Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe hétéro

sur les parking d'autoroutes – Chapitre 2

sur les parking d'autoroutes - Chapitre 2



Cette histoire se passe en fin de journée au mois daout, je décide daller faire le tour des parkings des autoroutes autour de Lyon.

Comme il est encore un peu tôt, je mate un film de cul en fantasmant sur les routiers seuls dans leur camion qui nont dautres solutions pour calmer leur ardeurs que de se masturber ou alors comme certains de se soulager sur les parkings en compagnie dautres hommes qui comme moi sont en chasse.

Il est 23h, je prends ma voiture et commence ma chasse. Comme dhabitude, jai enlevé mon short et mon slip et je nai quune serviette sur les genoux pour masquer mon sexe, on ne sait jamais.

Ma technique est simple je me mets à hauteur de leur cabine et de là haut, ils ont une vue imprenable sur mon sexe que je masturbe doucement.

Je peux voir si le routier est en chasse aussi en regardant dans son rétro avent darriver à hauteur de la cabine.

Japerçois un superbe camion avec une cabine immense comme on en voit maintenant de plus en plus, je vois que le chauffeur regarde dans son rétro pour me voir arriver, jenlève ma serviette de mes genoux et dune main jentreprends de ma masturber.

Je maperçois trop tard quil sagit non pas dun routier homme mais dune femme, trop tard pour remettre ma serviette, elle aura eu tout le loisir de me voir nu.

Jaccélère pour finir de doubler, puis je vois quelle me fait des appels de phares, que jignore dans un premier temps, elle insiste, je mets un léger coup e frein pour juste allumer mes feux stop, re-appels de phares.

Jarrive à hauteur du parking que je convoitais, je me gare vers les toilettes en jattends.

Le camion ne tarde pas non plus et stoppe un peu plus loin, jattends la suite des évènements.

La femme descend de sa cabine puis se dirige vers les toilettes femmes non sans mavoir jeté un regard insistant ne laissant aucun doute sur ses intentions.

Je descends de ma voiture après avoir remis mon short et je me dirige vers les toilettes, elle a choisi la grande cabine et la porte nest pas complètement fermée, je laperçois, elle me fait signe de venir dun signe de la tête.

Jentre et je referme la porte.

Elle est grande, blonde, superbe, des jambes longues et fines, une belle poitrine.

Sans un mot elle sapproche de moi et membrasse goulûment, je lui rends son baiser, dune main, je lui caresse les seins qui sont très fermes.

Alors que de lautre, jentreprends de lui caresser lentrecuisse.

Elle me reprend la main et me la place sur sa taille, je ninsiste pas, on a le temps pas la peine de brusquer les choses.

Elle se baisse et commence à baisser mon short pour libérer ma queue devenue très raide et qui était à un peu à létroit.

Elle émet un sifflement dadmiration en le voyant, puis lengloutit en fond de sa gorge et commence une fellation magistrale. Elle suce comme une reine, me caressant les couilles dune main et je la vois se caresser de lautre main, lentrejambe.

Sa main glisse maintenant vers mon anus et je sens un doigt me pénétrer, mon sexe durci encore plus, elle ralentit un peu sa fellation pour ne pas me faire jouir tout de suite, je me détends un peu et décide décarter un peu les jambes, elles comprends de suite quelle peut aller un peu plus loin, je sens alors deux doigts puis trois me fouiller le cul.

Je suis tombé sur une vrai cochonne dominatrice, jai de la chance ce soir.

Elle retire ses doigts puis se relève et membrasse à pleine bouche, elle se colle à moi et cest alors que je sens une bosse sous son short qui ne devrait pas être là.

Alors que je la regarde étonné, elle me dit,

— tu navais pas deviné que je suis un trans.

Même sa voix ne la trahie pas ; elle est douce et sensuelle

— non ! je nai rien vu, faut dire que tu as des formes magnifiques, tu es très féminine

— merci cest un beau compliment que tu me fais, mais ça ne te gène pas au moins

— pas du tout, mais fais voir un peu la bête

Je me baisse et je fais tomber le short sur ses chevilles, un sexe énorme jailli, pas moins de 20 cm et 6 cm de large, le mien qui pourtant ne me fait pas honte est ridicule à coté.

— très joli ce monstre, pas très féminin ça

Elle sourit et se cambre, ce qui fait jaillir encore plus ce pieu de chair.

Je le prends dans ma main, jaime cette sensation de prendre en main un gros sexe, dabord ça permet de penser que je vais passer un bon moment à prendre du plaisir.

Je le mets dans ma bouche et je le suce.

Elle gémi.

— hum! tu suces bien aussi, me dit-elle, continue, branle moi bien je veux sentir ta bouche, serre tes lèvres

Je mexécute du mieux que je peux, je me relève tout en continuant ma fellation, elle me pénètre de ses doigts et me branle le cul de plus en plus fort.

Je me retourne et lui présente ma croupe, je nen peux plus, il faut quelle me prenne comme ça.

Elle présente son sexe à lentrée de mon cul et elle pousse dun coup et se retrouve au fond, son ventre collé contre mes fesses.

Je sens son membre démesuré au fond de moi, je bouge le bassin et elle commence un mouvement de va et vient qui marrache des cris de plaisirs.

Je sens ses grosses couilles tapées entre mes cuisses, je les prends dans une main et je les malaxe, elle a lair dapprécier la caresse.

Je vois dans la glace des toilettes ses seins qui bougent, ça me fais bander comme un fou.

De ma main restée libre, je me branle, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.

Elle le sens et accélère les mouvements, je joui comme un fou, mon cul se resserre ce qui la fait jouir elle aussi en même temps, je sens des giclées énormes me remplir le cul.

Elle se retire et je la prends en bouche pour la finir, elle menvoie deux giclées de sperme bien épais au fond de la gorge.

Je suis sous le choc et tout ruisselant de sueur, elle semble avoir tout donné aussi.

Je regarde une dernière fois ce sexe maintenant débandé mais dune grosseur encore respectable, puis après lavoir passé un peu sous leau du robinet, elle le rentre dans son short.

Je me rhabille aussi, jai le cul en feu, elle ma fais un bien fou.

— tu fais quoi là, tu reprends la route ?

— je vais coucher là, il faut que je fasse ma coupure, je ne peux pas redémarrer avant midi, on client mattends que demain vers 13h, alors, jai le temps.

— alors que mon regard sattarde sur la bosse de son short, elle me dit.

— tu peux rester avec moi cette nuit, si tu veux.

— je ne travail pas demain matin non plus, pourquoi pas.

Elle me fait monter dans sa cabine, cest très propre, tout est rangé pas de photos vulgaires accrochées partout et surtout, il y a une couchette où on peut sinstaller à deux.

— et bien dis-donc, cest grand là dedans on va être à laise.

Elle me fait un clin dil qui en dit long sur la nuit que lon va passer.

— je crois que lon na pas exploré toutes nos facettes, me dit-elle, moi aussi, jaime que lon me prenne le cul..

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire