Marie avait chaud, trop chaud pour s’endormir en cette nuit du mois d’août.
Comme chaque année, elle venait passer une semaine chez son frère dans les Landes. Une belle et grande maison ancienne, avec une grande piscine, ce qui s’avérait indispensable par de telles chaleurs.
Cette année, elle était venue seule, sans ses deux enfants.
Divorcée depuis quelques années déjà, elle arborait une quarantaine rayonnante. Elle savait mettre en valeur et profiter des charmes dont la nature l’avait doté, à savoir une silhouette fine, des seins encore fièrement dressés, aux tétons souvent durs et pointant à travers les hauts qu’elle portait sans soutien-gorge, consciente de l’effet érotique qu’elle provoquait ainsi.
Mais ce qui attirait immédiatement l’attention lorsqu’on la rencontrait, c’était son visage: brune au cheveux mi-longs, un ovale parfait, des yeux bruns en amande surmontant de petites pommettes lui donnant un air légèrement slave, et surtout une bouche magnifique: grande, aux lèvres charnues et pleines, un sourire irrésistible. Son petit nez droit, légèrement retroussé achevait de lui donner un air mutin que beaucoup qualifieraient de salope.
Une salope BCBG.
Issue d’une famille de la vieille noblesse française, son éducation et une prestance naturelle lui confère une grande classe qui peut intimider beaucoup d’homme.
Suite à son divorce, elle a rencontré discrètement plusieurs hommes. Et même un marié, après tout au diable les convenances, ce n’est plus son problème, et de connaître vaguement son épouse qu’elle rencontrait parfois à la sortie de l’école, elle du s’avouer que cela l’émoustillait un peu plus. Mais ces aventures étaient rarement des succès. Trop polis, pas assez originaux, ou bien imbus de leur petite personne, chacun de ses amants c’était vite révélé un peu pénible.
Toujours est-il que cette nuit, elle a chaud, une chaleur qu’elle ressent jusqu’au plus profond de son être. Ce n’est pas la mince nuisette de dentelle noire, sarrêtant juste en haut de ses cuisses, qui lui donne chaud, mais elle loge au dernier étage de la grande maison, et la chaleur s’y accumule sous le toit.
Elle décide d’aller prendre une douche froide. Elle sort de sa chambre et se dirige vers la salle de bain, et elle aperçoit une lueur bleutée sortant de la salle de jeu à l’extrémité du couloir. En s’approchant doucement, elle constate que la télévision est allumée et que la tête de son neveu Maxime dépasse du canapé. La porte de la pièce se trouvant dans son dos il ne pouvait voir sa tante, en revanche elle vit tout de suite que sur l’écran une fille suçait un sexe aux proportions impressionnantes!
Hypnotisée par la scène se déroulant devant elle, Marie sentit son ventre s’humidifier instantanément. La chaleur, une période dabstinence prolongée eurent raison de sa défiance à l’encontre des films pornos, et, presque malgré elle, elle s’approcha un peu. Elle constata aussi que Maxime se masturbait lentement, et son sexe dressé n’avait rien à envier à celui de l’écran!
Elle avait constaté effectivement au bord de la piscine qu’il était plutôt baraqué pour ses 17 ans. Le rugby lui avait conféré une masse musculaire imposante, et il était à présent bien plus grand qu’elle. Bref un beau garçon, mais qu’elle ne voyait pas comme un mâle potentiel.
Jusqu’à cet instant.
Elle s’approcha encore sans réfléchir. Maxime sentit une présence et sursauta en tentant comiquement de cacher sa virilité dressée. Marie sourit devant sa confusion. Elle se campa devant lui, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartée dans une attitude qui se voulait sévère. Elle savait pertinemment que sa courte nuisette ne cachait absolument pas son sexe épilé aux yeux de l’adolescent affalé dans le canapé.
Elle vit tout de suite le regard de Maxime se fixer à cet endroit. Cela la fit mouiller encore plus. Les gémissement de l’actrice du porno ajoutaient une tension sexuelle encore plus grande à la situation, si tant est qu’il y en eu besoin…