Le plaisir fut intense pour nos protagonistes, mais surtout pour Paul, qui s’immobilisa de peur d’éjaculer sur le champ, tant son gland était merveilleusement emprisonné par les méats intimes, brûlants et glissants de sa chère maman.
Tante Lise, de son côté, essayait de trouver une solution pour calmer les ardeurs de son fils avant qu’il ne soit trop tard.
Malgré le plaisir prometteur que son fils allait lui donner, après tant de nuits seule sans faire l’amour, elle se devait d’arrêter cet acte d’accouplement contre nature.
Elle contracta ses muscles fessiers et fit expulser, à regrets, le gros bout de son rejeton.
— Non, pas ça Paul ! S’écria-t-elle en glissant immédiatement une main entre son beau cul et le membre érigé de son enfant.
Elle attrapa cet objet de plaisir, brûlant et dur comme du bois.
Et sans un mot, elle se mît à branler Paul qui appréciait tout de suite la délicatesse de sa mère.
— Vas-y mon chéri, lâche toi contre moi d’accord ?
Paul ne dit aucun mot et fit glisser avec fougue son sexe dans le cylindre formé par la main douce de sa maman.
Il y fit des va-et-vient avec force, et y prit beaucoup de plaisir.
Il espérait naturellement bien sûr plus de la part de sa mère, mais se contenta pour l’instant de limer le creux de la main, chaude et glissante car de temps en temps, tante Lise relâcha Paul et passa cette main devant sa fente inondée de mouilles et s’y lubrifia.
Mais cette position n’était pas des plus agréables; Lise devait tordre la main dans l’étroitesse du sac de couchage.
Sous les mouvements de plus en plus rapides et violents de Paul, Lise proposa à son fils de terminer tout seul, car elle commençait à avoir mal au poignet.
Elle relâcha aussitôt le queue de Paul et l’invita à l’insérer entre ses cuisses.
— Approche Paul… Doucement et maintenant bouge comme tout à l’heure.
Paul insinua son membre entre les cuisses douces de sa mère.
Son sexe fut entouré alors d’une part par la chair tendre de ces cuisses et par les grosses lèvres du vagin maternel d’autre part.
La sensation était exquise, il y fit des va-et-vient longs et lents, pour savourer au mieux ces instants incroyablement intimes.
Alors qu’il baisait sec l’entrejambe de sa mère, il eut envie de goûter à nouveau à la douceur de la chatte de sa mère avec son gland.
Il essaya de changer l’angle d’attaque de son sexe mais tante Lise parvint in extremis à maintenir bien fermées ses cuisses avec forces.
Paul perdit beaucoup de forces dans quelques tentatives d’intrusion ratées et finit par être trop excité.
Et sans crier garde, il lâcha de longs jets de sperme brûlants entre les cuisses et les grosses lèvres maternelles.
Il râla longuement, rugissant même tant le plaisir était extraordinaire.
Tante Lise de son côté, fut soulagée de constater que son allât se calmer enfin.
Elle saisit à nouveau le sexe de son fils et fit sortir les dernières gouttes de semence chaude.
Elle attrapa hors du sac de couchage, la serviette de Paul pour faire un nettoyage rapide de leurs deux corps.
Paul serrait sa mère fort dans ses bras et lui susurrait des "je t’aime".
Tante Lise ne répondit pas, car son esprit était désormais très tourmenté.
Paul le remarqua et promit de ne jamais recommencer.
Ceci rassura un peu tante Lise qui finit par s’endormir dans les bras de son fils, qui la couvrait de baisers.
Mais vers le milieu de la nuit, tante Lise sentit soudain la bite de Paul grossir à toute vitesse.
Le fiston, sans hésitation et oubliant sa promesse, chercha à posséder sa mère, en la croyant endormie.
Il utilisa son gland pour palper autour la fente de sa mère, et y finit par trouver l’entrée.
Il positionna judicieusement son arme entre les petites lèvres et voulut glisser en sa mère, totalement, entièrement.
— Non Paul, tu me l’as promis !!
— Mais c’est trop tentant maman… Allez juste une fois !
— Non, il n’en est pas question !
— Alors laisse-moi me frotter contre toi, comme tout à l’heure… S’il te plaît.
Et tante Lise accepta malgré elle, en sentant cette tige taquiner sa fente intime, ce qui la fit mouiller instantanément…
Paul commença ses va-et-vient comme au début de la nuit, mais contrairement à tout à l’heure, prit un autre plaisir de caresser et d’embrasser sa mère un peu partout.
Devant autant de stimulation, Lise ne se contrôlait presque plus.
Elle eut envie de sentir le sexe de Paul en elle mais elle ne voulut pas détruire son image de mère de la sorte.
Elle réfléchit quelques instants et trouva une solution et fit à Paul :
— Mon chéri, à en croire ce que j’ai vu tout à l’heure, je crois il vaut mieux que tu éjacules… Tu sais… dans mon vagin, ça éviterait de souiller ton sac de couchage… Qu’en penses-tu ?
Paul faillit éjaculer sur le champ, tant la proposition de sa mère était indécente mais si tentante.
— Mais attention, tu peux venir dans mon vagin que lorsque tu sens que tu vas jouir et pas avant, nous sommes bien d’accord ?!