Ceci est basé sur à partir d’une histoire vécue.
J’avais quinze ans, et comme tous les étés, la famille organisait un voyage pendant l’été. C’est été nous allons à la plage, avec mon oncle et sa famille. Un voyage de deux semaines en caravanes remplit de soleil, de plage, et de découvertes. Mon oncle a une fille, Annie, quelques mois de moins que moi, nous nous voyons de temps en temps, mais nos deux familles n’habitant pas la même région, nos fréquentations sont plus rares.
Mes souvenirs d’elle sont vagues. De la même grandeur, blonde, jolie visage, un peu ronde, sans être grosse, elle était la plus jolie de toutes mes cousines. Un de nos premiers arrêts se fit sur une plage isolée. Nous arrêtions pour dîner, mais nous avions l’irrésistible envie d’aller à travers les vagues. Puisque nous portions encore notre linge de jour et non nos costumes de bains, nous roulons nos bords de pantalons et avançons dans la mer. Intrépide nous avançons de plus en plus, les vagues étant de plus en plus fortes, une d’elle nous surpris et nous éclaboussa complètement. Nous retournons, mouillés, vers la plage. C’est a ce moment que la beauté de ma cousine me frappa. Ces grands cheveux blonds au vent, son sourire narquois, ses hanches rondes de jeunes femmes mais surtout, ses magnifiques seins moulés dans un tshirt détrempé. Elle ne portait pas de soutien-gorge mais ses deux gros seins défiaient toute les lois de la gravité. Deux jolies petits mamelons pointaient à travers le tissus, et l’on pouvait même deviné la couleur de ceux-ci. Un peu gênée, elle tenta de les couvrir de ma vue, mais pressant ses mains contre ses seins, cet action ne fit qu’augmenter mon désir de les voir et toucher. Dans ce moment d’allégresse j’enlevait mon gilet et lui offrit, je pus admirer encore les magnifiques globes juste avant qu’ils soient recouvert de mon gilet. Elle me dit merci, avec un sourire encore plus resplendissant que d’habitude. Nous retournions vers nos parents pour dîner.
Inutile de vous dire que durant tout le dîner et le reste du parcours, j’avais une terrible érection, et j’étais obsédé par la poitrine généreuse de ma tendre cousine. Lorsque nous sommes arrivés à destination la soirée était déjà bien avancée. Nous partîmes à la découverte des lieux. Bien sûr je me tenais près d’elle et je me plaisais à remplir chacun de ses caprices. Il était maintenant tard et nous nous retrouvions seuls dans une petite bâtisse près du bord de mer. Nous explorions la cabane, lorsque je lui dis qu’il commençait à être tard et que nous devions retourner aux caravanes. Elle me sourit, et me dit qu’avant elle avait quelque chose à me remettre. Sans aucun autre artifice, elle enleva mon gilet, qu’elle portait toujours et me le tendit en disant ’C’est à toi je crois, merci beaucoup’, j’étais sans le mot, je ne pus exprimer ma surprise et mon bonheur.
Elle était à un mètre de moi, mi-nue, les seins pointant vers moi, dans la douce lumière du soir le reflet sur sa jeune peau saine et tendre j’étais aux anges. ’Je crois remarquer que je te fais de l’effet’ en regardant vers mon pantalon. Sans même me douter de rien j’étais en érection complète et cela se voyait. ’Tu me laisses faire’ dit-elle, et sans brocher elle laisse tomber mon gilet, et se met à genoux devant moi.
Elle tire vers le bas mon pantalon et retire mes sous vêtements. Je n’ai pas bouger d’un poil, sans dire un seul mot sans même respirer. Lorsqu’elle saisit mon pénis gonflé d’envie, une série de frissons parcours tout mon corps et revient vers mon sexe. Inutile de vous dire que c’est pour moi la première fois que cela m’arrive. Elle commence à me masturber tranquillement, ce n’est pas la première fois qu’elle fait ça, j’en suis sûr. C’est bon les caresses sur mon sexe, la chaleur tout est paradisiaques. Cependant je commence déjà à sentir monter en moi l’envie de venir. Je retiens mon souffle et me mords la lèvre du bas en tentant de me retenir le plus longtemps possible, elle accélère son mouvement et approche ses lèvres de mon gland violacé. C’est trop, pour l’avertir de ma jouissance imminente je dis son nom ’Annie, Anniiiiiiiie’. M’en pouvant plus j’éjacule sur ses lèvres entrouvertes, et les jets successifs arrosent son menton, sa gorge et ses magnifiques seins. Sa langue parcoura ses lèvres pour goûter le fruit de mon sexe et elle avala le tout.
Elle passa sa langue sur mon gland pour le nettoyer complètement et elle se releva. ’C’était bon ?’, Encore là j’avais de la misère à m’exprimer, ’Oui, très’. Elle passa ses mains sur ses seins pour étendre le sperme qu’y avait couler sur sa généreuse poitrine d’adolescente, et repris mon gilet en disant ’je crois que j’en ai encore besoin’. ’On va se revoir s’est sûr…’. Sans me laisser le temps de réagir elle partit, et je du remonter mes pantalons avant de tenter de la rejoindre…
Avant d’entrer dans sa caravane, elle me sourit et dit ’bonne nuit, à demain’. J’ai passé la plus belle de mes nuits, mais le meilleur était à venir….
Stephy