— Baise avec Philippe le mercredi, et quatre hommes d’affilée le jeudi Quelle santé !
— J’ai été en contact avec ces cinq hommes. Je peux vous dire que tous sont très satisfaits de vos services, c’est bien.
— A vrai dire, beaucoup m’ont dit que vous aviez un corps superbe et que jamais ils n’auraient pu imaginer avant pouvoir s’envoyer une pareille beauté !
— Philippe a beaucoup aimé l’après-midi avec vous, et vous baiser devant des voyeurs. Apparemment, ça l’a beaucoup excité !! Il veut renouveler très vite, vous vous en doutez !!
— Les trois mecs que vous avez pris à la suite ont été ravis également. Déjà de devoir avoir recours au dé et au hasard pour déterminer qui allait vous tirer en premier, et bien sûr par votre prestation dans la chambre Ils ont beaucoup aimé les séances de pipes et le fait que votre chatte mouillait vite et bien. Et puis l’effet de groupe a joué sur leur excitation. Une femme qui se donne à trois mecs à la suite, c’est forcément une salope, une pute, non ?
— Le patron du resto a également beaucoup aimé pouvoir vous sauter. Mais il a déploré que vous étiez déjà habillée quand il est venu vous rejoindre. Ca ne lui a pas trop plu d’ailleurs Alors à vous d’arranger ça très vite. Je vous conseille de l’appeler dès la fin de notre entretien, de vous excuser, -trouvez n’importe quelle excuse-, et de lui proposer de passer une nuit entière avec vous
— Mais monsieur le Président.
— Une nuit entière. J’ai dis. Ce n’est pas négociable. Ainsi il aura l’occasion de mieux vous connaître et de faire le tour de votre corps. Car sachez que vous serez amenée à vous donner à lui régulièrement N’oubliez pas qu’il héberge vos ébats avec les routiers !
— Concernant les routiers, vous continuerez, un après-midi par semaine, à vous rendre au relais des Minots pour vider les couilles de ces messieurs de la route. A chaque fois, entre quatre et six, toujours d’affilée bien sûr. Et ensuite, surtout, n’oubliez pas les câlins avec le patron.
— Pour Philippe, c’est moi qui déterminerai la fréquence des ébats. Je pense qu’il faut le laisser un peu sur sa faim en espaçant les rencontres, que ce ne soit pas régulier, qu’il devienne bien jaloux, et surtout que l’attente décuple ses envies.
— Et puis comme vous avez bien satisfait les trois routiers, je pense qu’il est très urgent de vous passer en mini-gang bang, en soirée avec les trois à la fois. Ils ont très envie de vous, et je pense qu’ils vont sacrément apprécier de pouvoir vous sauter tous ensemble, ce qui multiplie les combinaisons !
— Voilà donc mademoiselle un programme déjà chargé, sans compter ce qui vous attend dès votre prise officielle de fonctions la semaine prochaine. Vous avez quelque chose à ajouter ?
— Euh Monsieur le Président, n’est ce pas trop d’hommes, de rapports rapprochés ?
— Cinq hommes en deux jours, dont quatre à la file, on ne peut pas dire que j’ai à faire à la vierge de l’année, non ?? Vous aimez le sexe et ça s’est prouvé. Alors vous obéissez et vous baisez.
— Oui monsieur le Président, j’ai bien compris.
— Très bien.
— Vous savez, il faut que vous compreniez une chose, Tatiana. Vous êtes faite pour le lit, et vous êtes faites pour vivre nue !
Le PDG sert un café.
— Tatiana, levez-vous s’il vous plaît.
La jeune femme s’exécute.
— Déshabillez-vous.
Pas surprise, Tatiana retire sa robe et apparaît en sous-vêtements face à son PDG, assis derrière son bureau.
— Vous gardez le porte-jarretelles, les bas et les chaussures.
Plus que le soutien-gorge et le string à enlever, ce qui est rapide.
— Très bien. Vous êtes réellement magnifique !
— Ce serait un véritable crime contre l’érotisme de ne pas faire profiter hommes et femmes d’un corps pareil !
— Quand je regarde votre petite chatte et que je pense qu’en deux jours, elle a vu entrer cinq nouvelles bites. Il y a de quoi s’exciter.
Il la fait tourner, marcher.
— Vos baiseurs ont raison, votre cul est magnifique, vos seins également, vous avez tout pour plaire.
Elle est à nouveau face à lui lorsque l’on frappe à la porte.
— Entrez !!
Tatiana est morte de peur. Qui va entrer et la trouver en cette tenue. Elle a bientôt la réponse.
— Entrez Philippe !!
— Vous tombez bien. J’étais justement en train d’examiner Tatiana. A vrai dire, je ne m’en lasse pas.
Le vaguemestre détaille la jeune femme de bas en haut. Libidineux.
— Vous allez me chercher mes billets d’avion à l’agence, mais avant j’ai une mission à vous confier, Philippe.
— Oui monsieur le Président ?
— Baisez-la.
On sent sa surprise.
— Quand ? Où ça ?
— Eh bien tout de suite, là, maintenant !!
Il dépose sa sacoche à courrier et enlève sa veste.
S’approche de Tatiana.
— Viens ici, toi !
S’approche encore et écrase ses lèvres sur celles de la jeune femme.
Qui est bien obligée de participer. Le baiser dure longtemps, langoureux.
Il passe ses mains sur les fesses à Tatiana. Les caresses. Puis se met à lui sucer les tétons.
Au bout d’un moment, elle soupire. Ce qui semble lui plaire.
— Assieds toi sur le fauteuil !
Il la regarde. Enlève ses chaussures. Sa chemise. Son pantalon. Sa chemise. Ses chaussettes. Le slip suit. Il bande.
— Ecarte bien tes cuisses !
— Mieux que ça !!
Il s’agenouille. Embrasse le ventre. Puis se met à lui lécher le sexe.
Tatiana se met à soupirer. Puis ne peut s’empêcher de gémir. Sous le regard de son patron.
Au bout d’un moment, il se relève.
— Lève-toi et mets toi à genoux !
Tatiana commence ce qu’on lui suggère de faire.
— Ahh oui.Suce moi bienOui, comme çaAhhh..
Tatiana s’active.
— Oui salopeTa langue sur le gland Allez ! Ta langue sur le gland.
— Oui, comme ça, c’est bien, oui.
Le sexe dressé devient écarlate sous les caresses buccales.
— Ca suffit ! Je vais te prendre !
— A quatre pattes sur la moquette, vite !
Tatiana obéit, visage face à son PDG.
Philippe la rejoint bientôt. La morsure du sexe dur. Le gland qui pénètre.
— AhhhSalope ! Elle est bonne ta chatte !!
— Tu en veux ? Je vais t’en donner, moi, de la queue !! TiensTiens Prends la bien.
Il la prend fort, en rythme.
Tatiana se met à gémir, puis à crier sous les coups de boutoir.
Au bout de dix minutes de pilonnage, il se retire.
Va s’asseoir sur le fauteuil.
— Viens t’empaler sur ma bite ! Dépêche-toi !!
La jeune femme, face à lui, grimpe sur le fauteuil, et se laisse descendre sur le pieu de chair.
La prenant aux hanches, il imprime le mouvement de va et vient .
A chaque fois, Tatiana est empalée à fond. Ses lèvres frappent les couilles.
— Oh putain, ça glisse bien Tu mouilles bien, salope ! T’aimes ça, hein !!!
— Oui Philippe, j’aime ça ! J’aime votre grosse queue
— Oh putain mais tu m’excites grave, petite pute, va !!!
Il se retire, la repousse, se lève.
— Viens ici ! Allonge-toi sur le bord du bureau !
Elle se met en position.
Il la pénètre, lève ses jambes.
— Je vais te "finir", salope !!
Il la lime en cadence.
Soudain, il accélère
— AHHH ! Ahhh.ah.Tiens Prends tout petite pute Prends mon foutre dans la chatte. Tiens..
Il se retire. C’est fini. Ou presque.
Il présente son sexe dressé à hauteur du visage de la jeune femme.
— Nettoie moi la queue ! Dépêche toi !
Tatiana doit obéir. Et suce le sexe souillé. Donne un dernier coup de langue sur le gland.
Philippe se rhabille.
— Purée monsieur le Président, elle m’a bien vidé les burnes ! Une vrai professionnelle on dirait !!
— Mon cher Philippe, avec Tatiana, vous m’avez offert un joli spectacle, je vous en remercie.
Tatiana se relève.
Le PDG ouvre un tiroir, lui tend un paquet de lingettes intimes.
