— Alors, A POIL !
La jeune femme commence par enlever sa veste. Puis ses chaussures. Puis sa robe. Elle apparaît en sous-vêtements. Enlève son porte-jarretelles, ses bas, son soutien-gorge…
— Allez, la culotte ! J’ai dis A POIL.
La culotte suit.
— Restez debout ! Vous êtes bien, là. En plus je vois votre adorable petit cul dans le miroir.
Il se passe d’interminables minutes. Cinq. Dix peut-être.
On frappe à la porte. Tatiana se sent rougir.
— Entrez !
Le maître d’hôtel entre, la regarde fixement. Machinalement, elle place un bras sur sa poitrine et l’autre main sur son sexe.
— Tatiana ! Ne cachez pas ! Ca ne sert à rien, je vous l’ai déjà dis ! Enlevez moi ces mains ! Les bras le long du corps !!
Elle obéit, offrant son corps au regard du maître d’hôtel.
— Voilà le Champagne, Mademoiselle, Monsieur.
Il dispose les flûtes sur la table, les amuse bouche.
— Mademoiselle et Monsieur ont-ils fait leurs choix ?
— Pas encore, George, revenez après l’apéritif !
— Très bien Monsieur.
Il sort. Le PDG se lève, tend une carte à Tatiana qui fait mine d’aller s’asseoir.
— Vous restez là, debout. Vous êtes très bien ainsi !
— Voyons. Je vous conseille le foie gras de la Maison, un des meilleurs de Paris. Les ravioles de homard ne sont pas mal non plus. Quant au poulet de Bresse, un délice.
Un quart d’heure après, le maître d’hôtel est de retour. Le déjeuner se passe bien. Tatiana mange en face de son patron, entièrement nue. A chaque visite, le maître d’hôtel peut à loisir poser son regard sur elle. Le dessert arrive. Délicieux vacherin aux fruits rouge. Cafés.
— L’addition, Monsieur.
Le maître d’hôtel s’éclipse.
— Tatiana ! Levez-vous et reprenez votre position de tout à l’heure, dos au miroir, les bras le long du corps.
Elle se place comme initialement. Le maître d’hôtel revient. La regarde.
— Vous mettrez l’addition sur mon compte, Georges, comme d’habitude.
Pendant que le PDG signe l’addition, le maître d’hôtel la contemple. Son regard se porte sur ses seins, longuement. Puis sur son sexe. Et maintenant sur le miroir. Le PDG sort un préservatif de sa poche. Le place sur la soucoupe où se trouve l’addition.
— Votre pourboire, Georges.
— Je remercie Monsieur.
L’air toujours hautain, il prend le préservatif. S’approche de Tatiana. Lui caresse délicatement les seins, les soupèse. Puis lui caresse tout aussi délicatement le sexe, le masturbant délicatement. Puis les fesses, les reins.
— Mademoiselle est délicieuse…
Soudain, il enlève sa veste. Son nud papillon. Sa chemise. Ses chaussures et chaussettes. Son pantalon. Son caleçon. Il est nu. Il passe derrière elle, l’embrasse dans le cou. Pelote les seins à pleines mains. Elle sent son érection contre ses fesses. Il la caresse partout, des caresses intimes et très précises. Tatiana apprécie. Soupire. Gémit…
— Ahhh…!
— Ahhh, oui, continuez, continuez…
A un moment, elle n’en peut plus. S’agenouille devant lui. Prend son sexe en bouche. L’homme lui tient légèrement la nuque tandis qu’elle lui prodigue une savante fellation. Il reste stoïque sous la caresse.
— Tatiana ? Georges vous plaît ?
— Oui, Monsieur le président…
— Sa queue vous plaît ?
— Oh oui, elle est longue, grosse et raide…
— Vous voulez qu’il vous prenne ??
— Oh oui !!
— Vous voulez qu’il vous prenne où ??
— Ben dans le cul !!
— Dans le cul tout de suite ??
— Slurp. Oui…
— Vous avez entendu Georges ?? Défoncez-lui le cul !
— Bien Monsieur !!
— Mademoiselle, mettez vous en position sur le canapé, s’il vous plaît. Offrez bien votre cul…
Il enfile le préservatif, tandis que Tatiana se met en levrette sur le canapé au pied du miroir. Il arrive vers elle, queue dressée. Crache dans ses mains, lui lubrifie l’anus.
Et commence à la pénétrer. Le gland passe, suivi du reste du membre. Immédiatement, le maître d’hôtel commence à la posséder. Des va-et-vient doux au début, qui accélèrent progressivement. Il sait y faire…
Bientôt, Tatiana s’abandonne…
— Ahhh. C’est bon. Oui. Comme ça, ahhh…!!
Il la tient maintenant par les hanches. Alterne les va-et-vient lents et ceux beaucoup plus virils…
— Ahhhhh !!!!! Encore. Elle est bonne. Encore…!!
Il la sodomise un long moment. Tatiana est toute à son plaisir.
— Monsieur, j’aimerais la prendre sur la table…
Le PDG enlève les deux tasses à café qu’il pose sur une chaise. Tatiana vient vers la table. Le maître d’hôtel l’a fait s’asseoir. Lui lève les jambes. Lui pénètre l’anus. Et la possède. A quelques centimètres de son patron.
— Ahhh. C’est bon ce que vous me faites. Elle est bonne, votre queue. Ahhh…
Comme précédemment, cela dure au moins un quart d’heure, où l’homme lui pilonne l’anus. Tout à coup, Tatiana n’en peut plus.
— Ahhh je jouis. Ah oui…!!!! Je jouis c’est trop bon. Ahhhhhhh !!!! Ahhhhhhhhhhh…
Le mec continue à la baiser.
— Georges ! Ne jouissez pas dans le préservatif, ce serait dommage. Quand vous vous sentirez prêt, faites vous sucer et éjaculez dans sa bouche. Elle aime ça !
— Bien Monsieur…
Il la baise encore au moins dix minutes et se retire. Elle se met spontanément à genoux. Le suce. Il lui prend la bouche…
— Ahhh !!!!! OUI !!!! Ahhh. Arghhhh. Ah !!!!!!!!!!! Oufff…
Tatiana sent les jets de sperme envahir sa bouche. Elle avale tant qu’elle peut la semence de son baiseur. Il retire sa bite. Elle lui nettoie, prenant soin de bien lécher le gland et d’enlever les dernières gouttes de sperme. Elle se relève, tandis que le maître d’hôtel commence à se rhabiller.
— Tatiana ! En position dos au miroir !!
Il est rhabillé.
— Alors Tatiana ? Comment avez-vous trouvé ce petit intermède avec Georges ?
— C’était très bon Monsieur le président !
— Il vous a bien baisée ?
— Non seulement il m’a bien prise, mais il m’a faite jouir plusieurs fois. J’ai bien aimé être possédée sur la table, devant vous…
— Vous avez aimé qu’il vous prenne dans le cul ??
— J’ai adoré sentir son gros membre dans mon petit trou !
— Et vous Georges, vous avez aimé ?
— Mademoiselle possède toutes les qualités pour donner du plaisir aux hommes, je vous le certifie !
— Vous avez aimé la grimper ?
— Ce fût un plaisir dont je remercie Monsieur.
— Vous avez aimé lui défoncer son petit cul ?
— Mademoiselle est douée pour la sodomie. Son petit trou est délicieux à pilonner si je puis me permettre.
Le PDG mets un billet de 50 euros sur la soucoupe.
— Merci infiniment pour votre prestation, Georges !
— Je remercie Monsieur pour tout.
Il sort.
— Vous pouvez vous rhabiller, Tatiana !! Le spectacle est terminé.
Tandis qu’elle s’habille, il lui parle.
— J’apprécie la façon dont vous vous êtes offerte tout de suite à cet inconnu ! Comme vous lui avez sucé la queue ! Comme vous avez souhaité être sodomisée tout de suite…! Que de progrès !
— En plus, vous avez vraiment jouit à plusieurs reprises en vous faisant royalement sodomiser. Et en participant verbalement à la baise !!
— Quant à lui, il a apprécié fortement d’avoir baisé une jeune ! Il ne doit pas avoir ce genre de pourboire tous les jours. Je l’appellerai pour en savoir plus sur ses impressions…
— Et cette façon dont vous avez avalé son sperme ! Vous étiez charmante, la bite fichée en bouche, déglutissant ces jets de foutre chaud et gluant. Vraiment charmante, les yeux bien fermés…
Ils quittent le salon privé. Passent par la salle de restaurant. Voient le maître d’hôtel qui esquisse un léger sourire en regardant Tatiana.
— Au revoir Mademoiselle et Monsieur au plaisir de votre prochaine visite.
— Merci Georges pour votre…"disponibilité". Je vous appelle cet après-midi.
— Comme il plaira à Monsieur, très bonne journée.
Dans la voiture, le PDG fait le bilan de ce déjeuner de "travail"…
— Délicieux déjeuner, Tatiana. Et vous avez fait un délicieux dessert. Même si vous m’avez agacé tout au début. Quand je vous donne l’ordre de vous déshabiller, vous ne discutez pas, vous obéissez ! Je voudrais que ce soit définitivement compris. Et quelques soient le lieu, les circonstances ou les personnes présentes…
— Je m’excuse encore, Monsieur le président…
— Vous êtes excusée car vous vous êtes largement rattrapée par la suite, en vous offrant sans vergogne au serveur. Et surtout en réclamant de vous-même la sodomie…
— Je sais ce qui vous fait plaisir, Monsieur le président…
— Effectivement. Tout fût parfait. Les préliminaires qui vous ont fait vibrer. La superbe séance de pipe. La baise sur le canapé et sur la table. Vous étiez charmante, sur la table, en train de vous faire défoncer l’anus ! Vraiment charmante.
— Et j’ai pu voir que vous avez vraiment pris du plaisir à être livrée à cette homme, je me trompe ?
— Non Monsieur le président, c’est la vérité. Il m’a faite jouir, et j’ai pris aussi beaucoup de plaisir à cette situation : à me retrouver nue devant lui, lui être offerte totalement, faire l’amour avec lui devant vous et pour vous, être sodomisée devant vous, prenant son sperme dans la bouche et l’avalant. J’ai tout aimé, vraiment. Vous êtes un homme et un patron vraiment super !
— Merci Tatiana. Heureux de vous êtes agréable. Mais je vous ai indiqué que ce n’est qu’un début. Vous vivrez des aventures beaucoup plus hard…
— J’y compte bien, Monsieur le président ! Et j’en ai maintenant très envie…
— Je vous l’avais dis : vous êtes faites pour vivre nue. Vous êtes faites pour le lit. Vous êtes faites pour prendre de la bite, pour sucer des queues, pour vous faire défoncer la chatte et le cul, pour faire cracher des bites !!!