Paul ne pouvait pas refuser une telle offre et s’étonna du sacrifice qu’allait faire sa mère.
C’était vrai que c’était dans le but de ne pas trop salir les lieux mais de là à accepter une pénétration qu’elle refusait encore quelques minutes auparavant.
C’était tout bonnement incroyable et trop excitant à entendre; une mère qui invitait son fils à lui mettre la queue dans sa propre chatte… Juste pour éviter de salir un sac de couchage…
Paul ne se fit pas prier deux fois et voulut posséder au plus vite sa chère maman.
Mais comme il avait bien joui avant, il savait qu’il durerait beaucoup plus longtemps.
De son côté, tante Lise trouva le limage du sexe de Paul entre ses jambes et contre sa chatte plus excitant que jamais.
Maintenant qu’elle était prête à accueillir durant un instant le sexe de son fils dans le sien, elle éprouvait encore plus de plaisir car désormais elle était plus réceptive et libérée de toute inhibition.
Elle commençait même à s’impatienter…
— Ça y est mon chéri tu vas jouir ?Demanda alors tante Lise.
Paul était loin d’atteindre son orgasme et pouvait encore durer un bon bout de temps.
Mais il eut une idée très très coquine.
Il fit soudain semblant de se crisper un peu et tout en haletant très fort.
Tante Lise, pensant que le grand moment allait arriver, se pencha alors un peu en avant, en poussant son cul vers Paul.
Elle facilita ainsi l’angle de pénétration.
— Alors tu peux venir maintenant… Attends, je vais te guider… Ne lâche pas avant ! Et attention, on a dit pas de va-et-vient d’accord ? Tu entres et tu gicles !
Et elle saisit le sexe de son fils pour le guider précisément devant l’entrée de son tunnel d’amour.
Par un bruit de glissement, Paul pénétra sa mère, d’un trait, lentement mais profondément, jusqu’à la garde.
Il explora l’intérieur intime de sa mère, centimètre par centimètre.
Le sexe de mère lui allait comme un gant, serré mais si glissant.
Chaque centimètre conquis était un supplice, aussi bien pour le fils que pour la mère.
C’était encore meilleur que tout ce Paul pouvait imaginer; douceur, chaleur, étroitesse, sensation d’aspiration et de pression agréable enveloppaient son membre maintenant profondément dans l’antre de sa tendre mère.
Il resta immobile, afin de savourer au mieux cet instant.
En même temps, il n’osait pas bouger car telle était la condition imposée par sa mère.
Tante Lise de son côté faillit jouir sur le coup tant ce plaisir, interdit, était intense.
Pour une femme qui n’avait pas fait l’amour depuis quelques temps, il lui était difficile de ne pas bouger elle-même sur le sexe de son fils qui était en elle.
Elle s’efforça de garder son calme et ne pas se laisser envahir par son excitation.
Mais ses parois intimes faisaient tout le contraire et se contractaient malgré elle autour du phallus interdit.
Elle n’en pouvait plus, il fallait que cela cessât au plus vite.
Aussi lorsqu’elle sentit que Paul n’avait pas encore éjaculé, elle proposa alors :
— Tu as commencé à éjaculer ? Pas encore, alors vas-y, fais quelques va-et-vient qu’on en termine… Mais c’est exceptionnel d’accord mon chéri ?
Le feu vert fut donné, pour le plus grand plaisir et étonnement de Paul, qui se retira alors lentement, presque complètement, avant de revenir lentement, profondément.
Il savoura alors comme jamais, les effets de succion du vagin maternel sur sa queue et il put aussi sentir le moindre repli de ses parois intimes.
Ce fut le tout premier va-et-vient complet incestueux, qui propulsa mère et enfant dans une autre relation pour toujours.
Mais Paul ne jouissait toujours pas, ce qui rendait tante Lise folle de jouissance.
— Oui, pousse bien comme ça… Retire-toi presque pour rentrer d’un trait… Ahhhh… Ouiiii… C’est exactement ça… Alors ça vient ? Oui, c’est bien mon chéri, c’est bien. Ahhhh… Toujours pas, alors encore une fois…
Incroyable, ce fut elle qui exigea une autre intrusion de la verge de son fils dans son vagin.
Et Paul repartit aussitôt pour la deuxième pénétration de sa vie dans la douce chatte de sa mère.
Il râla fort mais ne jouit pas encore.
— Toujours pas mon chéri ?!
— Non maman, tu préfères que je me retire pour revenir quand je serai vraiment prêt.
— Non… C’est pas grave… Essaie encore de faire quelques va-et-vient, mais plutôt avec deux ou trois pénétrations à la suite, et un peu plus rapide, ça devrait te stimuler plus.
C’était difficile d’y croire mais elle donna à présent des instructions à son rejeton dans la manière de la baiser car désormais sa chatte ne lui servait plus que d’un simple crachoir de sperme, c’était devenu véritablement un vrai sexe de femme prêt à encaisser des coups de bite d’un jeune homme.
Et Paul fut aux anges, il pouvait désormais faire encore plus de va-et-vient.
Aussitôt il exécuta les ordres de sa mère, avec un immense plaisir.
Il se mît à faire trois longs va-et-vient, rapides mais cela ne faisait qu’exciter Lise qui sentit sa chatte fondre rapidement.
Il devenait urgent pour Paul d’éjaculer, sous peine de voir la mère bouger elle-même, le cul.
Alors elle proposa deux fois trois pénétrations que Paul exécuta, toujours sans jouir.
Puis Paul prit l’initiative et recommença le même processus, en proposant un trois fois trois qu’il s’empressa d’exécuter, avant un refus éventuel de tante Lise.
Tante Lise poussa des miaulements tellement ces pénétrations lui faisaient du bien.
Elle commença à perdre sa tête, incapable de donner plus de directives à Paul qui continua tout en augmentant non seulement le nombre de va-et-vient autorisé mais également la fréquence.
Il fit alors quatre fois trois pénétrations longues et rapides, puis sans pause, enchaîna avec un 5×3, puis un 6×3…
— Oui comme ça… Oui… Ohhhh… Attends mon cheri… J’ai dit une ou deux foissssss… Pas sans arrêt commmmmmmeeee çaaaaaaaa..