
Elle commença de lents va-et-vient, ça me brulait un peu.
Maîtresse, ça me fait mal…
Tais-toi, chienne.
Et elle me donna plusieurs claques sur mes fesses, des larmes coulent de mes joues, mais je commence à aimer ce sentiment d’appartenance. Elle accéléra le mouvement et la douleur s’estompe un peu. Mon sexe commence à se raidir.
Alors, ma chienne prend son pied ?
Oui, maîtresse, je commence à aimer…
Une paire de claques tomba sur mes fesses.
Tu es ma chienne, et tu aimeras tout ce que je te ferai.
Oui, maîtresse.
Je sentis son sexe prêt à jouir. Elle s’enfonça en moi et jouit dans la poche en plastique.
Humm, je pense que je ne pourrais plus me passer de ton cul, ma chienne.
Elle se retira lentement et je sens que je perds pied. Je venais d’avoir un orgasme sans avoir joui. Des claques sur mon visage me firent revenir à la réalité.
Alors ma belle, tu vas mieux. J’espère que tu as aimé ce moment de soumission.
Oui, j’ai beaucoup aimé être votre soumise.
Nous nous sommes quittés, et prenant mes clés dans ma poche, je remarquais un préservatif noué.
Je te laisse un souvenir, bon retour…
Je démarrais la voiture en espérant pouvoir la revoir…