Dans le taxi, je ne tiens pas en place, tous mes sens sont en éveil. Je sens Marie à côté de moi, et son parfum entêtant qui lutte contre l’odeur de tabac froid du taxi. Mes yeux furètent partout, et je surprends le regard du chauffeur alors que Marie pose sa main sur ma cuisse. A-t-il deviné qu’on va coucher ensemble ?
Je me répète cette phrase dans ma tête, tel un mantra : « On va coucher ensemble ! Je vais coucher avec une femme plus vieille que moi et que j’ai rencontrée aujourd’hui ».
Oui, c’est sûr, il l’a deviné. En même temps, Marie s’est penchée vers moi, posant sa tête contre mon épaule. Je tressaille quand je sens sa langue et ses lèvres caresser ma peau. Elle a vraiment l’air de nen avoir rien à faire du chauffeur, mais je ne suis pas sûr que ce soit mon cas.
Malgré moi, je prends une grande inspiration pour inhaler le parfum doux de Marie, puis je baisse les yeux et mon regard plonge dans son décolleté. J’ai déjà vu ces seins, mais il est toujours aussi envoûtant.
Je te sens tendu, et pas au bon endroit. Me susurre-t-elle à l’oreille en caressant mon entrejambe.
Mon sexe réagit aussitôt, même s’il est moins dur que d’habitude. En même temps, c’est déjà un miracle qu’il se lève encore, après tant d’orgasmes.
Qu’est-ce qui se passe ? Détends-toi chéri, on ne part pas en guerre.
Je la sens se presser et se frotter doucement contre moi. Mais j’ai perdu de ma superbe.
C’est quand même un grand saut dans l’inconnu pour moi. Et je dois t’avouer que je n’imaginais pas ça comme ça …
Elle se redresse et me prend la main, puis me regarde droit dans les yeux. Son expression est remplie de douceur, un mélange entre l’amour d’une mère et le désir d’une amante.
Tu imaginais faire ta première fois avec ta copine ? C’est mignon, tu es un romantique.
Elle me caresse le visage et m’embrasse avec douceur et passion. Je me détends un peu en lui rendant son baiser, comme s’il avait aspiré certaines craintes. Elle ne semble pas vouloir me jouer un tour.
Ne t’inquiète pas, je vais prendre soin de toi, et t’aimer comme jamais aucune fille ne l’a fait avant …
Elle m’embrasse à nouveau tendrement et on passe le reste de la course enlacé. Qu’importe l’âge, elle m’aime.
L’hôtel dans lequel nous entrons est grandiose, mais je commence à m’y faire. Marie est riche et aime dépenser son argent pour vivre confortablement.
Pourquoi n’allons-nous pas chez toi ?
Je préfère l’hôtel, c’est plus calme, et plus luxueux que chez moi, et j’aime ne pas avoir à travailler.
Donc tu n’as pas de mari qui t’attend ?
Tu crois que je le trompe avec un garçon ? Non, je n’ai pas de mari, je n’en ai plus du moins. On a divorcé il y a 10 ans et j’ai une belle jeune fille. Mais arrêtons de parler de moi et montons dans la chambre pour prendre une douche.
Ensemble ?
Bien sûr, comment puis-je me laver le dos sans toi ?
J’ai toujours rêvé de prendre une douche avec une fille. Le désir ressurgit, aussi fort que tout à l’heure au restaurant, m’ordonnant de la prendre comme un animal. Mais Marie a raison, ça sera encore meilleur quand nous serons au lit. Et la ballade en taxi, tout en baiser ne m’a pas déplu. J’avais peur d’avoir une relation entièrement sexuelle, mais Marie ne veut pas que ça et moi non plus. Soyons donc un vrai couple, s’aimant aussi sans sexe. J’ai envie de lui donner aussi de l’amour.
Alors que nous entrons dans la chambre, aussi grande que luxueuse, je me place derrière elle pour prendre son manteau.
Laisse-moi t’aider.
Elle semble surprise, mais me laisse faire et me sourit chaudement
Merci, Chris, t’es un amour.
Je me contente de poser mes lèvres sur sa nuque dénudée. Je la sens frissonner sous mon assaut timide.
Oh petit coquin, tu me rends folle.
Je dépose le manteau sur un porte-manteau. Ensuite, Marie m’enlace et m’embrasse. Je réponds à son baiser avec autant de tendresse que la sienne, mes doutes balayés.
Hmm comment ça se fait que tu sois encore vierge, aussi bon amant que tu l’es.
C’est grâce à toi, tu es venue vers moi, tu as fait le premier pas.
Je ne la laisse pas partir tout de suite et dépose une myriade de baisers dans son cou. Ses gémissements me comblent de fierté.
Sans nous séparer, nous nous dirigeons vers la salle de bain. Une grande douche nous attend. Marie commence à me déshabiller, déboutonnant amoureusement les boutons de ma chemise. Elle ne s’arrête pas et déboutonne aussi mon pantalon. Je reste immobile et la laisse faire. Elle semble aimer ça. Elle passe derrière moi et me glisse quelques baisers dans le cou. Puis elle enlève délicatement ma chemise avant de la jeter par terre, comme si elle n’avait rien couté. Elle réserve le même sort au reste et je me retrouve vite nu devant elle, dressé évidemment.
Je la laisse me dévorer du regard, et retiens mon souffle lorsqu’elle pose ses mains sur mon torse.
Tu es beau Chris, j’ai envie de toi.
Mais elle ne semble pas être excitée sexuellement. Enfin pas aussi chaude que dans un film porno. Elle se contente de caresser mon corps et m’enlacer pour m’embrasser. Je finis par l’écarter, et l’empêche de continuer quand elle commence à vouloir enlever sa robe.
A mon tour de te dénuder Marie. Laisse-moi faire.
Je me place à mon tour dans son dos, et je défais les boutons qui accrochent le haut de sa robe. Tout de suite, je sens la robe s’affaisser pour révéler le corps nu et magnifique de Marie, comme une rose qui éclot. Je m’accroupis pour descendre la robe à ses pieds et l’enlever. J’en profite pour enlever ses talons hauts, caressant au passage ses pieds. Marie se retourne vers moi et me sourit tendrement.
Je suis à genoux devant elle, moi nu comme un ver et dur comme un roc, et elle en string et magnifique.
Et dire que je pensais que j’allais tout faire pour t’initier. Es-tu sûr d’être vierge ? On dirait que tu as fait ça toute ta vie Chris.
J’ai attendu ça toute ma vie, donc je suis prêt.
Je finis mon travail en enlevant doucement son string en le faisant glisser le long de ses jambes. Je m’arrête un instant pour regarder sa chatte, elle luit de plaisir : elle est aussi excitée que moi.
Pourtant je me contente de me relever. Nous sommes tous les deux nus l’un en face de l’autre, nous contentant d’abord de nous regarder.
Et dire que tout à l’heure, tu étais comme une bête sauvage en rut incapable de se contrôler et prêt à tout pour me sauter dessus … déclare Marie en allumant l’eau chaude, mais distraite par mes assauts dans son cou et mes caresses sur son ventre, son dos et ses jambes.
Tu avais raison Marie, il vaut mieux prendre son temps pour faire ça bien. Et j’aime admirer ton corps magnifique, comme une fleur fragile et belle.
Marie rougit à mes propos. Elle aime se faire flatter de la sorte, comme si elle était une princesse et moi son prince charmant.
Tu me fais rajeunir Chris, déclare-t-elle en m’enlaçant encore. Je pensais que j’aimerais faire la maman cougar, mais être ta princesse, c’est encore mieux.
Tu le pourras aussi.
On rentre sous la douche et l’eau chaude n’aide pas à calmer nos ardeurs. On s’embrasse, se caresse, et se frottons l’un à l’autre. Je m’amuse à suivre les gouttes sur Marie, me perdant sur ses seins ou entre ses jambes.
On se lave ensuite, et je prends mon temps pour caresser plus que frotter ses seins et son sexe. Elle fait de même, et c’est bouillant qu’on sort de la douche. On se sèche rapidement et enfile chacun un peignoir.
Celui-ci ne reste que le temps d’arriver au lit. Elle s’allonge dans le lit et ouvre les jambes.
Viens Chris, j’ai envie de te faire l’amour.
Je n’attends pas une seconde et j’enlève mon peignoir à mon tour, avant de m’allonger sur elle.
Toute ma retenue s’effondre. Ça y est on va le faire !