Cet été, je suis partie dans les Cévennes pour faire du woofing. Je séjourne dans une ferme où je participe aux travaux agricoles, en échange je suis logée et nourrie. Je vous raconterai tout ! Ça risque d’être chaud !
Pour arriver ici, j’ai pris le train puis le car. En descendant du car, les fermiers m’attendaient : Pierrette et Gabriel sont un couple d’une trentaine d’années (j’ai 25 ans). Ils m’ont tout de suite emmenée à la ferme, très isolée, dans un paysage superbe, au milieu des montagnes. Elle se compose d’un bâtiment d’habitation, d’une grange et d’une étable. Tout autour, on cultive des céréales et on élève des moutons et des chèvres.
Les fermiers m’ont montré ma chambre. Elle a une entrée indépendante de leur logement. Ils m’ont laissé le temps de m’installer avant de me faire faire le tour de la ferme et de me présenter à Justin. C’est leur employé : un peu plus jeune que moi, 20 ans environ, un solide gaillard bien bâti. J’ai tout de suite flashé sur lui, d’autant qu’il était torse nu ! Ses pectoraux et ses biceps saillants m’impressionnaient déjà.
Ses patrons lui ont demandé de me montrer les champs; on y cultive le blé, l’orge et le maïs.
Au bout de quelques minutes en plein soleil, j’ai eu comme un coup de chaud, et j’ai dû retirer mon T-shirt. Le seul hic, c’est que je j’avais oublié que je n’avais pas de soutien-gorge ! J’ai essayé de me couvrir mais il était trop tard : Justin avait vu mes seins. Il a paru surpris et j’ai tenté de m’excuser :
— Je suis vraiment désolée ! Je t’ai choqué peut-être ?
— Sûrement pas ! Tes seins sont vraiment incroyables ! On n’en voit pas souvent de pareils par ici.
Du coup, j’avais moins de scrupules à rester seins nus. Même si je savais que j’étais en train de provoquer chez Justin une montée du désir accélérée !
Il me regardait avec tellement d’insistance qu’au bout de cinq minutes, j’ai cru qu’il allait m’embrasser ; mais il s’est ravisé :
— On ne peut pas trop faire ça ici ! Les fermiers ne sont pas loin et je ne veux pas être viré. Mais ce soir après le souper, nous aurons tout notre temps !
En attendant, il a poursuivi ma formation au métier de fermier, me montrant comment on coupe les blés. Avec une grande faux, il faisait étalage d’une force physique peu commune. Je le regardais avec les yeux de l’amour…
A la fin de la journée, j’étais vraiment harassée et je suis rentrée à ma chambre pour me reposer. Puis je me suis habillée et maquillée spécialement pour le souper de bienvenue. Dans la grande salle, les fermiers avaient mis les petits plats dans les grands : il n’y avait que des plats préparés à base d’ingrédients locaux, des fromages de chèvre, des salades de carottes, d’asperges et de maïs. C’était vraiment succulent ! Je regrettais juste que Justin n’ait pas été invité !
J’étais tellement impatiente de le retrouver : alors, dès la fin du repas, j’ai prétendu être très fatiguée de ma journée. Je suis retournée à ma chambre où je me suis allongée nue sous ma couette ; puis j’ai commencé à somnoler.
Lorsque Justin a frappé à la porte, mon cur s’est mis à battre très fort.
Il est entré à pas de loup, croyant que j’étais endormie : comme dans la Belle au Bois dormant, il m’a embrassée pour me réveiller ! J’ai ouvert les yeux et je l’ai regardé d’un air enjôleur. J’ai écarté doucement la couette et il a embrassé mes tétons tandis que ses mains descendaient encore plus bas, me caressant le ventre et les cuisses et finalement entre les cuisses ! J’attendais qu’il mette aussi la langue quand il s’est relevé en disant :
— J’ai une idée ! Si on allait dans les champs ! Tu n’as sûrement jamais fait l’amour à la belle étoile !
Il avait vu juste, c’était un de mes fantasmes depuis longtemps ! Alors nous sommes sortis de la chambre qui donnait directement sur la cour de la ferme. Justin avait gardé un short mais j’étais entièrement nue ! Personne ne nous voyait de toute façon. Dans la nuit noire, Justin m’a guidée vers les champs. Je regardais le ciel et les étoiles en pensant à cette situation incongrue pour moi. J’étais nue, toute nue au milieu des champs, moi la citadine ! Nous nous sommes promenés un long moment, en nous tenant par la main, et en nous embrassant. Je ne comprenais pas à quoi Justin voulait en venir. En fait, il m’emmenait vers un ballot de paille. Il m’a fait monter dessus et je me suis allongée au bord, en écartant un peu les cuisses.
Justin était resté debout sur le sol et sa bouche se trouvait au niveau de mes cuisses. Tout à coup, une douce sensation m’a surprise. J’ai mis du temps à comprendre qu’il me léchait la fente ! C’était doux et fort à la fois. Il continuait encore et encore… si bien que j’ai joui. Pas un orgasme intense, mais il y en aurait d’autres !
Ensuite je l’ai aperçu en train de se dévêtir. Quand il a grimpé sur le ballot, j’ai fermé les yeux et j’ai senti son chibre rentrer, puis ressortir. A chaque mouvement, je ressentais la paille qui m’écorchait la peau du dos et la poutre qui m’emplissait le ventre !
Il se donnait avec la fougue de la jeunesse : le deuxième orgasme de la soirée se profilait à l’horizon, plus fort que le premier. Je me préparais à jouir intensément et mes espérances n’ont pas été déçues ! C’était vraiment un moment magique, comme ça, dans la nature. Au moment où je me cambrais sous l’effet de l’orgasme, Justin soupirait de plaisir !
Nous sommes restés encore un long moment, immobiles, à savourer.
Après quelque temps, pensant que j’étais endormie, Justin m’a portée jusqu’à mon lit. Il m’a donné un dernier baiser entre les cuisses puis il a remis la couette par-dessus mon corps nu. Je crois que j’ai rêvé de lui toute la nuit, espérant que le deuxième jour soit aussi agréable que le premier !