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Tabatha… L'esclavagiste – Chapitre 9

Tabatha... L'esclavagiste - Chapitre 9



— Le mensonge de Launis —

Le Tregont avait quitté le poste avancé et chevauchait depuis l’aube. Le temps avait tourné au beau et s’il faisait frais, il ne pleuvait plus et le soleil brillait. Une assez belle journée qui remontait un peu le moral de Conan.

Thibault, debout sur ses étriers, tendit le bras et désigna du doigt la vallée encaissée en contre-bas.

— Le dernier village avant le col ! Nous y serons sous peu et nous y dormirons cette nuit. Nous y avons séjourné deux jours en revenant de la frontière. Il y a une auberge et le patron est un homme plaisant. S’il n’a pas de quoi nous nourrir tous, il acceptera de nous cuire le gibier que mes hommes ont tué en chemin. Dans la vallée, lièvres et perdrix nous permettront de faire l’appoint de nourriture avant d’arriver à l’auberge pour que nous puissions tous manger ce soir.

— Dommage que j’ai manqué le cerf qui nous est passé sous le nez ce matin

— Toi au moins tu as pu le tirer Cette bête nous a tous surpris !

Thibault fit faire volte-face à son alezan et le talonna pour reprendre la route.

 

— En partant à l’aube, nous serons au col demain dans la soirée.

Conan lança son cheval et les cavaliers continuèrent vers la vallée.

Thibault avait donné ses ordres aux soldats du fortin et ils avaient déjà du entamer les patrouilles vers le Nord de la région. Tout avait été fait au mieux et le guerrier espérait que Porcia leur sourirait.

Il ne pouvait faire plus pour retrouver les esclavagistes.

Thibault s’inquiétait surtout du nombre de combattants qu’ils devraient affronter si le convoi était retrouvé mais Conan avait confiance. Les hommes d’armes qui protégeaient le convoi ne pouvaient pas être très nombreux. Dans le pire des cas, le guerrier avait estimé leur nombre a une centaine d’hommes mais ils ne seraient certainement pas tant. Thibault était moins enclin à la confiance sans toutefois avoir vraiment peur. Sans effet de surprise et dans un combat direct, une centaine de combattants même bien armés ne seraient pas un problème pour le Tregont. Mais il perdrait des guerriers. C’était une évidence qui lui minait le moral. Conan le savait parfaitement mais estimait que c’était le prix à payer pour la libération des femmes.

— Conan Ces femmes et ces fillettes Tu penses vraiment qu’elles sont si nombreuses à avoir été enlevées ?

— Oui Thibault je le crois. Fullah et deux autres villages voisins ont perdus vingt et une femmes et treize enfants. J’en ai reçu la preuve par des habitants survivants. Il y a eu une douzaine de villages attaqués par ces ordures et cela aussi est prouvé. Je crois qu’ils ne les auraient pas approchés sans avoir pris quelques renseignements avant de se lancer. Je ne suis certain de rien mais plus d’une centaine de captives me parait être Même une seule de nos femmes mérite notre attention Thibault ! Et je ne parle pas de Tabatha

Cette fois la chance les avait servi et un guerrier avait abattu un cerf d’une flèche tandis qu’un autre avait tué un couple de cygnes. Les autres pièces de gibier de la matinée et leur chasse de l’après-midi leur suffirait amplement.

L’aubergiste cuisinerait pour ceux qui dormiraient chez lui. Quant aux autres, ils se débrouilleraient seuls. L’auberge ne pourrait fournir des chambrées à tout le monde et Conan et Thibault entrèrent seuls dans le village, laissant le Tregont bivouaquer aux abords du village. D’ordinaire un chef de Tregont ne quittait pas ses hommes et dormait et mangeait avec eux mais cette mission était différente. Il leur fallait des renseignements et les informations se payaient toujours d’une manière ou d’une autre. Et surtout, ils devaient inspirer confiance à ces gens.

L’auberge n’avait rien à voir avec celle de Léna mais l’ambiance qui y régnait démontrait que l’endroit était apprécié par les clients. Le patron avait reconnu Thibault et semblait content de le revoir chez lui. Les guerriers étaient bienvenus partout et leur présence rassurait même en temps de paix. Personne ne troublerait la paix du village sachant qu’un Tregont était sur place.

Deux chambrées et deux repas étaient déjà réservés mais l’aubergiste avoua qu’il ne pourrait loger ou nourrir trente autres guerriers. Thibault après avoir étanché sa soif d’une bière noire, retournerait prévenir ses hommes et leur apporterait un fût de cette même bière. Il n’aimait pas être privilégié et se ferait pardonner de cette manière. Il savait que ses guerriers n’abuseraient en rien de ce cadeau.

Conan lui, irait à la pêche aux renseignements

Lugos se sentait d’humeur maussade et se décida à inspecter le campement.

Il ne devait plus se relâcher et veiller à ce que tous fassent de même.

Les étoiles scintillaient et l’air frais de la nuit le fit frissonner. L’obscurité était totale et aucun feu de camp ne trouait les ténèbres. Lugos redoublait de prudence et ce même si la région était peu peuplée. Deux éclaireurs lui avait rapporté avoir aperçu une patrouille d’hommes d’armes. L’esclavagiste avait connaissance d’un poste avancé et cette patrouille devait être en garnison dans ce fortin. L’un de ses espions camouflé en paysan avait parlé de rumeurs concernant une petite troupe de guerriers d’Octroi

Ce n’était que des bruits soutirés à un couple de fermiers mais c’était beaucoup plus inquiétant. Ces guerriers étaient redoutables et capables de tenir tête à ses gardes.

Très bientôt, ils seraient en vue du col d’Elnes et de la sécurité de Freudia.

La nuit prochaine serait passée dans l’auberge du dernier bourg avant le col.

Lugos devait rejoindre un acheteur très riche qui lui avait parlé de l’achat de vingt esclaves. Farla et Tully l’accompagneraient.

Elles s’étaient bien comportées et il les récompenserait en leur offrant une soirée et une nuit sous un toit.

Il rit tout seul en pensant qu’il les amenait surtout pour les baiser. Ces deux esclaves le satisfaisaient pleinement et il ne pouvait plus passer une nuit seul. Lugos avait toujours eu de gros besoins de femelles et ces deux femmes l’excitaient beaucoup.

Mais ce n’était rien en comparaison de cette Tabatha.

Cette jeune femme l’obsédait littéralement.

Farla était plus jolie que Tabatha. Son corps était plus délicat et plus gracieux. L’esclave aux cheveux blonds et aux grands yeux noirs lui obéissait en tout en y prenant un réel plaisir et il adorait la prendre. Et surtout elle aimait partager les plaisirs avec d’autres femmes. Comme sa Tully

Tully avait longtemps été sa préférée. Sa peau noire l’excitait toujours autant et il adorait la voir se tordre de plaisir mêlé de douleur quand il flagellait ses gros seins et son cul rebondi. Il lui était arrivé de punir sa négresse et d’être surpris de la voir jouir sous son fouet. Regarder les fesses callipyges de sa négresse allant d’elles-mêmes à la rencontre des lanières de cuir l’avait rendu fou d’excitation.

Il ne s’agissait pas d’un véritable fouet servant aux véritables punitions mais tout de même. Une esclave qui aimait être punie était aussi surprenante qu’excitante.

Lugos avait connu des femmes bien plus belles que cette octroisienne, mais cette Tabatha le rendait bien plus qu’impatient.

Il ne la baiserait peut-être pas pour le moment mais elle serait à lui d’autres manières.

Il bandait immédiatement en sa présence et sans avoir besoin de la toucher et c’était suffisant pour qu’il soit obnubilé par le besoin de la posséder.

Il n’était même pas sûr que sa bouche se soit posé sur sa queue quand il lui avait ordonné de le sucer. La voir se baisser pour rejoindre les deux autres qui le suçaient déjà l’avait fait jouir aussitôt. Il se revit lui doigtant son joli cul si ferme en pleine arène et les yeux furibonds de l’octrosienne quand elle avait sucé son doigt.

Il rit à nouveau en pensant que la mentalité sauvage de cette femelle la rendait bien plus désirable que son physique pourtant plus qu’agréable à contempler.

Il se connaissait assez pour comprendre qu’il avait surtout envie de soumettre cette pouliche à sa volonté. Le caractère de sa princesse l’excitait plus encore que son corps.

Oh oui il la briserait ! 

Et il adorerait le faire.

Et si elle y prenait du plaisir alors cette esclave vaudrait son pesant d’or.

Soit cette fille lui plairait de plus en plus, soit il se lasserait d’elle très vite mais pour l’instant il la désirait plus que toutes les autres femmes qu’il avait eu.

Et il en avait eu des quantités.

Penser à Tabatha le mit dans de meilleures dispositions et lui donna envie d’aller voir comment elle se rétablissait. Il chercha le chariot de son guérisseur des yeux. La malade avait été installée là avec sa guérisseuse.

Songer à cette Launis le fit bander. Il allait la prendre devant sa princesse. Il aimait cette idée et porta la main à son entre jambes. Il était dur et cela le fit sourire.

Les chariots bâchés n’étaient pas si nombreux mais la couleur verte pâle de celui où était la malade ne se devinait pas dans l’obscurité totale.

Il lui faudrait chercher

Tabatha en avait assez d’être couchée mais il lui était impossible de quitter l’abri du chariot. Ses amies lui avaient expliqué tout ce qui s’était passé et les suites de son empoisonnement. Sans soins elle serait peut-être morte mais rien n’était certain. Heureusement, Launis avait été efficace et elle serait très vite tout à fait rétablie.

Tabatha était encore un peu affaiblie mais ce n’était pas en restant cloîtrée et allongée qu’elle irait mieux. Bien au contraire.

Les autres ne cessaient de le lui répéter et si elle comprenait sa situation, l’inactivité l’exaspérait. Farla surtout insistait en répétant que si Lugos la savait sur pieds il exigerait de la violer. Le guérisseur du convoi passait rarement mais elle devait être prudente. Personne ne devait savoir qu’elle était guérie.

Launis lui préparait une tisane au goût amer et Tabatha devrait la boire sans se plaindre, sa guérisseuse étant intransigeante quand elle soignait.

— Je suis désolée Launis Ce qui t’es arrivé est de ma faute et je te demande ton pardon.

Launis regarda sa compagne avec une moue traduisant son incompréhension.

— Si je n’avais pas été empoisonnée, ce porc de Lugos ne t’aurait pas violée

La guérisseuse sourit et sa main caressa les cheveux de jais de Tabatha.

— Je ne saurai dire combien de fois j’ai été violée depuis notre capture. Tu sais Ce que je vais dire est terrible mais la nuit dernière a été un plaisir en comparaison de toutes les autres. Je ne dis pas que je souhaitais ce qui est arrivé mais Lugos a été le moins abject de mes tourmenteurs. Et puis je n’étais pas seule et Farla m’a Elle m’a aidé à supporter. Enfin ce que je veux dire, c’est que cette nuit n’a pas été si terrible. Rien n’est de ta faute Tabatha. Tu n’as pas à t’excuser je t’assure

— Oui je comprends Farla m’a aidé moi aussi. Tully également

Thibault avait offert le cerf à l’aubergiste à la condition qu’il le cuisine. L’homme avait accepté et en ferait profiter tous les clients de l’hôtel. Le repas serait offert gracieusement mais pas les vins ni les bières. Thibault et Conan refusèrent nombres de consommations que les clients ravis tenaient à leur offrir.

L’aubergiste était certes gentil mais il était également avisé. Un bon repas poussait à boire. Et à boire qualité. Il se rembourserait le repas sur les boissons.

Pratiquement tous les clients étaient passés remercier les guerriers de leur générosité. Tous ou presque s’étaient laissé aller à boire et Conan et son compagnon étaient las de serrer des mains ou de répondre aux questions des clients.

Pourtant, ils devaient en passer par là et chacune des personnes les interpellant avait droit à la même question.

Avez-t-il eu vent ou vu un convoi ou une caravane qui voyageait dans la région ?

La serveuse se prénommait Vanesse et elle était passée des sourires et des regards aguicheurs à des tentatives beaucoup plus directes.

Elle venait d’offrir son décolleté plus que généreux à Conan en déposant une coupe de vin sur la table. Thibault en avait les yeux qui lui sortaient des orbites et il faillit s’étrangler en buvant son vin quand la serveuse colla sa bouche dans le cou de son compagnon de voyage.

A peine s’était-elle éloignée que le guerrier reposa sa coupe en riant.

— Je balancerais mes deux épées dans le premier cours d’eau venu pour avoir vingt ans de moins et une queue plus raide quand il le faudrait ! Cette fille est aussi belle que délurée et c’est toi qu’elle tient à coller entre ses cuisses. Quelle triste vie que la mienne !

Conan leva sa coupe et sourit en répondant.

— Tu aurais vingt ans de moins que je serai toujours plus beau et mieux pourvu par la nature que toi mon frère. Garde tes épées elles servent mieux le royaume que tes attributs !

Le guerrier bu une longue gorgée du rouge de Boissy, l’un des meilleurs vins du royaume offert sans modération par l’aubergiste aux deux hommes. Il ne souriait plus et parla en baissant le ton.

— Elle m’a dit en terminer à minuit et qu’elle attendrait dans notre chambrée. Mais surtout Elle m’a dit d’aller poser mes questions aux deux voyageurs discrets qui se tiennent dans le fond de la salle.

— Commence par lui dire que nous partageons cette chambrée et que je ne tiens pas à l’entendre crier sous tes assauts ! Va voir ces gens mon frère Je ne te quitte pas des yeux.

— Je préfère attendre un moment Qu’ils ne se doutent pas que ce soit cette fille qui les a désignés. Au cas où ils l’ai vu me parler à l’oreille.

— Et t’embrasser dans le cou.

 

Conan approuva du chef en répétant la dernière phrase de Thibault.

— Pour ta gouverne, sache que notre Vanesse sait parfaitement que nous partageons cette chambrée.

— Soit ! J’irai dormir avec le Tregont Vie ingrate !

— Elle a dit qu’elle attendrait, pas qu’elle m’attendait moi. Et qu’elle aimerait beaucoup regarder nos quatre épées de plus près Mais tu peux aller dormir avec

— Tu penses que deux épées de plus à inspecter lui ferait peur ?

Conan s’essuya la bouche d’un revers de main et bascula ses jambes de l’autre côté du banc d’un mouvement souple.

— Je pense que nous verrons bien Cette fille a l’air de savoir ce qu’elle veut.

Le guerrier n’avait pas fait deux enjambées vers les hommes qu’il allait interroger qu’il se retourna vers Thibault.

— Sois sans crainte mon frère Je serai raide pour deux ! La réputation de notre

— Vornia est une garce qui favorise les prétentieux et la vantardise !

Lugos maugréait en se faufilant entre les chariots, cherchant celui de son guérisseur. La torche ne l’aidait guère à discerner le vert pâle du blanc ou du grisâtre des bâches.

Un garde de faction affalé contre le tronc noueux d’un chêne fit les frais de sa mauvaise humeur. Heureusement pour l’homme il put répondre à la question et désigna le but de la quête de son employeur d’un doigt.

— C’est celui-ci ! Le guérisseur aime être un peu à l’écart des autres.

— J’espère que tu ne te trompes pas ! Pourquoi aime-t-il rester à l’écart ? Le sais-tu ?

Le garde avala sa salive avant de répondre. Il le savait mais devait mettre des formes en répondant.

— Il aime être tranquille les nuits avec les esclaves qu’il choisit

Le regard de Lugos se durcit mais il s’abstint de persécuter son garde.

Il repartit sans un mot de plus vers le bouquet d’arbres qui abritait l’abri qu’il cherchait. Par contre il aurait une discussion avec Tarkis. Quoique le rusé guérisseur lui servirait certainement l’excuse qu’il tenait à ce que son chariot, qu’il avait cédé provisoirement à la princesse, soit placé dans un endroit calme, pour faciliter sa guérison par un repos bienfaiteur.

Devant les marches de bois servant d’accès au grand chariot bâché, l’esclavagiste hésita et tendit l’oreille. On bougeait à l’intérieur. Une faible lueur traversait la grosse toile. Launis ou Tarkis soignant sa princesse ?

La torche d’une main, l’autre écartant la toile servant de porte, Lugos resta un moment sous le coup de la surprise. Il faillit se ruer en hurlant à l’intérieur mais cette fois l’excitation jugula l’accès de colère habituel chez lui quand il se sentait trahi.

Face à lui, la croupe nue de Launis oscillait tandis qu’elle s’affairait de la bouche sur sa princesse. Tabatha gisait sur le dos, écartelée par les mains de la guérisseuse lui ouvrant largement les cuisses. Ses esclaves soufflaient et gémissaient doucement. 

Leurs manifestations de plaisir et les bruits de succion étouffés par la bâche étaient maintenant bien distincts. La guérisseuse dévorait littéralement le sexe de son esclave préférée et sa bouche émettait des bruits très excitants. La colère était bien présente mais Lugos sentait son membre tendre ses braies. Le cul de Launis était plus que tentant. Il entra d’un mouvement dans le chariot, attentif à ne pas se faire remarquer. A deux pas de lui, sa princesse pinçait doucement les pointes de ses seins, ses hanches ondulant sous les caresses de sa compagne.

Ces deux petites salopes l’avaient trahi. La malade et sa guérisseuse allaient le payer cher. Mais d’abord il allait se venger d’une manière plus agréable.

— Petites trainées !

Launis s’était retournée avec un petit cri de frayeur et dans le même temps, les yeux de Tabatha s’ouvrirent pour se fixer sur lui. Lugos y lut de la peur et il en éprouva un plaisir sadique.

— Continue à lécher ma princesse guérisseuse !

Comme Launis restait tétanisée, l’esclavagiste haussa le ton. Sa voix tremblait de colère et d’excitation mais ses yeux luisaient de méchanceté.

— Obéis guérisseuse ou j’appelle mes gardes et tu hurleras toute la nuit ! VITE !

Tout en parlant, Lugos avait délassé la ceinture de ses braies et il exhibait un sexe dur et tendu.

A peine agenouillé, il frappa et sa lourde main s’écrasa sur la fesse droite de Launis qui lâcha un cri.

— Lèche-là salope ! Et toi princesse Continue à jouer avec tes seins ! Ton tour viendra ensuite !

Launis, sans un mot, avança son visage vers les cuisses refermées de Tabatha. Tabatha, écarta ses jambes pour que son amie puisse obéir sans subir d’autres sévices. Puis les yeux émeraude fixés dans ceux de l’esclavagiste, elle reprit ses attouchements sur ses tétons.

Lugos pénétra la guérisseuse d’une poussée et sans attendre commença à la besogner durement.

— Décidemment toutes mes esclaves sont des lécheuses de chattes. Ce n’est pas pour me déplaire mais vous deux Je vous ferez payer votre mensonge. Sans oublier Farla qui doit être dans le coup !

Le ventre de Lugos claquait contre les fesses qu’il ouvrait à pleine mains pour regarder ce qu’il faisait. Il prit un moment pour baiser Launis qui gémissait sous chaque coup de reins. L’esclavagiste cessa bientôt ses mouvements et se retira du corps de son esclave.

— Tu es bien mouillée guérisseuse ! Je crois que ça te plait ! Ou alors c’est la chatte de ma princesse qui te fait mouiller

Lugos prit sa queue à pleine main et la caressa un instant. Il fixait Tabatha de ses yeux mauvais et il ne la quitta pas du regard en s’avançant vers les fesses de Launis.

— Vous m’excitez mes petites salopes Je vais prendre ce joli cul et ensuite ce sera le tien que je défoncerai princesse.

Launis cria quand l’homme la pénétra et ne cessa plus de gémir tant que Lugos la posséda. Il prenait son temps, se retirant entièrement, regardant le résultat de son uvre avant de replonger entre les fesses écartées par ses gros doigts. La guérisseuse geignait sans que Tabatha puisse déterminer si c’était dû au plaisir ou à la douleur. Cette fois, la peur l’empêchait de penser et elle n’arrivait pas à se raisonner.

Cet être immonde allait la violer et certainement se servir de Launis comme d’un bouclier.

Elle regardait les mains de Lugos maltraiter les seins de son amie, les malaxant rudement tandis que ses gros doigts étiraient les petits bourgeons pour faire crier Launis.

— Jouis esclave ! Fais vite que je puisse coller ma queue dans la bouche de ma princesse !

Launis laissa échapper un autre cri sous une poussée plus brutale et dit qu’elle jouissait. Un second cri Un autre «  Je jouis maître »

Simulacre ou vérité, Lugos ne sembla pas s’en soucier et il abandonna Launis non sans la fesser à nouveau.

— Depuis le temps que j’attends çà Tu vas me sucer la queue princesse !

Tabatha, cuisses restées ouvertes était incapable de bouger et Lugos à genoux demandait à Launis de s’écarter pour lui céder la place.

— Tu vas me sucer princesse Puis vous me sucerez toutes les deux ! Et enfin Je t’enculerai comme je viens d’enculer ta compagne.

L’éclat d’une lame sous la flamme d’une lampe à huile

— Demain je vous ferai payer vos mensonges d’une manière moins agréable pour vous Mais pour l’instant Je veux ta bouche princesse ! Et je prendrai ton cul ensuite Ou je te baiserai ! Vierge ou pas

La main qui ne tenait pas la dague crocha dans le poignet de Tabatha et tira brusquement.

— Obéis ou j’égorge ta chère guérisseuse. Ou toi pourquoi pas

L’octroisienne tenait un sexe d’homme pour la première fois et ne savait trop que faire. La peur s’était muée en panique et si Tabatha se savait obligée d’obéir, elle ne savait réellement que faire. Elle bougea sa main de bas en haut comme elle avait vu Farla et Tully le faire.

La gorge nouée, Tabatha crut qu’elle n’arriverait pas à parler. Elle s’y reprit à deux fois pour déglutir.

— Je Je suis vierge et Je ne sais pas comment faire

Lugos eut un rire mauvais et la gifle en plein visage surprit Tabatha qui laissa filer un cri de douleur. Sa tête bourdonnait et des larmes mouillaient ses yeux.

— Mais mentir tu sais esclave ! Reprends ma queue ! Branle-moi et suce-la !

Elle fit ce que Lugos demandait. Sa main enserrant le membre dur et gonflé, elle entama un mouvement pour le faire coulisser entre ses doigts. Un grognement traduisant le plaisir qu’il éprouvait répondit à sa caresse et la jeune femme accéléra ses va et vient.

Etrangement, sa peur s’estompait depuis qu’elle avait reçu la gifle et Tabatha tenta de réfléchir.

Des discussions de femmes revenaient à sa mémoire. Des boutades, des récits, des conseils aux jeunes filles, qui tous disaient que l’on pouvait tout avoir d’un homme en le rendant heureux au lit. Toutes ces histoires qu’elle avait entendues de ci de là depuis toutes ces années, détaillaient la faiblesse des mâles. Leur point faible

— Caresse-moi les couilles esclave

La voix de Lugos était trainante et comme voilée. Tout en le satisfaisant de la main gauche, elle enveloppa les bourses poilues de son autre main. Sentir les poils la rebuta un peu mais elle pressa doucement ce qu’elle tenait tout en continuant à caresser le sexe dur comme un pieu de bois.

Launis, assise avait les yeux baissés. La main armée et menaçante de Lugos était posée sur la cuisse de la guérisseuse. Il suffisait d’un geste pour qu’il tienne sa promesse de mort.

Tabatha osa relever les yeux vers leur tortionnaire. Il regardait ses mains le caressant et lui aussi semblait tétanisé. Peut-être que Farla et Tully avaient raison

Peut-être que Lugos était fou de désir pour elle

— Je veux J’aimerai vos mains sur mes seins Maître

Lugos sembla sortir de sa rêverie éveillé et une lueur de curiosité brilla dans ses yeux cruels.

— Ça m’aiderait à Pour avoir plus envie de vous satisfaire Je dois avoir plus envie

Elle exprimait ce qu’elle aurait ressenti avec Conan. Avec ses mots à elle

Elle n’aurait jamais envie de ce porc mais elle devait faire semblant. Essayer au moins.

Elle fut surprise de la douceur des doigts sur son sein gauche. Lugos lui caressait le galbe d’un sein sans lui faire mal. Il n’était pas brusque comme avec Farla ou Tully.

Elle frémit quand elle comprit qu’il allait s’occuper de la pointe de son sein.

Nouvelle surprise qu’il ne le torde pas comme il l’avait fait avec celles de Launis.

— Tu commences à apprécier ou tu simules Peu importe ! Je vais te laisser le temps de devenir une bonne esclave jouisseuse. Pour l’instant seul mon plaisir compte ! Suce-moi maintenant

Une boule dans la gorge, Tabatha baissa les yeux pour éviter que Lugos puisse y lire ses pensées. L’idée d’avoir un sexe d’homme dans la bouche ne lui procurait aucune idée de plaisir. Elle savait que les femmes le faisaient et depuis peu l’avait vu faire. 

Elle ne se serait pas fait prier pour satisfaire une telle demande avec Conan, pourtant elle était certaine qu’elle-même n’en retirerait aucun plaisir.

Mais le sexe de Lugos dans sa bouche était impensable. Tabatha en avait la nausée. Elle ne le ferait pas.

La main de Lugos quitta sa poitrine et ses doigts tirèrent doucement sur une pleine poignée des cheveux de jais.

L’esclavagiste, attirant lentement le visage de la jeune femme vers son sexe tendu l’encourageait en lui disant qu’elle aimerait çà. Que son châtiment pourrait être oublié si elle le satisfaisait.

— Oui c’est bien Continue à bien me branler et Donne ta bouche ma jolie

Tabatha en pleine panique restait incapable du moindre geste de défense.

Caressant le sexe et les testicules de l’homme sans même s’en rendre compte, l’esprit traversé par des images de dagues, de Launis morte, d’elle suçant Lugos, l’empêchaient de réagir. Un rapide coup d’il lui apprit que l’homme la fixait d’un air hébété.

Il paraissait subjugué par ce qu’il voyait.

Baissant les yeux, elle vit le pieu de chair à portée de sa bouche et Tabatha frissonna. Peur, dégout, elle ne put se contenir et recula la tête pour en terminer.

Tabatha sentit les larmes couler sur ses joues.

La main de Lugos dans ses cheveux s’était faite dure et l’avait empêchée de se dérober.

Lui s’était avancé et son sexe se dressait face au visage de l’octroisienne. 

Presque à toucher sa bouche. Le gland était mouillé et un filet liquide pendait du membre turgescent.

— Suce ton maître princesse

Suce-moi !

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