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Thomas et son père – Chapitre 6

Thomas et son père - Chapitre 6



D’un regard charmeur, papa me baratine en me faisant la cour. J’adore ce jeu !

Tout en l’écoutant avec attention, je croise et décroise les jambes en réajustant ma robe sur mes bas, avec des attitudes extrêmement féminines. Ça ne lui échappe pas, eu égard au regard qu’il pose sur mes cuisses gainées.

Il me propose en souriant :

Voulez-vous m’accorder une danse ?

Vous savez, mon père n’apprécierait pas. Il se fâche quand des hommes m’approchent…

Papa sourit à ma réplique de jeune fille effarouchée et se lève pour me prendre la main.

Faussement résignée, je le suis jusqu’au milieu de la pièce. Quand il m’enlace pour se saisir de ma taille, je manque de défaillir tant mon émotion est forte.

Heureusement qu’être sur des hauts talons ne me gêne absolument pas pour danser dans ses bras.

Il me glisse à l’oreille :

Vous êtes absolument charmante, Mademoiselle.

Merci, Monsieur, je vous trouve charmant également… Mais, chut, mon père pourrait nous entendre !

Alors, allons dans l’autre pièce.

Tout en continuant de danser, il me guide vers la salle à manger. Après avoir franchi le seuil de la pièce, il en éteint la lumière et devient plus pressant à mon égard. Je me libère de ses bras pour me pencher et faire semblant d’observer la pièce que nous venons de quitter.

Oh, Monsieur, soyez prudent, on pourrait nous surprendre !

Ne vous inquiétez pas pour votre père, il ne peut pas nous voir.

Vous êtes sûr ?

En guise de réponse, mon courtisan me plaque sa main au cul et son doigt glisse dans ma raie.

C’est délicieux ! Toutefois, il va trop vite alors que je préfère faire durer le plaisir.

Je me débats prestement et me réajuste en singeant la pucelle offusquée.

Comme vous êtes empressé, Monsieur !

Vous êtes si jolie que je ne puis résister !

Il me sourit et me tend les bras.

Nous reprenons notre danse et il en profite pour se coller de plus en plus à moi, tout en m’embrassant dans le cou. D’une main dans le bas du dos, il m’écrase contre lui et je ne peux ignorer combien son membre est dur.

Le mien l’est tout autant, enserré dans ma culotte.

Je souffle :

Oh Monsieur, vous me troublez…

Vous aussi Mademoiselle !

Il s’ingénie à frotter son phallus sur le mien et, cette fois, c’est moi qui m’embrase.

La chaleur, puis le feu gagnent mon corps qui pourtant tremble d’émotion de la tête aux pieds

Je cherche ses lèvres et après un long baiser, je feins de me reprendre pour lui dire:

Oh ! Mon papa nous a vus nous embrasser ! Il va être très fâché contre moi ! À coup sûr, il va me punir…

Ah bon ? Vous punir ? Comment ?

Il va me donner une grosse fessée, probablement.

Dans ce cas, il vaut mieux que je vous laisse, j’espère vous revoir prochainement.

Moi aussi Monsieur.

Dis-je en lui frôlant de la main la braguette déformée par son érection.

J’attends quelques minutes avant de le rejoindre dans sa chambre.

Quand j’y pénètre, je suis surprise de sa posture.

Il m’attend de pied ferme, mains sur les hanches, dans une attitude fâchée.

Il est quasiment nu et ne porte qu’un string léopard, que je ne lui connaissais pas.

Son sous-vêtement est totalement distendu par sa verge dressée.

Il me grogne :

Dis donc toi ! Je t’ai vue tout à l’heure avec ce type !

Je suis désolée papa.

Tu sais que je vais te punir ?

Oui papa, car je le mérite.

Ce nouveau jeu entre nous m’excite terriblement. Sans bien savoir pourquoi, j’ai envie de recevoir une fessée. Je n’en ai jamais reçu durant mon enfance, mais là…

Rien que d’y penser, je bande comme un âne et il s’en rend bien compte quand je quitte ma robe pour lui faire face. Il s’assied sur une chaise et je m’allonge en travers de ses cuisses, les mains posées au sol et le postérieur offert.

Il me donne une toute petite claque sur la fesse, il veut bien jouer, mais pas aller trop loin. Il ne souhaite pas vraiment me faire mal…

Je minaude :

Tu sais papa ? Le Monsieur de tout à l’heure m’a embrassé.

Comment ça ? Tu t’es laissé embrasser ?

Oui et j’ai aimé ! Ce n’est pas bien n’est-ce pas ?

Oh toi, tu vas me payer ça !

Cette fois, il comprend bien que je l’incite davantage à me frapper fort, plus que de me caresser le derrière.

Je reçois trois claques sur chaque fesse.

Tu sais papa ? Il m’a aussi mis un doigt dans le derrière.

Comme ça ? Il glisse son majeur le long de ma raie.

Oui, j’ai bien aimé, ce n’est pas bien, n’est-ce pas ?

En guise de réponse, il me frappe plus fort et plus longtemps. Mes fesses cuisent tant elles sont battues par ses grandes mains. Je crie à chaque coup, mais je bande atrocement, le gland écrasé sur sa cuisse.

Tu sais, papa ? Je lui ai même touché la quéquette.

Comment ça ?

Comme ça…

Je me redresse, m’assieds sur sa cuisse et pose la main sur sa turgescence pour la flatter.

Papa me regarde avec envie. Ce petit jeu sadomaso lui a plu autant qu’à moi.

Mais maintenant, c’est différent. Ses yeux brillent d’amour. Il m’attire à lui pour m’embrasser dans le cou et me souffle :

Je t’aime ma chérie.

En lui pétrissant la bite, je lui réponds :

Moi aussi mon chéri. Tu m’as manqué !

Au fait, tu aimes mon nouveau slip ?

Cette question, à cet instant, me perturbe. Elle me semble hors de propos ou bien veut-il faire diversion. Je réponds :

Joli string ! Ça met tes belles fesses en valeur.

Si tu aimes mes fesses, je vais te les montrer. Lève-toi ma chérie.

Je m’exécute et il se lève à son tour pour me faire dos.

J’apprécie ses muscles fessiers en frôlant chaque globe du bout des doigts.

Sa peau est douce et ferme ! C’est à pleine main que je lui masse le cul, maintenant.

Je comprends qu’il aime cela, car il penche le buste en avant et prend appui sur le dossier de la chaise, pour me laisser le pétrir. Il écarte même les jambes pour m’inviter à y glisser une main. Ce que je fais pour attraper ses testicules.

Ce n’est pas exactement ce qu’il souhaite, en se tortillant, il me précise implicitement à m’intéresser plutôt à sa raie.

Je glisse mon doigt sur le tissu qui sépare ses fesses et caresse son sillon. A chaque passage sur son petit trou, il émet un soupir. Je comprends mieux son désir et fais de petits cercles autour de son anus. Quand j’appuie par petites saccades aux abords de son trou, il se tortille et gémit de plaisir.

Toujours derrière lui, je m’agenouille, ouvre ses fesses au maximum, puis en écartant le string je plonge la langue au fond du sillon. Un petit goût âcre me vient aux papilles, mais je n’en ai que faire, car je prends un réel plaisir à lui faire cette feuille de rose.

Je me délecte de lécher sa rondelle avec application. Il apprécie ce que je fais, car il se trémousse dans tous les sens sous mes coups de langue avides.

Après quelques léchouilles profondes et bien ciblées, j’enduis mon doigt de salive, puis pars en exploration de son conduit anal.

D’une main en arrière, il me saisit le poignet pour m’inciter à aller plus profondément.

J’entreprends de le sodomiser de mon majeur alors qu’il râle de plaisir.

Sans quitter son cul, je me relève et lui glisse à l’oreille :

Tu aimes ça mon chéri ?

Humpf ! En acquiesçant d’un signe de tête.

Tu n’as pas envie d’autre chose ?

Il ne répond pas, mais se redresse et va à la table de nuit, d’où il sort le gode et du lubrifiant avant de se mettre à quatre pattes sur le lit.

Il dit enfin :

Je voudrais que tu l’utilises sur moi. Ça ne te choque pas au moins ?

Absolument pas, mon amour, j’aime beaucoup que tu me dévoiles tes fantasmes.

C’est vrai, je suis surprise que mon père aille jusqu’à me confier une chose aussi intime.

J’en suis flattée et en quelque sorte libérée. J’aurais pu commettre une erreur, ou un lapsus, sur ma connaissance de ses pratiques sodomites que j’ai découverts par hasard.

Maman utilisait ce gode pour le préparer à recevoir Philippe. Elle voulait que ses deux amants le soient aussi entre eux. Papa se laissait progressivement convaincre, alors que pour mon oncle, c’était plus facile, d’après les allusions que faisaient maman sur la bisexualité de son jeune frère.

Je m’applique à mettre papa en position, la même que j’ai vue dans la vidéo. Il est agenouillé, la tête dans le coussin, les fesses en l’air. Cette fois avec deux doigts je lui badigeonne l’anus de gel. Il geint quand je glisse en lui. Je remets un peu de gel et réitère, en poussant mes doigts au plus profond de son intimité.

Quand il me voit prendre le gode, il s’écarte les fesses le plus possible, mais je le place devant sa bouche et lui dit : "Suce-le !". Il attrape la fausse bite et se met à la pomper.

J’en profite pour présenter mon gland devant son trou encore ouvert par mes doigts. Je m’enfonce en lui alors qu’il m’accueille dans un râle d’extase. Je pousse sur son dos pour qu’il bascule vers l’avant et qu’il s’allonge à plat ventre, puis me couche sur lui.

Oh ma chérie !…

Laisse-toi faire mon amour, je suis sûre que tu vas aimer.

La sensation est différente par rapport au vagin d’une fille, c’est la première fois que je pratique la sodomie. Les copines avec qui j’étais sortie ne voulaient pas en entendre parler.

Je me sens comprimée dans son étui, mais m’enfonce inexorablement.

Je remarque que ses mains se crispent sur le drap, mais il accepte ma pénétration sans se plaindre, au contraire…

Je plaque ses poignets sur le lit et grogne à son oreille :

C’est mieux avec une vraie bite, tu ne crois pas ?

Oh oui ma chérie, s’il te plaît, défonce-moi le cul ! Dis-moi des saloperies !

Je suis un peu surprise qu’il m’entraîne si vite vers son désir d’être soumis à sa femme, comme il le faisait avec maman. Moi, j’avais plutôt envie de l’aimer avec sensualité, mais il préfère la sauvagerie.

Après quelques lents allers-retours sur toute ma longueur, j’entreprends de lui donner un coup de reins brutal. Il gémit :

Humm…

Tu l’aimes ma bite dans ton cul ?

Ouiiii !

Tu aimes sucer les bites ?

Ouiii !

Alors, suce-moi celle-là !

Je lui parle sèchement en lui remettant le gode dans la main. Il enfourne l’objet dans la bouche et se met à le téter avec frénésie.

Progressivement, je vais et viens en lui. De plus en plus fort, je lui perfore le cul.

Je suis prise dans un tourbillon de sensations qui me font aimer ce rôle improvisé de dominatrice. Maintenant, je baise mon père avec vigueur et un acharnement bestial.

Il n’arrive plus à sucer le gode et geint en se tortillant. Les spasmes de son anus sur mon sexe ont raison de ma retenue. Je me vide dans ses profondeurs avec une force incroyable.

Il a la tête dans l’oreiller et ne bouge plus. Pour me faire pardonner de ma sauvagerie, je lui fais des bisous dans le cou et d’une main, pars à la recherche de sa queue. Mes doigts touchent une matière tiède et gluante, son sperme !

Il a éjaculé spontanément tandis que je le baisais.

As-tu aimé mon chéri ?

Énormément !

Tu voudrais recommencer ?

Oh oui !

Mais avant, il faudra t’occuper de ta petite femme… Quand tu auras repris des forces.

Bien entendu ma chérie !

Cette fois, l’esprit de papa s’est déverrouillé. Il faut que ça puisse continuer…

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