Bénédicte, ma jolie compagne, s’est révélée sous ma conduite et ma protection, une véritable exhibitionniste, fière de son corps, particulièrement de ses seins, toujours dévoilés par de superbes décolletés.
Chaude, nature et sensuelle, j’en ai fais, pour notre plus grand plaisir, une femme très libérée et je suis toujours aussi étonné de l’enthousiasme avec lequel elle partage mes délires fantasmagoriques.
L’été dernier, au cours d’une surprise party bien arrosée chez de bons amis dont elle m’avait fait faire connaissance, et à l’occasion de laquelle elle étrennait une ravissante robe blanche, si près du corps et moulante qu’elle n’avait pu mettre dessous que des bas Dim-up blancs et un string microscopique, nous avons fait connaissance d’un garçon d’une trentaine d’années, Philippe, récemment quitté par sa compagne, que nos hôtes avaient invité pour essayer de chasser ses idées noires.
J’ai aussitôt senti son intérêt pour Béné. Il faut reconnaître qu’elle est plutôt jolie, souriante, liante, et ce soir là, sexy à croquer.
Au bout d’un moment, punch maison aidant, l’ambiance était très chaude, et après avoir pas mal dansé avec ma compagne, maintenant mobilisée par le célibataire qui semblait reprendre goût à la vie, j’avais sympathisé avec une jeune femme dont le mari avait l’air assez rabat joie et me lançait des regards peu amènes, ce dont je me moquais bien, trouvant sans doute que je dansais trop avec sa femme, laquelle riait et ne semblait pas du tout ennuyée de ma compagnie.
En un mot tout allait bien, je m’amusais de voir Béné se laisser serrer d’un peu près et trouvais ma cavalière délicieuse. Il est vrai que j’adore ce type de jeux, et nous étions tous un peu euphoriques.
Mais hélas, au bout d’un moment, après une brève discussion avec son mari, ma nouvelle amie m’a annoncé avec regret que celui ci voulait rentrer, et que même si elle le trouvait ’très chiant’, elle ne pouvait pas ne pas le suivre.
Je lui ai murmuré à l’oreille -’Dommage ! -’ en lui caressant discrètement les fesses. Elle a souri d’un air désolé et ils sont partis.
J’ai retrouvé Béné dans la pièce à coté, ondulant dans les bras de son cavalier, assez étroitement collée à lui, sur un slow très lent, dans une pénombre propice aux confidences et caresses. Elle était souriante et ne m’a même pas vu. Je n’ai pas voulu casser cette ambiance du fait de ma nouvelle solitude, et, un peu triste et dépité, suis sorti faire quelques pas dehors avant de me mettre en quête d’une nouvelle partenaire.
Cette dernière caresse non refusée par ma cavalière m’avait un peu échauffé les sangs, et en regardant par la fenêtre Bénédicte soudée à son nouvel ami, je me suis mis à rêver d’une soirée de débauche, d’autant que je voyais le garçon lui frôler souvent les fesses, lui parlant à l’oreille ; Elle avait l’air heureuse.
Il lui a même, durant quelques instants, empaumé un sein, sans qu’elle ne manifeste aucun rejet, et quand il a engagé sa jambe entre celles de ma compagne, il m’a semblé qu’elle écrasait carrément son pubis sur la cuisse de son cavalier. Elle se laissait draguer et allumer avec complaisance.
Je l’imaginais un peu ivre et sans doute très excitée, et je l’étais autant qu’elle.
Ils se sont arrêtés de danser, elle semblait me chercher et je suis allé à sa rencontre, pour l?entraîner dans mes bras sur un nouveau morceau.
— Tu es seul, mon chéri ? Ta petite amie de tout à l’heure t’a déjà quitté ?
— Rentrée avec son mari …
— Pauvre choux ! me dit elle en riant. Moi qui te croyais en bonne compagnie?
— Il m’a semblé que toi tu n’étais pas seule…Lui dis je avec un soupçon de reproche
— Tu n’étais pas là pour me faire danser, alors Philippe a essayé de me consoler … ! Me dit elle avec un sourire espiègle et l??il brillant. Et elle s’est collée contre moi, écrasant ses seins sur mon torse et son ventre sur ma cuisse. A chaque mouvement elle se frottait sur moi et je réagissais sans équivoque.
Philippe était au bar et nous observait discrètement En lui caressant les fesses ostensiblement, je lui murmurais :
— J’ai envie de te baiser !
— Je le sais et je le sens ! J’ai envie aussi !
— Je suis sur que tu es trempée !
— Devines ! Me répondit elle d’une voix rauque.
— Est-ce qu’il bandait autant que moi !
— D’après ce que j’ai senti, oui !
— Tu mouillais déjà en dansant avec lui !
— Oui, beaucoup ! Et ca t’excite hein mon beau salaud ?
— Il a essayé de te peloter ?
— Il y est même très bien arrivé… !
— Et j’imagine que ca t’a plus ?
— Beaucoup ! Et ca m’a vraiment fait mouiller !
Nous adorons tous les deux ce jeu cérébral et très excitant. Et je la sentais vraiment aussi chaude que moi.
— Tu aimerais coucher avec lui ?
— Pourquoi pas ! Il est mignon et drôle ! Mais je dirai plutôt baiser avec lui !
— Salope ! Tu veux que je te laisse le rejoindre ?
— Je voudrai surtout que tu reste là… me répondit elle dans un souffle
— Tu voudrais qu’on te baise tous les deux ?
— Idiot ! Tu sais bien que ce n’est qu’avec toi ! Et c’est bien ce que tu aimerais, non ?
— Oui ! Et je voudrai que tu retournes avec lui pour l’instant. Tu devrais pouvoir lui faire comprendre !
— Je crois avoir des arguments pour ça !
— Viens d’abord avec moi, j’ai envie de te sucer la chatte !
Je l’ai entraînée à l’étage. Nous avons découvert la salle de bain. Adossée au lavabo, robe troussée sur les hanches, elle m’a laissé retirer son string trempé. A genoux, j’ai découvert sa motte gonflée, l’entrée de son vagin dilatée et moite de foutre, son clito tendu.
Je lui ai léché la fente comme elle aime, pendant qu’elle se caressait les seins à travers sa robe. Je voulais la rendre folle et la jeter dans les bras de son admirateur, alors je me suis arrêté, et elle m’a demandé :
— Prends-moi maintenant !
— Non ! Plus tard petite salope ! Viens !
Elle m’a suivi sans réclamer son slip que j’avais glissé dans ma poche. Je l’ai entraînée sur la piste et elle s’est collée à moi comme une ventouse sous l??il envieux de Philippe qui n’avait pas bougé et ne nous lâchait pas des yeux.
— Je crois que ton soupirant aimerai danser avec toi !
— Salaud ! Tant pis pour toi, tu l’auras voulu !
— Je suis sur qu’il aimerai te bouffer la chatte comme je viens de le faire. Et en plus il va découvrir que tu es toute nue sous ta robe, prête à te faire baiser comme une petite pute.
— Si tu ne me baises pas maintenant, je risque de monter directement avec lui pour me faire enfiler !
— Si tu préfère être seule avec lui, ce soir tu as carte blanche !
— Idiot ! Ne t’éloigne pas trop !
Je l’ai laissée là et suis sorti fumer une cigarette. Rétrospectivement, et malgré l’air détaché avec lequel je lui avais donné ma bénédiction, j’aurais été affreusement humilié et malheureux qu’elle envisage de ne pas me faire participer à ses ébats.
Instinctivement, je la sentais sensible au charme du garçon, et je devais bien reconnaître qu’il n’en était pas dépourvu. Alors je restais vigilant.
Par la fenêtre, je les ai vus à nouveau enlacés, dansant lentement. Plus ils se parlaient, plus elle se collait à lui. Il lui a posé une main sur les fesses. Puis soudain il l’a entraînée par la main et ils sont sortis.
Le c?ur battant, je me suis dissimulé. Il l’emmenait vers la grange près de laquelle étaient stationnées les voitures. Elle lui donnait la main, le suivant docilement, sans s’inquiéter à priori de ma présence, mais s’assurant -soulagement- au dernier moment que j’étais en vue, et ils ont disparus au coin du bâtiment.
Je suis passé de l’autre coté pour les retrouver, les tempes bourdonnantes, aussi excité qu’un peu inquiet.
Dans la pénombre, sa robe blanche était extraordinairement visible.
Enlacés, elle contre le mur, ils s’embrassaient à pleine bouche, et il lui pétrissait les seins. S’écartant un peu d’elle, je l’ai vu remonter sa robe sur ses hanches, révélant ses bas blancs.
Elle se laissait trousser sans résistance. Il a glissé la main entre ses cuisses elle et je l’ai entendu dire d’une voix rauque :
J’étais sur que tu étais toute nue sous ta robe ! J’aime ça !
Elle a fléchi les jambes en soupirant, les mains nouées autour de la nuque de son amant. Il devait la branler profondément, car elle a levé une jambe en s’arqueboutant. Elle s’est mise a feuler comme une salope et je l’ai sentie jouir. Pour la calmer il l’a prise dans ses bras, et lui a dit
— J’ai envie de te faire l’amour !
— Je ne veux pas faire l’amour sans Pierre ! L’ai-je entendu répondre d’une voix mouillée.
— Tu veux dire tous les trois ?
— Je ne l’ai jamais trompé !
— Et il serait d’accord pour que je reste avec vous ?
— Oui ! Il sait que je suis avec toi ! Ca ne te choque pas trop ?
Stupeur et incrédulité du garçon se sont manifestés par quelques instants de silence.
Euh?Non ! Et je ne regrette pas de t’avoir rencontré ! Si vous voulez, je vous emmène chez moi !
Je leur ai laissé le temps de rentrer et ai contourné la maison. Lorsqu’elle m’a rejoint, les yeux brillants, elle s’est jetée dans mes bras en murmurant :
— Alors, voyeur, ca t’a plus ?
— Tu savais que j’étais là ?
— je te sentais !
— Tu as bien jouis,
— Oui mon salaud ! Mais maintenant j’ai envie d’autre chose ! Philippe voudrai nous emmener chez lui !
J’étais un peu ahuri, car c?était vraiment la première fois qu’elle prenait l’initiative de ce genre de jeux. L’élève commençait- il à dépasser le maître ? Mais j’en étais plutôt content, moi qui rêvais d’en faire une parfaite petite salope !
Nous avons rejoint Philippe. Il avait l’air un peu embarrassé, mais je l’ai mis à l’aise :
Nous avons parfois des jeux curieux, mais jamais l’un sans l’autre, et puis la vie est courte, non ?
Tandis que nous le suivions en voiture, je n’ai cessé de la peloter. Elle avait les pieds posés sur le tableau de bord, totalement ouverte et impudique.
Lorsque nous sommes arrêtés, elle est descendue de voiture sans même rabattre sa jupe, et sitôt entrés, debout, au milieu du salon, sans même laisser à notre hôte le temps d’ouvrir la bouche, j’ai fais glisser sa robe le long de ses épaules ; Philippe s’est aussitôt approché derrière elle, lui pétrissant les seins à pleines mains.
Elle n’avait plus que ses bas, se laissant peloter par son amant, me regardant avec un air de lubricité totale.
Il nous a entraînés vers sa chambre, la tenant par la main, l’a allongée sur son lit, et nous nous sommes déshabillés en la regardant, offerte, les cuisses légèrement ouvertes, la fente baillante et brillante de foutre, les tétons tendus.
Tout cela était allé tellement vite que j’aurais été incapable de décrire la maison, de dire ou nous étions? Seule ma petite pute allongée nue, dans cette pièce inconnue, comptait pour moi. La présence de ce garçon avec lequel je n’avais pas échangé trois mots me semblait irréelle, et pourtant physiquement très excitante.
Je réalisais à travers les brumes qui obscurcissaient mon cerveau que c’était elle, et elle seule, qui était l’instigatrice de cet instant. Rarement elle avait manifesté tant d’autorité, elle si soumise dans son partage de mes délires.
Nous avons passé une nuit de débauche, la suçant et la prenant dans toutes les positions. Même au plus fort de nos délires érotiques, je ne l’avais pas souvent connue aussi insatiable.
Elle qui n’aime pas être enculée sans un minimum de préparation avec un corps gras, nous a demandé deux fois de la prendre en sandwich, d’abord à moi, avec seulement la queue enduite de son foutre, alors qu’elle était allongée sur son amant.
La seconde fois, alors qu’elle était empalée sur mon pieu, elle a demandé à Philippe de la sodomiser sans lui faire aucune recommandation…
La nuit fut chaude, très chaude, et par moments très tendre, d’une tendresse dont bénéficia Philippe et dont je n’aurai pas même pas imaginé faire le reproche à Bénédicte.
Nous n’avons pas revu notre complice d’un soir, mais qui sait si un jour…
Pierre et Bénédicte