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Thomas, Thibaud & Mélanie – Chapitre 1

Thomas, Thibaud & Mélanie - Chapitre 1



Si vous vous souvenez bien, à la fin de ma dernière histoire, je me trouvais dans une très mauvaise posture…

Nue, en compagnie de deux garçons tout aussi nus, j’étais en train de me vautrer dans la débauche pendant que la mère de mon hôte me croyait tranquillement en train de donner des cours à son cancre de fil et à son copain.

Thomas s’apprêtait même à me faire découvrir une pratique inconnue quand un coup a été frappé à la porte. Tétanisés, nous avons retenu notre souffle, et la voix chevrotante de Thibaud s’est élevée:

’oui??’

La porte s’est ouverte à toute volée, et j’ai senti que mon coeur pourrair lâcher tellement la tension était dense. Thomas a retiré son doigt de ma personne, Thibaud a grogné, et j’ai ouvert tout grand la bouche d’étonnement.

Celle qui se tenait sur le pas de la porte était Mélanie, une pionne du lycée. Elle était étudiante en histoire et d’après ce que je savais elle trainait quelquefois avec Thomas. C’était une blonde assez basique d’environ vingt-deux ans, mignonne, sans plus, vêtue sans ostentation mais avec un minimum de goût.

Je n’en revenais pas de la voir là, et ma surprise était si grande que j’en avais presque oublié ma position. Car bien évidemment, j’étais toujours aussi nue et aussi à quatre pattes que juste avant ce coup de théatre.

Attrappant un oreiller qui trainait, je l’ai plaqué sur mes seins, resserrant les cuisses et croisant mes bras sur ma poitrine.

Sans nous laisser le temps de réagir, Mélanie s’est approchée de Thomas et l’a embrassé goulûement sur la bouche. C’était donc ça….. Thomas le timide se tapait une pionne en cachette, voila pourquoi il semblait tellement plus capable que Thibaud lorsqu’il avait une jeune fille entre les mains…

’J’ai dit à ta mère que Thomas m’avait donné RDV ici pr vous faire réviser la quatrième république’, a-t’elle expliqué à Thibaud.

Elle n’arborait aucune expression particulière, ni amusement, ni étonnement, ni désapprobation. Se retournant, elle a trouvé sur la porte un verrou qu’elle a poussé en nous jetant un coup d’oeil.

’A votre place, j’aurais commencé par là’, a-t’elle remarqué.

Puis, sans façon, elle a retiré son tee shirt d’un geste négligeant. Elle ne portait rien en dessous, et elle est restée un instant comme ça immobile, seins nus, à nous regarder d’un air amusé, avant de se diriger vers la chaîne de Thibaud et de mettre un disque dans la platine. Aussitôt un brouhaha guitaristique s’est elevé dans la pièce, nous enveloppant d’un halo sonore qui nous garantirait au moins une certaine discrétion dans nos activités à venir.

Après quoi Mélanie est venue s’assoir sur le lit, près de moi et de Thomas. Elle a enlacé ce dernier, et l’a embrassé avec davantage encore de gourmandise que précédemment, si c’était possible. Elle frottait ses seins contre sa poitrine non encore très virile, laissait échapper de petits gémissements assez torrides se tortillait en tous sens… Puis elle s’est arrachée à cette étreinte apparemment délicieuse, et m’a regardée dans les yeux.

Elle n’avait pas semblé avant cet instant m’accorder la moindre importance. A présent, elle me considérait avec un intérêt non feint, et peu à peu un sourire s’est peint sur ses lèvres.

’haa….’ a-t’elle dit, ’mais c’est notre petite mademoiselle parfaite de la terminale A! Prise en flagrant délit comme une petite salope qu’elle est!’

Ne sachant quoi répondre, je suis restée silencieuse. Mélanie se tenait très près de moi. En me penchant un peu, j’aurais pu frotter mon nez contre le sien, en un de ces fameux bisous d’esquimaus.

Je me suis donc penchée, et je l’ai embrassée sur les lèvres, doucement tout d’abord, puis plus fort, insinuant ma langue loin dans sa bouche.

C’était la première fois que j’embrassais une fille, et pour le moment ça me plaisait. Elle n’a pas mis très longtemps avant de passer ses bras autour de mon cou, et j’ai posé mes mains sur ses seins, les caressant doucement au rythme de notre baiser. Ses têtons étaient devenus tout durs et je me suis amusée à les pincer légèrement. Excitée par les gémissements de Mélanie, je n’ai pas mis longtemps à oublier que c’était nouveau pour moi, et je me suis bientôt sentie comme un poisson dans l’eau.

Pendant ce temps les garçons ne bougeaient pas. Ils étaient comme hypnotisés par le spectacle, caressant doucement leurs queues quand ils n’étaient pas trop estomaqués pour faire un mouvement.

En quittant la bouche de Mélanie et en éloignant mon visage du sien, j’ai plongé mon regard dans ses iris bleus et limpides. J’y ai lu une soif de plaisir si grande qu’immédiatement j’ai eu envie d’aller plus loin avec elle.

Histoire de varier les plaisirs, je me suis alors penchée sur la queue de Thomas, et je l’ai prise dans ma bouche, léchant son gland de ma langue douce et souple pendant que je lui caressais les couilles de ma paume. Il a rejeté la tête en arrière et a gémi. Rapidement sa queue a atteint sa taille et sa dureté maximales, et une fois arrivée à ce résultat je l’ai laissée sortir de ma bouche, tout en la branlant énergiquement de la main. Je me suis retournée vers Mélanie et je l’ai embrassée, la bouche encore pleine du goût de la bite de son copain. Je commençais à me sentir vraiment bien, comme ça, une queue dans la main et la langue de Mélanie dans la bouche. Se sentant un peu rejeté, Thibaud s’est approché de moi par derrière et il s’est mis à me caresser les seins. je me suis cambrée et j’ai frotté mes fesses contre sa queue bien dure.

Puis Thomas a enfin fait quelque chose d’intérêt public, il a déboutonné le jean de Mélanie et l’a descendu sur ses jambes. Elle portait dessous un string en coton rose, auquel il n’a pas touché.

De la bouche de mélanie je suis descendue à ses seins, que j’ai longuement sucés et agacés du bout de la langue. Puis j’ai porté une main à sa chatte, écartant du doigt le fin bandeau de tissu rose qui la recouvrait. J’ai eu la surprise de découvrir qu’elle était épilée, toute lisse comme une poupée.

Insinuant mon doigt entre ses grandes lèvres toutes chaudes, j’ai découvert que sa fente était déjà très très mouillée, au moins autant que la mienne, et j’ai cherché à atteindre son clito pour le caresser à peu près comme j’aurais fait pour moi. Ses gemissements et ses halètements m’ont appris que je ne m’en tirais pas trop mal, et j’ai continué. Je lui ai ouvert les cuisses, et je me suis allongée près d’elle, la main toujours sur sa chatte. L’embrassant de nouveau, j’ai enfoncé l’index dans son vagin tandis que de la paume je massais toujours son clito, puis j’y ai ajouté le majeur. C’était une sensation assez bizarre d’avoir ainsi ses doigts dans le sexe d’une autre fille, c’était à la fois très semblable à la sensation que je pouvais éprouver seule, et dangereusement différent.

Probablement étonnée et charmée de mon sens de l’initiative, Mélanie se laissait faire, s’offrant avec enthousiasme. Thomas s’est agenouillé près d’elle, de manière à ce qu’elle puisse le sucer pendant qu’elle s’abandonnait à mes caresses, et elle a aussitôt englouti sa queue.

Quant à Thibaud, il était toujours derrière moi, me caressant, me doigtant, davantage hypnotisé par le spectacle de ce que je faisais avec Mélanie que par ce qu’il était censé me faire.

J’ai soudain attrappé le string rose et j’ai entrepris de le lui retirer, car j’en avais assez de faire autant d’efforts pour l’empêcher de se mettre en travers de mon chemin.

J’ai contemplé la chatte de Mélanie, toute liss et et rose comme un coquillage, et je me suis penchée dessus, commençant tout d’abord par lui lécher timidement le clito.

Immédiatement, elle a soupiré, avec toujours la queue de Thomas dans la bouche, et s’est mise à le sucer plus fort. Plus je l’exciterais, et plus elle sucerait bien ai-je vite compris. J’ai regardé un instant la queue du garçon disparaitre entre ses lèvres, puis en sortir, puis disparaitre à nouveau, et cette vision m’a tellement échauffée que, passant la main entre mes jambes, j’ai réalisé que j’étais trempée.

Me penchant à nouveau sur son minou j’ai recommencé à la lécher, titillant d’abord son clito, en faisant le tour du bout dardé de ma langue, puis l’attrappant entre mes lèvres et le tirant très légèrement. Puis j’ai plongé ma langue dans sa chatte, puis je l’ai ressortie, puis replongée encore, comme si j’étais en train de la baiser avec ma langue.

Plus je la léchais et plus je marchais au radar, sans vraiment savior ce que je devais faire mais le faisant quand même.

J’ai ouvert grand la bouche, et j’ai essayé de la recouvrir entièrement, suçant, léchant, dégustant comme je l’aurais fait d’un fruit bien juteux.

Je la sentais se tordre sous ma langue, et bientôt j’ai entendu qu’elle avait libéré sa bouche de l’encombrante chose qui s’y trouvait, et elle laissait échapper de petits gémissements essouflés et de plus en plus intenses.

J’ai enfoncé à nouveau mes doigts dans son vagin pendant que je suçais son clito et quelques va-et-viens plus tard Mélanie a commencé à vraiment se laisser aller; j’ai deviné qu’elle s’apprêtait à jouir et je me suis appliquée comme je pouvais pour ne pas lui gâcher ce moment. Au bout de quelques secondes, j’ai senti son ventre se contracter autour de mes doigts, comme il m’arrivait à moi aussi au moment de l’orgasme, et je l’ai léchée plus fort.

Elle a mordu l’oreiller pour ne pas hurler, puis elle s’est laissée retomber sur le lit, détendue, voire même toute molle. D’après ce que je voyais, je l’avais vraiment achevée.

Très excitée par ce qui venait de se passer, j’ai commencé à me caresser aussi, tandis que Thibaud se frottait toujours à moi par derrière. J’ai à nouveau pris la queue de Thomas dans ma bouche (qui avait été beaucoup sucé mais qui n’avait pas encore joui) et je me suis mise à pomper comme jamais, tandis que Mélanie se reposait toujours.

J’étais en sueur, comme nous tous, et je commençais à me sentir un peu en transe. Ma tête n’était plus remplie que par des images de sexe. Je ne voulais plus rien d’autre que du sexe.

Puis Mélanie s’est relevée, et elle m’a faite m’allonger à sa place d’un geste. Elle s’est mise sur moi en 69, et elle a aussi tôt commencé à me lécher.

Je gardais les yeux grand ouverts et je voyais sa chatte bien ouverte au dessus de mon visage, j’avais presque envie de l’attirer vers moi pour lui rendre la pareille, mais j’ai reperé Thomas qui s’approchait et j’ai préferé profiter du spectacle, voire y participer.

Levant la main, j’ai attrappé la queue de Thomas et je l’ai dirigée lentement vers la chatte de sa copine. J’ai vu son gland disparaitre, puis tout son membre qui s’enfonçait lentement dans le ventre de Mélanie. Elle a gémi, et elle m’a léchée sur un autre rythme, plus analogue à celui sur lequel thomas la baisait. Ils étaient très près de moi, en levant un peu la tête j’aurais pu lécher les couilles de Thomas, peut être même les prendre dans ma bouche et en faire mes prisonnières.

Je me sentais tellement bien que j’avais l’impression que j’allais encore jouir très vite, et mon plaisir était encore augmenté par ce qui se passait sous mes yeux.

Thomas prenait Mélanie de plus en plus fort, je voyais sa queue entrer et sortir de sa chatte avec une intensité que je n’aurais jamais imaginée. Il la pilonnait littéralement, et elle poussait de petits cris, couverts heureusement par les borborygmes de Kurt Cobain, sans oublier cependant de me lécher énergiquement la chatte.

J’ai eu une pensée pour Thibaud, qui en était encore réduit à se branler en nous regardant, et je lui ai dit de me prendre, maintenant.

Sans se le faire dire deux fois, il s’est agenouillé devant moi et m’a empoigné les hanches, me hissant à sa hauteur et m’embrochant direct.

Mélanie s’est concentrée sur mon clito pendant que Thibaud me défonçait la chatte, et je jouissais encore davantage de voir Mélanie se faire baiser en même temps juste au dessus de mes yeux. Cette chatte rose et trempée qui s’écartait pour laisser passage à cette masse de chair, c’était la sienne mais en cet intant c’était un peu la mienne aussi, et cette bite longue et dure qui la pénétrait, elle me pénétrait aussi.

La symétrie presque parfaite de notre pose a achevé de me mettre en transe, et j’ai senti au creux de mon ventre le feu annonciateur de l’orgasme.

La boule de feu a remonté doucement le long de mon ventre jusqu’a atteindre ma gorge, et à ce moment j’ai ouvert grand la bouche et j’ai exhalé un long soupir au lieu du cri que j’aurais aimé pousser, tandis qu’au dessus de mes yeux Thomas achevait spasmodiquement de prendre Mélanie qui avait joui aussi.

Envahie par le plaisir, j’avais une sacrée flemme de bouger. J’avais envie de m’endormir ici, de ne plus faire qu’un avec ces corps emmêlés.

Mais un coup d’oeil à la pendule m’a appris qu’il se faisait déjà tard, et que je ferais mieux désormais de rentrer chez moi. Ayant pris cette décision, je me suis rapidement rhabillée, puis j’ai retiré le verrou.

’je vous laisse, j’ai pas mal de choses à faire à présent,’ai-je lancé à la cantonnade.

Mélanie m’a regardée avec l’oeil brillant puis elle m’a envoyé un baiser. J’ai répondu de même, un sourire dans l’oeil, tandis que Thibaud demandait:

’ha oui tu ne peux pas rester?? Dommage….. Faut que tu fasses quoi?’

’Rien de spécial’ ai-je répondu d’un ton impatient, ’faut juste que je glande deux trois trucs à droite à gauche…’

Ramassant mes papiers et mon sac, je suis sortie de la pièce et j’ai pris l’escalier.

Une fois en bas, je suis allée jusqu’à la cuisine pour dire bonsoir à la mère de Thibaud.

’Ah, comme c’est gentil à vous d’être venue pour donner quelques leçons à mon garçon et son ami, quand je pense qu’il y en a qui disent que la solidarité n’existe plus chez les jeunes…’

Elle a soupiré et secoué la tête.

’non, vraiment,’ a-’elle repris, ’c’est très aimable à vous. Il faudra revenir, surtout!’

’ne vous inquiétez pas, tout le plaisir était pour moi’ ai-je répondu .

Nous nous sommes serré la main et je suis partie.

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