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Sport à domicile – Chapitre 2

Sport à domicile - Chapitre 2



Des peluches, des fleurs séchées, des photos de danseuses en tutu, de chatons, des masques Vénitiens, des photos de son fils… Sa chambre était tellement cul-cul la praline Étrange de comparer sa déco kitch à son attitude de mature soumise.

Depuis la chambre de Michelle, jentendais sa douche prendre fin. Elle devait maintenant sortir pour se sécher et continuer à se préparer comme je lavais clairement exigé : Une toilette complète et en profondeur, un maquillage marqué des yeux et des lèvres et enfiler des sous-vêtements que javais moi-même choisi dans sa garde-robe. Elle avait bien essayé de protester en soutenant quils étaient devenus trop petits mais je les lui avais jetés à la figure et insisté pour quelle les mette. Lidée de voir ses bourrelets de graisse ressortir me plaisait.

Michelle était ce genre de femme : une soumise que ça excitait de se faire donner des ordres et dêtre brusquée par un type de vingt ans de moins quelle. Personnellement jimprovisais un peu au fur et à mesure car mon expérience dans un domaine sadomasochiste était plus que limitée. Dabord innocent jétais venu lui donner un cours de gym à domicile et me voilà en train de soumettre à mon bon vouloir une mature perverse de cinquante cinq ans. Elle était blonde, les cheveux mi-longs, des yeux verts, le corps tout en rondeurs (elle faisait du 100 E de poitrine) et très doux. Son visage était comme celui dune poupée, marqué de quelques rides. Oui, elle était vraiment belle femme. Et si on parle doutrages du temps sur son corps, et bien, ils mexcitaient autant que ceux que je lui infligeais, et qui lui plaisaient à elle. Nous étions ainsi faits pour nous entendre. Du haut de mes vingt-cinq ans je me tapais plutôt des filles de la fac. Jétais branché par les sportives souples et endurantes, des grandes brunes aux fesses musclées Et je me retrouvais aujourdhui à prendre mon pied avec une femme plus vieille que ma mère qui mouillait de mobéir au doigt et à lil ! Cétait nouveau pour moi et je méclatais. Javais envie de faire les choses bien pour Michelle et pour moi et de nous faire plaisir. Après lépisode uro dans sa baignoire, javais le sentiment que plus jexigerais delle et plus elle serait excitée et aurait envie de continuer.

Au son du sèche-cheveux dans la salle de bain, jétalais sur le lit ce que javais trouvé dans les tiroirs pour men servir comme accessoires. Devant moi se trouvaient le tube de lubrifiant maintenant presque vide, un godemiché du genre de ceux quon commande à la redoute, 2 pinces à linge, 2 petites culottes et une paire de bas nylon.

En lattendant, je me déshabillais et jouais avec les culottes que jai trouvées dans son panier de linge sale. Jen avais entortillée une autre autour de mes couilles et de ma queue pour men faire un cock-ring et je reniflais la dernière à plein nez. Elle sentait moins la cyprine que la pisse mais son goût amer et citronné me plaisait beaucoup.

Je bandais comme un âne quand jentendis Michelle arriver enfin. Elle frappa même à la porte

Je la fit entrer dans sa chambre et la fis mettre à genoux devant moi. Les sous-vêtements que javais choisis étaient effectivement trop petits pour elle ! On devinait à peine son string tellement il était engoncé entre ses fesses grasses et ses cuisses charnues. Devant, il devait même lui rentrer dans la fente. Ses seins aussi étaient malmenés, prisonniers de balconnets trop modestes mais jaimais les voir contrits et essayer de séjecter ! Jattrapais la paire de bas sur le lit et passais derrière Michelle à genoux. Je lui pris les mains et attachais ses poignets dans le dos avec le bas. Je laissais volontairement du la longueur de manière à ce quun fois allongée sur le dos, elle puisse avoir les bras le long du corps. Elle ne bronchait pas, au contraire, ses yeux quémandaient que je la maltraite.

— Tas vraiment une chambre de sainte-nitouche Michelle, cest très étonnant pour une Marie couche toi là comme toi.

— Je ne

— Ferme ta gueule grosse pute. Je vais te baiser dans ta chambre de bourgeoise prude, on va voir si ta pudibonderie va résister longtemps à mes coups de queue dans ta bouche de vieille salope.

— Oui, et sil te plait baise moi maintenant, je sens que je mouille encore.

— Pas si vite ma petite salope chérie. Tu vas dabord touvrir les papilles sur une de tes culottes sales tu veux bien ?

Je ne lui laissais pas le temps de répondre et enfonçais dans sa bouche la culotte que javais moi-même dégustée en lattendant.

— Goute moi ça, suce la, tu reconnais le goût ?

Elle fit non de la tête.

— Tu ne reconnais pas le goût de ta propre chatte après lavoir portée une journée entière ? Cest vraiment décevant Dorénavant je veux que tous les soirs, tu nettoies le fond de la culotte avec la langue et que tu timprègnes du gout, à lavant comme larrière ! Je veux que tu reconnaisses le goût de ta moule aussi bien que celui de ton cul entre mille !

Michelle mettait du cur à louvrage en me regardant droit dans les yeux. Ma queue était gorgée de sang et mes couilles commençaient à me faire délicieusement mal. Tout en suçant et aspirant sa culotte souillée elle poussait de petits gémissements.

— Ouvre la bouche !

Elle sexécutait et jen profitais pour faire couler à lintérieur un long flot de salive.

— Aspire moi tout ça maintenant ! Je veux que tu suces bien à fond !

Encore une fois, elle obéissait sagement. Zélée même, elle faisait un bruit malpropre en déglutissant ma salive mêlée à la sienne. Elle était dégueulasse et jadorais ça ! Je tendais une main devant son visage.

— Rends la moi maintenant !

Tout en me regardant, elle recrachait la culotte trempée dans ma main. Elle me faisait penser à une chienne qui rendait docilement sa balle à son maître.

— Cest bien, elle est toute mouillée.

Alors que je la portais à ma bouche et aspirais à mon tour le petit paquet de coton et dentelles, jenfonçais trois doigts dans la bouche de Michelle en faisant des allers retours jusquà sa gorge. Je messuyais les doigts sur son visage puis je dépliais la culotte pour la lui passer sur la tête. Le côté trempé du cache-sexe lui fit un joli cache-il de pirate. Je la fis se lever et lallongeais au milieu de son lit.

— Si on mouillait celle que tu portes maintenant ?

— Oui, souille moi !

Elle sallongea sur le dos, les mains toujours attachées et je lui fis écarter les cuisses au maximum. Effectivement, son string senfonçait entre les lèvres de son sexe, luisant de mouille. Je mapprochais de sa bouche. Dune main je lui tenais les cheveux en arrière et entrepris de lui bouffer la bouche et de lui avaler la langue. De lautre main, je lui donnais de petites tapes sur le clitoris. Elle se tortillait de plaisir à chaque clac et je continuais lentement mon roulage de pelle.

— Crache dans ma bouche, donne !

Elle obéissait Javalais parfois, tantôt je lui rendais le tout. Javais envie de la souiller encore un fois, de voir son joli minois dégoulinant. Elle avait déjà reçu ma pisse, elle avait maintenant le droit à ma salive, mélangée à la sienne. Jaspirais de temps en temps pour tout lui recracher violemment à la figure, ce qui la faisait tressaillir avec délice, et jétalais le tout sur son visage de poupée.

Quand elle fut bien saccagée, jeu envie de moccuper dune autre partie de son corps. Javais déjà pas mal malaxé son clitoris et je sentais la moiteur de son string au bout de mes doigts mais javais envie de mattarder sur son énorme poitrine.

Je me à genoux près de son visage et libérais ses seins de leur prison sans détacher le soutien-gorge, ils pendaient par dessus les balconnets. Je lui attrapais les tétons et entrepris de les tordre et de les pincer. Instantanément, elle gémissait de plaisir. Elle geignait à chaque torsion. Cest bien ce que je pensais. Elle était assez excitée pour ne sentir que le plaisir de ses tétons ainsi malmenés. Cétait délicieux ! Jaccrochais donc à chacun une pince à linge et mamusais à les balancer de gauche à droite du bout des doigts. Michelle était tellement excitée quelle essayait de se faire du bien en frottant ses cuisses contre son con. On aurait dit une chatte en chaleur qui se frotte au sol pour se soulager.

Tout en jouant avec ses pointes durcies je la questionnais :

— Est-ce que tu es vilaine salope Michelle ?

— Oui je suis une salope, une vilaine salope

— On pourrait même dire que tu es une vraie truie non ?

— Oui, je suis une truie, une poche à foutre, tout ce que tu veux mais fourre moi par tous les trous je te veux ! Je veux que ta queue me défonce !

— Pas si vite ma belle et grosse truie. Jai bien compris que tu étais ouverte et dégoulinante de tous les trous et nous verrons ça plus tard, mais est-ce que tu es vraiment prête à te la faire mettre par un mec de lâge de ton fils ?

Je ne la laissais pas répondre, je préférais asticoter ses tétons.

— Ooooohohhh !!

— Cest bien ce que je pensais, ça tes déjà arrivé ?

— Non, non jamais, pas avec un homme. Aussi jeune je veux dire !

Je pinçai plus fort

— Hannnn !

— Tu es sûre ?

— Oui, oui cest la première fois, je sais pas pourquoi mais tu mas plu, jai eu envie que tu me domines.

— Tu as eu des pensées cochonnes en pensant à moi ?

— Oui, très souvent.

— Tu tes masturbée en pensant à moi et à ce que je pouvais te faire ?

— Oui

— Jimagine que tu ne tattendais pas à ce que je te fasse autant de saloperies ?

— Si, si jespérais et même, jimaginais bien pire !

— Voyez-vous ça ! Mais tes vraiment en manque de bite espèce de grosse garce ! Tu tes fourrée ton petit vibromasseur dans la chatte en rêvant que cétait moi ?

— Oui Et aussi avant chaque séance de gym au club, je me mettais le godemiché dans le cul, ça me faisait mal mais cétait pour me punir davoir de vilaines pensées.

Je lâchais un peu ses tétons et la regardais, mes yeux profondément ancrés dans les siens. Je lui attrapais le menton.

— Tes pensées sont toutes sauf vilaines Michelle, je te kiffe à mort. Toi, tes culottes, ta chatte, ta mouille ! Je vais te baiser, je vais te faire oublier ton petit vibro de merde, je fais te faire jouir comme on ta jamais fait jouir et non pas parce que tu es une salope, mais parce que je vais aimer te faire du bien, même si te faire du bien cest aussi te faire un peu mal et te dégrader.

Elle était de nouveau haletante, comme dans la baignoire, au bord de lhystérie ! Je prenais un putain de pied à lui parler comme ça, et elle adorait ça elle aussi ! Elle gémissait de plus en fort, à chacun de mes mots elle sapprochait de lorgasme, elle était dans un état second.

— Je vais te salir, te déshonorer, te cochonner, te souillonner !

— Ahhhh !!! Oui

Pour couper court et retarder au maximum sa jouissance libératrice je maccroupissais rapidement au dessus delle et lui plaqua mon anus sur le nez.

— Bouffe moi le cul !

Je neus pas à attendre, elle enfonça aussitôt sa langue contre ma rondelle. Je nen revenais pas, elle allait droit au but ! Cétait bon mais frustrant. Alors je me mis à genoux et écartais mes fesses.

— Lèche moi partout dabord !

Sa langue parcourait toute ma surface sensible, cétait délicieux ! Elle léchait, elle aspirait, elle crachait ! Elle savait vraiment y faire cétait incroyable et je me branlais en même temps.

— Écarte les cuisses !

Elle obéissait et je repris ma séance de petites tapes sur son clito. Elle geignait à chaque coup, et je claquais de plus en plus fort ! Je sentais mon cul trempé de sa salive, javais envie dautre chose maintenant. Je reculais et, de nouveau accroupi sur elle, je lui présentais mon scrotum boursoufflé.

— Aspire moi la bourse, bouffe moi les couilles maintenant !

Et ni une, ni deux, elle acceptait mon présent alors que je continuer à me masturber au dessus delle. Sa bouche était chaude, sa langue douce et longue. Un délice.

Au bout dun moment, je vins sur elle en 69. Enfin jallais mettre ma queue dans cette bouche si besogneuse et gouter en direct à sa chatte suintante de désir…

Puis-je continuer mon récit chers lecteurs ?

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