J’entend une voiture arriver dans la cour. Des pas de gens qui viennent vers chez moi. Je reconnais le medecin de l’hopital. Il m’ausculte rapidement et me dit que j’ai une belle crise de paludisme. Il me fait une piqûre et me conseille de prendre un comprimé de nivaquine toute les quatre heures.
Ma somnolence reprend le dessus.
***/***
Lala ’attaque’ la première en me demandant où j’ai passé la nuit. Je lui répond gentillement, mais fermement que je n’ai pas de comptes à lui rendre, à ses soeurs non plus d’ailleurs.
J’ajoute que Théo m’avait mis au courant de leur petite combine et du chantage de Lalaina. Soamazava a compris et explique à la petite.
Toutes trois baissent la tête un peu honteuses. Je leur demande de ne pas trop s’en faire, que je n’étais pas fâché. J’omet d’ajouter ’bien au contraire…’
Pour détendre l’atmosphère, je leur propose de faire un pique-nique. Elles sautent de joie à cette proposition. Lala propose une cascade qu’elle connait à peu de distance du village et suggère de vite faire un peu de cuisine. Soamazava part à la boutique pour de menus achats, et Lalaina courre chez ses parents pour les mettre au courant de nos projets. Je reste seul avec Lala. Elle me dit qu’elle aime beaucoup la fiancée de Théo, qu’elle était au courant de son souhait, et elle est contente que j’aie pu la satisfaire. Elle me demande des détails que je refuse de lui donner. Inutile de risquer de la voir devenir jalouse.
Juste avant que ses soeurs ne reviennent, elle me demande de prendre mon savon et de le mettre dans une soubique. Elle y ajoute son flacon d’huile et deux de mes serviettes.
Après une dernière vérification de nos affaires, nous quittons la maison.
Au début le chemin est bien tracé et la marche agréable. Lala et Soamazava portent les soubiques en équilibre sur leur tête. Leur démarche est admirable. Leur corps ondulent avec un joli déhanchement, mais leur têtes restent droites. Un manequin professionnel ne ferait pas mieux… La petite Lalaina gambade joyeusement et je ferme la marche. La végétation devient de plus en plus dense autour de nous, et le chemin de plus en plus étroit. Dans les passages difficiles la petite me tend sa main pour me secourir. Elle ne réalise pas que si je tombais, elle tomberait avec moi…
Après environ une heure de marche nous pouvons enfin entendre le bruit de la cascade. Nous ne fûmes en mesure de la voir qu’après dix autres minutes de marche.
L’endroit était d’une beauté fabuleuse. La chute d’eau faisait environ vingt mètres de haut. Le bassin de réception formait un étang d’une trentaine de mètres de diamètre. Il était impossible de voir d’ou l’eau s’échappait de cet étang, tant la végétation était luxuriante sur les bords. L’eau était d’une pureté telle que l’on voyait parfaitement le fond sous quelques deux mètres d’eau au maximum.
Une petite plage naturelle permettait de rejoindre le bord de l’eau et avait quatre ou cinq mètres de large. Après avoir déposé nos baluchons nous nous asseyons sur le sable grossier.
’C’est dommage qu’il n’y ait pas une case ici, j’y passerais bien la nuit.’ Lala prit la balle au bond : ’Tout seul ?’, ’Non, pas tout seul…’, ’Avec qui alors ?’, ’Devines…’ Cela les fit rigoler.
Lalaina demande à sa grande soeur si elle peut se baigner maintenant. Elle a l’accord demandé. Elle commence à se débarasser de sa culotte, puis de sa robe. Malgré ses quatorze ans, elle a déjà un corps de femme, corps en miniature certes, mais corps de femme avec tout ce qu’il faut ou presque.
Une fois dénudée elle fait devant moi quelques mouvements du croupion, et se précipita dans l’eau. Les deux autres filles se précipitent sur moi dans un bel ensemble. Elles m’allongent de force sur le sol et en me maintenant plaqué, se mettent à me déshabiller. Je ne résiste pas, trouvant le match trop inégal.
Une fois mit totalement à poil l’une prend mes mains, l’autre mes pieds et me soulevant me portent jusqu’au bord de l’eau. Après quelques mouvements de balancier, elle me précipitent dans l’eau. Elle est presque chaude. Je me laisse couler pour profiter de l’étreinte de l’eau, jouissant du contact avec le liquide. Lorsque je remonte à la surface, la tête de la petite est toute proche. Me retournant, je vois les deux grandes se déshabiller à leur tour. Je suis ébahi par la beauté de leurs corps. De vraie déesses. Je les avais déjà vues nues, mais à la lumière de lampes. Sous la lumière du soleil au zénith en région tropicale ces corps ont quelque chose de divin…
Lalaina, un peu jalouse de ne pas bénéficier de mon attention se jette sur mon cou et se colle sur moi. Ses deux seins minuscules s’écrasent sur mon dos. Puis les deux grandes s’approchent, près, tout près de moi, à me toucher.
Sentant l’objet durcir, Soamazava plonge la tête sous l’eau pour commencer une fellation. Lorsqu’elle doit reprendre son souffle, Lala la remplace. Pendant qu’elles se relayent Lalaina passe devant moi pour que je puisse lutiner sa poitrine naissante. J’ai pied, mais de l’eau jusqu’au cou. Je pousse Lalaina de façon à lui faire faire la planche. Puis lui écartant les jambes, je met ma tête contre son pubis glabre. Je commence à rentrer ma langue dans son vagin. Elle couine de plaisir, mais a beaucoup de difficultés à maintenir sa tête hors de l’eau. J’essaye de mon mieux de l’aider, mais la fellation administrée par ses soeurs me déstabilise au propre comme au figuré.
Fatiguées, les deux grandes cessent la fellation, abandonnant ma bite engorgée flottant entre deux eaux. Je lâche Lalaina qui se colle immédiatement sur moi à nouveau. Elle sent mon érection sur ses jambes, et tente de s’empaler. Mais sa trop petite taille ne lui permet pas de le faire sans mettre la tête sous l’eau. Ayant remarqué de l’autre côté de l’étang une pierre pouvant servir de siège, je prend Lalaina dans mes bras, et tout en la soutenant je nage vers l’autre côté. Bien que n’ayant pas peur, la gamine n’est pas rassurée. Elle se détend quand je m’assied sur la pierre. Elle se place sur mes genoux, et là je réussi à la pénétrer. Cette pénétration n’est pas très facile. L’eau qui lave nos mouilles est un moins bon lubrifiant. Elle subit mon invasion sans douleur apparente. Une fois complètement enfoncé en elle, je la baise en la levant et en la laissant retomber. Comme nous somems dans l’eau jusqu’au épaules, son poids apparent est faible, et je peux la mouvoir facilement. Elle n’est pas longue à venir. Comme je ne veux pas éjaculer en elle, je me retire juste avant que mon sperme jaillisse, faisant un long filament blanc qui monte à la surface comme une fusée de quatorze juillet. La posant sur la pierre à la plece que j’occupais quelques instants plus tôt, je fais semblant de m’éloigner d’elle en nageant. Elle se met à crier. Je m’arrête au milieu de l’étang pour dire à ses soeurs que je la laisse là pour être plus tranquille evec les grandes. Elle a visiblement très peur. Je reviens la chercher et nous retournons vers le point de départ. Ses soeurs la prennent par les mains pour les derniers mètres.
Comme c’est l’heure de manger nous le faisons de bon appétit. La petite étant très fatiguée s’endort juste après son repas.
J’avais aussi l’envie de faire la sieste, mais un problème se posait. Comme Lala n’avait pris que deux serviettes de bain, que l’une était prise par la gamine, il n’en restait qu’une. Et elle était déjà juste pour deux, donc carrément trop petite pour trois. Soamazava trouva la solution. Lala se coucherait à côté de moi, et elle sur moi. Je souris en lui disant : ’Oui, mais on dort !’ Comment arriver à dormir avec deux beautés sculpturales, l’une à côté, l’autre sur soi ? Si vous trouvez la solution, dites le moi…
Ne trouvant pas la réponse à cette question, au lieu de perdre du temps à y réfléchir, j’agis. Embrassant tour à tour l’une puis l’autre, mes mains courent d’un sein à l’autre et d’une moule à la seconde. Me levant en poussant Soamazava sur le côté, je demande qu’elles s’allongent toutes les deux. Puis me couche sur elles deux, chacune héritant d’une moitié de mon corps.
Ce fut plus aisé de passer d’une bouche à l’autre, et de les caresser ensemble. C’est tout juste si elles ne se disputaient pas la possession de ma bite…
Après avoir joué un long moment je leur demande de se mettre cote à cote sur les genoux. Je me place derrière elles et peux les pénétrer, l’une après l’autre. Je les emmanche alternativement jusqu’à la garde chacune. Elles mouillent beaucoup. Je crache un peu de salive sur les deux petits trous que je vois en gros plan. Je commence par tenter de percer la pastille de Soamaeava. Etant plus jeune elle a un sphincter moins habitué à cet exercice. Je suis surpris de la facilité avec laquelle je peux la sodomiser. Après un aller simple à mi-chemin, je remplace ma bite par un doigt, et entreprend Lala. Son cul est perforé tout aussi facilement. Je l’honnore de plusieurs allées et venues avant de la reboucher d’un doigt et reprendre sa soeur. J’ai quatre trous à ma disposition et je les visite alternativement.
Le grand jeu dure longtemps. Comme je me suis déjà épanché dans l’eau, il me faut du temps pour reconstituer de quoi les asperger. Je demande laquelle veut jouir en premier et se faire mouiller par ma semence. L’aînée se dévoue pour laisser la place à sa cadette.
J’entreprend donc de besogner Soamazava seule. Je la pénétre d’un coup dans son vagin en lui demandant de s’allonger. Je la besogne ensuite jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir et que je lui envoie un long jet de sperme dans son con.
Lala, allongée sur le dos, m’attend patiemment. Dès que j’ai fini de juter en Soamazava, je me lève pour enjamber Lala et me planter en elle. Pendant que je la pistonne, elle relève ses jambes pour augmenter la pénétration. Elle jouit une première fois avant que je ne sois près à lui jeter ma semence. Je continue à la pistonner, et un long moment après je me sens au bord de l’explosion. Elle recommence à exulter quand je réussis à éjaculer en elle. Mon gland poussé avec puissance tente de forcer un passage dans son utérus. Je crois qu’une fois de plus j’injecte ma semence directement dedans…
Je suis épuisé, vidé, je reprend mon souffle pendant qu’elles se partagent la toilette de ma bite avec leurs bouches. Puis elles se lèvent pour aller dans l’eau faire un peu de toilette. Je devine leur retour en instant plus tard. Lala se couche à côté de Lalaina, Soamazava à côté de moi. Elle met sa tête sur mon épaule, sa main sur mon sexe. Et je sombre dans un sommeil réparateur.
Je me réveille tout en sueur. Le soleil avait tourné, et je suis sur le point de rôtir. Lala est penchée sur moi et me sourit. Soamazava dort encore, et la petite Lalaina fait la vaisselle, penchée en avant, montrant ses fesses.
Lala caresse distraitement mon sexe et, désignant la gosse de la tête, me dit : ’Pourquoi ne vas-tu pas l’enculer, regardes comme elle t’offre son cul…’, Je lui répond qu’elle était bien trop jeune, et bien trop petite. Que cela nous ferait mal à tous deux, et le risque de la déchirer est beaucoup trop grand. ’Par contre, j’aime beaucoup quand elle me suce, Elle est délicieusement maladroite encore…’ ’Fais semblant de dormir, tu vas voir !’
Lala se met à me masturber et une belle érection récompense vite son travail. Puis elle appelle Lalaina lui demandant de regarder et de venir. ’Attention, il dort’ lui dit-elle. Je sens ma verge gobée par une bouche. La caresse est un peu maladroite, mais agréable en diable. La gosse s’active, et comme elle salive beaucoup, elle laisse échapper de temps en temps des bruits de bouche. Je fais semblant de me réveiller, et remercie Lalaina de la façon dont elle me traite. Elle hoche la tête, sans lâcher son butin, en signe d’acquièssement. Cela a comme effet de faire frotter mon gland sur son palais d’abord, sur sa langue ensuite. Mon plaisir en est augmenté. Elle est de travers sur mon corps. Je tente de caresser ses fesses, mais elles sont trop loin. Sur les conseils de Lala, elle tourne pour me présenter son petit vagin. Je me met à lècher sa fente. Je découvre un tout petit clitoris que je me met à agacer. Petit mais déjà sensible ce clitoris. L’excitation causée à son petit membre la fait roucouler. Sa fellation en est stimulée.
Lorsque Lalaina se met à jouir, elle suce très fort ma bite. J’éjacule dans sa bouche. Les turpitudes de la nuit et de la journée expliquent que je ne lui donne que peu de sperme. Elle s’en contente sans mot dire.
Puis je décide d’aller dans l’eau, pour me rafraîchir et me détendre. Soamazava se réveille au moment où j’entre dans l’eau.
Lala propose à ses soeurs d’aller chercher quelques fruits pendant que je me délasserais… Soamazava dit qu’elle préfére rester avec moi. Avec un grand sourire Lala et Lalaina s’habillent et s’éloignent dans les fourrés.
Soamazava s’assied sur le bord de l’étang et me regarde nager. Je lui demande pourquoi elle ne vient pas. ’Je ne sais pas nager.’ Je lui propose de le lui apprendre. Elle entre dans l’eau et lui donne quelques explications sur la manière dont je vais procéder. Passant de la théorie à la pratique je lui demande de s’allonger sur le dos, raidir son corps, pendant que je tiens sa nuque. Pas très rassurée, elle fait la manoeuvre. Elle est contractée, anxieuse. Je lui demande de se détendre un peu, et pour l’aider, je met mon autre main sous ses fesses. Se sentant soutenue, elle relache un peu sa tension. Je lui dis de faire de petits mouvements avec les pieds et lâche ses fesses. Elle constate qu’elle avait moins tendance à couler et qu’elle avance dans l’eau. Elle fait deux tours sur elle-même, avant que je la prévienne que je vais la lâcher. Elle proteste un peu, mais quand je la lâche en direction du bord, elle s’éloigne lentement de moi. Elle ne coule pas, et doit s’arrêter au moment ou sa tête rencontre la berge de l’étang. Elle rit à son exploit. Elle est heureuse.
Pour l’etape suivante je lui explique comment nager en étant allongée sur le dos. En élève douée, elle ne tarde pas à se maintenir en surface et à avancer avec un style qui ressemble plus à celui d’un médor que d’une championne olympique. Je dois lui déconseiller une tentative de traversée de l’étang.
Pour me remercier elle me donne un long baiser bien humide, mais qui n’avait rien à voir avec l’eau dans laquelle nous trempions… ’Je voudrais que tu me baise encore.’ ’Vous allez finir par avoir ma peau !’ ’J’aimerais que tu me prennes dans l’eau, ça doit être bon, tu l’as bien fait à Lalaina’ dit-elle avec un ton de reproche.
Elle se met à stimuler ma verge avec sa main, et je me stimule tout seul en regardant son corps, ses seins, ses fesses. Ma verge étant durcie, elle s’y empale avec délectation. Nos mouvements de baise font des ondes dont le clapotis la fait sourire. Je ne réussi pas à éjaculer avec son premier orgasme. Je dois continuer à la besogner longtemps avant de réussir à vider mes couilles dans sa fente. Elle a un orgasme de plus en se sentant remplie de sperme.
Se séparant de moi, elle fait la planche, profitant des leçons qu’elle venait d’avoir. Ayant découvert que des mouvements de bras suffisent pour ne pas couler et qu’il est possible de se diriger, elle fait de la nage stationnaire, les jambes écartées. Subitement elle voit du sperme s’échapper de son vagin et s’étirer en filaments dans l’eau. Se mettant sur le ventre, elle approche doucement se tête d’une brasse et l’avale avec un peu d’eau. ’Humm, c’est bon !’
C’est à ce moment que les deux autres arrivent les mains pleines de mangues. Nous allons pouvoir prendre un bon goûter.
Vers quatre heures de l’après-midi, nous reprenons le chemin de la maison.
Les parents nous attendent, et après le repas je retourne seul pour me coucher, et savourer une bonne buit de sommeil.
Le lendemain Théo et moi montons dans un taxi pour rentrer à la ville. Ses trois soeurs et sa copine sont venues nous dire au revoir. La copine semblait moins triste, elle avait au moins la certitude de revoir Théo. Les trois soeurs sont au bord des larmes, car elles ont la certitude de ne pas me revoir. J’ai le coeur un peu serré en les regardant. Je m’efforce de leur sourire en leur faisant des signes d’adieu avec la main.
’Elles sont très tristes’, me dit Théo. ’Elles m’ont raconté… Elles ont été heureuses pendant les vacances.’
Bien plus tard j’eu l’occasion de vérifier que Théo n’avait parlé à personne de mes vacances avec ses soeurs.
***/***
Je me réveille en sursaut. Théo est à côté de moi, l’air inquiet. ’L’on m’a dit que vous êtes malade…’, ’C’est une crise de palu!’, ’Vous avez d^oublier de prendre votre nivaquine, et vous avez souvent dormi sans moustiquaire…’ Effectivement, l’emploi du temps de ces vacances avait permis que l’on prenne soin de moi, que je prenne soin des soeurs et de la copine de Théo, mais ne m’avait pas laissé de temps pour que je prenne soin de moi ! Je venais de me payer une crise de paludisme. La seule que j’eu pendant mon séjour.
Lors d’un voyage d’agrément, une quinzaine d’années plus tard, je revis Lala dans une boutique. Elle me reconnu tout de suite. J’eu plus de mal, tant elle avait grossit. Elle avait épousé un de mes anciens élèves, un ami de Théo. En faisant quelques pas elle me dit avoir quatre enfants de lui. Elle ajouta que souvent elle pensait encore à moi, quand elle subissait les assauts de son mari… ’Dommage que nous ne puissions pas faire l’amour ensemble une dernière fois…’ Elle ajouta que plus jamais elle ne s’était fait assaillir par un homme lui ayant donné autant de plaisir que moi.
Avant de se marier, elle avait eu un autre amant français, mais c’était une vraie brute qui ne faisait que la sodomiser. Elle avait finalement accepté l’idée que le mieux pour elle serait un mari de son pays.
Théo avait abandonné sa copine, en lui laissant deux enfants, dont l’un avait la peau assez claire…, et qu’il était parti vivre dans le sud du pays.
Elle me parla aussi de Soamazava qui était mariée également, mais n’avait pas d’enfants. Lalaina était morte peu de temps après ses dix-sept ans, en mettant au monde un enfant mort-né, elle n’avait jamais voulu donner le nom du père…
Et Lala repartit vers son destin.