— Tatiana aura également en charge le département prospective.
Les membres du Conseil applaudissent. La séance dure deux heures.
— Nous allons déjeuner, Tatiana.
Elle part dans sa voiture. Ils arrivent dans un restaurant 4 étoiles.
Deux flûtes de Champagne en apéritif.
— Vous voyez, j’ai jugé plus judicieux de vous inviter ici qu’aux Minots. Je vous évite ainsi les crudités et le steak frites !
Délicieux repas. Homard. Fricassée de volaille de Bresse au Vin Jaune. Soupe de fruits de la Passion.
Le PDG consulte son téléphone.
— Vous avez fait forte impression à certains membres du Conseil, dirait-on. Ca n’a pas traîné : déjà deux messages.
Il lit.
— "Plutôt bandante, ta nouvelle collaboratrice. Tu ne vas pas t’ennuyer je pense".
— Et le deuxième : "Un corps de rêve ta directrice de cabinet. Il va falloir organiser quelque chose".
— Vous voyez l’impression que vous faites aux hommes, Tatiana Et encore, vous étiez habillée "classe". S’ils vous voyaient en "pute"
— D’ailleurs je crois que demain vous avez un après-midi particulièrement chargé Pouvez-vous me rappeler ce qui est prévu ?
— Je dois me rendre aux Minots pour rencontrer des hommes
— Combien d’hommes ?
— Le patron des Minots m’a dit huit
— Pas le patron des Minots, Tatiana : "mon amant". Recommencez.
— Mon amant m’a dit huit, monsieur le président.
— Très bien. Huit et lui qui passe à la fin je crois ??
— C’est exact.
— Eh bien, vous n’allez pas vous ennuyer dites-donc !! Un bon nombre. Vous finirez épuisée. Un conseil : écartez bien les cuisses et laissez vous faire. Ils se videront les couilles plus rapidement.
— Je vous suggère aussi d’appeler votre amant et de lui proposer de coucher avec lui dès votre arrivée. Il s’est plaint l’autre jour de votre état de fatigue quand vous aviez passé les trois mecs à la suite, alors là avec huit Donc, faites vous baiser par lui dès votre arrivée, afin de ne pas le décevoir au lit.
Tatiana est étonnée des réflexions salaces de son patron. Elle ne le voyait pas aussi pervers.
— Tenez, appelez le tout de suite !
Tatiana prend son télephone.
— Allô chéri ? C’est Tatiana. Je viens demain en début d’après-midi comme convenu. Mais j’ai pensé à une chose : comme mon après-midi va être très très chargé, je pense qu’il vaudrait mieux qu’on se rencontre tout de suite, dès que j’arrive, je serai plus en forme
— Oui tu as raison ma puce, car avec ce que tu vas prendre comme coups de bites, tu vas être épuisée à la fin de la journée. Alors viens en avance, pour 13 heures, que j’ai bien le temps de t’en mettre un coup comme je veux
Ils raccrochent.
— Voilà une bonne chose de faite, Tatiana.
Ils quittent le restaurant.
L’après-midi, à son bureau, Tatiana découvre son univers professionnel, ses nouvelles et importantes attributions. C’est passionnant.
Le lendemain matin, elle se rend au bureau, quitte à midi. Avale un sandwich et s’habille pour l’après-midi : soutien-gorge et culotte dentelle, jean troué moulant, t-shirt moulant, hauts talons rouges.
13 heures. Elle arrive aux Minots.
Rapide baiser sur les lèvres. Il décroche la clef numéro 14.
— Allez, direction le lit !
Une fois dans la chambre, il l’enlace, l’embrasse, la caresse partout
— Tu me manquaisJ’ai envie de toi
— Déshabille-toi ! Enlève tout.
Il est rapidement nu. Il bande fort.
Une fois nue à son tour, Tatiana s’agenouille. Commence la fellation.
— Ah ouiElle est douce, ta bouche
Au bout d’un moment
— Ca suffit la pipe ! En position sur le lit !
Tatiana se présente en levrette. Il arrive.
— Je vais d’abord te prendre la chatte. Je veux qu’elle soit bien ouverte pour les autres et que tu lubrifies bien
Il la pénètre.
— Ah oui chéri ! Prends moi bien !
— Huummelle est bonne, ta grosse queue !!
— Eh bien tiens ! Prends ça !!!!
Et il la pilonne fort.
— Ouiprenez moi fort comme ça !
Au bout d’un moment, il se retire.
— Maintenant, dans le cul !
Il est très excité.
— Ahhhh !! Doucement chériAhhDoucement
La queue est entrée. Il la prend en cadence.
— Putain ce qu’il est bon, ton cul !!!
— Si tu voyais, tu la prends entièrement, jusqu’aux couilles, salope !
Effectivement, Tatiana, à chaque va et vient, sent le ventre de son baiseur frapper ses fesses et ses testicules frapper contre elle
— Ohhhvous me défoncez
— Oui, tu la sens bien, ma grosse queue, hein !
— Ahh ouielle est bonne.
La sodomie dure une éternité. Robert est raide, et très excité.
Il se retire. S’allonge.
— Viens t’empaler sur moi ! Dans le cul !
Tatiana l’enjambe face à lui.
— Non ! Dans l’autre sens, je veux voir tes fesses et ma bite entrer et sortir !
Elle s’empale.
— Ahhhh !!!! Aïe
— Voilà. Maintenant, allez ! Bouge bien sur mon pieu !!
Elle commence à bouger, tandis qu’il la saisit aux hanches et lui impose le rythme.
Au bout d’un moment
-Ahhh ! Salope, oui !! Ah je jouisah oui.tiens.Prends tout.
Les jets de sperme se succèdent, puissants, lui envahissent l’anus.
Ils restent en position un moment. Il la soulève pour qu’elle se retire.
Vont sous la douche.
— Voilà ! Je t’ai bien limé la chatte, elle est ouverte et mouillée pour les autres, et je t’ai bien explosé le cul comme tu aimes.
— J’ai mis 8 serviettes supplémentaires dans le placard. Tu en mets une sur le lavabo à chaque visite.
— 13 h 40. Je file. A chaque fois, je conduirai le mec à la chambre et je frapperai avant d’entrer.
— Il te reste 20 minutes pour te reposer. Et ensuite, au travail !
Tatiana reste nue. Elle chausse juste ses hauts talons.
On frappe à la porte. Il est 14 heures. Le premier homme.
Et ainsi de suite. Tous sont excités par son corps. On la touche partout. On la caresse partout. Les mains s’égarent sur les hanches, les fesses, le sexe bien sûr, les seins. On l’embrasse dans le cou. On la tripote. On lui lèche les tétons.
Mais, très vite, l’excitation est là. On passe à la fellation. Puis aux pénétrations.
Le huitième homme vient de jouir. La corbeille est pleine de préservatifs usagés. Après son départ. Une douche réparatrice.
La jeune femme est épuisée, elle s’allonge sur le lit, encore haletante.
La porte s’ouvre. Robert.
Il s’approche du lit. Enlève pantalon et slip.
— Je sais que tu dois être épuisée. C’est pour ça que je ne vais pas te prendre, même si j’en ai envie. Alors, taille moi vite une pipe parce que j’ai encore envie de me vider les burnes, entendre tes cris derrière la porte m’a drôlement excité.
Elle a bientôt le sexe en bouche. Suce. Sors la langue partout. Lèche les couilles.
Une fois le sexe raide et luisant de salive, le gland écarlate, Robert prend son sexe et se masturbe.
— Ahhh, salopeTiensprends tout.ahh
Les jets de sperme se succèdent sur les seins. Le sperme coule le long des seins, puis vers le ventre.
Il va se passer le sexe sous l’eau.
— Repose toi un peu, je viendrai te chercher à 19 heures.
La jeune femme, épuisée, s’endort, la poitrine maculée de sperme.
La porte s’ouvre. Robert la trouve endormie.
Il la réveille.
— Eh bien ma chérie, on fait un petit somme ? Tu t’es endormie ?
— Oh la la, tu es encore pleine de sperme ! Vas vite te laver !
Tatiana émerge et file à la douche sous le regard de son amant.
— Fais attention ! A force de regarder ton cul, tu vas me donner des envies !
Elle se sèche, revient, enfile soutien-gorge et culotte.
— Je comprends que tu te sois endormie. Avec ce qu’ils t’ont mis tout l’après-midi Ca, tu as pris ta dose de bites !! J’ai écouté quelques fois derrière la porte, "ça y allait", dis donc !! Le bruit du sommier, tes cris, leurs réflexions
— En tout cas je peux te dire que les 8 étaient très satisfaits de toi ! Ils ont passé un bon moment et se sont bien vidés les couilles !
Tatiana est maintenant rhabillée. Il l’enlace.
— J’ai hâte que tu reviennes passer une nuit à la maison tu sais Je te veux dans mon lit Je te veux à moi
Il la raccompagne au bar.
— Va falloir que tu te libères régulièrement, j’ai encore une sacré liste de "prétendants" !
Le lendemain travail au bureau. A son arrivée, coup de fil du PDG qui l’invite encore à déjeuner. Décidément
Ils arrivent dans un restaurant cossu. Le maître d’hôtel les conduit dans un salon privé. Une table, le couvert est dressé. Quatre chaises. Un canapé. Un miroir.
Le lieu a tout du boudoir. Le soleil luit. Tatiana est délicieuse avec sa robe noire moulante et chic.
Un autre maître d’hôtel est attribué au salon. La cinquantaine, austère.
— Mademoiselle et Monsieur, voici la carte.
— Mademoiselle et Monsieur prendront-ils un apéritif ?
— Volontiers Georges. Deux coupes.
— La cuvée habituelle, Monsieur ?
— Bien sûr, Georges.
Le maître d’hôtel tourne les talons, referme la porte du salon.
Ils s’assoient.
Tout à coup le PDG ordonne.
— Levez-vous !
— Mais?
— Faites ce que je vous demande.
La jeune femme s’exécute.
— Déshabillez-vous !
— Comment ?????
— Vous avez bien compris. Déshabillez-vous.
— Entièrement !
— MaisCe n’est pas possible ? Le serveur va revenir !!!!
— Et alors ? Ce n’est pas la première fois que vous serez à poil devant un homme, non ?
— Mais
— Il n’y a pas de "mais". Vous m’agacez, Tatiana.
— Je m’excuse, monsieur le président.