Maman et moi étions rentrées à la maison en catimini pour ne pas réveiller papa. Nous avions emmené Oko, notre nouveau partenaire avec Mambo, dans le garage
Sortie de mon rêve, je me réveille en constatant que j’avais mis un doigt dans ma chatte pendant mon sommeil et que j’avais abondamment mouillé les draps. Maman , en chemise de nuit transparente ouvre la porte et me dit « Bonjour ma belle, es-tu bien reposée ? je vais préparer les petits déjeuners et annoncer à papa la nouvelle pour l’adoption de Oko notre nouveau chien. »
« Je descendrai plus tard quand tu m’auras donné le résultat de votre entretien. »
"OK ma chérie, à tout à l’heure".
Au bout d’une heure environ, maman revient.
« C’est fait ! il a accepté sans difficulté mais à condition que ce soit nous qui nous en occupions car il n’a pas le temps. Il va venir te voir pour t’annoncer son approbation. »
En entendant cette nouvelle, une foule d’images se pressent dans ma tête.
« OK, je vais m’habiller et attendre sa venue. »
« Surtout sois sage comme tu m’as promis hier soir »
« Je te promets »
Maman redescend au salon, je prends une douche et m’habille comme si je devais sortir ou presque car je ne mets pas de culotte sous ma minijupe (micro jupe), des bas noirs Dim UP et un corsage légèrement transparent.
Papa m’appelle.
Je descends au salon, il est encore en robe de chambre, maman est partie faire sa toilette.
J’embrasse papa et m’assois en face de lui en croisant les jambes, ce qui fait remonter ma jupe en dévoilant le haut en dentelle de mes bas.
« Alors ma petite Chantal, toi et maman avez décidé d’adopter un nouveau chien ? Crois-tu qu’ils vont faire bon ménage avec Mambo ? Il va falloir acheter une nouvelle niche, mais j’ai dit à maman que je ne voulais pas m’en occuper. »
Pendant qu’il me parlait, je surpris son regard fixer furtivement mes jambes à plusieurs reprises. Je les décroisai machinalement pour les écarter et voire sa réaction. Sa robe de chambre à peine fermée laissa légèrement apparaître son sexe en érection. Il referma vite les pans de la robe.
«Oui, bien sûr, je pense au contraire que Mambo sera tout content d’avoir un copain. Peut-être préférerait-il une copine mais OKo, c’est comme cela qu’il s’appelle, semble très gentil. Nous l’avons mis hier soir dans le garage mais attendions ta réaction. »
« He bien tu vois, elle est positive ma chérie ».
Je me lève pour l’embrasser
« Merci papa chéri »
En l’embrassant affectueusement, je sentis mes tétons se durcir contre sa poitrine et comme nous étions en contact, je sentis également son sexe dur sous sa robe de chambre. Mon cur battait la chamade et je crois que je commençais à mouiller.
« Bon, il faut que je m’habille j’ai un rendez-vous dans une heure au bureau »
Nous nous quittons et en rentrant dans ma chambre, maman m’y attendait.
« Alors ? Mais dit donc, dans cette tenue plutôt aguichante tu as dû lui faire de l’effet ? »
« Je ne sais pas mais ce n’était pas le but (je ne sais pas si elle se rend compte que je mens) il m’a donné son accord avec les restrictions que tu m’avais dites. Il craignait que les deux chiens ne s’entendent pas. Tu te rends compte maman dès ce soir il faut qu’on baise dans le garage, je mouille rien que d’y penser ».
« Oui il faut qu’on fête ça. Je vois tes seins sous ton corsage, j’en ai envie »
« Viens maman, viens me caresser et me fouiller »
Elle s’approche de moi en plaquant une main sur ma chatte (déjà mouillée de mon entretien avec papa) me triture un mamelon et m’embrasse avec fougue. Nous basculons sur mon lit je me débats pour me mettre en 69 et lui bouffe goulûment la chatte pendant qu’elle me met sa main entière dans le con. Un puissant jet de cyprine entre directement dans ma bouche et j’avale avec délectation.
La voix du père se fait entendre.
"Où êtes-vous ? Je pars au bureau, Valérie je ne trouve pas un dossier, viens m’aider à chercher, je suis pressé".
Zut il fallait abandonner notre partie, nos chattes étaient trempes.
« On reprendra ce soi ma chérie avec nos compagnons, j’ai terriblement envie, Cet après-midi je vais chez la coiffeuse, ton père sera là nous ne pourrons rien faire avant cette nuit ».
Le repas se passe très bien, nous mettons au point la charge de chacune pour s’occuper des chiens tout en sachant secrètement que cette charge aura des cotés bien particuliers. Pendant nos discussions, je sens le pied de maman qui est en face de moi, me caresser la jambe, puis la cuisse. Je fais ostensiblement tomber ma fourchette sous la table pour la ramasser. Maman a les cuisses écartées offrant sa chatte imberbe à ma vue. Je ramasse ma fourchette et l’enfourne rapidement dans son con. Elle resserre les cuisses, je me retire et me rassois en suçant longuement l’ustensile. Maman s’en aperçoit, ferme les yeux et je vois qu’elle passe sa main sous la table. Je pense qu’elle veut se branler.
« Je vais chercher le dessert et je file chez la coiffeuse. »
"Moi je vais voir le match de Rolland Garos à la télé." nous annonce papa." j’ai prévenu mes collaborateurs"
Je monte dans ma chambre et un peu désuvrée, je me dis que je regarderais bien le match aussi car il s’agit de Moresmo et je sais qu’elle est lesbienne.
Je redescends donc au salon.
« Tiens, toi aussi tu veux voir le match ? c’est dans 15 minutes. »
« Oui je dois ranger un peu la cuisine mais je le ferai plus tard. Laisse-moi un peu de place sur le canapé que je m’allonge »
Comme une petite salope que je suis, j’ai enlevé deux boutons à mon corsage laissant bien voire la raie de séparation de mes seins et je m’allonge en prenant soin de relever légèrement ma jupe déjà très courte pour laisser apparaître le haut de mes bas.
« Je vois que tu te mets bien à l’aise ma fille. Si nous avions des invités, ce ne serait pas correcte »
« Oui papa mais nous sommes seuls ; ça te déplait ? »
« Non, je suis ton père »
Je me lance.
« J’ai souvent surpris ton regard sur ma poitrine et sur mes jambes là tu peux en profiter »
J’écarte légèrement les cuisses et son regard y pénètre. Sans s’en rendre compte, il a porté une main sur son pantalon au niveau du sexe.
Je me souviens de la réflexion de maman hier soir « il en a une belle aussi »
« Qu’est-ce que tu dis là. Je reconnais que tu as un beau corps mais ça s’arrête là. »
Je me lance à nouveau !
« Je suis sûr que tu bandes »
« He bien oui voilà tu m’as excité surtout que je viens de voir que tu n’as pas de culotte »
« Si tu me montres ta queue, je te montre ma chatte. »
Je me plante devant lui et à ma grande surprise ; je le vois se dégrafer le pantalon. Il porte un string de femme qui a du mal à contenir son énorme braquemard. Ma mère avait bien raison.
« Tu as un string en dentelle ? »
« Oui j’aime bien c’est un de ta mère ça m’excite, viens t’asseoir sur moi »
« Ah non, on a dit montrer. Tu veux aller plus loin »
« Et toi ? »
« Veux-tu que je te branle ? »
« Oui mais tu me suces et tu me montre tes seins »
J’ouvre entièrement mon corsage et mon 90 B se dresse vers sa figure.
Il commence à caresser mes aréoles en triturant les mamelons et me dit :
« maintenant suce »
Je descends ma bouche jusqu’à cette queue et commence à la titiller de coups de langue rapides. Mon envie est énorme et j’enfourne le membre bien profond dans ma bouche. Je pompe et n’arrête pas les va-et-vient
« Arrête, tu vas me faire jouir et ce sera trop court. Donne-moi ta chatte que je la suce »
« Mettons-nous par terre ce sera plus facile »
Je n’ai pas besoin d’enlever ma jupe qui ne gêne rien tant elle est courte mais j’entreprends d’enlever le pantalon de papa. Je remarque qu’i a un beau cul lisse alors que son pubis est très fourni. J’adore les poils et en veut à maman de s’être rasée.
Oh surprise, il a un plug dans les fesses.
« Tu te branles le cul ? »
« Oui c’est un plug vibrant à télécommande pour l’intensité »
« Tu crois qu’on peut se le mettre dans la chatte ? »
« Oui c’est comme un gode vibrant mais un peu plus court »
« Tu veux me le mettre ? »
« Donne-moi ta chatte »
Il sort le plug de son cul, très propre, je me mets à califourchon sur lui couché par terre et lui présente ma chatte au-dessus de sa bouche. « Suce-moi avant pour me faire mouiller ».
« Tu es déjà trempe »
« Oui tu m’as excitée et j’ai envie de sentir ta langue »
J’ai failli de lui dire comme celle de Mambo.
Sa langue lèche tout le pourtour de mes lèvres. En aspirant mon clito, il m’enfonce ce muscle lingual profond dans le vagin. Les mouvements de la pointe de sa langue me font lancer un énorme jet de cyprine.
« Je suis prête, mets-moi ton plug »
Délicatement il introduit l’engin, pas si petit que çà, sans se soucier de la base arrière qui pour homme empêche une introduction complète, je suppose, et pousse le plug au maximum. Ma chatte l’englouti complètement. Subitement je sens les vibrations qui deviennent de plus en plus intenses.
« Arrête arrête je vais jouir ! »
La vibration ne s’arrête pas et je pars dans un orgasme phénoménal en poussant des cris à faire trembler les murs.
« Garde le, maintenant je vais te mettre ma queue »
« Tu ne voudrais pas me la mettre dans le cul ? »
« Te sodomiser ma fille. Tu as envie ? Tu l’as déjà fait ? »
« Oui mais avec un des godes que vous avez dans votre chambre »
« Je ne savais pas que j’avais une fille aussi salope »
« Ça te plaît papa »
« Oh oui tu vois bien »
Evidemment je ne pouvais pas lui avouer que je me faisais enculer par les chiens du quartier.
« Vas-y défonce moi le cul baise moi comme une chienne ! Je sens que je mouille du cul. »
Délicatement je sentis entrer le membre s’enfoncer et j’avais l’impression qu’il cognait contre le plug à travers les parois de mes entrailles.
« Je sens les vibrations du plug » me dit-il « je vais jouir je ne tiens plus c’est trop bon ! »
« Non attends je n’ai pas eu mon compte »
Malgré ma demande, je sentis un jet chaud m’envahir l’intérieur et me déclencher un nouvel orgasme si fort qu’il expulsa le plug de mon con.
« Arrêtons là, ta mère va arriver. Oublions tout ça »
« Non je ne veux pas oublier. Nous recommencerons, j’aime bien ton cul aussi »
« Petite salope »
« Vieux cochon »
Nous nous rhabillons, je sentais le sperme sortir de mon orifice et couler sur mes jambes. En m’essuyant avec les doigts, je me délectai de ce liquide humain merveilleux et inhabituel.
Nous nous installons gentiment sur le canapé devant la télé en attendant maman.