Le lendemain après-midi, nous étions donc tous les trois dans le salon de Viviane, cette dernière sétant absentée après nous avoir recommandé déviter de nous exposer en plein soleil. Nous nous sommes retrouvés très vite sur le grand tapis épais qui couvrait en quasi-totalité le parquet du salon et nous avons commencé à batifoler. Monique avait déjà pris lhabitude de shabiller très léger, lété le permettait, elle était donc venue avec une simple robe qui se boutonnait tout du long devant, sans rien dautre que ses chaussures. Viviane avait à peine franchi le portail que ma blonde était déjà toute nue. Bernard était comme un gosse qui vient de recevoir un nouveau jouet, il tripotait notre compagne sans vergogne, et Monique, rouge de confusion, se laissait faire en me jetant de temps en temps un regard gêné. Quand jai vu que mon copain commençait à manquer didées pour soccuper de notre nana, je suis entré dans la danse. Jai dabord embrassé Monique sur la foune, longuement, puis jai invité Bernard à faire de même. Ensuite, cest Monique qui nous a rendu la politesse, nous allongés sur le dos, elle, agenouillée entre nous, une bite à chaque main, alternant ses coups de langue le plus équitablement possible.
Bien entendu, nous bandions tous les deux comme des malades et Bernard ne résista pas longtemps à son envie de me sucer. Sous le regard attentif de Monique nous nous sommes donc lancés dans un 69 passionné et bref, notre excitation étant telle quen moins de trois minutes, chacun dégustait le foutre de lautre. A seize ans, on ne débande pas entre deux coups et nous nous apprêtions à investir notre compagne quand nous avons entendu un bruit de voiture. Viviane était déjà de retour ! Nous avons donc sauté dans nos fringues et saisi un jeu de cartes pour donner le change. Dans lheure qui a suivi, nous nous sommes efforcés de bien nous tenir, ce qui était dautant plus dur pour moi que je narrêtais pas de lorgner notre hôtesse dont la tenue estivale était particulièrement excitante. Et puis tout sest accéléré.
Nous étions assis par terre en tailleur, sur les dalles de la terrasse. Viviane était allongée dans une chaise longue à côté de nous et javais pu constater que sous sa robe légère, elle portait une culotte bleu pâle et le soutien-gorge assorti. Aucun de nous trois navait la tête aux cartes que nous jouions nimporte comment. Viviane avait dû sen apercevoir car elle prit la parole soudainement :
— Bon, les enfants, je ne veux pas vous chasser, mais vous pourriez aller faire un peu de vélo, maintenant. Vous avez lair de vous ennuyer ici et la chaleur est maintenant tout à fait supportable. Monique, si tu veux te rafraîchir, suis-moi.
— Avec plaisir, Madame, répond la blonde en rougissant.
Elles sont entrés dans la maison, Viviane a conduit Monique dans une salle de bains toute carrelée du sol au plafond et la invité à prendre une douche, tout en quittant elle-même sa robe. Monique ne pouvait donc éviter de montrer quelle ne portait ni soutif ni culotte. Vivianne a joué le coup en souplesse :
— Je suppose que cest ce coquin de Gérard qui timpose ces fantaisies vestimentaires, ma pauvre chérie !
— Oui, madame, mais ça me plaît bien à moi aussi, avoue la blonde, cramoisie.
— Tu es une adorable petite cochonne alors ! Et tu me plais beaucoup ainsi. Je suppose que mon fils a essayé de mater.
— Ben,pas exactement
— Naie pas peur de moi, ma chérie, après tout cest de votre âge, et les garçons sont assez amis pour que tout se passe bien entre vous trois.
— Vous êtes daccord alors, pour quon le fasse tous les trois ?
— Si cest ce que tu veux, bien sûr, ma chérie, je vous aiderai, même. Maintenant tu vas me tutoyer, on est complice, ma belle, les garçons nont quà bien se tenir.
Tout en parlant, Viviane a entraîné Monique sous la douche. Leau est un bon prétexte aux caresses et la brune élégante au pubis ornée dune toison courte et drue dégageant bien sa vulve, palpe et masse les formes copieuses et juvéniles de la blonde. Celle-ci se laisse faire, même lorsque Viviane, au prétexte de la rendre bien propre, lui rentre deux doigts dans la chatte tout en lui agaçant le clito de son pouce. Maintenant, elle chuchote dans loreille de Monique, qui répond à toutes les questions sans même sen rendre compte, déboussolée par ce plaisir inconnu que font naître les doigts experts de Viviane. Lorsquenfin, sommairement rhabillées, elles ressortent de la salle de bains, Viviane sait que son fils a exploré le corps féminin, quil a aimé, quil est tout entier dévoué à son copain (corps et âme paraît une expression parfaitement de circonstance) et que le copain en question est doté dun attribut plus que convenable. Viviane nest pas seulement une belle femme intelligente, cest aussi une épicurienne libertine, aussi lorsquelles nous rejoignent, a-t-elle son plan daction tout tracé.
— Alors les garçons, le vélo cest déjà fini ?
— Trop chaud, mman, résume Bernard. On va plutôt faire un peu de bronzette, au fond du parc. Tu viens, Monique ?
— Euhdit-elle, affolée par le regard moqueur de Viviane.
— Tu ninvites pas ta maman ? reproche cette dernière qui a toutes les peines du monde à tenir son sérieux
— On ne veut pas vous déranger, interviens-je, vous avez certainement des choses plus intéressantes à faire quà tenir compagnie à des gamins.
— Pas sils sont aussi beaux et aussi coquins que vous conclut notre hôtesse en clignant de lil.