Allongé sur le confortable tapis blanc du salon, j’attendais qu’elle arrive. En visite pour la journée dans sa famille, elle avait apparemment un peu forcé sur l’apéro et d’après les messages qu’elle m’avait envoyé, se sentait d’humeur très joueuse. Suite aux questions qu’elle m’avait posé par texto, j’en avais conclu qu’elle voulait faire une sorte de jeu coquin pour me tester.
Ne sachant pas ce qui lui avait donné ces idées, je me suis pris au jeu, sinon je ne serais pas allongé sur le tapis du salon comme elle me l’avait demandé.
J’entendis la porte s’ouvrir, puis se refermer, elle pénétra dans le salon. Vêtue d’un simple leggins noir et d’un haut assorti à ses tennis roses, elle vint s’asseoir sur le canapé, juste à côté de moi. L’alcool rendant sa démarche légèrement mal assurée, elle souffla quand elle fut enfin assise. Elle baissa la tête pour me regarder, apparemment satisfaite que je sois où elle m’avait demandé d’être, puis sourit.
Loin de passer pour la maîtresse autoritaire, elle jouait plutôt sur des attitudes douces, timides voir enfantines. Elle posa son pied droit sur son genou gauche afin de retirer sa chaussure, sans défaire les lacets, puis enleva sa chaussette et remit sa tennis. Elle fit pareil avec son pied gauche, je sentais déjà l’odeur qui se dégageait d’eux. Ses pieds nus dans leurs chaussures, elle prit ses chaussettes humides et les posa sur mon nez, puis se leva pour aller poser son sac et se servir du rhum. Elle s’alluma une cigarette et but une ou deux gorgées dans son verre pendant que j’étais toujours allongé sur le tapis, respirant ses chaussettes sales posées sur mon visage.
Après avoir repris place sur le canapé, cette fois-ci juste au dessus de moi, elle prononça ses premiers mots, très sensuellement :
— Gardes la bouche fermée.
Je lui obéis et l’observai enlever sa chaussure droite, puis la poser négligemment sur mon torse. Son pied encore transpirant dont l’odeur fit battre ma queue, s’approcha lentement de mon visage. Prenant soin que j’ai le temps de les scruter minutieusement, elle posa ses orteils un par un sur mon nez pour que je respire bien leur odeur avant de caresser mes lèvres avec.
Elle s’amusait avec moi, prenant mon nez entre ses orteils ou essayant d’y faire entrer les plus petits.
Pendant près de cinq minutes, son deuxième pied ayant rejoint le premier, elle prit plaisir à me faire sentir ses pieds puants ou à les essuyer sur moi, elle se laissait complètement aller.
Elle remit ses chaussures et me demanda très gentiment de me mettre assis devant le canapé, entre ses jambes. Une vraie dominatrice jouant la jeune fille timide.
Assis en tailleur devant le canapé, face à elle, je la vis s’adosser au fond, quasiment allongée et relever les jambes. Aidée d’un coup de bassin, elle ôta son leggins et son string en même temps, ses fesses se retrouvèrent nues, à même pas vingt centimètres devant moi. Je sentais déjà son odeur, manquant de faire exploser mon caleçon.
— Je veux que tu gardes la bouche fermée mais les yeux grand ouverts. Tu vas examiner mon anus pour vérifier qu’il ne soit pas trop sale, au cas où tu veuilles arrêter. T’as vu, je suis gentille de te laisser inspecter, alors prends ton temps et approches toi.
Elle fit remonter son leggins et son string le long de ses jambes, puis les laissa enroulés autour de ses chaussures. Elle redescendit les mains et quand elle écarta ses fesses face à moi, je compris qu’elle savait très bien qu’elle n’était pas très propre. Elle savait que ça ne me donnerait pas envie d’arrêter, bien au contraire, en plus j’avais le temps de bien pouvoir reluquer de près.
Comme un fou, j’ai pu détailler chaque centimètre carré entre ses fesses pendant près de cinq minutes, respirant profondément l’odeur de son cul après sa longue journée. Elle souriait de me voir examiner son cul, j’avais les yeux quasiment collés à ses fesses écartées. Scrutant chaque pllissure sale de sa rondelle, chaque poil égaré, chaque salissure et chaque grain de beauté, ma queue mouillait de plaisir, elle était raide comme une matraque. Je l’entendis marmonner "ahh, ça fait plaisir de rester comme ça, pas besoin de se laver".
D’un coup, elle se recula puis remit son string et son leggins, avant d’enlever ses deux tennis et les jeter près de moi.
Telle une jeune fille timide, elle me dit :
— J’espère qu’ils ne sentent pas trop. Ma journée a été très longue et j’aimerais bien me faire sucer les orteils, puis sentir une langue qui passe entre eux.
Ses pieds sentaient, mais ça ne faisait que renforcer mon excitation, elle le savait. J’ouvris la bouche et pris son gros orteil entre mes lèvres pour le sucer, puis je passai au suivant. L’un après l’autre, comme des tétines, je les aspirai goulûment avant de passer plusieurs fois ma langue entre chacun d’eux. Elle soupirait pendant que j’enlevais les quelques saletés d’entre ses orteils avec ma langue.
Après s’être aussi fait lécher la plante des pieds, elle ramassa ses baskets et les remit, puis elle se leva.
Elle attrapa un morceau de tissu noir et me banda les yeux, je ne voyais absolument plus rien.
Elle me fit ensuite me décaler du canapé de quelques centimètres et me demanda d’attendre allongé sur le dos.
Soudain, j’entendis ses pieds se poser de chaque côté de ma tête, près de mes oreilles, puis je reconnus de suite l’odeur de ses fesses. Elle était juste au dessus de moi, sûrement accroupie.
— Ouvres la bouche.
J’écartai mes lèvres et attendis quelques secondes. Tout à coup je sentis une goutte sur ma joue, puis rapidement les gouttes arrivèrent dans ma bouche, c’était chaud. Wow, j’hallucinais, c’était pas de la salive, elle m’urinait dans la bouche, juste un léger filet doré fini par quelques gouttes. Je me laissai faire et avalai gentiment sans qu’elle ne me le demande.
Elle me retira le bandeau, je la découvris debout à mes côtés, toujours avec son attitude de fillette qui a fait une bêtise, j’adorais.
Tournant une mèche de cheveux entre ses doigts, elle me dit :
— Je sais pas si tu mérites de lécher mes fesses.
J’attendais la suite, toujours allongé sur le tapis. Songeuse, elle lâcha ensuite :
— Allez, remets toi assis devant le canapé.
Je m’exécutai et attendis, assis en tailleur sur le tapis.
Postée devant moi, elle me dit :
— Puisque l’odeur de mon cul te va bien, j’ai une idée. Gardes la bouche fermée.
Elle se tourna et baissa son leggins, puis son string, juste devant moi. Elle écarta ses fesses et commença à caresser son anus, le frottant du bout des doigts. Puis, avec ces même doigts, elle me frotta le nez et les lèvres, me badigeonnant de son odeur. Elle recommença à frotter sa rondelle odorante pour ensuite venir me tartiner consciencieusement les narines et la bouche. Ça marchait, même quand elle s’éloigna, je sentais toujours l’odeur de son cul.
Après avoir bu une autre gorgée dans son verre, elle revint devant moi, son leggins sur les chevilles. Manquant de tomber sous l’effet de l’alcool, elle se rattrapa et se plaça à nouveau dos à moi, à quelques centimètres à peine. Après avoir largement écarté ses fesses, elle me demanda de bien garder la bouche fermée puis vint se coller à moi. Sa rondelle se plaça avec la plus grande précision sur le bout de mon nez, ça m’excitait terriblement. Quand elle commença à appuyer contre mon visage, je résistai et permis à mon nez de tout juste pénétrer son trou. Uniquement lubrifié par la transpiration, elle poussait pour essayer de faire entrer mon nez dedans, mais juste le bout. Elle se retira et recommença l’opération plusieurs fois, je voyais quelques traces sur mon nez.
Elle se retira de moi mais resta juste devant mon visage, tenant toujours ses fesses écartées. Lentement, elle appuya le bout de son majeur gauche sur sa rondelle et le fit pénétrer doucement, le poussant phalange par phalange à l’intérieur. Tout aussi lentement, elle le retira, toujours en prenant soin que je vois bien ce qu’elle faisait. Sa rondelle se contracta dès qu’elle le ressortit, son doigt mouillé finissant sur mes lèvres. Se tournant pour me voir, elle me dit timidement :
— Ouvres la bouche.
Trop excité, je m’exécutai et pris son doigt dans la bouche avant de la refermer. Il était collé à ma langue, je le têtais comme ses orteils. Elle retira son majeur et le glissa à nouveau dans son cul, il entra plus facilement. Après l’avoir fait remuer un peu à l’intérieur, elle le retira pour laisser la place à son index qui s’y engouffra entièrement. L’un après l’autre, elle planta les cinq doigts de sa main droite dans son cul, puis l’approcha de mon visage :
— Têtes mes doigts s’il te plaît.
Demandé si gentiment, je ne pouvais refuser. Je têtai ses doigts un par un, les nettoyant consciencieusement en aspirant, elle souriait de satisfaction.
Sa main toute mouillée de salive, elle se dirigea vers la cuisine pour prendre un torchon et s’essuyer avec. Après un court instant, elle revint en souriant, comme si elle avait fait une bêtise. Dans sa main droite, elle tenait un marqueur noir. En restant face à moi, je compris qu’elle se le fourrait entre les fesses, puis le laissa comme ça. Après s’être tournée, je découvris le feutre planté dans son anus. Les fesses à nouveau écartées, elle le retira lentement puis me le fourra dans la bouche.
— Tu peux nettoyer mon feutre s’il te plaît ?
Pendant que je suçais le marqueur, elle attrapa deux verres sur la table, dont le sien, qu’elle posa au sol.
Toujours le feutre planté dans la bouche, je la vis s’accroupir face à moi et placer le verre vide sous elle. Après quelques secondes elle se releva après avoir reprit son verre de rhum, puis me tendit l’autre avant d’enlever le feutre de ma bouche. Elle avait pissé dedans, à peine deux ou trois centimètres de liquide doré.
— On va trinquer.
Elle tapa son verre sur le mien et le porta à ses lèvres, je l’imitai. Je sentais l’odeur de son urine dans le verre, je le posai sur ma lèvre inférieure. Dès qu’elle commença à boire son rhum, j’inclinai mon verre et libéra le liquide dans ma bouche. Pendant qu’elle souriait, j’avalai et lui tendis le verre vide.
Elle posa les deux verres vides sur la table et me dit, un air embrassé sur son visage souriant :
— Je suis désolé mais je dois aller aux toilettes. C’est à cause de mes doigts et du feutre, ça m’a donné envie. Bouges pas je reviens.
Sans réaction, je la regardai filer vers les toilettes, le pantalon aux chevilles. Toujours dans la pièce, elle retira son leggins et son string puis courut vers moi. Elle jeta le pantalon au sol et me dit :
— Tiens, tu peux me garder ça ? Ouvres la bouche.
Quand je l’ouvris, elle fourra immédiatement son string sale à l’intérieur puis repartit à toute allure, à présent dégagée de ses vêtements.
Le sting odorant dans la bouche, j’attendis qu’elle revienne, sagement assis devant le canapé.
Après un court instant, elle revint et s’assit nonchallement sur le canapé, je me tournai vers elle. Toujours avec son air embrasée, elle me dit :
— Pff, j’ai même pas pu m’essuyer, il n’y a plus de papier. C’est dommage j’avais envie de me faire lécher les fesses.
En guise de réponse, je sortis le bout de ma langue, elle sourit à pleine dents.
Elle releva immédiatement les jambes, ses tennis pointant vers le plafond, puis prit ses fesses dans ses mains et les écarta. Juste devant mon nez, je découvris sa rondelle un peu salie de son passage aux toilettes, j’avançai le visage. Ma langue se posa sur son trou et s’enfonça légèrement, puis ressortit avant d’en lécher consciencieusement les pllissures. Je l’entendais parler à voix basse "hmn, c’est super de se faire nettoyer comme ça, j’adore".
Après quelques minutes, sa raie était toute propre du passage de ma langue. Satisfaite, elle se leva du canapé et me dit :
— Déshabilles toi et branles toi.
Ma queue était prête à exploser, je ne savais pas si ça allait durer longtemps. Complètement nu, la queue dressée à l’extrême, je commençai à me toucher. Ça lui plut, je le vis dans son regard. Ma branlette dura quand même plusieurs minutes, j’avais ralenti quand je l’ai vu poser son pied quant sur mon visage. J’ai fait durer le plaisir, lui laissant le temps de se servir de moi en même temps. Elle prenait du plaisir pendant que je branlait ma grosse queue, s’asseyant sur mon visage, me frottant les pieds dessus, ou me recouvrant le visage de quelques autres gouttes d’urine.
D’un coup, alors que ma langue était entièrement dans son cul et qu’elle se branlait en même temps, je jouis juste après elle. De gros jets puissants et fumant sortirent de mon gland gonflé, recouvrant mon ventre et mon torse. Juste après avoir joui, je lâcha ma queue pendant qu’elle retirait lentement son anus de ma langue. Restant juste au dessus de mon visage, elle lâcha un petit pet puis me dit pardon. Mais elle recommença une deuxième fois et rigola. Après s’être levée, elle s’excusa à nouveau en souriant. Moi, j’étais vidé et comblé.