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Souvenirs de mes années étudiant – Chapitre 1

Souvenirs de mes années étudiant - Chapitre 1



Salut c’est votre folle de lycra

Voilà bien longtemps, quand j’étais étudiant pour payer mes études, je travaillais dans un hypermarché avec un logo bleu et rouge l’espace entre les deux représentant une lettre; ceci juste au-dessus de la vallée de chevreuse. À l’époque le magasin avec 76 caisses et il y avait beaucoup plus de monde qu’aujourd’hui. Le vendredi soir et le samedi il y avait beaucoup plus d’étudiants car cela permettait aux caissières en CDI temps plein de pouvoir prendre leur weekend. Il était fréquent que dans ces périodes horaires, il y ait plus de la moitié du personnel de caisse qui était étudiante. La majeure partie était une bande de jeunes qui étudiaient dans la région ou habitaient dans la région.

Personnellement j’étais très ami avec une collègue prénommée Élodie qui avait une maison à elle à quelques km du travail. J’étais aussi ami avec une prénommée Santa qui était en chambre d’étudiant comme moi. Tous les trois avions très souvent les mêmes horaires, souvent assez proches et en plus nous avions possibilité de souvent prendre nos pauses ensemble. Bref à force nous étions devenus très intimes nous nous connaissions bien et surtout nous étions devenus inséparables. Mes deux collègues étudiantes étaient toutes les deux aussi magnifiques l’une que l’autre, à peu de chose près un mètre 80, bien charpentées mais très très belles. Élodie était une blonde aux yeux bleus et Santa était une brune aux yeux noirs; cette dernière d’origine Corse avec le sang chaud et peu d’hommes osaient l’approcher.

Compte tenu du fait qu’Élodie avait une maison nous passions souvent les soirées chez elle. C’est bête à dire mais j’avais l’impression que les deux femmes me désiraient. Tous les trois avions à peu près 20 ans et il commençait à être normal que cela nous démange un peu. Souvent nous passions le vendredi soir et même le samedi soir chez Élodie, l’ambiance il était sympa et cela développait notre complicité. Les femmes dormaient dans le même lit dans la chambre de Élodie tandis que moi je dormais dans la chambre d’amis. Disons que les soirs où nous arrivions chez elle je peux vous garantir que voir ces deux femmes aussi belles, cela ne me laissait pas indifférent surtout pour m’endormir.

Un jour je me suis pris la honte de ma vie car Élodie m’a fait la réflexion devant Santa comme quoi il faudrait que je fasse attention à ne pas laisser de trop grande carte de France dans les draps.., je ne savais plus où me mettre mais mes deux amies ont rigolé. Je leur ai expliqué que ce n’était pas évident de dormir seul dans une chambre en sachant qu’à côté il y avait deux magnifiques femmes. Cela n’a causé aucun problème et nous avons continué notre petit train-train habituel. Puis un samedi soir alors que nous étions à table tous les trois les femmes qui avaient manifestement mûrement réfléchi le sujet m’ont proposé de venir dormir avec elle à condition que j’enfile une longue et douce chemise de nuit.

Tout heureux j’ai accepté la proposition j’ai juste été étonné quand elles m’ont fait enfiler cette douce chemise de nuit manche longues qui me descendait pratiquement jusqu’aux chevilles. J’étais très gêné car le contact de ce vêtement m’a carrément foutu une érection que mon slip n’arrivait pas à contenir. Quand nous sommes allés nous coucher, mes deux collègues sont venues se coucher de chaque côté de moi. Cette nuit-là elles ont super bien dormi par contre je n’ai pas fermé l’il de la nuit tant j’étais excité par ces deux corps temps désirables et cette chemise de nuit qui me faisait un effet monstre. Au petit matin mes deux amis était littéralement collé à moi elles arrivaient même à se toucher l’une et l’autre et moi j’étais entre les deux. Elles se sont réveillées tout en douceur et moi et ben j’avais un peu la tête dans le cul après ma nuit blanche.

Je leur ai expliqué ce qu’il en était et elles se sont à nouveau moquées de moi. Nous avons pris notre petit déj tous les trois, nous étions habillés de façon féminine et mon sexe était au garde-à-vous difficilement contenu dans mon slip. Nous étions dimanche au mois de mai le soleil était en train de se lever, ou plutôt il était en train de se mettre à la verticale; toujours est-il que ses rayons illuminaient la cuisine en lui donnant une couleur orangée. Je prenais grand plaisir à essayer de deviner les jambes, un coup de Santa un coup d’Élodie à travers leurs nuisettes quand elles étaient à contre-jour. Contrairement aux autres fois, j’ai trouvé mes deux amies bien collantes avec moi. Le petit-déj fini, j’ai débarrassé la table et fait la vaisselle puis je suis parti à la douche. Je me disais que sous la douche j’allais pouvoir me faire un petit plaisir pour calmer la pression sexuelle que j’avais.

Je suis donc rentré dans la baignoire et tiré le rideau, puis j’ai commencé à me mouiller ensuite j’ai coupé l’eau pour me savonner. Une fois les cheveux ainsi que la figure complètement savonnés, j’ai senti que le rideau s’ouvrait et à ma grande surprise Élodie est arrivée dans la baignoire. 2 choses me sont passées par la tête au même moment à savoir, pas de bol je ne vais pas pouvoir me faire de petit plaisir en solitaire sous la douche. La deuxième chose, waouh une bombe vient prendre sa douche avec moi et c’est vrai qu’elle était belle, aussi belle que sa cuisine sous les reflets du soleil vers 10h du matin. À vrai dire c’était la première fois que je voyais Élodie nue et je peux vous dire que c’était un plaisir pour les yeux. Je lui ai cédé la place pour qu’elle se mouille le corps et surtout qu’elle se mouille ses longs cheveux.

Ensuite elle s’est savonnée de telle sorte à ce que nous en soyons au même stade; à savoir l’attente de l’étape rinçage. Mais avant cela Élodie s’est mise à me savonner le corps, ce dernier l’étant déjà ses mains glissaient de façon très sensuelle. Au moment où ses mains sont arrivées se poser sur mon sexe, elle s’est mise à me masturber tout en douceur et cela me faisait un effet indicible. Pendant que d’une main elle me masturbait, de l’autre elle me caressait la raie culière; j’ai découvert ce jour-là que mon petit cul était très sensible aux caresses féminines. Vu le contexte de mon côté j’ai pris un peu confiance et je me suis mis à lui caresser le corps. Ses seins étaient vraiment magnifiques pas trop gros, j’aurais dit arrogants mais ils donnaient vraiment envie. 

Puis je me suis mis à lui caresser l’entrejambe en faisant attention à ne pas mettre mon doigt plein de savon dans son minou car je sais que ça irrite. C’est la première fois de ma vie que je caressais une aussi belle femme; si j’avais osé je lui aurais fait plein de sous choses sous la douche. Tous les endroits de son corps étaient plaisants à caresser, le savon le rendant encore plus doux. Élodie a même poussé le vice jusqu’à venir se caresser le minou avec la pointe de mon sexe. Ensuite elle est venu m’embrasser; ce qui n’était pas pour me déplaire c’est que c’est elle qui dirigeait les opérations, jamais je n’aurais osé faire tout ce qu’elle a fait. C’est la première fois de ma vie que j’embrassais une collègue de boulot, cela me faisait tout drôle. 

Elle n’a pas été jusqu’au bout de ses caresses et nous nous sommes rincés tous les deux. Quelle n’a pas été ma surprise en sortant de la douche de constater que Santa nous attendait avec les serviettes. Élodie est sortie la première, à saisi une des pièces de coton rose et a commencé à s’essuyer puis ensuite c’est moi qui suis sorti m’essuyer. Mais là en fait c’est Santa qui est venue m’essuyer et bien évidemment s’est attardée sur mon sexe et mon petit cul. Une fois sèche Élodie est venue lui prêter main-forte, c’est la première fois de ma vie que ce n’était pas moi qui m’essayais et en plus deux femmes étaient en train de se charger de l’opération. Ce coup-ci c’est Santa qui m’a saisi la nuque pour me rouler une pelle, exactement la même chose que ce que venait de me faire Élodie sous la douche. J’avais l’impression de vivre un rêve.

Une fois tout sec elles se sont chargées de m’habiller mais à ma grande surprise, avec leurs vêtements à elles… voilà comment je me suis retrouvée avec une magnifique robe longue manches courtes et un tanga. Je vais vous avouer que ce dernier était bien trop petit pour contenir mon érection mais au moins il dissimulait la bosse sous la robe. Ensuite elles m’ont accompagné dans la chambre où toutes les deux se sont assises sur le bord du lit. Élodie m’a dit qu’elle aimerait que je leur broute le minou à tour de rôle jusqu’à ce que je leur donne le plaisir suprême. Il n’y a pas à dire c’est de femme dirigeait les opérations et moi j’étais plus passif face à tout cela. Élodie m’a fait agenouiller entre ses jambes puis m’a fait approcher de sa toison.

Là j’ai pu constater combien son sexe était beau bien entretenu et désirable. Elle ne m’a pas trop laissé le temps de rêvasser et je me suis retrouvé le nez dans son minou. C’est là qu’elle m’a demandé que je lui montre ce que je savais faire avec ma langue. À vrai dire je ne m’étais jamais ainsi occupé d’une femme mais Élodie savait ce qu’elle voulait. J’ai donc commencé à sortir ma langue et à ma grande surprise j’ai découvert qu’elle pouvait provoquer d’agréables sensation et donner du plaisir à son petit abricot. J’ai pris confiance en moi et je me suis mis à rentrer ma langue dans son vagin et là c’était magnifique le goût de sa cyprine était formidable je découvrais un nectare dont je suis sûr je ne pourrais plus me passer. Même si ma tenue n’était pas vraiment en ma faveur, j’étais en train de goûter aux femmes et dans les meilleures conditions.

Puis au bout de quelques minutes c’est Sandra qui a saisi ma tête pour aller la coller au même endroit chez elle. Le même jour je découvrais le minou d’une blonde et le minou d’une brune. Les senteurs et les goûts étaient différents mais touts aussi enivrants. Voilà comment ce jour-là j’ai appris à brouter le minou de deux femmes en même temps jusqu’à ce qu’elles prennent leur pied en même temps à peu de chose près. Là où j’ai cru perdre les pédales c’est qu’après avoir pris leur pied, elles se sont embrassées. À ce moment là je me sentais un peu en trop; j’avais l’impression d’avoir été un peu leur sextoy. Toutes les deux on dû avoir la même idée car elles m’ont saisi chacune par les bras pour me faire relever et me faire participer à leur baiser. Ainsi nous étions trois à nous embrasser que de premières pour moi encore.

Je me suis retrouvé sur ces deux ravissantes femmes et tout les trois vous étions habillés en femme; mon sexe était callé entre elles deux. J’ai essayé de trouver une position pour m’arranger à leur caresser les seins qui étaient si atirants, mais je n’arrivais pas à trouver l’équilibre. J’étais carrément déposé sur elles alors qu’elles étaient sur le côté face à face; maintenant elles en profitaient pour me caresser le sexe avec les deux mains à l’intérieur et mes petites fesses avec leurs deux mains à l’extérieur. J’ondulais sous leurs caresses, je me tordais de plaisir bref elles étaient en train de me chauffer comme des malades. Elles m’ont tenté si bien caressé, limite masturbé que j’ai fini par éjaculer dans ma douce chemise de nuit qui était en fait une robe très longue.

Sur le coup je ne leur avait rien dit de mon éjaculation mais elle s’en sont rendu compte car j’étais un peu dans les vapes; et surtout elles se sont retrouvées avec les doigts poisseux… Pour la énième fois avec elles, j’étais rouge de honte; en fait elles ont tout fait pour me rassurer en me disant qu’elles étaient contente que j’ejacule pour la première fois avec elles. Tous les trois avions un coup de barre et du coup nous nous sommes glissés sous les draps pour nous endormir. Au rythme où nous allions nous n’étions pas partis pour faire de grosses activités ce dimanche. En même temps le jour du Seigneur il était là pour que l’on se repose et que l’on profite de la vie.

En espérant que cette nouvelle histoire vous plaira, j’ai déjà plein d’idées pour la suite

Bisous à vous

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