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Tante Lise et son fils – Chapitre 5

Tante Lise et son fils - Chapitre 5



Au moment où sa mère émit l’objection, d’une voix rauque et sensuelle, Paul venait de terminer une dizaine de triple pénétrations à la suite.

Il en profita alors pour marquer une petite pause, car il ne voulait pas non plus jouir trop vite, tant l’intérieur intime de tante Lise était merveilleux.

Même en mode pause, de légères sensations de succion recouvraient la verge de Paul dans toute sa longueur.

Il n’y avait plus de doute possible, la mère était clairement très excitée et réceptive, elle était prête à encaisser l’ultime assaut de son jeune amant.

Elle devait être même au bord de la jouissance totale.

Paul voulut l’entendre le dernier "Go" de la propre bouche de sa mère.

Aussi fit-il semblant :

— Pardon maman, mais c’est trop bon… Je sens que ça vient… Mais, peut être pas tout de suite… Je crois qu’il faut mieux que je me retire…

A ces mots, Paul recula un peu ses fesses et sa grosse queue commençait à quitter le nid douillet maternel.

— Non… ne te retire pas mon chéri… Pas maintenant, sinon ça n’aurait servi à rien… Oh mon dieu… Finissons-en, s’il te plaît…

Répondit tante Lise en mettant une main sur la cuisse de son fils, l’obligeant à rester en elle.

Elle commença même à onduler son bassin pour aller à l’encontre du sexe de son fils, provoquant d’elle-même quelques va-et-vient.

Mais elle se rendit compte et se sentit un peu honteuse, les joues pourtant cramoisies de plaisir.

Elle s’immobilisa et invita son fils d’en finir.

— Viens mon bébé, donne-moi tout !

— Tu en es sûre maman ?!

— Oui, tu me taquines ? Dépêche-toi…

Un sourire se dessina sur le visage de Paul.

Il avait réussi à faire perdre complètement la tête à sa mère.

Mais se rendait-il seulement compte que c’était sa mère qui proposât cette union interdite, hors du commun.

Finalement c’était peut être tante Lise qui obtenait ce qu’elle attendait, elle qui était en abstinence depuis quelques temps.

En tout cas mère et fils étaient prêts à aller jusqu’au bout de cet acte d’amour si interdit, et pourtant si intense.

Paul se recolla alors à sa mère, et sa queue reprit possession du tunnel d’amour maternel dans son ensemble, ce même tunnel par lequel il était sorti 18 années auparavant…

Il recommença à limer le con de sa mère, consciencieusement.

Il comptait au début dans sa tête, le nombre de pénétrations qu’il faisait dans le vagin de sa mère.

Mais au bout de quelques instants, il s’y perdit dans son comptage, tant qu’il donnait des coups de queue de plus en plus nombreux et sans interruption et surtout de plus en plus fort.

Les bruits de clapotements entre leurs corps résonnaient dans la petite tente.

Le rythme des va-et-vient devenait hautement soutenu.

Tante Lise sentait l’incroyable puissance de son fils qui, à présent, baisait bel et bien sa petite maman chérie.

Sa chatte fondit à toute vitesse, elle fit le dos rond pour mieux encaisser toutes ces pénétrations prohibées.

Bientôt Paul atteignit le point de non-retour, se crispa cette fois pour de vrai.

Il mordit l’épaule droite de sa mère et l’avertit de son orgasme.

Tante Lise sentit soudain le sexe déjà imposant de Paul prendre encore du volume, légèrement mais clairement perceptible.

Elle sut que son fils ne faisait plus du cinéma cette fois-ci car sa queue devint plus dure que jamais.

Elle ferma ses yeux et laissa alors la semence chaude de Paul l’envahir.

Soudain elle fut envahie à son tour par de spasmes successifs.

Son vagin dévasté sous les coups de butoir de son gamin réagit au contact du liquide séminal de son rejeton.

Tout son corps se crispa alors d’un coup et elle laissa même s’échapper un cri de jouissance :

— Ohhhh oooooouuiiiii !! Ahhhhh… Mon chéri, c’est trop bon…

Paul rugit aussi de son côté, essayant d’envoyer d’ultimes coups de queue et de lâcher les dernières gouttes de sperme, profondément, au fond du vagin maternel.

Les mains du couple se joignirent, leurs corps battirent à l’unisson.

Leurs corps trempés de sueur restèrent collés.

Ils échangèrent quelques derniers attouchements, de caresses et de baisers.

Leurs respirations lourdes au départ redevinrent calmes.

Pendant ce temps-là, le sexe de Paul restait en sa mère.

Il n’avait pas complètement débandé, tant la chatte de tante Lise exerçait encore une petite aspiration.

Mère et fils restèrent dans cette position, ne bougèrent plus de peur de voir le sperme de Paul couler hors du vagin maternel.

Si ceci se produisait, tout l’acte qu’ils venaient d’accomplir n’aurait plus aucun sens.

Ils s’endormirent ainsi, de peur d’aborder le sujet sur ce qu’ils venaient de faire.

Mais ce qui était certain, aucun n’avait de regret au moment de sombrer dans son rêve…

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