Un samedi soir, vers 22h, mon amie et moi rentrons d’un cinéma pas franchement génial, ça arrive ! C’est tout juste si on s’endort pas dans le tram pour rentrer à mon appartement. Moi, je sais bien ce qui pourrait sauver cette soirée, mais je crains que la fatigue aidant, les ardeurs de ma copine ne suffisent pas à la maintenir éveillée suffisamment longtemps. Il reste encore quelques arrêts, et ensuite quelques centaines de mètres à marcher pour trouver une solution, le samedi ne va tout de même pas se terminer aussi piteusement !
Arrivés sur le palier de l’immeuble, une idée enfin ! La belle bouteille de Tequila qu’un ami nous a rapportée du Mexique, et que depuis quelques semaines déjà on se promet de goûter. Lorsque je la vois s’affaler sur le canapé du salon, je me demande si mon idée est si lumineuse que ça ? C’est un peu surpris donc que je la vois entrouvrir un ?il lorsque je lui parle de la bouteille. Du coup, je m’empresse d’aller couper quelques rondelles de citron, de préparer du sel, et de ramener les deux très beaux verres à Tequila au salon. En moins de deux secondes, la première tournée est descendue, avec pour chacun la même grimace et la même boule de feu en direction de l’estomac ? Mais il faut bien passer par là, les suivantes passeront mieux. Je remplis les verres à nouveau, dispose le sel dans le creux du poignet de ma copine, fait de même pour moi, et hop, voilà que les verres sont à nouveau vides.
J’ai comme l’impression que ces deux tornades l’ont réveillée. Elle a pris des couleurs, et son superbe sourire illumine son visage. Elle dit que la Tequila est décidément beaucoup trop forte pour elle, mais tout en parlant, c’est elle qui remplit les verres pour la troisième fois ! Ce verre passe tout seul cette fois, une douce chaleur envahit nos corps en même temps que je me mets à la désirer ’ sérieusement ’. Elle porte un chemisier blanc très fin et simple avec deux boutons décrochés, et une mini-jupe bleu marine. Elle se met à rire en se penchant en arrière, dévoilant le triangle de son décolleté tout rougeoyant de sa chaleur. Je devine sa poitrine, ses seins petits mais d’une harmonie sans pareille, ses têtons gonflés, ? Elle les trouve trop petits et n’arrête pas de chipoter là dessus. A force de voir le plaisir que ces deux-là me procurent, elle pourrait enfin comprendre qu’ils sont parfaits, et que les prendre et les caresser en n’importe quelle circonstance sont l’une de mes plus grandes satisfactions ! Son sourire est aussi devenu plus coquin, je suis persuadé maintenant que je m’endormirai ce soir avec le bas du ventre plus léger ?
Après la quatrième tournée, je sens que mes yeux sont un peu embués quand je me dirige vers ses lèvres pour l’embrasser. Ma langue est aussi comme endormie, raison de plus pour un fougueux baiser. Elle se relève, s’excuse avec un sourire diabolique qui n’arrange en rien la tension dans mon caleçon, et se dirige vers les toilettes. Quand elle revient, elle s’installe à califourchon sur moi et c’est reparti pour toute une série de baisers. Je caresse ses cheveux, son cou. Je sens que je suis un peu brusque, mais ça n’a pas l’air de la déranger, au contraire, elle aussi est sous le coup de 4 tequilas. Je lui ouvre encore un bouton et voit qu’elle a ôté son soutien-gorge aux toilettes, encore un bouton, et je distingue très bien la vallée entre ses seins. Avant que j’aie pu me ruer dessus, voilà qu’elle se jette à côté de moi et qu’elle remplit les verres une cinquième fois.
Elle glisse sa main dans mon pantalon et pousse un petit cri en ’ découvrant ’ mon excitation. Comme s’il pouvait en être autrement dans une telle situation ! Tout au début de notre relation, j’avais voulu faire le pari qu’elle ne me verrait jamais nu autrement que le sexe en érection (comme nous n’habitions pas ensemble, je pensais que ce ne serait pas trop difficile à tenir). Mais elle a réussi à m’avoir un jour alors que j’arrivais chez elle, j’avais à peine ouvert la porte que j’ai senti une ’ furie ’ se jeter sur moi, m’arracher littéralement tout ce qui la gênait pour ’ avaler ’ mon pénis tout surpris et flasque. Elle l’avait entièrement dans sa bouche et je voyais à la lueur dans ses yeux qu’elle jubilait. Après quelques secondes pour reprendre une taille plus honorable, j’ai aussi jubilé à mon tour, malgré la perte du pari !
Habilement, elle fait sauter les boutons de la braguette un à un, et déploie enfin mon sexe qu’elle embrasse. Comme chaque fois, elle attend de pouvoir lécher la première goutte de sperme et quand c’est fait, elle a tout à coup envie de faire la ’ folle ’. Elle prend en riant des rondelles de citron déjà mordues dedans et les passe comme autant d’anneaux sur ma verge. J’adore la voir ainsi ’ espiègle ’ ? Avec encore un bouton ôté, ses seins ne sont plus dissimulés. Pendant que je m’occupe d’eux, elle remplit encore une fois les deux verres. Et elle a encore une idée lumineuse lorsqu’elle décide de vouloir tremper mon gland dans son verre. Bien sûr elle n’y arrive pas, mais s’entête. Voir et sentir sa main manipuler ainsi mon sexe me ravit. Je lui fais remarquer que le verre est beaucoup trop petit et elle me répond que c’est ma queue qui est trop grosse. Voilà le genre de paroles ingénues et apparemment anodines qui, prononcées au bon moment par la fille qu’on aime et qu’on veut combler, provoquent une réaction instantanée.
Les verres attendront, je me ’ jette ’ sur ce corps en face de moi. Je n’ai pas trop de ma bouche et de mes mains pour la caresser et lui lécher le cou, la gorge et les seins. En lui saisissant les fesses, je vois qu’elle avait aussi retiré sa petite culotte aux toilettes avant. La chaleur de sa chatte irradie tout son entre-jambe. C’est tellement mouillé qu’il n’y a aucun frottement quand je lui caresse les lèvres. Brutalement, et maladroitement aussi, je me couche sur le dos et la fais s’asseoir sur mon visage et je prends toutes ses parties dans ma bouche. A ses mouvements du bassin, et ses gémissements, je devine que ça lui plaît. Je continue à la pénétrer de ma langue de plus en plus fort. L’alcool mêlé à sa mouille m’enivrent encore plus. J’ai l’impression que ma mâchoire est endormie, c’est une raison de plus pour la lécher de plus en plus fort, à la limite de la crampe pour moi ! J’ai la bouche pleine de son jus que je suis obligé d’avaler. Elle se met à crier et ses mouvement deviennent de plus en plus agités, mais je lui tiens solidement le bassin. Finalement elle parvient à se retirer.
Elle se retourne vers moi et, péniblement mais en souriant, essaie de me dire qu’elle a eu un orgasme. Je vois son regard redescendre de mes yeux sur mon sexe gorgé et violacé qui n’en peut plus de se tendre vers elle. Elle l’empoigne vigoureusement dans sa main et se met à le caresser très fort, c’est ce qu’il me faut. Sa main semble minuscule, et quand elle appose sa seconde main sur la première, il n’y a plus que le gland qui émerge à chaque mouvement. Une intense sensation de bien-être prend la place du peu de lucidité qui me restait. Une sensation purement physique de bonheur total et primitif. Je suis encore sur le dos lorsqu’elle s’empale sur ma bite et fait de rapides mouvements de va-et-vients sans me quitter des yeux. Ses seins se balancent au dessus de mon visage, et j’essaie vainement de les happer au passage avec ma bouche. Rapidement, elle a encore un orgasme et se couche toute secouée à côté de moi.
L’alcool et le fait que je la désirais depuis tellement longtemps font que je n’ai toujours pas joui. Elle en est désolée et essaie de me caresser avec sa main, mais je sens qu’elle n’a plus aucune force ou énergie. J’essaie de prendre le relais moi-même, mais je suis aussi exténué et je vois que je ne parviendrai à rien. Ensuite, c’est le trou noir ? On a dû s’endormir sans se souhaiter une bonne nuit ! Le lendemain matin, on s’est réveillés chacun avec un mal de tête carabiné parmi les effluves de tequila, mais ? heureux !
Quelques années après, on s’est séparés. Ca a été une perte terrible pour moi. Probablement que nous n’avions pas su répéter suffisamment souvent ces petits extras qui font toute la différence, pourtant ce n’est pas compliqué !