Je m’appelle Stéphanie, mais ce n’est pas le prénom que m’ont donné mes parents. Je suis devenue Stéphanie. Voici la longue histoire de mon apprentissage et de mon accomplissement. De Samuel à Stéphanie…
Adolescent, j’avais une sexualité classique. J’ai eu plusieurs copines dès l’âge de 12 ans, avec lesquelles je n’ai au départ pas eu de relations sexuelles, enfin pas avant 16 ans si mes souvenirs sont bons. Manon, une fille rencontrée sur le lieu de vacances avec mes parents, fut la première. Je me souviens encore de son corps, nettement plus mature que le mien.
Mais le mien n’a peut-être jamais été mature…
Je suis gloablement assez mince mais avec un trait bien particulier, des fesses proéminentes et fermes. Je mesure 1m68 et je serais presque imberbe si mes poils n’étaient pas assez foncés comme mes cheveux. Plus jeune, j’étais sportif et assez musclé pour mon âge. Je faisais beaucoup de sport, mais j’ai arrêté lorsque j’ai commencé mes études de droit. Au départ, rien ne me prédisposait à la féminisation.
Ce qui, je crois, a changé mon existence c’est ce premier faux pas, lorsque j’étais un après-midi seul chez mes parents, l’année de mon BAC. J’étais censé réviser, mais je rêvaissais dans la maison, allant d’une pièce à une autre. Dans la buanderie, je suis passé à coté du linge qui séchait. Comme ma mère me demandait souvent de ranger avec elle, j’ai touché le linge, presque uniquement composé de vêtements de ma mère, pour voir s’il était sec. J’avais déjà remarqué qu’elle utilisait de la lingerie, mais jamais ce qu’il y avait ce jour là. Un ensemble blanc tout en dentelle, une jupe froissée blanche et grise, ainsi qu’un porte jaretelle et des bas blancs. J’ai effleuré les sous-vêtements, qui n’étaient pas complètement secs, et rapidement, sans que je puisse dire pourquoi, j’ai commencé à m’imaginer en train de les porter. Je me sentais déjà coupable, alors que je n’avais encore rien fait. Je me suis assuré que j’étais bien seul, et je me suis enfermé dans ma chambre avec la culotte et le soutien-gorge. Je me suis déshabillé, et j’ai enfilé la culotte. Mon sexe tenait tout juste à l’intérieur. Je caressais mes fesses sur la culotte, et le sexe en appuyant délicatement dessus, à travers le tissu. Malgré l’aspect encore légèrement humide, j’adorais cela. Je n’arrivais pas à accrocher le soutien-gorge et j’ai du le passer comme la culotte, en le faisant remonter. Je me souviens avoir l’avoir rempli avec des chaussettes, ma mère devant faire alors du 90C environ. Je me suis glissé jusqu’à la salle de bain, et admiré devant la glace. J’adorais cette sensation de culpabilité, de féminité, j’étais dans tous mes états, et j’ai rapidement eu une érection que la culotte ne masquait pas. J’ai tenté d’enfiler le porte-jaretelle et les bas, mais c’était la première fois que j’y étais confronté, et j’ai juste réussi à enfiler les bas, qui étaient secs et tenaient alors plus ou moins sans les jaretelles.
La porte qui s’ouvrait en bas m’a fait sursauter comme jamais. C’était mon père qui rentrait du travail un peu en avance. J’ai eu le temps de retirer les bas et d’arracher comme je pouvais le soutien-gorge, de les jeter dans la lingerie et d’enfiler un short et un tee-shirt avant qu’il n’arrive. Je devais être rouge comme une pivoine car je portais encore la culotte. Mon père s’est contenté de me faire remarquer que des chausettes et un slip trainaient, avant de retourner en bas. J’avais eu chaud…
J’ai discrètement enlevé le tout, remis en place comme je pouvais, et le soir je me suis masturbé en y pensant.
Je n’ai plus recommencé malgré l’envie, car je ne voulais pas prendre le risque de me faire surprendre. Et j’ai commencé à regarder différement la lingerie de mes copines, mais sans aller plus loin.
Après mon BAC, mes parents m’ont loué un appartement pour mes études, dans une grand ville proche d’une centaine de kilomètres. La suite peut être résumée assrez facilement. Comme la majorité des étudiants en droit, je ne suis pas allé au terme de mes études. J’ai rencontré Karine en 2eme année, et nous avons vécu ensemble 7 ans durant lesquels j’ai accepté à regret un poste d’assistant juridique dans un petit cabinet d’avocat de province. Karine, elle, était devenue juriste en entreprise. Notre vie de couple était monotone, et nous ne voulions d’enfants ni elle ni moi. Nous nous sommes séparés d’un commun accord et elle a quitté notre appartement en n’emportant qu’une partie de ses affaires, en me laissant le soin de gérer tout ce dont elle ne voulait pas. Cela aurait pu être détail, mais elle avait laissé plusieurs cartons de vêtements, et ce qui devait arriver arriva…
Quand je me suis enfin décidé à faire le tri, j’ai constaté qu’elle m’avais laissé toute sa garde robe de nos premières années. Des strings jusqu’aux pulls en passant par les pantalons et diverses robes. A l’instant ou j’ai vu ces vêtements, me sachant seul chez moi, j’ai repensé à mon aventure d’adolescent, et il ne m’a pas fallu plus de quelques minutes pour commencer à enfiler une première culotte. Karine avait des gouts classiques. Quelques sous vêtements sexy seulement, parmi une ribambelle de culottes et strings mais en quantité. Elle faisait une taille légèrement en dessous de la mienne, avec moins de fesses que moi, mais un bon 90D. J’ai passé la fin de la journée à essayer culottes, strings, jupes, nuisettes, et surtout les bas et porte-jaretelles que je n’avais pas pu accrocher la première fois. J’étais en transe. Je me sentais parfaitement à l’aise et terriblement excité. Comme si je pouvais enfin accomplir ce qui m’avait manqué ces dernières années ! Je me suis masturbé à plusieurs reprises, éjaculant parfois dans les sous-vêtements que je gardais ensuite. J’adorais cette sensation. J’avais remarqué que mettre une culotte à l’envers, fesses devant, en faisait un string agréable, vu mes fesses, et dans lequel mon sexe tenait en entier sans ressortir d’un coté ou de l’autre. Il manquait à mes tenues des chaussures à talon, Karine ne faisant pas du tout la même taille que moi. J’en ai rapidement commandé deux paires sur internet, une de ballerines à talons plat, pour m’habituer, et une paire d’escarpins avec des talons de 10cm.
J’ai commencé à porter systématiquement les habits féminins de mon ex lorsque j’étais rentré chez moi le soir et les week-ends, puis peu à peu, en sortant. La première fois ce fut pour aller au supermarché faire des courses. J’avais mis un jean, des chaussures de ville, un polo, un manteau, et je portais en dessous une paire de bas autofixants noirs que j’avais assurés avec un porte-jaretelle noir également, et une culotte blanche satinée. Le frottement des bas sur le jean, et celui de la culotte sur mes fesses et mon sexe, ainsi que de me sentir la taille tenue et serrée m’excitait au plus haut point. S’ajoutait à cela le risque de se faire prendre. Je redoutais en particulier une fouille par le vigile, certes rare, mais qui aurait été désastreuse. Je n’ai du rester ce jour là que dix à quinze minutes dans le supermarché, prenant un réel plaisir à me pencher en avant pour sentir la culotte frotter sur mon jean et mes fesses, comme si les personnes présentes pouvaient l’apercevoir. Plusieurs débuts d’érection m’ont compliqué la tâche, et le stress de la situation m’excitait plus qu’il ne me calmait. Il ne s’est rien passé de plus, et j’ai donc commencé à multiplier les sorties de ce genre.
Il m’a fallu plusieurs semaines pour parvenir à marcher avec les escarpins. Je faisais beaucoup de bruit en marchant dans l’appartement, mais j’étais au rez de chaussée, et la veille dame au dessus ne s’en préoccupait sans doute pas plus que ça. Autant je pouvais porter des sous-vêtements féminins sur mon lieu de travail, autant les vêtements visibles, et les chaussures, étaient exclus, ce qui me frustrait. J’avais entendu parler d’exhibitionnistes qui allaient sur un parking et dans un lieu de promenade près de chez moi, à l’entrée d’un bois, mais je n’osais pas franchir le pas. Je prenais par contre de plus en plus de risque lors de mes sorties, cinéma, achats, restaurants, y compris avec des amis. Je savais que l’hiver, en gardant un pull, je pouvais sans risque garder un soutien gorge, mais sans le rembourrer. Je ne prenais le risque de le rembourrer que lors de promenades spéciales, lorsqu’il faisait froid, et que je conservais un grand manteau. Progressivement, j’ai agrémenté ma garde robe féminine de lingerie de plus en plus sexy et osée, de chaussures très féminines, bottes ou escarpins, de robes, jupes ou tailleurs. Je consultais et usais de vidéos sur internet pour me féminiser, me maquiller durant les week-ends. J’étais maintenant totalement épilé et de plus en plus femme.
A la réception d’un de mes nombreux achats, je découvris dans le colis un formidable cadeau : un plug. Un rosebud violet de petite taille, même si j’ignorais alors ce que c’était exactement. Si j’avais déjà titillé mon petit oeillet, je n’avais jusqu’à ce jour pas osé franchir le pas. Ce fut l’une des nombreuses et superbes découvertes de ma transformation. J’ai tout de suite pris mon pied avec cette sensation de sentir mon fondement rempli, de m’imaginer pris, et je franchis un nouveau pas. Je ne pouvais m’empêcher d’en porter un presque en permanence, même au bureau. Je dois dire que je n’étais pas attiré par les hommes, mais par les possibilités que pouvaient m’offrir leur sexe. J’ai longuement conversé par "chat" avec de nombreuses personnes avant de découvrir enfin Jean (que je nommerai ainsi, avec son accord), mon maitre.
Je croyais avoir presque tout vu de ma nouvelle vie de "femme". Je me trompais.