Enfin les vacances !
Enfin je quittais le giron de ma famille bourgeoise qui m’étouffait de son éducation stricte à laquelle je devais sûrement ma timidité et mon absence totale de la moindre expérience sexuelle. Enfin, cette famille je ne la quittais pas tout à fait puisque j’étais depuis quelques jours en vacances chez ma tante Sonia.
Ça faisait plusieurs années que je ne l’avais pas vu Sonia. Depuis le décès de son mari, le frère de ma mère, lorsque j’avais 13 ans. Mes parents lui avaient demandé de m’héberger chez elle au bord de la mer pour 2 semaines.
Mes vacances d’enfant chez elle, m’avaient laissé le souvenir d’une tante stricte, à l’image de la famille, bien que son côté méditerranéen la rendait chaleureuse. Elle avait peu changée même si son statut de jeune veuve de 42 ans semblait parfois la rendre aigrie et on ne lui connaissait pas d’homme dans sa vie. Ce qui pouvait surprendre car physiquement non plus, elle n’avait pas changée. Elle était toujours cette grande et belle brune aux cheveux, longs jusqu’à sa taille fine et je ne me lassais pas de regarder ses fesses rebondies et sa lourde poitrine dont les tétons pointaient sous son bikini lorsque nous allions à la plage ou lorsque nous bronzions au bord de sa piscine. Mais quelque chose avait bel et bien changé chez elle, c’était le regard qu’elle portait sur moi, sur mon corps.
Les vacances se passaient bien tranquillement, parfois trop à mon goût mais j’avais du mal à deviner les sentiments que me portait Sonia. Elle était câline mais souvent, elle me faisait franchement remarquer mes maladresses et mon impolitesse ce qui me faisait honte même si je savais au fond de moi qu’elle avait probablement raison. Je l’aimais mais son charisme m’impressionnait, mélange des sentiments qui avec son physique de femme mûre et sensuelle provoquaient une réelle excitation chez le jeune puceau que j’étais.
Un après-midi fit basculer le train-train de mes vacances balnéaires et toute ma vie entière.
Ce jour là, juste après une tête dans la piscine, nous discutions au salon encore en maillots de bain.
— Alors Laurent où es tu parti te promener tout à l’heure ?
— Heuu et bien j’ai suivit la plage à pied.
— Ah bon ? et tu es allé loin ?
— J’ai marché un kilomètre environ mais je suis revenu assez vite, tu sais, car tout d’un coup il n’y avait plus que des hommes tout nus sur la plage. Dis je un peu gêné.
Elle se mit à rire et ajouta :
— Oui mon chéri, c’est la plage naturiste des homos, tu aurais dû continuer, après c’est mixte, j’y vais parfois avec mes amies.
Quel choc pour moi ! Ma tante chez les naturistes, me dis je.
— Ah bon mais heuu. tu te mets toute nue à la plage?
— Oh mais tu sais il n’y a pas qu’à la plage mon grand, c’est très agréable de vivre nue. Je sais que ça ne se fait pas dans la famille mais tu devrais essayer ça te décoincerait, dit elle avec un sourire que j’aurais encore du mal à qualifier aujourd’hui d’ironique ou de bienveillant.
Je restais sans voix, imaginant ma tante nue au soleil. et dire que c’est moi qui la trouvait trop stricte.
— Et alors pourquoi es tu parti si vite, tu n’as pas aimé ce que tu as vu sur cette plage pour hommes dit elle prenant plaisir à titiller mon embarras.
— Je ne suis pas homo moi, dis je avec une fierté naïve et surtout ridicule et puis tu sais ils avaient presque tous le sexe rasé, je savais pas que ça se faisait chez les hommes.
— Et oui beaucoup de gens le font maintenant, moi aussi d’ailleurs dit elle avec un naturel désarmant.
Naturel tellement désarmant que je lui fis, sous le choc, une confidence que je n’aurais jamais osé à qui que ce soit ni à aucun autre moment.
— Tu sais, c’est vrai c’est mieux, moi aussi j’aimerais le faire, ça fait plus propre. Mais j’ose pas j’ai trop peur de me couper en le faisant.
— Oh mais c’est qu’il grandit le petit chéri ! Tu veux que je te prenne rendez vous chez mon esthéticienne ? dit elle très gentiment.
— Oh non, j’oserais jamais me montrer.
— Mon Dieu quel nigaud !
Quelle honte j’avais soudain de lui avoir avoué tout ça. Mais à ce moment, son regard se posa sur moi et elle me dit d’une toute autre voix : « tu ne voudrais quand même pas que je te le fasse. ? »
J’eus à peine le temps d’imaginer la scène et de bredouiller un heuu heuu très éloquent qu’elle devina la réponse que je tentais de dissimuler et me rétorqua vivement : « Et bien ne reste pas comme ça la bouche ouverte, file à la salle de bain et sors un rasoir et de la mousse à raser j’arrive. » Le ton de sa voix ne permettait aucune contradiction, j’obtempérais immédiatement.
A peine avais-je sorti le nécessaire après une minute d’hésitation qu’elle entra et me dit : « si tu veux que je te rase, il va falloir enlever ton maillot de bain voyons ! »
Moi qui ne m’étais jamais montré nu devant une femme je n’en menais pas large. Voyant mon hésitation, elle prit mon maillot de bain dans ses mains et tira d’un coup sec pour me l’enlever. Elle se redressa et avec un sourire en coin me dit :
— Tu es sur de vouloir raser alors ?
— Oui.
Elle avait les yeux rivés sur mon sexe, je me sentais rougir de honte, mais son ton changea et elle me dit :
— Tu n’es pas très poilu ça ne devrait pas être long. Ca te gène d’être nu devant moi on dirait ?
— Ben tu sais j’ai pas l’habitude.
— Comme je t’ai dit, j’aime beaucoup vivre nue tu sais, moi aussi je vais enlever mon maillot comme ça tu seras moins gêné.
Le ton de sa voix était tout à fait déconcertant car il passait d’une phrase à l’autre de la sévérité sèche à la tendresse la plus douce. Elle me regarda avec un sourire tout naturel. Elle fit glisser les bretelles de son maillot noir une pièce et commença à le rouler doucement vers le bas. Au fur et à mesure que son buste m’apparaissait, je me disais ça y est je rêve j’y crois pas elle est en train de se mettre toute nue. Sa magnifique poitrine de femme mure m’apparaissait. Pas de marque de maillot ou presque, elle disait donc vrai, elle se faisait bronzer nue. Ses seins étaient gros, je dirais aujourd’hui un bon 95D, lourds, tombants légèrement, de belles auréoles brunes et de bons gros tétons épais qui donnent vraiment envie d’être tétés. Je les imaginais beaux, ils étaient magnifiques ! Le tissu continuait de rouler sur son ventre assez plat, voila qu’elle dévoilait maintenant ses hanches, elle me regardait et enfin le maillot tomba à terre. Mes yeux étaient rivés sur son minou complètement lisse au lèvres épaisses. J’étais tellement ému que mon sexe ne réagit même pas. Mon visage par contre, devait trahir mon émotion car elle me dit :
— Et petit idiot, tu n’as jamais vu une femme nue ou quoi ?
Je dus lui avouer qu’en effet elle était la première que je voyais nue dans la même pièce que moi.
— Pas la peine de demander de toute façon, dit elle, ça se voit.
Alors, c’est comme ça qu’elle me voyait, un petit puceau qui n’a comme expérience sexuelle que ses petites branlettes misérables. Comme j’avais honte.
Elle me laissa debout, et s’assit sur un tabouret, regardant mon sexe qu’elle allait raser. Elle prit la mousse dans ses mains et commença à me l’étaler sur le pubis assez machinalement et énergiquement. Moi qui m’étais dit qu’il allait être difficile de ne pas être excité, je me sentais comme un objet qu’on entretient et auquel on attache peu d’importance. Elle se saisit du rasoir et tout aussi machinalement, elle, me rasa le pubis méthodiquement. Je sentais à nouveau l’air sur cette partie de mon corps. Je me sentais aussi nu qu’un poulet que l’on vient de plumer. Elle me rinça avec un gant de toilette et pris un peu de recul pour me regarder et dit :
— Bien ça commence à être acceptable. On va faire tes petites couilles maintenant.
— Oh tu crois vraiment ? (j’étais tout autant étonné qu’elle veuille continuer que par le mot qu’elle avait employé)
— Bien sûr voyons, laisse moi faire, tu ne vas pas garder cette barbichette.
Je commençais à me demander si elle ne faisait pas exprès de me rendre ridicule.
Cette fois ci, son geste se fit beaucoup plus lent et délicat. Elle prit mes testicules dans sa main et sembla les soupeser, elle les fit même un peu rouler entre ses doigts comme je le fais lorsque je me masturbe. J’étais surpris, je soupirais imperceptiblement. J’avais comme l’impression que tous ces gestes étaient mesurés pour contrôler mon excitation. Je me remis à la regarder. Elle était là devant moi nue, à me raser, assise sur ce tabouret. Excitante, légèrement penchée en avant avec ses beaux seins qui pendaient un peu. Ca y est je sentais l’excitation monter en moi. Elle sentait mon regard sur elle et je suis certain aujourd’hui que si elle écarta les cuisses doucement, c’était pour me laisser voir son abricot s’ouvrir un peu.
Elle finit de me raser les boules et me dit : « il reste un peu de poils sur ta pine ». C’est alors qu’elle me regarda et prit mon sexe entre ses doigts, elle le souleva doucement et la plaqua contre mon ventre pour raser dessous. C’en était trop pour moi ! Comprenez moi, ma tante que j’admirais depuis si longtemps était nue devant moi, les cuisses entrouvertes en train de toucher ma « pine », comme elle disait. Hmm je me mis à bander presque tout de suite, j’avais honte mais le contact de sa main était trop bon. Elle eut un sourire en coin et me dit :
— Et bien mon grand qu’est-ce qui t’arrive ?
— Oh pardon mais tu sais on me l’avait jamais touché avant.
— Ah bon et tu aimes ça alors espèce de cochon
— Heu ben heuu oui .
Elle attrapa mon sexe, plus franchement maintenant qu’il était devenu dur, elle le décalotta, elle le regardait, semblait le juger. Elle dit : « de toute façon dur comme ça c’est plus facile à raser » et elle me débarrassa des quelques poils qui restaient. Mais elle ne lâchait ma pine toute raide, au contraire elle se mit à la décalotter encore plusieurs fois lentement, la faisant durcir, la tapotant un peu en pelotant aussi mes boules. Mon gland était tout gonflé, elle le pinçât doucement pour sentir son état d’excitation. « Et ben dis donc ça te fait de l’effet que je te rase, on dirait ? » Elle saisit ma pine juste sous le gland et se mit à faire quelques mouvements de branlette énergique. Hmm j’étais tout excité, prêt à tout éjaculer.
— C’est comme ça que tu fais quand tu te branles hein petit cochon ?
— Oui . dis je en soupirant d’excitation
— Bon et bien ici c’est chez moi et tu es là pour 15 jours alors je t’interdis de te branler sans ma permission, c’est bien compris ? Dit elle en me secouant toujours énergiquement le sexe.
— Oui promis . dis je incapable de lui répondre non.
—
Elle lâcha alors mon sexe tout dur et se releva d’un coup. J’étais presque en état de choc. J’étais là debout dans la salle de bain, le sexe imberbe au garde à vous en train de reprendre ma respiration, l’éjaculation prête à jaillir.
Son ton changea et sa voix se fit douce à nouveau : « voilà mon chéri c’est fini tu es tout rasé, tout propre, comme moi ! »
Elle attrapa mon sexe raide comme une poignée et me traîna comme ça devant la glace.
« Regarde comme on est beaux comme ça tout nu tout rasés » dit elle nous regardant côte à côte devant le miroir, seul témoin de cette scène. Tu es beau mon chéri, tu as un sexe magnifique pour ton âge, tu sais ? Regarde comme nous sommes beaux, dit elle à nouveau. Je ne répondais rien trop excité, trop médusé. Elle se mit alors face à moi, me regarda dans les yeux et s’approcha de moi, elle s’approcha tellement qu’elle se colla à moi en souriant. Hmm je sentis ses gros seins s’écraser contre moi. Je pouvais sentir ses tétons contre ma peau nue. Je sentais mon sexe frotter contre son ventre tout chaud. Elle posa ses mains sur mes fesses et les palpa doucement elle dit : « tu vas voir mon chéri tu vas passer de bonnes vacances chez moi. » C’en était trop, sa peau contre la mienne, sa voix ferme et parfois si douce. Ma verge tellement gonflée tressauta et j’éjaculai d’un coup sur son ventre en grognant hmmm.
Je me vidais longuement, elle me laissait faire en ondulant son ventre chaud contre mon membre et en caressant mes fesses.
— Et bien mon pauvre chéri tu en avais envie dis donc. Regarde tu m’en as mis partout ooh. Dit elle en étalant mon sperme sur son ventre.
— Oh pardon je suis désolé excuse moi tu le répèteras pas hein ?
— Si tu es bien sage pendant les vacances, ça restera notre secret. Et maintenant allez hop, à la douche.
Elle me donna une petite tape sur les fesses pour m’indiquer la baignoire mais je fus très surpris lorsqu’elle entra avec moi.
— Tu éjacules toujours beaucoup comme ça ? Dit elle en me faisant voir son ventre maculé de ma semence de jeune puceau.
— Heu presque dis je un peu honteux, tout en me lavant.
— Tiens lave moi un peu dans le dos s’il te plait
Je me régalais de pouvoir voir ses belles fesses comme ça. Je lui lavais bien le dos, laissant un peu traîner mes mains devant, à la base de ses gros seins sans oser aller plus loin et sur ses fesses que je tâtais un peu mieux en les lavant. Je me remis à bander. Elle s’en aperçut et me dit sèchement :
— Mais dis donc toi, tu bandes encore ? Allez oust on sort !
— Excuse moi .
— Bon et bien puisque tu me vois nue là on va rester toutes les vacances tout nus comme ça tu t’habitueras, allez pas la peine de remettre ton maillot. Et essaye de te contrôler un peu !
Voila, après avoir pris du plaisir, elle me faisait encore honte.
Nous passâmes donc le reste de la journée entièrement nu. Quel plaisir de pouvoir se balader comme ça le sexe à l’air en toute liberté, de pouvoir nager dans la piscine sans maillot et surtout quel bonheur de pouvoir observer ma tante Sonia toute nue. Elle était vraiment belle, très désirable, je la regardais pendant qu’elle jardinait hmm la voyant parfois penchée en avant, son beau cul bien dessiné, son corps cambré. Parfois elle s’accroupissait ouvrant un peu les cuisses, me laissant voir sa belle chatte ouverte hmm quel régal. Mais je n’arrêtais pas de bander, impossible de contrôler ça comme elle me l’avait demandé. Mais elle ne semblait pas gênée du tout elle se laissait tout à fait regarder en m’adressant quelques sourires.
Apres dîner elle reçut un coup de fil qui dura assez longtemps et je me mis alors à ranger la cuisine et je me remémorais les épisodes de la journée. Hmm je me laissais aller à rêver et me remis à bander, encore. Lorsqu’elle arriva, j’étais devant l’évier dos à elle. « ooh tu as tout rangé c’est gentil ça Laurent » dit elle m’enlaçant par derrière, passant ses mains sur mon torse pour me faire un bisou sur la joue. Hmm je sentais encore sa peau contre la mienne ses gros tétons s’écraser contre mon dos.
Elle laissa traîner ses mains sur mon ventre et me dit soudain : « ooh mais espèce de cochon, tu bandes encore, tu exagères ! Je t’avais dit de te contenir pourtant !
J’étais surpris par sa réaction, je la sentais se fâcher dans mon dos, j’avais honte à nouveau. Elle me dit : « mais qui m’a donné un ptit puceau pareil oh c’est pas possible ça ! Tu dois vraiment avoir les couilles pleines toi à bander tout le temps comme ça !» « Ça te fait bander de te balader à poil chez moi hein ? » Je m’attendais à une punition ou à quelque chose de ce genre, mais elle se serra contre moi un peu plus fort et saisit mes boules fermement de sa main gauche et ma pine toute raide de la main droite, presque à m’en faire mal. « Ce sont mes gros seins qui te font bander comme ça hein cochon ? » dit elle alors. Je n’osais pas répondre, elle desserra un peu ses mains sur mes instruments et elle commença à me masturber doucement ! Hmm j’y croyais pas hmm je me laissais faire. Elle faisait rouler mes boules entre ses doigts que c’était bon hmm et de l’autre elle décalottait mon gland gonflé. Elle faisait aller et venir sa main droite de plus en plus vite sur ma verge tendue ooh elle me branlait à présent d’une main experte tout en me disant : « hmm tu aimes ça te faire branler hein petit pervers ? » « je sais que tu es un ptit puceau aux couilles pleines, je vais m’occuper de te traire comme il faut petit salaud » Hmm ces obscénités qu’elle proférait dans mes oreilles me faisaient honte, mais elle m’excitait beaucoup et c’est aussi pour ça qu’elle me traitait ainsi. Hmm je sentais ses gros tétons durs contre mon dos et de sa main gauche elle tripotait parfois mes boules et parfois pelotait mon cul. Elle me branlait de plus en plus vite hmm je me mis à gémir à soupirer plus fort, je sentais l’éjaculation venir dans sa main ferme et excitante. Me sentant sur le point de jouir elle accéléra encore sa branlette en me soupirant à l’oreille : « elle sait bien te faire jouir tati hein allez vas y crache tout petit cochon ». Je fermais les yeux pour me laisser aller à mon plaisir tout en passant ma main derrière moi sur sa cuisse que je tâtais, me tenant à l’évier de l’autre main. « Voila, voila, allez jouis » me dit elle et sous ses ordres, n’en pouvant plus de bander si dur et de me faire branler je me mis à jouir. Haaa oui que c’était bon, j’éjaculais dans l’évier vide en râlant de bonheur. Elle continuait de me branler lentement pendant quelques secondes, ralentissant bien pour que je reprenne mon souffle. Elle restait collée à moi et me fit un petit bisou dans le cou tout en me disant voila tu t’es bien vidé c’est bien. Elle me lâcha la bite et se lava les mains en même temps que moi mais je la vis goûter une petite goûte de sperme restée sur son doigt.
— Bon allez file au lit et pas de branlette jusqu’à demain ! Demain est une journée que tu n’oublieras pas mais il faudra être bien sage si tu veux que ça se passe bien.
— Ah bon mais qu’est ce qu’il se passe demain?
— Une amie à moi s’est invitée alors j’aurais besoin de ton aide mais il faudra être en forme.
— D’accord bonne nuit.
— A demain.
La suite au prochain épisode si ces messieurs et surtout ces dames me laissent des commentaires.